Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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 La Banque africaine de développement et le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) ont officiellement lancé, le 18 avril 2024, un projet d’appui de trois ans pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans leurs pays membres.

Le projet, dénommé « Renforcement des capacités sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans les États en transition membres du GIABA », recevra un don de cinq millions de dollars du Groupe de la Banque africaine de développement.

La cérémonie de lancement, qui s’est tenue à Dakar, au Sénégal, a réuni le personnel des deux institutions, des représentants des pays bénéficiaires, qui sont membres du GIABA, et la Cellule de renseignement financier du Sénégal. Mohamed Cherif, responsable du bureau pays de la Banque africaine de développement pour le Sénégal, et Edwin Harris Jr, directeur général du GIABA, représentaient leurs institutions respectives.

Le projet sera financé par un don de la Facilité d’appui à la transition, structure créée par la Banque africaine de développement, à hauteur de 3,5 millions d’UC (environ cinq millions de dollars). Le projet contribuera à la résilience dans la région de l’Afrique de l’Ouest, en améliorant les régimes de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, et en développant les capacités des États membres du GIABA, avec un accent mis en particulier sur les pays en transition.

Ce don complète les engagements stratégiques et opérationnels du Groupe de la Banque aux niveaux national et régional. Il s’aligne également sur sa politique et son plan d’action pour la prévention des flux financiers illicites, ainsi que sur la Stratégie du Groupe de la Banque pour la gouvernance économique en Afrique (SEGA).

M. Cherif a salué la collaboration de longue date entre le GIABA et la Banque africaine de développement, qui comprend des sessions de formation pour ses pays membres et une assistance technique.

Le directeur du GIABA a exprimé sa satisfaction quant à ce financement qui, a-t-il dit, « arrive à point nommé pour soutenir la mise en œuvre du plan stratégique 2023-2027 du GIABA et pour contribuer à des interventions efficaces sur les régimes de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans ses pays membres ».

La Banque africaine de développement, membre observateur du GIABA, consulte régulièrement cette organisation en tant qu’acteur clé dans l’élaboration des politiques, stratégies et plans d’action de la Banque liés aux flux financiers illicites, à la lutte contre le blanchiment d’argent et à la gouvernance économique.

HN

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Le paysage de l'enseignement supérieur au Maroc connaît un tournant décisif avec l'annonce de l'association entre le Groupe Atlantique, un pôle d'enseignement supérieur multidisciplinaire, et CDG INVEST. Cette alliance, marquée par l'entrée de CDG INVEST au capital du Groupe Atlantique à hauteur de 20%, ouvre de nouvelles perspectives pour le développement de l'enseignement supérieur au Maroc.

Le Groupe Atlantique, déjà reconnu comme une institution majeure dans le domaine de l'éducation supérieure, s'engage à consolider sa position en tant que pôle d'excellence en offrant une éducation de premier plan axée sur l'innovation pédagogique, l'excellence académique et l'immersion professionnelle.

Cette vision est étayée par le soutien financier et stratégique de CDG INVEST, qui témoigne de la confiance dans le potentiel du Groupe Atlantique à devenir un leader dans le secteur de l'enseignement supérieur au Maroc.

L'annonce de cette association stratégique a été faite lors d'une conférence de presse prévue pour le lundi 22 avril 2024, au campus d'Atlantic Business School, école de management faisant partie du Groupe Atlantique.

Groupe Atlantique : Une Institution d'Enseignement Supérieur de Référence au Maroc

Basé à Casablanca, le Groupe Atlantique se positionne comme un acteur majeur de l'enseignement supérieur privé au Maroc. Bénéficiant du dynamisme du secteur de l'éducation supérieure privée dans le pays et du soutien de l'État marocain, le Groupe Atlantique s'engage à offrir une éducation de qualité, alliant excellence académique, innovation pédagogique, expérience professionnelle et responsabilité sociale.

Le Groupe Atlantique comprend actuellement deux écoles supérieures spécialisées : l'Atlantic Business School, école de management créée en 1985 et l'Atlantic Engineering School, école d'ingénieurs. En outre, il abrite un centre de formation continue, l'Atlantic Executive Center, ainsi qu'un centre de recherche appliquée, le CERUNA et une fondation dédiée à l'encouragement de la recherche et au soutien des étudiants méritants.

