Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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 L’accord de principe de création du parti unifié RHDP (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et paix), signé en début de semaine entre les formations membres de cette coalition, ne signifie pas dissolution du PDCI (parti démocratique de Côte d’Ivoire)», clarifie le président de ce parti, Henri Konan Bédié.

« Cet Accord Politique consolide l’Alliance existant entre les partis politiques membres du RHDP depuis la mise en place le 18 mai 2005 à paris et la plateforme qui les régit ;
(…) il ne signifie nullement la dissolution du PDCI-RDA auquel j’ai souhaité une longue et longue Vie », a clarifié M. Bédié, dans une déclaration transmise à l’AIP, vendredi.

« Désormais, au lieu de parler de parti unifié, il conviendrait de dire maintenant Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP).
Cela éviterait bien les amalgames et les confusions », souligne-t-il.

Se voulant rassurant face aux « commentaires passionnés » suscités au sein de son parti après la signature de ce document, le président du PDCI réaffirme que son parti « présentera, en RHDP, un candidat en 2020, en souhaitant l’appui de ses alliés, compte tenu des sacrifices qu’il a consentis pour les uns en 2010 et 2015 ».

« Mais cela est en discussion avec les alliés », signale-t-il, expliquant que l’accord de principe de la création du parti unifié vise à consolider l’alliance existant entre les partis politiques membres du RHDP depuis la mise en place, le 18 mai 2005, à Paris, et la plateforme qui les régit.

Ces cinq partis membres du RHDP ont signé, lundi à Abidjan, à la signature d’un accord pour la création du parti unifié qui devra porter le même nom. Il s’agit du PDCI-RDA, le Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel), l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), le Mouvement des forces d’avenir (MFA), l’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) et le Parti ivoirien des travailleurs (PIT).

 

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Une enquête nationale sur les expériences de vie pendant l’Enfance en Côte d’Ivoire  (EEVE-CI) a été lancée au cours d’une cérémonie, jeudi, à Abidjan-Plateau par la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité (MFPES), Pr Mariatou Koné.

Selon la ministre Koné, cette étude intègre la vision du gouvernement ivoirien de protéger le droit des citoyens particulièrement, celui des enfants.

« Nous profitons de l’occasion pour appeler à la vigilance et au changement de comportement à l’endroit des enfants », a-t-elle lancé déplorant la maltraitance que subissent les garnements.

Initiée par le Programme national des orphelins et autres enfants rendus vulnérables du fait du VIH/SIDA (PN-OEV), cette enquête sera menée du 28 mai au 15 août avec l’appui technique et financier du Plan présidentiel d’urgence contre le SIDA (CDC/PEPFAR) et sous la direction du ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité (MFPES).

Pour la directrice-coordinatrice du PN-OEV, Dr Amethier Solange, l’enquête vise à appréhender la vulnérabilité de l’enfant à chaque étape de son développement biologique, psychoaffectif et psychologique.

Il aidera le gouvernement de Côte d’Ivoire à mieux comprendre l’ampleur des problèmes multiformes qui mettent à mal les droits fondamentaux des enfants à chaque stade de leur développement biologique et psychoaffectif, a-t-elle ajouté.

Le chargé d’affaires de l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique en Côte d’Ivoire, Katherine Brucker dit attendre beaucoup de cette étude qui permettra de renforcer le partenariat avec la Côte d’Ivoire en matière de santé notamment celle des enfants victimes du VIH/SIDA.

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Au cours d’une table ronde organisée jeudi  à Washington DC, aux Etats-Unis, dans le cadre des Réunions de Printemps du Fonds monétaire international (FMI) et du Groupe de la Banque mondiale (BM), le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a salué l’engagement de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement (BAD) à soutenir la compétitivité du secteur du cacao en Côte d’Ivoire et au Ghana, selon un communiqué parvenu à l’AIP.

Pour Amadou Gon Coulibaly, l’initiative régionale qui verra la participation de la Banque mondiale, de la BAD et de la Société financière internationale (Sfi), doit prendre en compte toute la chaîne de production, notamment la coordination de la commercialisation sur le marché international, la capacité de stockage, la transformation, etc.

Cette rencontre fait suite à une concertation, le 26 mars 2018 à Abidjan, entre les Présidents Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire et Nana Addo Dankwa Akufo-Addo du Ghana, dite « Déclaration d’Abidjan », de fédérer leurs efforts, afin de mettre en place une économie compétitive dans le secteur, rappelle-t-on.

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L’ambassadeur de Côte d’Ivoire auprès de l’ONU, Bernard Tanoh-Boutchoue, membre non permanent du Conseil de sécurité, est décédé brutalement mercredi dans un hôpital de New York à l’âge de 67 ans, rapporte l'AFP.

