Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Daniel Coulibaly

Daniel Coulibaly

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La visite d’amitié et de travail de Mohamed VI initialement prévue du 24 au 28 février a été prolongée jusqu’à début mars. Si l'on s'en tient aux informations inscrites sur l’affiche officielle de cette visite visible lors de la cérémonie de signature des 14 projets d’accords bilatéraux entre les deux pays, le lundi 27 février, au Palais présidentiel d’Abidjan, le séjour du souverain chérifien devrait prendre fin le 3 mars. Une information dont La Diplomatique d'Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net), a pu avoir confirmation auprès de sources diplomatiques des deux pays.    

Ce changement de calendrier, d'après ces sources, s’expliquer par d’importants enjeux que revêt cette visite royale, qui au-delà du renforcement de la coopération bilatérale ivoiro-marocaine, intervient dans un contexte où le Maroc vient de demander son adhésion à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest.

Les même sources n'excluent pas un autre prolongement du séjour de Mohammed VI en bordure de la lagune Ebrié, qui pourrait s'étendre au-delà du 3 mars. 

Il faut convient de souligner que la première visite officielle de Mohammed VI en Côte d’Ivoire date du 19 mars 2013. Il y est revenu en 2015 dans le cadre d'une seconde visite officielle.

 

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Jean-Marie Aka, président du patronat ivoirien, a souhaité que le groupe d’impulsion économique(GIE) soit un puissant outil de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Maroc, permettant d’identifier plusieurs opportunités d’affaires, lors de la signature de 14 projets d’accords bilatéraux dans le cadre de la coopération ivoiro-marocaine, lundi au Palais présidentiel d’Abidjan.

 « Que le groupe d’impulsion économique (GIE) soit un puissant outil de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Maroc », permettant d’identifier plusieurs opportunités d’affaires entre les deux pays, a souhaité Jean-Marie Aka, président du Patronat ivoirien, en présence qu président ivoirien Alassane Ouattara et du Roi du Maroc, Mohamed VI.

Jean-Marie estime que que ces différents accords permettront de renforcer davantage les relations bilatérales entre les deux pays, mais surtout entre les opérateurs économiques. 

De son côté, Miriem Bensalah Chaqroun, présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a demandé que la coopération soit de plus en plus accentuée pour une amélioration de l’environnement des affaires, un renforcement de la coopération en matière de l’économie numérique et d ans plusieurs autres domaines. « L’implication des gouvernements est très importante », a-t-elle dit.

La Côte d’Ivoire et le Maroc ont signé 14 projets d’accords bilatéraux dans le cadre de la pulsion économique entre les deux pays. Il s’agit entre autres  d’un mémorandum d’entente pour la mise en place du financement du projet Hexagone, d’un mémorandum d’entente pour le financement de l’acquisition de logements principaux pour les agents militaires des forces armées de Côte d’Ivoire, d’une convention de partenariat relatif au financement des PME dirigées par les femmes, etc. 

Daniel Coulibaly

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Annoncé à Abidjan du 24 au 28 février, Sa Majesté Mohamed VI va visiter le chantier du débarcadère moderne en construction à Locodjoro (Abidjan). Construit sur un espace de 2.500 m2, le projet a coûté 18 millions de Dirham, soit 1.170.000.000 FCFA dont 12 millions de Dirham (700 millions de FCFA) financés par la Fondation du Roi marocain Mohamed VI et 6 millions (317 millions de FCFA) par le Département de la pêche maritime.

Les travaux de cette infrastructure ultramoderne avaient été lancés par le Roi Mohamed VI, en présence de l’ancien Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, actuel vice-président et de plusieurs membres du Gouvernement, lors de sa dernière visite à Abidjan.  

Fiche technique

Le débarcadère de Locodjoro comportera des commodités de standards internationaux à savoir, des halls de poissons, des espaces froids, de fumage, des magasins de stockage de poisson fumé et un espace de maintenance. Le site sera également doté d’une garderie pour enfants et des salles de formation pour des renforcements de capacités des acteurs de la pêche. Il est d'une capacité d’accueil de 700 mareyeuses et fumeuses, 400 pirogues, et une production annuelle de 7.000 tonnes de poissons. Il pourvoira 2.000 emplois. 