Fondé par des personnalités éminentes du secteur de l'enseignement supérieur et de l'éducation, telles que le Professeur Rachid M'RABET et Younes SLAOUI, le Groupe Atlantique s'appuie sur une équipe de direction expérimentée et un conseil scientifique international pour assurer son positionnement d'excellence en matière d'enseignement et de recherche.

KM

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Le mardi 16 avril 2024 le Commissaire Général Franck Kié a cloturé la quatrième édition du Cyber Africa Forum (CAF) au palais des congrès de l'Hôtel Sofitel Ivoire à Abidjan- Cocody, sous le thème « Risques cybernétiques et Intelligence Artificielle : quelles stratégies de défense face aux nouvelles menaces numériques ? ».

Cet événement a suscité un dialogue crucial sur les enjeux de sécurité numérique et d'innovation sur le continent africain.

M. Kié a saisi cette opportunité pour souligner l'importance de la mission des organisations de cybersécurité qui consiste à sécuriser l'espace numérique africain tout en favorisant l'innovation pour le développement socio-économique et la projection du continent sur la scène mondiale.

Cette vision ambitieuse implique non seulement une protection contre les cyberattaques, mais également une exploitation judicieuse des technologies émergentes telles que l'intelligence artificielle.

Dans cette optique, le Commissaire Général a annoncé la création d'un centre de veille et de formation dédié à la cybersécurité et à l'intelligence artificielle, destiné à accompagner les pays africains dans ces domaines cruciaux.

Ce centre aura pour mission de former des experts locaux, de faciliter le partage d'informations et de mettre en œuvre des actions tangibles pour renforcer la sécurité numérique sur le continent.

Franck Kié a également souligné l'importance de la collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi qu'entre les acteurs nationaux et internationaux dans la lutte contre les défis liés à la cybersécurité et à l'intelligence artificielle en Afrique.

Cette approche partenariale est essentielle pour développer des stratégies efficaces et durables qui répondent aux besoins spécifiques de la région tout en favorisant son intégration dans l'économie numérique mondiale.

Toutefois, le Commissaire Général a également mis en garde contre les nouveaux défis émergents, notamment l'utilisation croissante de l'intelligence artificielle par les cybercriminels pour concevoir des attaques sophistiquées.

Cette réalité inquiétante met en lumière la nécessité urgente de renforcer les capacités de défense et de promouvoir une culture de la sécurité numérique à tous les niveaux de la société africaine.

Dans cette perspective, le Cyber Africa Forum s'engage à continuer de jouer son rôle de plateforme de référence en réunissant les acteurs clés de la cybersécurité et de l'intelligence artificielle pour élaborer des stratégies de défense innovantes et efficaces face à ces nouvelles menaces. Cette mission importante nécessitera une mobilisation collective et un engagement soutenu de tous les acteurs concernés afin de faire de l'Afrique un leader mondial dans le domaine du numérique et de l'innovation technologique.

Le message de Franck Kié résonne comme un appel à l'action et à la collaboration, soulignant l'urgence et l'importance de relever ensemble les défis complexes de la cybersécurité et de l'intelligence artificielle en Afrique.

mc

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Le Village Artistique et Culturel de l'Union européenne a été inauguré lundi 15 avril 2024 à Koumassi en présence de nombreuses personnalités, dont Son Excellence Francesca Di Mauro, Ambassadrice de l'Union européenne en Côte d'Ivoire.

Cet événement marque l'engagement de l'Union européenne à soutenir les initiatives artistiques et culturelles, comme en témoigne l'ouverture de ce village MASA-Union européenne sur le terrain Inch'Allah à Koumassi.

Pendant quatre jours, le village accueillera une diversité d'artistes locaux et internationaux, offrant des spectacles uniques qui contribueront à stimuler l'engagement des jeunes, principaux bénéficiaires de cette édition du MASA.

Pour Son Excellence Francesca Di Mauro, le MASA est bien plus qu'un simple festival, il constitue une vitrine pour les industries culturelles et créatives, ainsi qu'un carrefour où convergent les rêves et les aspirations des jeunes artistes. Elle souligne l'importance de la diversité culturelle célébrée lors de cet événement, qui réunit des cultures du monde entier.

« le MASA est une véritable vitrine pour le secteur des industries culturelles et créatives, et un carrefour où se rencontrent les rêves et les aspirations des jeunes artistes. C’est aussi une célébration de cultures diverses », a-t-elle lancé.

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Le thème de cette édition, axé sur la jeunesse, l'innovation et l'entrepreneuriat, reflète les valeurs et les priorités de l'Union européenne. L'accent est mis sur la jeunesse, qui représente une part importante de la population ivoirienne, et sur le soutien apporté pour construire leur avenir professionnel en Côte d'Ivoire.