Muté de Russie à New York en décembre, Bernard Tanoh-Boutchoue, était très marqué psychologiquement depuis fin mars après un rappel pour consultations par son gouvernement, selon une source proche du diplomate.

A l’époque, suivant les directives de sa capitale, il s’était abstenu lors d’un vote sur la Syrie, provoquant l’ire d’autres membres du Conseil de sécurité. De retour à New York, son état s’était dégradé et il était hospitalisé depuis peu, a-t-on précisé de même source.
La raison précise de son décès n’a pas été communiquée.
Le Conseil de sécurité a observé jeudi matin une minute de silence à sa mémoire, au début de ses travaux. "Nous avons perdu un grand diplomate" et "les mots nous manquent", a souligné le président en exercice du Conseil de sécurité, l’ambassadeur péruvien Gustavo Meza-Cuadra, en évoquant une instance 

"consternée et attristée"

"C’était quelqu’un d’honnête, franc, et c’est une grande perte dans une période où des gens comme lui sont si nécessaires", a déclaré à l’AFP l’ambassadeur éthiopien, Tekeda Alemu, en disant "avoir personnellement le coeur brisé". Interrogé pour savoir si les ambassadeurs du Conseil de sécurité subissaient trop de pressions, le diplomate s’est refusé à répondre.
Devant le Conseil de sécurité, Tekeda Alemu a indiqué que "depuis trois semaines", Bernard Tanoh-Boutchoue s’était livré "à une grande introspection inhabituelle".

- "Rire contagieux" -

"Nous sommes désolés", a dit de son côté l’ambassadrice britannique, Karen Pierce. "C’était un collègue bon et honnête", a-t-elle ajouté. Devant le Conseil, son homologue chinois, Ma Zhaoxu, a parlé d’un "décès tragique", en évoquant comme l’ambassadrice américaine Nikki Haley "un ami". "Son rire était 
contagieux", a-t-elle dit. 
L’ambassadeur français François Delattre a exprimé à l’AFP sa "très grande tristesse pour la perte d’un collègue et d’un ami à l’inépuisable gentillesse". "L’ONU perd un grand professionnel, la Côte d’Ivoire un magnifique représentant, et la France un ami", a-t-il ajouté.

Le décès de l’ambassadeur ivoirien est survenu deux jours avant une "retraite" annuelle et informelle du Conseil de sécurité qui doit se dérouler cette année en Suède. Cette rencontre doit permettre aux ambassadeurs d’améliorer leurs pratiques et de tenter de retrouver un peu d’unité et de crédibilité alors qu’ils se sont passablement écharpés au cours des derniers mois sur de multiples dossiers, de la Syrie à l’affaire d’empoisonnement de l’ex-espion Sergueï Skripal et de sa fille en Angleterre. 
D’une grande courtoisie et d’une grande élégance, tranchant avec les tenues vestimentaires de ses homologues masculins en portant toujours un noeud papillon, Bernard Tanoh-Boutchoue était spécialiste des pays de l’ex-Union soviétique. 

Avant l’ONU, il était à Moscou depuis 2011. En 2012, il avait été chargé par les autorités ivoiriennes de représenter également son pays auprès de l’Azerbaïdjan, du Bélarus, de la Géorgie, de la Lettonie et de l’Ukraine. En 2016, y avaient été ajoutés l’Arménie, le Kirghizistan, le Kazakhstan et le Tadjikistan.

Au cours de sa carrière, Bernard Tanoh-Boutchoue avait aussi été ambassadeur en Egypte, avec également la charge du Soudan après avoir occupé différents postes dans son pays et déjà également à l’ONU. 

Né le 17 juillet 1950, il était marié et avait trois enfants.

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Le rôle de l’Etat est d’assurer la fonction de sécurité collective de la nation, des citoyens, des entreprises et de l’économie dans sa globalité (les facteus de production, distribution, consommation et échanges). La situation actuelle ou crise actuelle pour certains rappelle combien ce rôle est fondamental au regard des acteurs et des intérêts de notre pays.

La sécurité économique mise à mal par des facteurs (endogènes et exogènes) surgit comme un pilier essentiel, mais fragile de la politique nationale. Dès lors que notre capacité collective d’alertes, d’intelligence des menaces, notre mobilisation reconnaissent-elles l’urgence et l’ampleur de l’enjeu? Ne convient-il pas de repenser la sécurité économique de notre pays?

