Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Abidjan, le lundi 21 avril 2025(LDA)-Selon un communiqué de la CEDEAO relayé par APA le 16 avril dernier, la capitale ghanéenne, Accra, se parera aux couleurs de la Cédéao à l’occasion du lancement officiel des festivités marquant le cinquantenaire de l’organisation sous-régionale, le mardi 22 avril 2025.

Des ministres et hautes personnalités des États membres sont attendus pour cet événement symbolique, qui inaugurera une série de célébrations prévues dans toutes les capitales des pays membres de la Cédéao tout au long de cette année du cinquantenaire de l’organisation communautaire.

Le président ghanéen, John Dramani Mahama, donnera le coup d’envoi des activités commémoratives de ce 50e anniversaire.

La cérémonie d’Accra sera ponctuée de spectacles haut en couleur, avec notamment la révélation du logo et du thème du Jubilé d’or, ainsi que des prestations culturelles et artistiques retraçant l’histoire de la Cédéao : de sa fondation à Lagos par les Pères fondateurs, en passant par les grandes réformes, jusqu’aux succès et avancées significatives dans les pays membres.

La Conférence des chefs d’État et de gouvernement a fortement recommandé que cette célébration du cinquantenaire soit marquée par une grande visibilité dans chacun des États membres.
A cet effet, les membres du Comité administratif et financier de la Cédéao se sont réunis en visioconférence en février 2025 pour valider le programme des festivités à l’échelle régionale.
Fondée le 28 mai 1975 à Lagos (Nigéria), la Cédéao reste aujourd’hui la communauté économique régionale la plus structurée du continent, avec de nombreuses réalisations à son actif qui contribuent à l’intégration et au développement des populations ouest-africaines.

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Un mois après sa sortie de l'hôpital pour une pneumonie infectieuse, le pape François est mort à l'âge de 88 ans, a annoncé le Saint-Siège ce lundi 21 avril 2025.

Il est apparu en public pour la dernière fois dimanche, lors de la célébration de Pâques, place Saint-Pierre au Vatican, pour un bain de foule surprise.

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Abidjan, le lundi 20 avril 2025 (LDA)- Dans son tout dernier ouvrage intitulé :  « Réseaux sociaux : Entre addictions et santé mentale », la psychiatre et addictologue Dr. Imane Kendili propose une analyse percutante de l’impact du numérique sur notre bien-être psychique et notre rapport au monde.

À travers une approche scientifique et accessible, elle explore les mécanismes neurobiologiques de l’addiction aux réseaux sociaux qui exploitent les circuits de la dopamine comme les drogues ou les jeux d’argent. Résultat : une dépendance insidieuse provoquant troubles du sommeil, anxiété sociale, fatigue mentale, perte de concentration, isolement et diminution des capacités cognitives.

Le livre met également en lumière l’essor massif de la désinformation sur les plateformes numériques. Les fake news circulent plus vite que la vérité, portées par des algorithmes qui privilégient le sensationnalisme et renforcent les biais cognitifs. L’illusion de libre arbitre est en réalité un piège algorithmique, orchestré pour capter l’attention et manipuler les émotions.

Autre dérive alarmante : la prolifération des faux experts. Dans cet espace numérique sans filtre, des individus non qualifiés prodiguent des conseils dangereux, notamment en santé mentale, au détriment de la rigueur scientifique. Cette confusion des rôles met en péril la santé de millions de personnes.

Dr. Kendili aborde aussi la violence psychologique du cyberharcèlement, particulièrement envers les femmes, et ses effets dévastateurs : dépression, perte d’estime de soi, stress post-traumatique.

Pour autant, l’ouvrage n’appelle pas à fuir les réseaux sociaux, mais à les utiliser de façon consciente. Elle plaide pour une éducation numérique, un esprit critique renforcé et des habitudes de connexion plus saines.

Ce livre essentiel appelle chacun à reprendre le contrôle sur son attention et sa santé mentale, dans un monde dominé par l’hyperconnexion.