« Le thème de cette édition 2024, « Jeunesse, innovation et entrepreneuriat », est cher à l’Union européenne. La jeunesse, qui représente plus de 70% de la population ivoirienne, est au cœur de l’action de l’Union européenne en Côte d’Ivoire pour aider les jeunes à construire leur avenir professionnel », a fait savoir la diplomate.

Le succès du village MASA-UE repose sur la participation des jeunes artistes et sur leur capacité à transformer leurs rêves en réalité avec détermination et passion.

Cette initiative de l’UE contribue à promouvoir le potentiel des jeunes Ivoiriens dans les secteurs culturels et créatifs, renforçant ainsi leur engagement envers leur patrimoine culturel et leur développement personnel.

mc

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Un partenariat stratégique a été scellé ce lundi 15 avril 2024 à Abidjan- Plateau entre l'Union européenne, la Coopération Allemande (GIZ) et Orange pour soutenir la transition numérique dans le secteur du cacao durable en Côte d'Ivoire. Cette collaboration innovante est incarnée par le projet "DigiGreen & Agri", qui vise à promouvoir l'innovation numérique pour une économie plus durable et inclusive.

Le projet "DigiGreen & Agri" s'inscrit dans le cadre des Initiatives de l’Équipe Europe pour le cacao durable et la transition bas-carbone. Son objectif est ambitieux : contribuer à la création d'emplois décents, soutenir le développement et le financement des startups, ainsi que favoriser les investissements durables dans le secteur agricole.

L'ambassadrice de l'Union européenne en Côte d'Ivoire, Francesca Di Mauro, exprime sa satisfaction à l'égard du lancement du projet DigiGreen & Agri. Elle souligne l'importance accordée à l'employabilité des jeunes et à la création d'emplois de qualité, ainsi que le rôle central des nouvelles solutions numériques dans le développement de l'agriculture durable et de l'économie verte.

Selon elle, ce projet illustre l'engagement de l'Union européenne à renforcer les liens dans le secteur numérique, conformément à sa stratégie Global Gateway. Cette initiative est le résultat d'une collaboration fructueuse entre le secteur privé et public, mettant en œuvre l'expertise et les investissements d'Orange en synergie avec les ressources d'aide au développement de l'UE et de l'Allemagne pour favoriser la croissance inclusive du pays.

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Ce partenariat bénéficie d'un financement conjoint de 7,6 millions d'euros et se concentre sur plusieurs objectifs stratégiques. Tout d'abord, il vise à renforcer les compétences professionnelles des jeunes et des femmes dans le secteur numérique, offrant ainsi de nouvelles opportunités sur un marché du travail en constante évolution.

En plus, le projet soutiendra la création et le renforcement des startups et des micros, petites et moyennes entreprises (MPMEs) numériques, favorisant l'innovation et la croissance économique. Il renforcera également les capacités des entreprises à développer et commercialiser des solutions numériques durables qui contribuent à moderniser les filières agricoles et à promouvoir la responsabilité sociale des entreprises.

Un fonds d’amorçage sera dédié au financement des startups les plus prometteuses. Ce qui va accélérer leur croissance et leur développement. Cette initiative s'appuiera sur l'expertise du programme Digital Africa pour octroyer des financements aux startups de l’écosystème.

En collaborant étroitement avec les acteurs locaux, Orange, l'Union européenne et la GIZ s'engagent à soutenir les jeunes talents, à promouvoir l'entrepreneuriat et à catalyser le développement économique dans les communautés les plus vulnérables.

Ce partenariat novateur entre le secteur privé et les institutions européennes reflète l'engagement commun en faveur d'une croissance inclusive et durable. Il démontre la capacité des partenariats public-privé à relever les défis complexes du développement économique et social.

MC

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Du 15 au 16 avril 2024, le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire accueille la 4e édition du Cyber Africa Forum (CAF) 2024 sous le thème crucial "Risques cybernétiques et intelligence artificielle : quelles stratégies de défense face aux nouvelles menaces numériques ?".

Cet événement majeur va réunir les principaux acteurs du cyberespace africain ainsi que des personnalités du monde numérique et diplomatique.