C’est bien là en effet que surgit le nouveau défi. Aux menaces classiques visant nos actifs stratégiques et nos entreprises, s’ajoutent des menaces émergentes intimement liées à la mondialisation et à l’émergence du « cybermonde ». Elles bouleversent l’écosystème de nos sociétés et celui de l’entreprise, révélant nos ignorances et exposant nos flancs aux concurrents. Mais alors, quelles sont ces menaces qui gravitent autour de nous sans que nous ne sachions les identifier, afin d’y apporter une réponse efficace et efficiente ?

Les menaces liées à la guerre de l’intelligence mondialisée d’abord. 

En effet, la puissance, l’influence économique et culturelle s’expriment aujourd’hui à travers les affrontements entre grands réseaux de dominance par l’expertise. Ces hauts lieux de créativité et de pouvoir économique et culturel contrôlent l’élaboration et la diffusion des normes technologiques, comptables, éducatives, juridiques. La faible présence dans ces réseaux, la menace de notre exclusion placeraient notre pays en état de dépendance et à terme de déclin face à l’actuelle croissance économique (la baisse du cours du cacao en 2017).

Les menaces imbriquées ensuite du terrorisme, de la criminalité et de la cyber criminalité. 

Combien d’exemples emblématiques de cette hydre et de son impact sur l’activité économique (attaque terroriste de Grand-Bassam), dilution de l’activité des mafias dans l’économie légale (commerçant le jour, braqueur la nuit), cyber braquage des comptes bancaire et des sites de réseaux sociaux ou campagnes nationales d’intoxication (le 3ème pont serait tordu, etc…) et mondiales (justice des vainqueurs de human right etc…) de désinformation.

Mais en fait, avons-nous pris l’exacte mesure de la menace sans précédent des formidables iniquités sociales dans notre pays et dans le monde qui brutalement risquent de déstabiliser notre économie notamment les flux migratoires incontrôlés sous-régionaux, conflits inter ethniques, fractures et éclatements de sociétés) ?

L’ensemble de ces menaces appellent une mobilisation générale en matière de sécurité économique, donc repensons la sécurité économique de la Cote d’ivoire.

Les déchiffrer, concevoir les organisations et les stratégies nécessaires pour y répondre relèvent de l’urgence nationale. C’est d’un grand élan prospectif dont nous avons besoin pour (re)penser la sécurité économique de notre pays comme sécurité multidimensionnelle et collective. Seule une chaine d’acteurs coordonnée emmenée par l’Etat pourra redonner à la sécurité économique une valeur réellement collective.

Pour ma part, un dispositif conséquent centré défense en profondeur exige d’adopter trois postures au moins, qui sont :

  • en premier lieu de prendre en compte la réalité multidimensionnelle de la sécurité économique 

couvrant les domaines politiques, sociaux, environnementaux, de la criminalité et du « cybermonde ».

  • ensuite de (re)penser la sécurité économique dans une perspective de coopération. 

Car les enjeux de sécurité (économique) sont tels qu’ils ne peuvent être traités que sous le sceau du partage et des solidarités, y compris de la « coopération ». d’un point de vue territorial, la coopération s’impose. Imaginons, la Chambre de commerce et d’industrie mettant en place un dispositif de sécurité économique partagé entre le monde du renseignement (police, gendarmerie …) et les entreprises ou acteurs économiques, ce serait le début d’une économie durable pour le territoire.

A l’échelle international, notamment au niveau de la sous-région, la coopération en matière de sécurité économique doit être de mise à tous les niveaux afin de disposer d’une véritable intégration sous-régionale visible, accessible et surtout acceptable par tous et pour tous.

Ainsi par des stratagèmes et des partenariats ayant pour vocation de partager des capacités d’intelligence sur des enjeux communs, tels que sécurité et tourisme, sécurité et transport, harmonisation du droit des affaires, nous atteindrons efficacement les objectifs de coopération et d’intégration tant attendu.

  • Enfin, Il s’agit d’appréhender la sécurité économique dans sa dimension sociétale. Afin de lutter contre l’affaiblissement de l’Etat et l’intensification des fractures sociales et des inégalités (corruption, incivisme, indiscipline, vol de denier public galopante etc…), il convient d’installer l’impératif de sécurité économique au cœur des stratégies de développement.

L’Etat, les entreprises, les acteurs du développement et les organisations de la société civile devront travailler d’arrache pied à l’appropriation citoyenne des questions de sécurité économique et se mobiliser dans des partenariats de type publics privés indispensables pour atteindre cet objectif de cohésion sociale, sans verser dans le folklore et l’activisme qui ne sert que ces initiateurs au détriment des peuples et de la cause.