La rédaction

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Abidjan, le vendredi 18 avril 2025(LDA)-Après une première édition réussie, KAIZENE annonce la 2e édition du Forum Économie et Gouvernance-Les Femmes en Parlent, le jeudi 24 avril 2025 à Pullman Hôtel-Abidjan, selon un communiqué transmis à la rédaction, le vendredi 18 avril 2025. La thématique centrale est : « Gouvernance, croissance inclusive et Résilience économique : quelles stratégies pour l’Afrique ».

Ce forum se veut un espace inclusif et dynamique de réflexion et d’action, réunissant femmes et hommes, pour débattre des enjeux majeurs de gouvernance et de développement économique en Afrique.

À travers des panels interactifs, des masterclass pratiques et des rencontres stratégiques, cette journée d’échanges vise à :

• Valoriser les contributions féminines à la gouvernance économique
• Encourager une gouvernance inclusive, transparente et efficace
• Favoriserlacollaborationentrelesgenrespourundéveloppementéquitable
• Créer des passerelles entre secteurs public, privé et société civile

« Si la parole est mise en lumière à travers l’expérience, la vision et les propositions des femmes leaders, décideuses et entrepreneures, les hommes sont également pleinement impliqués. Car les transformations économiques et politiques ne peuvent se faire qu’ensemble », souligne le communiqué, ajoutant que bâtir une gouvernance plus juste et une économie plus forte ne peut se faire sans la contribution de toutes et de tous.

Le panel d’ouverture s’intéresse à « La gouvernance d’entreprise contribue-t-elle à régler les défis de durabilité et de changements climatiques en Afrique ? ».

Le grand débat : « Pallier aux défis de la bonne gouvernance contribue au maintien d’un État de droit et des institutions fortes. Si oui, comment ? aura pour panelistes Annick Tohé Lasmel, directrice générale du Fonds d'entretien routier, Me Maryse Bohoussou, avocate au Barreau de Côte d'Ivoire, Guy Nassa, directeur général Moov Money Côte d'Ivoire et Emmanuel Babissagana, président commission scientifique Rebranding Africa Forum. A cela s’ajoutent un Déjeuner et réseautage et des Masterclass avec des panelistes comme Myriam Kadio-Morokro, secrétaire générale Orange Côte d’Ivoire, Solape Akinpelu, co-fondateur/PDG de HerVest, Directrice de section Women in Tech Nigeria, Dr Ekra Eliane, médecin et professeure d’anthropologie socio-familiale.

Le Forum mettra à l’honneur des voix engagées, des experts reconnus, ainsi qu'une nouvelle Génération de leaders, dans une volonté de transformation inclusive et durable.

 

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Abidjan, le vendredi 18 avril 2025(LDA)-La Direction des Dépenses Centralisées de l’État et de la Comptabilité des Matières (DDCM), dirigée par M. Koné Bassidi, annonce une mission de recensement des biens de l’État et de contrôle les abonnements d’eau et d’électricité. Cette action s'inscrit dans le cadre de l’optimisation de la gestion des biens publics.

 L'objectif est de mettre à jour les bases de données des biens d’équipement et d’assurer une meilleure maîtrise des coûts liés aux abonnements d’eau et d’électricité.

Le lundi 14 avril 2025, une séance de travail s’est tenue à la préfecture de Boundiali sous les orientations du Directeur Général du Budget et des Finances, M. Traoré Seydou. À cette rencontre, les modalités de l’opération ont été présentées aux autorités préfectorales, notamment au Préfet de la région de la Bagoué. Celui-ci a encouragé les équipes à mener cette mission avec rigueur et professionnalisme.

L’opération couvre les régions du Poro, du Folon, de Kabadougou et de la Bagoué. Elle se dérouleront sur une période de 12 jours dans les services publics du Poro et de 10 jours dans les autres régions concernées.