 

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Le groupe CANAL+ est partenaire officiel de la 25e édition du festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). À cette occasion, une série de rendez-vous est prévue dans la salle CanalOlympia Yennenga, inaugurée le 24 février en présence du président Roch Marc Christian Kaboré. Sur ses chaînes CANAL+ et A+, le groupe propose par ailleurs un dispositif spécial : « FESPACO à l’honneur ».

Le groupe CANAL+, partenaire officiel de la 25e édition du festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), annonce une série de rendez-vous à la fois dans le cadre du festival et sur ses chaînes, du 25 février au 4 mars.

À l’occasion de cet événement, trois co-productions CANAL+, Félicité d’Alain Gomis (Grand Prix du Jury, Berlinale 2017), Le Gang des Antillais de Jean Claude Barni et Wulu de Daouda Coulibaly, sont en lice pour l’Étalon d’Or, la plus haute distinction remise lors de la cérémonie de clôture du FESPACO, qui se tiendra le 4 mars. Durant cette cérémonie, CANAL+ et A+ participeront à la remise de différents prix d’une valeur de quinze millions de francs CFA dans les catégories suivantes : séries télévisuelles, films documentaires et films des écoles africaines de cinéma. D’autre part, en association avec la Guilde Africaine des Cinéastes, CANAL+ remettra, le 3 mars, le prix spécial Thomas Sankara récompensant le meilleur court-métrage de la sélection officielle du FESPACO.

CANAL+ s’associe également à Patou Films International et au FESPACO, dans le cadre de la Nuit de la Série Africaine, le jeudi 2 mars. Seront entre autres projetées six séries coproduites par CANAL+, A+, la chaîne de divertissement de CANAL+, et Nollywood TV.

Ces deux soirées se dérouleront dans le cinéma CanalOlympia Yennenga inauguré le 24 février à Ouagadougou de même que de nombreuses projections durant le festival.

Enfin, sur les chaînes CANAL+ et A+, l’opération « FESPACO à l’honneur » diffusera chaque soir des séries et longs métrages africains, sélectionnés ou récompensés lors des précédentes éditions du FESPACO. La pastille « Quotidienne du FESPACO » sera présentée chaque jour par Maimouna N’Diaye, réalisatrice et comédienne, « Prix de la meilleure interprétation féminine » pour L'œil du cyclone au FESPACO 2015. Parmi les films diffusés : Fièvres du réalisateur marocain Hicham Ayouch (Étalon d’Or, FESPACO 2015) ; Sans regret, film policier ivoirien réalisé par Jacques Trabi (Prix Spécial du Jury, festival du film africain de Louxor 2016) ou encore Lamb de Yared Zekele premier film éthiopien sélectionné au festival de Cannes (Sélection officielle Un Certain Regard 2015).

Enfin, un numéro spécial FESPACO de l’émission +d’Afrique Live, sera enregistré dans les conditions du direct, en présence du public burkinabè le 1ermars dans le CanalOlympia Yennenga. L’émission, présentée par Robert Brazza, sera diffusée sur CANAL+ le 4 mars à 20h30.  

« Le FESPACO est une institution pour le cinéma africain. Il récompense la création cinématographique du continent et est, de fait, un événement majeur pour CANAL+. En tant que producteur et diffuseur, notre groupe investit pour contribuer au développement de l’industrie africaine du cinéma. Que l’édition 2017 soit placée sous le signe de la professionnalisation de la filière en Afrique est une très bonne chose. Je souhaite le plus bel avenir à la dizaine de co-productions que nous avons soutenues et à l’ensemble de la sélection officielle », déclare Jacques du Puy, Président de CANAL+ International. 

 

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Le Centre de Formation d’Ethiopian Airlines (EAA), membre à part entière du Trainair Plus de l’OACI et Centre mondial de formation agréé par l’IATA, vient de délivrer des diplômes de fin d’études à 184 professionnels de l'aviation lors d’une cérémonie qui s’est tenue le samedi 18 février 2017; 145 des diplômés sont des femmes.

Le Directeur général du groupe, M. Tewolde GebreMariam leur a remis à tous leur diplôme, puis a remis des prix d'excellence aux étudiants les plus méritants. 90 des diplômés sont issus du  personnel de cabine et de la restauration, 84 diplômés de l’école de formation commerciale et pour les opérations au sol et les autres ont été formés à l'entretien des équipements et des installations.

Le Directeur général, M. Tewolde a déclaré : « L'éducation est le plus grand facteur d’égalisation de notre monde d’aujourd’hui, hautement intégré.

