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Le groupe Orange Côte d’Ivoire, leader de la téléphonie et de services numériques dans le pays, va bien s’offrir un siège futuriste à Abidjan. Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a procédé au lancement de ce joyau, en présence du président du groupe Orange, Stéphane Richard.
Pour M. Richard, ce siège, d’un coût d’environ 20 milliards de francs CFA, marque la volonté de sa compagnie à poursuivre son développement en Côte d’Ivoire, où, en plus de la téléphonie mobile et fixe, elle offre d’autres services numériques dont la fourniture internet, le mobile money.
Fiche technique
Le siège d’Orange, dont le chantier est ouvert en bordure de lagune au quartier Riviera Golf, dans la commune de Cocody (Abidjan-est), s'étend sur une surface de 18.181 m². Avec un bâtiment principal circulaire en forme forme d’anneau, sa livraison est prévue pour 2019.
Avec ses six étages, il comprend notamment un centre de conférence, des salles de réunion mutualisées et de formation, des fonctions support de proximité, un restaurant et un parking de 350 places.
Quelque 900 employés et collaborateurs du groupe y seront accueillis.
Orange Côte d’Ivoire qui compte à ce jour plus de 13,20 millions d’abonnés, a investi plus de 230 milliards de francs CFA ces trois dernières années.
Armand Tanoh
Un projet routier pour désenclaver une partie des régions du Hambol et du Gontougo, notamment le tronçon Dabakala-Bondoukou passant par Nassian, va bientôt démarrer, rapporte l'AIP, citant le coordonnateur des projets à l’Ageroute, N’Zi Koffi.
Ce projet qui est, selon M. N’Zi, à la phase d’étude, vise à désenclaver toute la zone, grande productrice de noix de cajou.
« Après la phase d’étude, il faudra donc attendre le financement et l’exécution. Mais ce qui est sûr et certain, le projet sera réalisé », a-t-il rassuré.
Sur le terrain, des relevés topographiques sont terminés depuis octobre du côté de Dabakala.
« Depuis le 1er novembre 2017, les relevés topographiques ont débuté côté Nassian pour s’achever à la fin de ce même mois », a annoncé le technicien d’une société sous-traitante.
Dans le cadre de ce projet, un pont traversant le fleuve Comoé sera réalisé pour relier Dabakala à Nassian, signale-t-on.
La Côte d’Ivoire au travail ! Les différents sous-secteurs des transports sont en plein chantier dans le pays. Avec la libéralisation du transport lagunaire, de nouvelles compagnies de bateau-bus, STL et Aqualines, assurent, en plus de la Sotra, la navette sur la lagune Ebrié. Pendant ce temps, le projet de construction du train urbain d’Abidjan est en orbite. La première pierre se fera dans quelques semaines, annonce un communiqué du ministère des Transports consulté par La Diplomatique d’Abidjan. Ce lancement de travaux, selon de bonnes sources se fera le 30 novembre à Abidjan.
Ailleurs, le projet Aérocité, ville aéroportuaire futuriste, a été remis sur la sellette. Le sujet était d’ailleurs au centre des discussions, la semaine dernière, entre le ministre Amadou Koné et des investisseurs Emiratis.
En attendant ces projets d’envergure, Amadou Koné séjourne à Toulouse (France), depuis ce mercredi 22 novembre 2017, pour réceptionner le nouvel avion Airbus de la compagnie aérienne nationale, Air Côte d’Ivoire.
Taxis
Dans les prochains jours, Abidjan, la capitale économique ivoirienne, connaitra l’avènement d’une nouvelle génération de taxis-compteurs. Selon les premières informations disponibles, il s’agit de véhicules spécialement équipés pour le transport, et qui seront gérés par le centre d’appel du Groupement des professionnels de taxi-compteur (GPTC).
Décongestion portuaire
Enfin, des travaux d’un coût total de 500 milliards de francs CFA sont en cours pour la décongestion du port automne d’Abidjan. Quant à celui de San Pedro, les négociations sont accélérées pour la réalisation de son terminal polyvalent, car le gouvernement Ouattara veut en faire le premier port de transbordement d’Afrique de l’Ouest et du centre, avec à la clé, la création de pas moins de dix mille emplois.
Mais, à quand la fin de l’anarchie ?
Les transports sont, on le sait, l’un des secteurs les plus difficiles à gérer en Côte d’Ivoire. Même si ces actions du gouvernement sont à saluer, l’anarchie qui continue de régner dans cet environnement, surtout dans le transport terrestre demeure une gangrène.