Depuis 2018, la DDCM recense et assure le suivi des acquisitions des biens meubles de l’État, des collectivités territoriales, des Établissements publics nationaux (EPN) et des sociétés d’État. Elle veille également au contrôle des abonnements, garantissant une gestion rationnelle des dépenses publiques. Cette action s’inscrit dans une volonté de transparence et d’efficacité, visant à identifier, localiser et marquer les biens à l’aide d’un inventaire électronique ; recenser les compteurs d’eau et d’électricité dans les régions concernées ; vérifier l’état des installations et recenser les bénéficiaires des abonnements ; actualiser les bases de données pour une meilleure gestion des équipements et des dépenses énergétiques.

Grâce à cette initiative, les services publics concernés disposeront d’une cartographie précise des biens et abonnements, permettant ainsi d’éviter les dépenses superflues et de garantir une gestion optimale des ressources. 

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Abidjan, le mercredi 16 avril 2025(LDA)-La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a annoncé la fin des mesures dérogatoires appliquées aux titres émis par l’État du Niger. Ces titres retrouvent désormais le même traitement comptable et prudentiel que ceux des autres pays membres de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA), informe APA dans une publication du mardi 15 avril 2025.

Dans un avis officiel (n°005-04-2025) daté du 3 avril 2025, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a levé la dérogation temporaire accordée en janvier 2024 au Niger. Celle-ci permettait aux établissements de crédit de considérer les titres publics nigériens comme des créances saines dans leurs bilans, malgré les incertitudes du contexte politique et économique de l’époque.

Instaurée par l’Avis n°002-01-2024 du 22 janvier 2024, cette mesure visait avant tout à préserver la stabilité du système bancaire régional, en évitant une dégradation des portefeuilles des banques exposées aux titres du Niger.

La levée de cette dérogation marque une étape importante dans le processus de normalisation des opérations financières de l’État nigérien sur le marché régional. Elle témoigne également d’une amélioration du climat de confiance autour des finances publiques du pays.

Désormais, les titres de dette du Niger sont à nouveau traités sur un pied d’égalité avec ceux des autres États de l’UMOA.

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Abidjan, lundi 14 avril 2025(LDA)-Après sept années d’actions en faveur du renforcement de l’éducation en Côte d’Ivoire, le programme Education Impact Fund (EIF)touche à sa fin. Pour marquer cette étape décisive, la Fondation Jacobs Stiftung et Comoé Capital ont organisé une cérémonie de clôture le mercredi 9 avril 2025, à la salle de conférence de la CGECI à Abidjan, indique une note d'information transmise à la rédaction. Plus de 150 acteurs de l’écosystème entrepreneurial, éducatif et financier étaient à cette cérémonie.

Un fonds pionnier au service de l’impact éducatif

Lancé en 2017, le fonds EIF, géré par Comoé Capital et initié en partenariat avec Investisseurs et Partenaires (I&P) et la Fondation Jacobs à travers le programme TRECC, est le premier fonds sectoriel exclusivement dédié à l’éducation en Côte d’Ivoire. Doté d’un capital de 900 000 euros, ce fonds d’impact a permis de financer et d’accompagner six petites et moyennes entreprises (PME) éducatives à travers des investissements en fonds propres, en prêts d’associés et en assistance technique.

L’objectif : soutenir l’innovation éducative locale et améliorer l’accès et la qualité de l’éducation pour les jeunes ivoiriens. En conjuguant capital investissement et accompagnement managérial, EIF a démontré qu’un modèle de financement ciblé, même à petite échelle, peut produire des impacts économiques et sociaux significatifs.

Une cérémonie pour partager les leçons d’une expérience réussie

À travers des panels, des témoignages d’entrepreneurs bénéficiaires et des rencontres B2B, la cérémonie a permis de valoriser les réalisations du programme, mais aussi de souligner les perspectives qu’il ouvre pour l’avenir du financement de l’éducation en Afrique.

