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Le président de l'Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Adama Bictogo, a participé à une série de rencontres de haut niveau lors de sa visite au Caire, en Égypte, du dimanche 18 février au mardi 20 février 2024. Cette visite visait à renforcer les liens diplomatiques, politiques, économiques et culturels entre les deux nations.
Le mardi 20 février 2024, il s'est entretenu avec le Premier ministre égyptien, Moustafa Kemal Madbouli, dans le cadre des efforts visant à consolider les relations bilatérales entre la Côte d'Ivoire et l'Égypte. Cette réunion faisait suite à ses rencontres avec le président de la Chambre des Représentants, Dr. Hanafy Ali Gebaly, et le président du Sénat, Abdel-Wahab Abdel-Razek, la veille.
Les discussions entre lui et le Premier ministre égyptien ont porté sur divers aspects de la coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines politiques, économiques, énergétiques et environnementaux. Le président de l'Assemblée nationale a souligné l'importance d'un partenariat solide face aux enjeux mondiaux actuels.
En marge de ses entretiens politiques, le président de l’Assemblée Nationale a rencontré des représentants du secteur industriel égyptien. Il a échangé avec Roger Maher, représentant Afrique du groupe Manufacturing Commercial Vehicles (MCV), qui envisage d'établir une unité de fabrication locale d'autobus en Côte d’Ivoire. Cette initiative vise à renforcer le secteur automobile dans le pays.
Une autre audience importante a eu lieu avec Amr Adawy, vice-président de la compagnie aérienne Egypt Airlines. Ils ont discuté du rétablissement des vols entre Le Caire et Abidjan, suspendus en raison de la pandémie de COVID-19. La reprise des vols est prévue à partir du 10 juillet 2024, ce qui facilitera les échanges commerciaux entre les deux pays.
La visite d'Adama Bictogo s'est terminée par une découverte de la Nouvelle Capitale administrative égyptienne, située à l'est du Caire. La délégation ivoirienne comprenait plusieurs députés et personnalités politiques, illustrant ainsi l'importance accordée aux relations entre la Côte d'Ivoire et l'Égypte.
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Sous le haut patronage de Son Excellence Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, Président de la République du Ghana et Leader désigné pour les institutions financières de l'Union africaine, les institutions financières multilatérales africaines ont procédé au lancement de l'Alliance des Institutions Financières Multilatérales Africaines (AAMFI). La cérémonie de lancement, qui s'est déroulée en marge de la 37e Session ordinaire de la Conférence des chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine, a marqué un tournant dans le paysage financier de l'Afrique.
Cette rencontre historique a mis en évidence un engagement commun à promouvoir la collaboration, la coopération et la coordination entre les illustres institutions membres afin de stimuler le développement économique durable et l'autonomie financière du continent.
Constituée d'institutions financières multilatérales créées par voie de traité par des États africains, détenues et contrôlées par des Africains, l'AAMFI traduit la détermination collective de l'Afrique à façonner son avenir financier. Les membres fondateurs, dont la Société financière africaine (AFC), la Banque Africaine d'Import-Export (Afreximbank), le Groupe de la Banque de commerce et de développement (TDB Group), la Société africaine de réassurance (Africa Re), l'Assurance pour le développement du commerce et de l'investissement en Afrique (ATIDI), la Banque de développement (SHAFDB) et ZEP-RE (PTA Reinsurance Co.), se sont regroupés sous la bannière de l'AAMFI afin d'unir leurs efforts pour promouvoir une croissance et une intégration économiques durables, conformément à l'Agenda 2063 de l'Union africaine et aux Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Dans le cadre du mandat de l'AAMFI, les membres de l'Alliance s'engagent à collaborer pour répondre aux besoins de l'Afrique en matière de financement du développement, à promouvoir les intérêts des États membres, à défendre les intérêts de l'Afrique sur les questions financières mondiales, à développer des outils financiers innovants et à soutenir les stratégies de financement durable. La création de l'AAMFI souligne l'engagement de l'Afrique en faveur de l’autonomie et du développement économique durable, en tirant parti des solutions et des ressources locales pour faire progresser le continent.