::::Lire aussi : Le futur train urbain d'Abidjan dévoile ses caractéristiques, un métro électrique::::
Amadou Koné, qui avait pourtant promis de mettre fin à l’anarchie, surtout aux activités illégale des coxer ou « gnambros » ne semble pas encore avoir trouvé la solution à ce problème. Tant les membres de cette mafia organisée sont présents dans presque tous les carrefours des quartiers d’Abidjan, à racketter avec violence les chauffeurs de taxis et de mini-cars Gbaka.
Espérons que la fermeture récente d’une vingtaine d’auto-écoles par le ministère, pour non qualification à exercer cette activité, sonne le début d’une nouvelle ère d’organisation du secteur.
L’université Alassane Ouattara de Bouaké a procédé, mardi, au lancement officiel de son abonnement à la bibliothèque numérique internationale française Cyberlibris, pour accroître les performances des étudiants par une utilisation optimale des ressources documentaires numériques disponibles à travers le monde, rapporte l'AIP.
Cyberlibris est une bibliothèque numérique à caractère éducatif et pédagogique qui donne accès aux étudiants et aux enseignants à plus de 40.000 ouvrages actuels ou de référence. Elle offre également la possibilité aux enseignants de marquer virtuellement les ouvrages recommandés dans le cadre de leurs cours et d’avoir le feed-back des recherches documentaires effectuées par les étudiants ou de s’assurer que ces ouvrages ont été effectivement lus.
Le site offre entre autres avantages, la possibilité de lire entièrement les ouvrages en ligne et de les imprimer.
Le PDG de Cyberlibris, François Lascaux, a présenté le site à la communauté universitaire en indiquant que son entreprise existe près de 18 ans. Elle est leader en Europe et sur le continent Africain dans le domaine des bibliothèques numériques en particulier académiques destinées à l’enseignement supérieur. L’entreprise offre ses services à plus de 200 institutions publiques et privées sur le continent Africain. En Côte d’Ivoire, a-t-il souligné, l’université Alassane Ouattara est la première à s’abonner à ses services.
Le président de l’université, Pr Poamé Lazare Marcellin, a indiqué que cette bibliothèque va ‘’consolider le positionnement’’ de ses étudiants sur l’échiquier national et international parce qu’elle comblera les limites des bibliothèques traditionnelles qui offrent très peu d’ouvrages.
Il a annoncé que 20 millions de FCFA seront dégagés pour «1000 crédits» (abonnements) prenant en compte les enseignants et les étudiants, au cours de l’année universitaire 2017-2018. Les étudiants qui bénéficieront du code d’accès à cette bibliothèque dans cette première phase seront sélectionnés en fonction de certains critères. Il s’agit notamment, d’être régulièrement inscrit, participer à la pacification de l’espace universitaire et être parmi les meilleurs.
Le président de l’université Alassane Ouattara souhaite que des négociations ‘’serrées’’ soient engagées avec l’opérateur Cyberlibris pour permettre à tous les étudiants de toutes les universités publiques ivoiriennes de s’abonner à cette bibliothèque à un coût suffisamment réduit et bien étudié.
Le secrétariat exécutif du Comité de Concertation État/Secteur Privé (SE-CCESP) a organisé un déjeuner-débat de partage d’expériences entre les Etats de l’Union monétaire ouest-africaine(UEMOA), le mardi 14 novembre 2017 à Azalai Hôtel-Abidjan. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la troisième édition de la Journée nationale de partenariat(JNP) du lundi 13 novembre 2017, autour du thème: «Encadrement du Secteur informel : source de croissance et de compétitivité de notre économie».
L’objectif était d’enrichir les travaux de la JNP 2017 à la lumière des initiatives et actions entreprises...
Ainsi, elle a porté essentiellement sur les initiatives et actions entreprises dans l’espace l’UEMOA, en vue d’accompagner le secteur informel.
Plusieurs personnes ressources, membres de structures d’appui aux entreprises, du Mali, du Burkina Faso, du Niger, du Togo, du Sénégal, de la Guinée Bissau et également de la Guinée Conakry (invitée spéciale) ont participé à cette session d’échanges, structurée autour de plusieurs communications.
Au nombre donc de ces communications, l’apport des Centres de Gestion Agréés (CGA) dans la promotion des micro-entreprises au regard de l’accompagnement fourni aux très petites entreprises (TPE) a été analysé par Béatrice AMOAKON, du Centre de gestion agrée (CGA).
Elle a présenté de façon générale, les caractéristiques du secteur informel, tout en évoquant les nombreuses initiatives émanant de l’Etat, du secteur privé et des partenaires techniques financiers, en termes de fiscalité, taxes, prévoyance et sécurité sociale.