Parmi les principales leçons :

• La faisabilité de fonds de private equity à impact dans un cadre réglementaire ivoirien,

• L’efficacité des tickets d’investissement modestes (entre 30K et 150K euros) pour les PME,

• Le rôle essentiel des femmes entrepreneures dans le secteur éducatif,

• L'entrepreneuriat comme moteur de création d’emplois et de richesse inclusive.

Un plaidoyer pour un engagement renforcé des investisseurs dans l’éducation

Cette clôture du programme EIF a aussi été l’occasion de mobiliser l’attention des bailleurs de fonds, partenaires institutionnels et investisseurs privés sur le potentiel du capital investissement comme levier pour transformer durablement l’éducation en Afrique.

« EIF a été plus qu’un simple fonds d’investissement : il a été un laboratoire d’idées, de pratiques et de résultats pour démontrer que les PME éducatives peuvent être des vecteurs puissants d’innovation et d’impact social », a souligné Sabina VIGANI, Directrice Pays de la Fondation Jacobs.

Des résultats concrets

• Le programme a permis d’enregistrer des résultats probants :

• 6 entreprises financées, dont 83 % dirigées par des femmes ;

• Plus de 100 emplois créés et maintenus, dont 82 % formalisés ;

• Une croissance moyenne annuelle de 61 % du chiffre d’affaires entre 2019 et 2023, soit

un CA multiplié par 3,2 ;

• Un taux de réussite de 100 % aux examens nationaux (BEPC, BT et CAP) en 2024 pour

les apprenants bénéficiaires ;

• 50 % des entreprises ont réalisé une sortie du capital ;

• 119% % des montants investis ont été récupérés sur les 5 années du fonds.

Ces chiffres témoignent de l’impact tangible du programme EIF et de la pertinence du modèle d’investissement patient et responsable au service de l’éducation.

 

 

 

 

 

 

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Abidjan, le dimanche 13 avril 2025(LDA)-Africa24 TV sur sa page Facebook annonce l'élection de Brice Clotaire Oligui Nguema, le candidat du Rassemblement des Bâtisseurs, élu président de la République avec 90,35% de voix, à l’issue du dépouillement des votes du scrutin organisé le 12 avril 2025.

Brice Clotaire Oligui Nguema a été ainsi choisi par ses concitoyens, devant sept autres candidats, pour diriger le Gabon les sept prochaines années, à l’issue d’un scrutin historique qui aura connu une mobilisation massive des gabonais avec un taux de participation de 70,4%. Au total, 920 mille électeurs ont participé à ce scrutin. 

Il faut noter que le Général Brice Clotaire Oligui Nguema était le président de la transition gabonaise, après son coup d'État de 30 août 2023, déposant Ali Bongo du pouvoir et mettant fin à plus de 50 ans de règne sans partage de la famille Bongo.  

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Abidjan, le vendredi 11 avril 2025(LDA)-L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire en collaboration avec le Réseau Pasteur Afrique organise deux importantes réunions de niveau international du 14 au 16 avril 2025, au Noom Hôtel, à Abidjan. 

La première réunion du 14 au 15 avril 2025, sur la surveillance des eaux usées aura pour thème : « Renforcement de la surveillance de la santé publique en Afrique : mise en place d’un réseau complet de laboratoires pour la surveillance des maladies infectieuses en Afrique et plus spécifiquement des maladies entériques ».

Elle vise la portée de l'analyse situationnelle, en assurant l'alignement entre les parties prenantes de dix instituts du réseau Pasteur à travers l'Afrique, à savoir l'Algérie, le Cameroun, la République centrafricaine (RCA), la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Maroc, le Niger, le Sénégal, la Tunisie et Madagascar.

La seconde réunion du 15 au 16 avril 2025 porte sur le renforcement de la collaboration régionale et la surveillance de la santé publique pour un système de santé résilient en Afrique.

Il s’agira d’une part de mettre en place une feuille de route stratégique du réseau Afrique pour les cinq prochaines années, et d’autre part de renforcer les capacités institutionnelles et l’accès aux financements.