Le lancement historique de l'Alliance a été marqué par la signature par les sept membres fondateurs d'une déclaration annonçant leur attachement aux principes et aux objectifs qui sous-tendent la création de l'Alliance.
Dans son discours, Son Excellence Nana Akufo-Addo a souligné l'importance de l'Alliance dans la transformation économique de l'Afrique. Il a déclaré : « La création de l'Alliance des institutions financières multilatérales africaines témoigne de notre engagement collectif à relever les défis financiers et à propulser l'Afrique sur la voie du développement durable. Ensemble, nous tirerons parti de nos forces et de nos ressources pour libérer le potentiel illimité du continent ».
Le mandat de l'AAMFI va au-delà de la coopération financière classique. Il cherche à répondre aux besoins spécifiques des souverains africains et à faciliter leur accès aux mécanismes de financement essentiels. L'AAMFI sera également une voix forte et un défenseur des intérêts et des préoccupations financières de l'Afrique sur la scène mondiale. En s'appuyant sur l'expertise et les ressources de ses institutions membres, l'AAMFI est en mesure de catalyser la croissance dans divers secteurs, notamment les infrastructures, le commerce et l'investissement.
S'exprimant au nom de Son Excellence Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l'Union africaine, S.E. Dr. Monique Nsanzabaganwa, Vice-présidente (DCP) de la Commission de l'Union africaine, a fait remarquer : « Alors que nous nous trouvons au seuil d'une nouvelle ère, faisant face à des défis et à des opportunités, il est impératif que nous prenions des mesures audacieuses et décisives pour remodeler le paysage financier d'une manière qui reflète les aspirations et les intérêts de toutes les nations, en particulier celles du continent africain. La création de l'AAMFI contribuera à aider les États membres de l'Union africaine à relever les défis du financement et à renforcer le soutien à la transformation et à l'intégration du continent », a-t-elle ajouté.
Au nom de ses membres, le Professeur Benedict O. Oramah, premier Président du Conseil d'administration de l'Alliance des institutions financières multilatérales africaines (AAMFI), a déclaré : « Nous tenons à remercier Son Excellence, le Président Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, pour son soutien indéfectible aux institutions financières multilatérales africaines, qui se reflète dans l'événement historique d'aujourd'hui. Les pays africains se sont montrés déterminés à prendre en main notre destin financier collectif et l'AAMFI défendra fermement les intérêts de l'Afrique dans les forums financiers mondiaux, en se faisant le chantre d'un traitement équitable et d'une représentation juste pour le continent ».
Au moment où l'Afrique s'engage sur la voie de la prospérité, l'Alliance des institutions financières multilatérales africaines représente une lueur d'espoir et de solidarité. Grâce à des efforts de collaboration et à un engagement sans faille, l'Alliance s'efforcera d'élaborer des solutions uniques et des outils et instruments de financement conjoints adaptés aux besoins spécifiques de développement de l'Afrique et de mettre en commun les ressources pour les déployer efficacement. En outre, l'AAMFI s'engage à protéger et à promouvoir les intérêts des États membres et des actionnaires, en veillant à ce que leurs voix soient amplifiées sur la scène mondiale.
Plusieurs chefs d'État et de gouvernement africains ont assisté à la cérémonie de lancement et à la signature de la déclaration. Parmi ceux-ci, on peut citer S.E. William S. Ruto, Président de la République du Kenya, S.E. Mohamed Al-Menfi, Président du Conseil présidentiel de l'État de Libye, S. E. Hakainde Hichicham, Président de la République de Zambie ; S.E. Ntsokoane Samuel Matekane, Premier Ministre du Royaume du Lesotho et S.E. M. Mbella Mbella Lejeune, Ministre des Affaires Etrangères, représentant S.E. Paul Biya, Président de la République du Cameroun.