L'inauguration du CAF 2024 a été marquée par l'intervention du ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Kalil Konaté, qui a souligné l'importance de l'éthique dans l'utilisation de l'Intelligence Artificielle (IA) pour la transformation numérique de l'Afrique. Mettant en avant les avantages indéniables de l'IA dans divers domaines tels que la prise de décision et la santé.

« Nos infrastructures dépendent un peu plus du numérique. Assurer la protection de nos systèmes informatiques est une nécessité importante », a-t-il declaré. 

Parlant de l'IA, le ministre a assuré que c’est un outil dans les industries et dans la facilitation du diagnostic.

Il  a néanmoins averti des défis éthiques et des possibles dérives associées à cette technologie.

Franck Kié, commissaire général du Cyber Africa Forum, a rappelé l'urgence d'une action concertée face à la croissance exponentielle des cyber-menaces en Afrique, avec des pertes estimées à plus de 2 000 milliards de FCFA en 2022 selon l'Union internationale des télécommunications (UIT).

Par ailleurs, il a mis en lumière l'utilisation croissante de l'IA par les cybercriminels pour développer des attaques sophistiquées, soulignant la nécessité d'une collaboration régionale et internationale renforcée pour garantir la cybersécurité sur le continent.

« L’heure est grave, notre action commune est plus que jamais cruciale, si nous ne réagissons pas de manière proactive et concerté comme nous essayons de créer ce cadre à travers le Cyber Africa Forum, nous risquons d'accroître notre dépendance et être à la merci des cyber attaquants », a-t-il avertit.

Il a profité de l’occupation pour annoncer la création de l'AIFA (Intelligence Artificial Forum Africa) pour le quatrième trimestre 2024 témoigne de l'engagement continu du CAF à promouvoir l'innovation et à relever les défis du secteur numérique africain.

Avec des panels animés par des experts et la remise du prix Léon Konan Koffi au ministre Ibrahim Konaté pour son engagement en faveur de la transformation numérique, le CAF 2024 a démontré son importance croissante en tant que catalyseur de la transformation numérique et de la cybersécurité en Afrique.

MC

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Le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture Maladie universelle (CMU), Pierre Dimba, note que plusieurs avancées significatives ont été constatées depuis la phase de généralisation de la CMU, malgré la persistance de certains défis. Il a partagé cette information, le jeudi 11 avril 2024 à Abidjan, lors de la cérémonie d’enrôlement du personnel des institutions de développement et des partenaires techniques, en présence de son collègue de l’Emploi et de la Protection Sociale, Adama Kamara, et de la directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, Marie-Chantal Uwanyiligira.

Pour Pierre Dimba, à ce jour, 1.779 établissements de santé ont été intégrés, ce qui représente environ 50 % des établissements de santé publics. Des mesures sont en cours pour l’intégration efficace du secteur privé, en débutant par le secteur non lucratif ou médico-social, dans un premier temps.

Au total, 60% des établissements de santé conventionnés ont accueilli au moins un assuré CMU présentant sa carte et parmi eux, 82 % ont fourni des services CMU; 60 % des usagers ayant présenté la carte ont bénéficié de l’offre de services CMU. Le taux d’utilisation de la carte se situe en moyenne à 9,35%.

Plus de 900 spécialités de médicaments et 170 pathologies sont couvertes, avec une intégration prochaine dans le panier de soins de l’hypertension artérielle et du diabète. Environ 985 officines privées pharmaceutiques font partie du réseau de soins, dont plus de 400 ont une convention avec la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM).

L’offre de services couvre les consultations y compris les spécialités médico-chirurgicales, les hospitalisations, l’imagerie (échographie, ECG et radiographies), ainsi que la biologie, avec un ticket modérateur (tiers payant de 30 % du coût) allant de 30 FCFA à environ 1500 FCFA pour les consultations entre les différents niveaux.

Cependant, pour Pierre Dimba, des défis majeurs persistent encore en vue d’une meilleure protection de la santé des populations, notamment le défaut de cotisation dans plus de 70 % des cas, principalement en raison de l’informalité du secteur, la disponibilité des médicaments, la digitalisation des données des actes de santé et de médicaments, ainsi que l’harmonisation des outils de suivi ou leur interopérabilité.  

km

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Le Président de la transition Gabonaise, Brice Clotaire Oligui Nguema, a effectué une visite en Côte d'Ivoire marquée par des échanges fructueux avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, sur la situation politique au Gabon et la coopération bilatérale.