Andrieu Kohoué, conseiller auprès du bureau de l’Uemoa-Côte d’Ivoire, a félicité Mariam Fadiga Fofana pour la confiance établie entre l’Etat ivoirien et le secteur privé. Il a encouragé les autres pays à s’inspirer du cas ivoirien qui devrait servir de modèle, mettant évidemment l’accent sur le fonctionnement de la commission et ses principales actions en faveur du secteur privé, des PME, et de l’amélioration du climat des affaires dans l’espace Uemoa.
Les représentants des différents pays ont, dans l’ensemble, relevé le poids considérable des opportunités qu’offre le secteur informel en termes de réponses aux défis socio-économiques des pays de l’UEMOA.
Pour Mariam Fadiga Fofana, le Secrétaire exécutif du CCESP, Il faut des stratégies qui s’attaquent aux causes plutôt qu’aux conséquences. Pouvant aider à un meilleur encadrement de ce secteur pour la compétitivité des économies subsahariennes.
Elle a saisi, également, cette occasion pour réitérer ses remerciements à la banque africaine développement (BAD) qui s’est engagée à financer le plan de stratégie de la JNP 2017, et aussi pour son soutien indéfectible aux actions communes, associant la commission de l’Uemoa et tous les Etats membres de cette union.
Il faut retenir que quelques recommandations ont été émises parmi lesquelles, le renforcement de la lutte contre la fraude et l’économie souterraine dans nos États, l’amélioration de la communication des gouvernements sur le civisme fiscal, ainsi que la promotion de la généralisation et la mise en œuvre du statut de l’entreprenant dans la sous-région.
Daniel Coulibaly
Alors que le Parlement zimbabwéen avait ouvert une séance consacrée à l'examen d'une demande de destitution du président Mugabe, ce dernier a remis sa démission, rapporte l'AFP.
«Moi Robert Gabriel Mugabe remets formellement ma démission de président de laRépublique du Zimbabwe avec effet immédiat», a déclaré le président de l'assemblée nationale Jacob Mudenda, en lisant, sous les applaudissements, la lettre de démission du chef de l'Etat.
Depuis quelques jours de rumeurs circulent, notamment sur les réseaux sociaux ivoiriens, concernant l’ « accord mutuel » entre la Fédération ivoirienne de football (FIF) l’ex-sélectionneur des Eléphants footballeurs le 14 novembre, Marc Wilmots, ayant abouti à la rupture de la collaboration entre les deux parties.
Ces rumeurs indiquent que la FIF et M. Wilmots auraient convenue du décaissement d’une somme d’un peu plus d’un million de dollars (environ 524 millions FCFA) au profit du second cité, en guise de dédommagement, ou d’accord de rupture de contrat avant terme.
Chiffres erronés
Dans un communiqué transmis à la Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net ), ce lundi 20 novembre 2017, la FIF dénonce une « rumeur et de nombreuses sources (qui) avancent des chiffres erronés, ayant trait prétendument au salaire de Monsieur Wilmots, ainsi qu’aux indemnités que la FIF aurait consenti à lui payer ».
« Elle rassure l’opinion nationale que la bonne intelligence qui a prévalu aux discussions avec Monsieur Marc Wilmots, a abouti à un accord au bénéfice des deux parties », souligne le document signé du préfet Sam Etiassé, membre du comité directeur de la fédération.
Flou
Si ce communiqué vient pour apporter un démenti à ce qui se raconte au bord de la lagune Ebrié, il ne met pas pour autant fin au débat. Ou du moins, il n’apporte pas grand-chose qui puisse mettre fin à cette polémique. Bien au contraire.
Car la question qui reste posée et dont les Ivoiriens attendent toujours des réponses est : quels sont les vrais chiffres ? A combien le technicien belge était-il payé ? Combien a coûté la facture de son renvoi ?
En se fendant d’un communiqué qui reste royalement muet sur cette question, la FIF et son président Sidy Diallo – dont la démission est aussi vivement réclamé par une bonne partie du public sportif depuis la défaite des Eléphants face au Lions de l’Atlas du Maroc (0-2) le 11 novembre, synonyme de non qualification pour le mondial 2018- , ne font maintenir l’opinion dans le flou. En attendant donc un communiqué digne de ce nom qui informe réellement !
AT
Le ministre des Transports, Amadou Koné a salué vendredi, le courage de l’équipage du bateau bus de la Société des transports Abidjanais (Sotra) qui a pris feu le 7 novembre alors qu’il était en circulation sur la lagune avec à son bord 90 passagers, rapporte l'AIP.
«J’ai pris plaisir de recevoir nos jeunes frères ici pour leur traduire les félicitation du Gouvernement, du Premier ministre et du président de la République pour ce qu’ils ont fait la semaine dernière. C’est grâce à ces deux jeunes que nos compatriotes ont eu la vie sauve», a relevé le ministre.