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Du 29 février au 2 mars 2024, Abidjan vibrera au rythme des Rencontres de Coproduction d'Africadoc, inscrites dans le cadre du projet IMPALA. L'annonce officielle de cet événement a été faite le mardi 20 février 2024 par Laurent Bitty, Président d'Africadoc Côte d'Ivoire, lors d'une conférence de presse à la Commission Nationale de l'UNESCO à Abidjan - Cocody.
Ces rencontres, fruit de la collaboration entre Africadoc Côte d'Ivoire, les Ateliers Varan et Docmonde va rassembler des producteurs, de bailleurs, de diffuseurs et de distributeurs venus des quatre coins du globe pour des projets documentaires innovants et porteurs de promesses.
Pour Laurent Bitty, cet événement représente un véritable tremplin pour les professionnels du cinéma, offrant une immersion dans le fonctionnement des fonds disponibles (8 au total) ainsi que dans les mécanismes de financement et les périodes de lancement.
Le projet IMPALA, élaboré sur une période de trois années, a marqué plusieurs pas essentiels, notamment la formation de jeunes cinéastes africains, dans les domaines de la réalisation, du montage, de l'écriture et de la production cinématographique.
Au total, quatorze projets documentaires soigneusement sélectionnés seront présentés lors de ces rencontres à des producteurs venus tant du Nord que du Sud, avec pour ambition de susciter les financements indispensables à leur aboutissement.
Sous le parrainage éclairé de Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie, un programme riche attend les participants, ponctué de présentations de fonds, de rencontres avec des diffuseurs et des distributeurs, ainsi que d'un panel de discussion sur la gestion des archives vidéos à travers la numérisation avec des experts de renom.
Ces Rencontres de Coproduction constituent la phase finale du projet IMPALA lancé en 2022. Durant trois ans, IMPALA a vu naitre une nouvelle génération de réalisateurs et producteurs d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique Centrale.
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La question du Sahara marocain n’est plus à l’ordre du jour à l’Union africaine, le 37eme Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement, organe suprême de l’institution panafricaine, n’ayant fait aucune référence ou citations sur la question nationale, a affirmé le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita. Depuis le retour du Maroc sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI à l’Union africaine et après la décision 693 sur la question du Sahara marocain, adoptée à l’unanimité lors du Sommet de Nouakchott, en 2018, la question du Sahara marocain n’est plus soumise à l’Union africaine càd n’est plus à l’ordre du jour, a réaffirmé le ministre dans une déclarations à la presse à l’occasion du 37eme Sommet de l’Union qui a clos ses travaux lundi matin.
Pour rappel, la décision 693 sur la question du Sahara marocain, adoptée à l’unanimité lors du Sommet de Nouakchott, en 2018, souligne la compétence exclusive des Nations unies sur la question nationale. Tous les rapports de cette 37eme session du Sommet de l’UA n’ont fait l’objet d’aucune citation ou référence sur la question du Sahara marocain, a ajouté le ministre qui a représenté SM le Roi Mohammed VI à de ce Sommet.
De même, les discours de la Présidence de l’Union africaine et de la Commission de l’Union n’ont fait aucune référence à cette question qui relève du ressort exclusif de l’ONU. Les discours de la Présidence de l’Union africaine et de la Commission de l’Union insistent sur les problèmes réels du Continent et non pas les conflits artificiels et montés de toutes pièces qui visent à créer les divisions et le retour du continent en arrière, a précisé M. Bourita.
Le 37eme Sommet de l’Union africaine intervient dans un contexte marqué par plusieurs initiatives stratégiques importantes lancées ces derniers mois par SM le Roi Mohammed VI apportant des réponses à plusieurs défis auxquels le continent africain fait face, a souligné le ministre. Le ministre a cité notamment l’initiative royale sur la façade atlantique africaine visant à faire de cet espace une opportunité de développement, de paix et de stabilité dans le Continent africain.