Si l’état sait être, un état ni maximum, ni un état minimum mais juste un état qui assume ses prérogatives avec discernement, équité et efficacité alors nous aurons planté le décor d’une connivence nationale essence de la cohésion sociale nationale indispensable à un contexte de stabilisation globale.

C’est en cela, tout ivoirien soucieux du devenir économique de la Cote d’ivoire devrait dire bienvenue au Conseil National de Politique Economique (CNPE), chainon indispensable mais manquant depuis belle lurette à notre cher pays, ce vide est désormais comblé.

Gageons que le fétichisme des diplômes et des diplômés n’enterre encore une fois de plus, cette belle initiative,

Gageons que les animateurs sachent donner à celle-ci, notamment en sa strate opérationnelle, de la visibilité en se dotant d’hommes et de femmes dotés de savoir-faire, savoir-pouvoir, savoir-être en intelligence économique et stratégique, ceux-ci valoriseront leurs acquis d’expériences, mais mieux, sauront reformater le logiciel mental des ivoiriens afin d’y implémenter les notions de développement économique durable.

C’est au prix d’une intelligence élargie des enjeux et d’une stratégie collective repensée de la sécurité économique que nous pourrons faire face « à la grande transformation nationale», l’émergence à l’horizon 2020.

Yeo Diarassouba Moustapha (spécialiste en intelligence économique et stratégique)

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"Il n'yaura pas de langue de bois!". Un débat sur l’adhésion du Maroc à la Cedeao s’ouvre vendredi, à Abidjan, au Sofitel Ivoire, sur le thème « Le Maroc dans la CEDEAO : Elargissement ou approfondissement ? ».

Organisé par l’Institut Amadeus, think tank marocain indépendant, fortement impliqué dans les problématiques africaines, en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et avec la collaboration du Centre ivoirien de recherches économiques et sociales (CIRES), la rencontre d’Abidjan fuite poursuit à la première tenue au Sénégal, à Dakar le 29 mars 2018.

« Nous avons voulu en Afrique de l’ouest, dans les pays de l’Afrique de l’ouest, un débat serein, fraternel, des échanges mutuels sur la volonté d’adhésion du Maroc à la Cedeao puisque c’est un projet commun. Nous avons voulu permettre une coappropriation de ce projet », explique le président fondateur de l’Institut Amadeus, Brahim Fassi-Fihri.

L’objectif de la conférence d’Abidjan est de réunir responsables politiques, opérateurs économiques, universitaires et acteurs de la société civile ivoiriens et marocains dans le cadre d’une écoute respective et attentive et d’un dialogue franc et ouvert.

Cette démarche a été confortée par la forte présence et la qualité des échanges lors de la première conférence de Dakar, laquelle a rassemblé une quarantaine de décideurs et d’experts des deux pays et a permis la création d’un Comité conjoint et paritaire sénégalo-marocain de suivi de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO.

Il s’agira, au cours de ces échanges, souligne M. Fassi-Fihri, d’identifier les points bloquant et d’inquiétude de part et d’autres, ensuite expliquer la démarche du Maroc.

Cette deuxième étape des conférences explicatives autour de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO vise donc à approfondir le débat tout en l’élargissant. Ces travaux permettront une meilleure connaissance des enjeux et des positions, de part et d’autre.

 

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Le roi Mohammed VI a regagné le Maroc lundi après une période de convalescence en France suite à une opération au cœur.

Au cours de son séjour, le souverain chérifien s’est longuement entretenu  à l’Elysée avec le président Emmanuel Macron, rapporte le site d’information  atlasinfo.fr.

Les deux chefs d’Etat ont longuement abordé la situation au Moyen-Orient ainsi que les questions d’ordre régional et international et ils ont constaté une large convergence de vues à ce sujet, avait indiqué le cabinet royal dans un communiqué produit à l’issue de cet entretien de presque deux heures qui s’est tenu à l’Elysée le 10 avril.

Le roi du Maroc a également rencontré le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohamed Ben Salmane (MBS), et le Premier ministre libanais, Saad Hariri, comme en témoigne une photo des trois hommes attablés ensemble, tous sourires, tweetée dans la nuit de lundi à mardi par Saad Hariri.

« Tous les trois sommes amis et nos pays sont sur la même longueur d’onde, il était donc logique » d’organiser cette rencontre, avait déclaré à l’AFP le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel Al-Jubeir.

Le 26 février dernier, le roi a subi une ablation par radiofréquence d’une arythmie cardiaque sur cœur sain. L’opération réussie a été réalisée à la clinique Ambroise Paré à Paris.