Le Pasteur Network est une alliance de plus de 30 instituts qui joue un rôle essentiel dans la réponse aux défis de santé mondiaux par la science, l’innovation et la santé publique. Le réseau se distingue par sa diversité et sa large couverture géographique, qui s’étend sur 25 pays sur les 5 continents, favorisant une communauté dynamique de connaissances et d’expertises. 

Les activités du Pasteur Network sont guidées par quatre piliers stratégiques : 

1) la veille et préparation aux épidémies, avec un accent sur les maladies sensibles au Climat, 

2) la recherche, le développement et l’innovation, 

3) les communautés de connaissances, 

4) la gouvernance et l’équité. 

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Abidjan, le jeudi 10 avril 2025 ( LDA)- La troisième édition du Sommet Africa Political Outlook, tenue récemment à Bruxelles, a marqué une étape majeure dans la redéfinition des relations internationales.

Sous le thème : « Nouveau Sud, Vieux Monde », le sommet a rassemblé pendant deux jours décideurs africains et européens autour des transformations profondes du système mondial.

Au cœur des débats, la montée en puissance de l’Afrique dans la gouvernance mondiale. Pour Moses Vilakati, Commissaire de l’Union africaine pour l’Agriculture et le Développement rural, représentant le nouveau Président de la Commission de l’UA, Mahamoud Ali Youssouf, l’Afrique ne se contente plus d’accompagner les mutations globales, elle en devient un acteur moteur, notamment dans les domaines de la sécurité alimentaire et de l’innovation agricole.

« « L’Afrique ne se contente pas de s’adapter aux transformations mondiales ; elle les façonne. », a-t-il declaré.

L’architecture financière internationale a été vivement critiquée. Rania Al-Mashat, la ministre égyptienne de la Planification, du Développement économique et de la Coopération internationale, a dénoncé le déséquilibre au sein du FMI, où les pays en développement, majoritaires en nombre, restent sous-représentés dans les décisions, soit 75 % des membres du FMI. Un appel fort a été lancé pour une véritable redistribution du pouvoir.

« Ce déséquilibre n’est pas une abstraction », a-t-elle affirmé. « Il faut dépasser les discours sur l’inclusion et instaurer un véritable partage du pouvoir. », a critiqué la diplomate égyptienne.

A ce sommet stratégique, l’Afrique a présenté ses priorités stratégiques à savoir : souveraineté alimentaire, transition énergétique, industrialisation verte.

Dans un contexte de profondes mutations du développement international, de nombreuses voix se sont élevées pour appeler à une refonte des relations entre le Nord et le Sud.

Papa Amadou Sarr, directeur des partenariats à l’Agence française de développement, a relevé l’urgence d’un nouveau cap.

« L’Europe doit désormais changer de paradigme : investir, investir, investir.», a-t-il fait savoir.

Les représentants de l’Union européenne ont, quant à eux, ont plaidé pour un dépassement du modèle traditionnel donateur-bénéficiaire en mettant en avant l’initiative Global Gateway. Ce programme ambitieux prévoit de mobiliser 150 milliards d’euros pour financer des infrastructures via des partenariats public-privé novateurs.

A en croire Younous Omarjee, vice-président du Parlement européen, la nécessité d’un regard renouvelé sur le continent africain s’impose.

« Il faut voir l’Afrique pour ce qu’elle est : un continent d’avenir, une puissance géopolitique en devenir, un acteur clé du XXIe siècle. Il est temps d’abandonner définitivement les prismes obsolètes de condescendance ou de paternalisme », a souligné M. Omarjee.

La rencontre a aussi mis en lumière le potentiel africain dans l’intelligence artificielle. Des initiatives locales montrent déjà des résultats prometteurs dans la santé, l’éducation et la gouvernance.

Enfin, le Prix Africa Political Outlook a récompensé trois personnalités pour leur impact en matière de gouvernance, de paix et de développement, illustrant la diversité des talents engagés pour un avenir africain ambitieux.

mc

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