C'est pour cette raison que nous mettons l'accent sur la formation des jeunes Ethiopiens et celle de nos sœurs et frères Africains, afin de leur permettre de développer l’expertise mondiale requise pour réussir une compagnie aérienne africaine », a-t-il poursuivi.

« Nous sommes très fiers des réalisations de notre Centre de Formation et de nos capacités standards mondiales dans diverses professions de l'industrie de l'aviation. Conformément à notre vision 2025, nous allons augmenter la capacité du Centre pour passer de 1 000 étudiants aujourd'hui à 4 000 d'ici à 2025. Cette cérémonie de remise de diplôme est la continuation de ce long voyage. Je profite de cette occasion pour féliciter les diplômés, leurs familles et leurs amis. Je remercie également le personnel du Centre de Formation pour son travail acharné et ses réalisations », a-t-il conclu.

Le Centre de Formation d’'Ethiopian est accrédité par l'Autorité de l'Aviation civile éthiopienne, l'Administration fédérale de l'aviation des États-Unis, l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) et l’IOSA. Depuis plus de sept décennies, le Centre de Formation apporte une formation aux pilotes, aux techniciens d'entretien d'aéronefs, au personnel de cabine, au personnel de marketing et aux stagiaires en développement du leadership pour des Ethiopiens et d’autres ressortissants d'Afrique, du Moyen-Orient et d'Asie.

 

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MyAfricanStartup.com publie la 1ère édition du palmarès annuel des 100 start-up africaines innovantes dans lesquelles investir. L’initiative vise à accroitre la visibilité des start-up à fort potentiel auprès des investisseurs africains et internationaux.

Le palmarès annuel des 100 start-up africaines répond aux besoins des investisseurs internationaux qui souhaitent identifier les entrepreneurs qui seront les acteurs clés de l’innovation et du secteur privé africain dans les prochaines années. «Les investisseurs ont de grandes difficultés à trouver les start-up africaines dans lesquelles investir. Avec notre palmarès, nous répondons à ce besoin et nous fournissons un outil utile aux investisseurs qui décrypte le marché et déniche les pépites», précise Christian Kamayou, fondateur de MyAfricanStartup.com.

22 pays africains sont représentés dans le palmarès des 100 start-up dont deux pays lusophones, cinq pays francophones, neuf pays anglophones et quatre pays arabophones. Les start-up identifiées innovent dans des secteurs très dynamiques tels que : la fintech (services financiers et inclusion financière), les services et commerce, les télécoms & technologies, les biotechs & la santé, l’éducation technologie, le tourisme & transport, le développement durable et l'agro-industrie. « La visibilité et la recherche d’investisseurs sont deux préoccupations majeures pour une start-up. MyAfricanStartUp 100 leur permet d’atteindre ces deux objectifs importants », analyse le Professeur Étienne Krieger, membre du jury de sélection et directeur scientifique du centre d’entrepreneuriat de HEC Paris.

Pour réaliser le palmarès, MyAfricanStartUp.com a été soutenue par la Banque africaine de développement (BAD) ainsi que par des partenaires stratégiques qui ont constitué l’équipe d'évaluation et de sélection : HEC Paris, le cabinet d'avocats Orrick, Emerging Capital Partners (ECP), Air France, CFAO et LelapaFund. Afin de parvenir à une sélection de 100 start-up pour cette promotion 2017, quatorze personnes ont été mobilisées sur une période de huit mois pour analyser 780 start-up selon une méthodologie rigoureuse et précise.

Partenaire de l’initiative, Samba Bathily, investisseur malien et PDG fondateur du groupe ADS, ajoute : «Pour nous investisseurs, il est important de bénéficier d’outils fiables capables de motiver une décision. L’univers des start-up est extrêmement dynamique et répond à des codes uniques. Le palmarès permet aux investisseurs d’identifier les prochaines tendances du marché».

Pour favoriser le financement des 100 start-up, un événement a été organisé mercredi 22 février 2017. Il a rassemblé les acteurs clés du capital-risque, de l’impact investment et de la formation. Cette rencontre a également été une occasion de rassembler les acteurs de référence de l’écosystème numérique africain à Paris.

 

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Mariam Fadiga Fofana, secrétaire exécutif du CCESP(Comité de concertation Etat-Secteur privé) a rassuré le secteur privé de la disponibilité de l’Etat à se mettre à sa disposition pour toutes ses préoccupations au cours de l’année 2017. C’était lors d’une cérémonie de présentation du bilan des activités 2016 de la structure publique qu’elle dirige à son siège au Plateau.