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Un Master en sciences de l’infirmerie et obstétricales en Afrique de l’Ouest sera bientôt institué dans des pays d’Afrique de l’Ouest, en vue de permettre aux personnels infirmiers et sages-femmes de « d’acquérir les compétences essentiels indispensables d’exercer leur profession ».

Les modalités de mise en œuvre de ce cycle de formation sont au centre des travaux d’un atelier préparatoire lundi à N’Sah Hôtel de Grand-Bassam, initié par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et l’Organisation ouest-africaine de la santé, dans le cadre Projet Autonomisation des femmes et Dividende Démographique au Sahel (SWEDD), financé par la Banque mondiale, rapporte l'AIP.

Trois instituts de formation ont été retenus pour le démarrage de ce programme, à savoir l’Ecole nationale de santé publique (ENSP) de Niamey (Niger), Instituts national de formation des agents de santé (INFAS) en Côte d’Ivoire et l’Institut national de formation en science de la santé (INFSS) au Mali.

Le coordonnateur du SWEDD, Dr Justin Koffi, a souhaité que ces travaux débouchent sur un agenda qui permette aux premiers étudiants de ce programme d’étude à commencer les cours dès la fin 2018. « Car c’est injuste que des femmes continuent de perdre la vie en donnant la vie », a-t-il justifié, en présence du représentant-résident de l’OMS en Côte d’Ivoire Docteur Jean-Marie Vianny Maurice Yaméogo.

Le directeur général adjoint de la santé, Koné Blaise, a salué l’initiative de cette formation, regrettant que l’Afrique de l’Ouest et du Centre sont les régions les plus touchées sur le continent par les décès des femmes en couche.

Cet atelier qui se déroulera en 5 jours, est meublé par des présentations, travaux de groupes et discussions en plénière.

Le projet SWEDD concerne six pays, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. Le Master en science de l’infirmerie et obstétricale devrait, en cas de succès, s’étendre progressivement aux pays non retenus pour sa phase de démarrage.

Santé : bientôt un Master en sciences de l’infirmerie et obstétricales en Afrique de l’Ouest

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La direction générale de l’l'institut national de formation judiciaire (INFJ) annonce dans un communiqué dont nous avons reçu copie l’ouverture de deux concours d'admission pour l’année 2018 à l’Institut. Il s'agit de l'ouverture de concours directs et de concours professionnels.

Les concours directs concernent les candidats souhaitant intégrer : l’École de la Magistrature pour le Cycle moyen supérieur judiciaire de l'école des greffes et le cycle moyen judiciaire de l'école des greffes.
Les concours professionnels concernent le cycle moyen supérieur judiciaire de l’école des Greffes, et le cycle supérieur judiciaire de l’école des Greffes.

Plus d’informations voir la photo d’illustration.

Il faut souligner que l’INFJ regroupe l’Ecole de la magistrature de l'Ecole des greffes, l'Ecole de la formation continue et des stages, et l'Ecole des personnels pénitentiaires et de l'éducation surveillée.

 

Daniel Coulibaly

 

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France 24 lance une nouvelle formule du magazine « Reporters », qui aborde chaque semaine, à travers un grand reportage, une actualité en profondeur, sur les chaînes en français, en anglais, en arabe et en espagnol. C'est ce qu'indique un communiqué de presse de la chaîne rendu public, le lundi 16 avril 2018. 

Désormais, « Reporters » offre davantage de place aux témoignages et aux décryptages des grands reporters de France 24 de retour des terrains difficiles.

La nouvelle formule donne, soit avant ou après la diffusion du reportage, à Antoine Cormery (en français), Mark Owen (en anglais), Rafik Sahali (en arabe) et Ángela Gutierrez (en espagnol) de recevoir en plateau les auteurs qui prennent le temps d’un arrêt sur image, d’une explication de carte, d’une séquence pédagogique et d’un approfondissement pour mieux comprendre l’actualité du monde.

 Il faut souligner que le magazine « Reporters » de 17 minutes est diffusé chaque samedi à 22h10.tUXPoQTi

Cette nouvelle formule du magazine "Reporters" intervient dans un contexte où, la direction de la communication de France Médias Monde vient de nommer Mattia Atmoun responsable relations presse de France 24. Jusque-là chargé de communication, le diplomé de l'EFAP(Ecole française des attachés de presse) est promu à ce poste, 4 ans après son entrée à France Médias Monde. 

A ce titre, il coordonne les relations avec la presse française et internationale pour les quatre chaînes (en français, anglais, arabe et espagnol), avec à ses côtés Louise Marot et Darine Sahnoun, attachées de presse.

 

Daniel Coulibaly

 

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