Cette initiative royale concerne 23 pays ayant une façade atlantique et vise à faire de cette régions un espace de coopération, de coordination et de développement, a ajouté M. Bourita. L’autre initiative royale est celle visant à donner l'accès des pays du Sahel à l'Océan Atlantique apportant ainsi une réponse aux défis sécuritaire et économique que connaît la région du Sahel, a-t-il relevé.
A travers cette initiative, SM le Roi Mohammed VI apporte une réponse dans le cadre de la solidarité, d’une vision optimiste aux problèmes du Continent et dans le cadre du retour de la région du Sahel à sa situation naturelle en tant que pont entre le nord et le sud du continent africain et entre l’est et l’ouest de l’Afrique. Ces initiatives revêtent aujourd’hui une grande importance en vue de créer un espace inédit dans le continent en sortant de la logique des problèmes et du pessimisme à la logique de construction dans un cadre réaliste et rationnel qui reconnaît qu’il y a des défis dont les réponses ne peuvent pas toujours être militaires, sécuritaires et d’exclusion, mais des réponses positives à travers des initiatives inclusives pour apporter des solutions à ces défis, a souligné le ministre.
Ce 37eme Sommet de l’Union africaine a été l’occasion de présenter ces initiatives royales et réaffirmer les autres initiatives présentées par SM le Roi Mohammed VI, a ajouté M. Bourita, notant dans ce sens que le rapport de la Commission de l’Union africaine a cité le rapport de Sa Majesté le Roi en tant que Leader de l'Union africaine sur la question Migratoire. La migration est un grand défi auquel fait face le continent africain, a réaffirmé le ministre. L’initiative du Maroc en matière de la sécurité sanitaire et alimentaire à travers l’initiative AAA présentée en marge de la Coop 22 de Marrakech outre les trois Commissions climat créées à l’initiative du Souverain pour faire aux changements climatiques au Sahel, au bassin du Congo et dans les Etats africains insulaires, ont été également soulignées lors de cette Session, a indiqué le ministre.
Ce Sommet a été marqué par la présidence du Maroc du Conseil de Paix et de Sécurité pour le mois de février et la présentation par le Royaume au nom des pays membres du Conseil le rapport sur l’état de la Paix et la Sécurité en Afrique (janvier-décembre 2023). Sur instruction de Sa Majesté le Roi, cette session a été marquée par une participation intense de la délégation marocaine et aussi par l’inauguration de la Fontaine offerte par le Royaume du Maroc à l'union africaine qui illustre le patrimoine marocain authentique en tant que composante essentielle du patrimoine africain d’une manière générale, a souligné le ministre.
Lors de ce 37eme Sommet de l’UA, le ministre a réitéré que l’engagement du Maroc pour la réalisation des objectifs de développement en Afrique procède de la Vision stratégique de SM le Roi Mohammed VI.
M. Bourita a, d’autre part, affirmé que la paix, la sécurité et le développement vont de pair, d’où l’importance d’une approche holistique, intégrée et multidimensionnelle, reposant sur une imbrication étroite entre ces trois dimensions.
Au cours de cette Session, le ministre a aussi réaffirmé que le Royaume du Maroc, qui place la question palestinienne et Al-Qods Al-Sharif à la tête de ses préoccupations, réaffirme sa position ferme et claire sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, Président du Comité Al-Qods, dans le soutien et la défense de la question palestinienne, et son attachement à un règlement pacifique basé sur la solution à deux États convenue au niveau international afin d'établir une paix juste et durable au Moyen-Orient.
mc avec la MAP
Xylem, pionnier mondial des solutions en matière de technologie de l’eau, et l’Association africaine de l’eau et de l’assainissement (AAEA) ont établi un partenariat innovant et conclu l’affaire par le biais d’un mémorandum d’accord. Cette collaboration stratégique définie dans le mémorandum s’articulera autour de l’élargissement de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, tout en respectant les objectifs de développement durable et en envisageant d’autres domaines de cohésion.