Le premier responsable du secteur des transports s’est dit être très impressionné par l’équipage qui a eu un sens froid dans leur attitude.
«A cet âge, c’est très remarquable. Nous avons les yeux sur les travailleurs de Côte d’Ivoire et nous ne manquerons pas l’occasion en ce qui concerne notre département de recevoir tous ceux qui auront fait preuve de bravoure, d’abnégation dans leur travail », a ajouté Amadou Koné.
Les deux équipages à l’honneur sont Yolande Ouattara, agent de sécurité fluviale et Doukouré Kalilou, pilote du bateau.
«Nous étions en provenance d’Abobodoumé pour Treichville. Mon pilote m’a informé qu’il y avait une fumée qui montait. Les mesures de sécurité nous imposent dans ce cas d’arrêter les moteurs et les bactéries du navire. C’est ce que nous avons fait. Nous avons fait porter des gilets à tous les passagers puisque nous sommes sur l’eau et nous avons fait appel à la gare pour qu’on nous envoie un navire pour le transbordement », a témoigné Yolande Ouattara.
Tout comme son collègue, elle s’est réjouie de cette considération des autorités ivoiriennes à leur égard.
Le 7 novembre, un bateau bus de la Sotra a été ravagé par les flammes non loin du quai d’Abobodoumé, dans la commune d’Attécoubé (Centre-Ouest), sans faire de victime, indique-t-on.
Investisseurs & Partenaires (I&P), Comoé Capital et la Fondation Jacobs lancent un nouveau fonds d’impact dédié à l’éducation en Côte d’Ivoire, l’Education Impact Fund (EIF). Le fonds apportera un soutien financier et managérial aux petites entreprises et start-up ivoiriennes ayant pour objectif d’améliorer la qualité et l’accès à l’éducation dans le pays.
Le partenariat permettra d’apporter des financements, un accompagnement stratégique et des ressources d’assistance technique à une dizaine de PME et startups ivoiriennes d’ici 2021, avec pour objectif de développer des solutions innovantes aux enjeux éducationnels dans le pays.
Le fonds comprendra à la fois des financements d’amorçage entre 10 000 et 60 000 euros (6,5 millions à 40 millions FCFA) par dossier et des financements de croissance entre 60 000 et 200 000 euros (40 millions et 130 millions FCFA).
Promouvoir l’accès à l’éducation, un chantier prioritaire pour I&P et ses partenaires
L’accès à l’éducation et à la formation est un enjeu clé pour résoudre le défi de la création d’emplois en Afrique subsaharienne, l’un des principaux objectifs d’impact d’I&P. Au cours de ses 15 dernières années d’investissement, I&P a soutenu plusieurs initiatives dans ce domaine, incluant notamment l’entreprise malienne Trainis et le réseau panafricain d’écoles privées Enko Education. Comoé Capital, Fonds ivoirien sponsorisé par I&P dans le cadre du programme IPDEV 2, partage les mêmes valeurs et objectifs d’impact.
L’enjeu reste de taille en Afrique subsaharienne, notamment au vu de la dynamique de la croissance démographique. Dans son dernier rapport Global Human Capital (2017), le Forum économique mondial classe l’Afrique subsaharienne comme la région la moins développée au monde dans le secteur de l’éducation.
D’après l’UNESCO (2012), 56 millions d’africains âgés de 15 à 24 ans, une tranche d'âge qui représente un tiers de la population, n’avaient pas achevé leur éducation primaire et de nombreuses compétences leur faisaient défaut pour intégrer le monde du travail.
La Fondation Jacobs travaille depuis plusieurs années à l’amélioration des conditions de vie des enfants et des jeunes en Côte d’Ivoire, notamment à travers son programme TRECC (Transforming Education in Cocoa Communities). La Fondation et ses partenaires ont fait le constat que le système entrepreneurial dédié à l’éducation reste faible en Côte d’Ivoire.
Financer 10 PME axées sur l’éducation en Côte d’Ivoire
La stratégie d’investissement est parfaitement en ligne avec celle de Comoé Capital : cibler des PME ivoiriennes, existantes et en création, présentant des opportunités d’impact et de création de valeur fortes, dans le secteur de l’éducation au sens large (y compris l’édition, la formation professionnelle, les librairies, divers services aux institutions éducatives, etc.). « L’éducation est un secteur clé pour assurer le développement d’un pays. Grâce à des initiatives telles que l’Education Impact Fund, Comoé Capital encourage une éducation plus inclusive et de qualité », affirme Issa Sidibé, directeur du Fonds Comoé Capital.