Dans le cadre de sa visite, le Président Oligui Nguema a également rencontré la communauté gabonaise résidant en Côte d'Ivoire, le jeudi 12 avril au Sofitel Ivoire. Cette rencontre a permis d'aborder diverses préoccupations des Gabonais de la diaspora, telles que les questions liées à la bourse des étudiants, la sécurité sociale, le renouvellement des passeports et la recherche d'un nouveau local pour l'ambassade du Gabon en Côte d'Ivoire.

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Le Président de la transition a assuré avoir pris note de toutes les doléances présentées et s'est engagé à travailler avec son gouvernement pour résoudre ces problèmes et améliorer le bien-être des Gabonais résidant en Côte d'Ivoire. Il a également souligné l'importance de la collaboration avec la diaspora dans le développement du Gabon.

La visite chaleureuse du Président Oligui Nguema a été saluée par la communauté gabonaise en Côte d'Ivoire, qui a exprimé sa satisfaction quant à l'écoute attentive et à l'engagement du gouvernement gabonais à résoudre leurs préoccupations.

KEYI NDOUNGOU

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Le Consul Honoraire de Côte d’Ivoire à Agadir, Mme Mina Haidara a été récemment en tournée dans la commune d’Abobo en compagnie de la présidente du Sénat et maire de la dite commune Mme Kandia Camara.

Les deux personnalités ont visité successivement les mosquées Salam appelée Siaka Koné et Kennedy Clotcha.

Mme Kandia Camara a vivement remercié Mme Mina Haidara pour le soutien qu’elle a apporté aux habitants de la commune d’Abobo, tout en mettant en valeur ses qualités humaines et professionnelles qu’elle met au service de la communauté ivoirienne au Maroc et de la coopération entre le Maroc et la République de Côte d’Ivoire.

La présidente du Sénat a souligné que Mme Mina Haidara est un bon exemple de la diaspora ivoirienne oeuvrant pour le renforcement des liens d’amitié entre les deux pays.

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Sercom

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L’Association des journalistes scientifiques de Côte d’Ivoire, dénommée Médias pour la science et le développement (MSD), a publié la liste des vingt-quatre journalistes nominés pour la deuxième édition du Prix MSD du meilleur journaliste scientifique.

La cérémonie de remise des prix de cette édition dédiée à la Santé et à l’Environnement se tiendra dans l’après midi du 10 mai à Abidjan.

« Nous sommes satisfaits de la publication de la liste des nominés pour cette deuxième édition de ce Prix, qui souligne à nouveau l’importance de promouvoir un journalisme scientifique de qualité, particulièrement dans les domaines de la santé et de l’environnement. Nous saluons l’engagement des professionnels de l’information à informer le public sur ces sujets majeurs pour le développement de la société ivoirienne
« , déclare le président de l’association MSD, Traoré Mamadou.

L’édition 2023 a été remportée par Marthe Akissi de Radio Côte d’Ivoire.

Les nominés de la deuxième édition sont les suivants : 
Catégorie radio (06 nominés)

  • Gueye Assana (Radio Treichville)
  • Beugré Daniel (Radio Amitié)
  • Daly Nelly Geraldine (Adjame FM)
  • N’zi Kouakou Ernest (Radio Chandelier)
  • Olivia Adiko Beugré (La Voix de l’Espérance)
  • Soro Yafolo Sita (Radio Côte d’Ivoire)

Catégorie Presse numérique (07 nominés)

  • Ahui Koffi Samuel Jules (Tonus Magazine)
  • Aya Esther N’Guessan (AIP)
  • Bakayoko Bema Safe (www.lavenir.ci)
  • Gore Bi Djo Frédéric (www.rti.info)
  • Kouamé Adjoua Philomène (AIP)
  • Kouassi Guy Martial (Tonus Magazine)
  • Adrienne Ehouman (AIP)
  • Mélèdje Lewy Marie Tresore (Fatmat.info)

Catégorie Presse imprimée (04 nominés)

  • Joel Henry Dally (L’Avenir)
  • M’bra N’Guessan Konan (Soir Info)
  • Niada Assane (L’Avenir)
  • Touré Brahima (Le Patriote)

Catégorie Télé et Web TV (03 nominés)

  • Traoré Tié Medandje (NCI)
  • Sylla Kamongnin (AIP)
  • Soro Yacouba (AIP)

Prix sectoriel (04 nominés)

  • Gueye Assana (Radio Treichville)
  • Karamoko Mamadou (www.ledebativoirien.net)
  • Adrienne Ehouman (AIP)
  • Niada Assane (L’Avenir)

Sercom

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