Établi en janvier 2024, le mémorandum prévoit un engagement renforcé pour les trois prochaines années. L’AAEA et Xylem comptent faire valoir les préoccupations essentielles concernant l’eau et donner plus de poids aux plans de transformation comme la Vision africaine de l’eau 2025 de la Banque africaine de développement et les objectifs de développement durable des Nations unies. Il s’agit là d’une initiative synergique pour répondre aux besoins de millions de personnes en Afrique et dans le monde.
L’objectif de ce partenariat est de se concentrer sur le développement des compétences dans ce secteur, en soutenant particulièrement les femmes, les jeunes, les communautés rurales et les entrepreneurs du secteur de l’eau et de l’assainissement. L’AAEA et Xylem se serviront de leurs réseaux, collaboreront à l’organisation d’événements et d’ateliers et offriront leur appui conjoint aux services de l’eau et de l’assainissement partout en Afrique.
« Depuis 1980, les organismes professionnels composant l’AAEA encouragent le leadership en matière de développement des compétences des parties prenantes de l’eau et de l’assainissement en Afrique. La collaboration avec Xylem aidera à résoudre les problèmes de nos membres en matière d’eau, grâce à des activités pédagogiques et de travail en réseau, à des opportunités de formation par le biais de stages, à la création de contenu et de programmes de formation communs, ainsi qu’au perfectionnement de l’expertise technologique de nos membres », a expliqué M. Olivier Gosso, Directeur exécutif de l’AAEA.
De plus, cette collaboration prévoit par ailleurs d’explorer des pistes qui contribueront à leur vision commune pour une eau potable et respectueuse de l’environnement, en intégrant des mesures protectrices par le biais de diverses activités et formations. Le mémorandum d’accord appuiera également les initiatives de Watermark, la branche d’investissement social de Xylem.
« L’eau nous appartient à tous, et il est essentiel que nous puissions résoudre [le problème] ensemble », affirme Samba Guindo, Directeur régional des ventes de Xylem pour l’Afrique de l’Ouest et membre du Conseil stratégique et technologique de l’AAEA. « Le partenariat entre l’AAEA et Xylem ouvre de nombreuses portes pour les deux parties et leurs activités, sans parler des innombrables communautés et dirigeants qui comptent sur nous pour apporter des solutions fiables en matière d’eau potable et d’infrastructure là où le besoin se fait le plus sentir en Afrique. »
L’impact du mémorandum deviendra bientôt visible lors d’événements comme le Congrès international de l’AAEA, Meet the Leaders, et les webinaires sur l’innovation gérés par l’AAEA. Ces projets valoriseront les actions synchronisées et continues de l’AAEA avec Xylem.
« Let’s Solve Water (Résoudre les problématiques liées à l’eau) est la pierre angulaire de Xylem. Nous voyons un lien entre la prospérité de notre entreprise et la vision d’un accès fiable à l’eau potable et à l’assainissement pour tous. Notre partenariat avec l’AAEA nous donne la possibilité de partager les connaissances approfondies et les ressources tirées de nos activités mondiales, ce qui permet au leadership de Xylem dans le secteur de l’eau, de venir compléter le « pedigree » professionnel de l’AAEA. Et surtout, cela nous permettra de collaborer plus étroitement avec l’AAEA et ses membres et d’apprendre comment elle aborde les problématiques liées à l’eau en Afrique, tout en mettant nos ressources globales en commun pour apporter des solutions innovantes à ces défis. Voilà la vision de Xylem, que nous partageons avec l’AAEA », a expliqué Chetan Mistry, Responsable Stratégie et marketing de Xylem Afrique.
L’alliance renforcée entre Xylem et l’AAEA est appelée à faire des vagues dans la résolution des préoccupations liées à l’eau à plus grande échelle.
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Son Excellence le Président Umaro Sissoco Embaló, président de l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA), a alerté samedi sur la menace grandissante qui pèse sur les services vitaux de lutte contre le paludisme en Afrique. L'insuffisance de financement, les défis climatiques, la résistance aux insecticides et aux médicaments ainsi que les crises humanitaires mettent en péril les progrès réalisés dans la lutte contre cette maladie.
Lors d'un discours prononcé au nom du Président Embaló par Son Excellence Carlos Pinto Pereira, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et des Communautés de la République de Guinée-Bissau, il a souligné l'urgence d'agir pour éviter une recrudescence du paludisme. Il a également insisté sur le potentiel de la lutte contre le paludisme pour renforcer les systèmes de santé et contribuer au développement durable.
Malgré la volonté politique et les interventions déployées, les progrès vers l’élimination du paludisme sont en perte de vitesse. Le sixième rapport annuel sur les progrès de la lutte contre le paludisme en Afrique met en lumière un déficit financier critique, estimé à 1,5 milliard de dollars US d'ici 2026 pour maintenir les interventions actuelles. De plus, un financement supplémentaire de 5,2 milliards de dollars US par an est nécessaire pour progresser vers l’élimination du paludisme sur le continent.
Le rapport souligne également les menaces croissantes liées au changement climatique, qui favorisent la propagation du paludisme et d'autres maladies à transmission vectorielle en Afrique. Un programme intégré est nécessaire pour faire face à ces défis et renforcer la résilience des systèmes de santé.
Malgré ces défis, des progrès ont été réalisés, notamment grâce à l'utilisation de données en temps réel pour guider les interventions et à l'engagement des communautés. Le rapport recommande également l'accélération des campagnes nationales de lutte contre le paludisme et la création de conseils nationaux pour l’élimination du paludisme.
Enfin, la certification par l'OMS de la République du Cap Vert comme pays exempt de paludisme témoigne des réussites possibles grâce à un engagement soutenu et à une action collective. Cette réussite illustre l'esprit de l'initiative "Zéro Palu ! Je m’engage" et montre que l’élimination du paludisme est réalisable en Afrique.
En conclusion, la lutte contre le paludisme reste un défi majeur en Afrique, mais des progrès significatifs peuvent être réalisés avec un financement adéquat, une collaboration internationale et un engagement soutenu des gouvernements et des communautés.
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Les résultats de l'Étude sur le "Modèle Économique et la Professionnalisation de la Presse en Côte d’Ivoire", lancée le 26 septembre 2023 par le ministère de la Communication, ont été présentés ce lundi 19 février 2024 lors d'un atelier à Abidjan.
Le ministre de la Communication, Amadou Coulibaly, Porte-parole du gouvernement, et Mme Francesca Di Mauro, Ambassadeur de l’Union Européenne en Côte d’Ivoire, étaient présents à cet événement.
Conduite par le cabinet IBF Consulting, cette étude vise à effectuer un diagnostic complet du secteur de la presse, dont les conclusions sont censées permettre une transformation nécessaire pour insuffler un dynamisme à court terme,
"Nous avions besoin d'une analyse approfondie qui poserait un diagnostic réel sur l'ensemble des métiers et ferait des propositions et recommandations pertinentes", a expliqué le ministre Amadou Coulibaly, initiateur de l'étude.
L'atelier a été marqué par la présentation du rapport de l'étude par Thierry Perret, expert d’IBF Consulting, suivi d'échanges avec les participants et de la remise officielle du rapport au ministre Amadou Coulibaly.
M. Perret a résumé le rapport, offrant ainsi une vision globale du secteur de la presse ivoirienne. En conclusion de l'atelier, le ministre de la Communication, après avoir reçu le rapport des mains de l’ambassadeur de l’UE, a souligné l'importance des recommandations pour remédier aux nombreux défis auxquels le secteur est confronté.
Selon lui, ces recommandations abordent toutes les problématiques de la presse, notamment la régénération des modalités, la gouvernance des entreprises de presse, le cadre juridique et réglementaire, les contenus éditoriaux, la formation, et la crise de la distribution de la presse.
De nombreux acteurs du secteur de la presse, tels que les éditeurs, les imprimeurs, les distributeurs, les régulateurs et les organisations professionnelles des médias, ont également participé à l'atelier afin de prendre connaissance des recommandations et propositions des experts.
Cette étude, soutenue financièrement par l'Union Européenne, constitue une étape cruciale vers un secteur médiatique ivoirien plus dynamique et professionnel.
HN
Dans un récent développement diplomatique, l'Irlande a démystifié la prétendue visite du chef de la milice séparatiste du polisario, Brahim Ghali, à Dublin. Les autorités irlandaises ont affirmé que la présence des représentants du Front Polisario en Irlande était de nature privée et non officielle. Cette clarification a été faite par le biais d'une déclaration diffusée par l'Ambassade d'Irlande à Rabat, qui a également précisé que le gouvernement irlandais n'était en aucun cas impliqué dans cette visite et ne l'avait pas autorisée.
L'Irlande a souligné qu'aucun membre du gouvernement irlandais n'avait rencontré les représentants du polisario, et que la visite n'avait pas été basée sur une invitation officielle. Les tentatives des séparatistes pour obtenir des entretiens avec des responsables irlandais, y compris le Premier ministre Leo Varadkar et le Ministre des Affaires étrangères Micheal Martin, ont été rejetées.
De plus, les agents du polisario ont également été écartés par le pouvoir législatif irlandais. Les Présidents des deux Chambres ainsi que le Président de la Commission mixte des Affaires étrangères ont refusé de les rencontrer. Seuls quelques parlementaires sympathisants et relais du groupe séparatiste les ont reçus à titre personnel, et non en tant que représentants du Parlement.
L'Irlande a également réaffirmé sa position sur la question du Sahara marocain en déclarant qu'elle ne reconnaissait pas la pseudo "rasd". Cependant, elle maintient une position constructive en soutenant le processus mené par les Nations Unies pour parvenir à une résolution pacifique et juste de la question du Sahara Occidental.
Cette déclaration de l'Irlande clarifie sa volonté de ne pas se laisser manipuler par les tactiques du polisario, tout en affirmant son engagement en faveur d'une résolution pacifique et juste de la question sahraouie sous l'égide des Nations Unies.
L'excitation a atteint son paroxysme au Village CAN Akwaba de l'Union européenne lorsque la Team Paiya, le collectif derrière le célèbre tube "Coup de marteau", a enflammé l'atmosphère après la victoire des Éléphants de Côte d'Ivoire sur les Super Eagles du Nigeria lors de la finale de la Coupe d'Afrique 2023 (2-1).
Dans la soirée du dimanche 11 février 2024, après un match très disputé, plus de 5000 supporters enthousiastes se sont rassemblés au Village CAN Akwaba à la Riviera Palmeraie pour célébrer la consécration de l’équipe nationale ivoirienne.
La présence de la Team Paiya a ajouté une dimension spéciale à cet événement, avec ses performances énergiques et ses succès retentissants tels que "Timbu" et le célèbre "Coup de marteau". Le public a été transporté par leur musique entraînante, prolongeant les festivités jusqu'au petit matin pour marquer la troisième conquête continentale de la Côte d'Ivoire.
Cette communion entre les membres de la Team Paiya et les supporters a également été un moment de fusion entre musique populaire et succès sportif. Les mélodies envoûtantes ont été accompagnées par les sons des vuvuzelas émis depuis la foule, créant ainsi une ambiance électrique imprégnée de joie et de triomphe.
Au-delà de cette ambiance festive, cette victoire historique représente bien plus qu'un simple titre sportif. Elle incarne l'unité et la fierté nationale, renforçant le tissu social de la Côte d'Ivoire et offrant une lueur d'espoir et de célébration dans un contexte mondial parfois marqué par des défis et des tensions.
Un véritable coup diplomatique pour la Délégation de l'Union européenne en Côte d'Ivoire qui, en initiant ce village CAN, marque un grand but dans les coeurs des jeunes Ivoriens.