« Le plus important, il faut que les opérateurs économiques sachent que l’Etat est à leur écoute. Il à l’oreille attentive à leurs préoccupations, parce qu’ils sont au cœur du développement de l’économie », a-t-elle déclaré.

Pour Mariam Fadiga Fofana, c’est de concert que l’Etat et les opérateurs économiques pourront trouver des solutions durables à leurs difficultés.« Une solution se prend à deux et non seul. C’est donc ensemble qu’on peut avoir des solutions durables », a-t-elle dit, insistant que l’Etat continuera d’améliorer sa relation avec le secteur privé.

En outre, le bilan 2016 des activités du CCESP a été dressé par Serges Seke Esso, conseiller technique de la secrétaire exécutif. 

On note, dans l’ensemble, selon lui, une satisfaction au vue des résultats et l’engouement suscités auprès des opérateurs économiques. Des nombreures actions ont été menées pour les aider à trouver des solutions à leurs préoccupations. Ainsi, l’organisation de la JNP 2016, des rencontres sectorielles, des réunions avec les opérateurs économiques, etc ont permis de mieux approprier leurs besoins.

«Mais beaucoup d’efforts restent à faire pour satisfaire totalement le secteur privé», a dit M. Seke, faisant savoir que le tarif de l’électricité a été la préoccupation majeure posée par les industries minières. 

De son côté, Ismaël Coulibaly, conseiller technique de Mme Fadiga Fofana, a présenté les perspectives de l’année 2017 du CCESP articulées autour de 4 grands axes, à savoir:  la médiation autour des préoccupations du secteur privé, l’Amélioration du dialogue public-privé(DPP) avec l’installation de plateformes locales de dialogue à San-Pédro, Bouaké…dans le cadre de la stratégie nationale du DPP, la Contribution à la politique de développement du secteur privé avec l’adoption d’un texte réglementaire pour la création de l’observatoire sur la compétitivité des entreprises et le Renforcement de la communication autour des produits du dialogue, tout en consolidant sa relation avec la presse. A cela s'ajoute la JNP 2017.

Pour rentrer dans la phase pratique de ses activités 2017, un atelier sur la stratégie nationale du dialogue public-privé est prévu, le lundi 27 février.

 

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Nicolas Srakozy est-il en train de se retirer définitivement de la vie politique française? En tout cas, l'ancien chef de l'Etat vient de rejoindre le conseil d'administration du groupe AccorHotels trois mois seulement après sa défaite, le 20 novembre au premier tour de la primaire à droite.

Dans un communiqué du groupe hôtelier, l’'ex-chef de l'Etat a été coopté en tant qu'administrateur indépendant et va présider un comité de "stratégie internationale".

Le groupe AccorHotels indique que ce poste d'administrateur indépendant serait le premier poste de cette nature occupé par l'ancien président.

Nicolas Sarkozy s’est estimé "très heureux de participer au développement et au rayonnement international de AccorHotels, un des fleurons des entreprises françaises", toujours selon le communiqué de l'entreprise. 

"La réussite de ce groupe et la qualité de son management en font une des plus belles vitrines du paysage économique français", a-t-il dit, souligné par le même communiqué.  

De son côté, le PDG du groupe Sébastien Bazin, également cité dans le communiqué, estime que "l'expertise internationale de Nicolas Sarkozy et sa parfaite connaissance des enjeux géopolitiques mondiaux seront de formidables atouts pour le groupe". 

AccorHotels exploite sous ses 20 marques Sofitel, Pullman, Novotel, Mercure, Ibis, HotelF1 mais aussi Raffles, Fairmont et Swissôtel, plus de 4000 hôtels, dans 95 pays. 

 

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La Fondation de Son Altesse Royale Lalla Salma, épouse du Roi Mohammed VI du Maroc va bientôt construire une maison de vie pour l’accueil des enfants atteints du cancer, ainsi que leur famille dans l’enceinte de l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville. Une délégation de l’épouse du Roi Mohammed VI du Maroc l’a signifié à Mme Dominique Ouattara, Présidente de la Fondation Children Of Africa, le mardi 21 février 2017 à Abidjan. 

«Sur une invitation de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, nous avons eu une réunion dont l’objet était la construction de la Maison de vie pour les enfants atteints de cancer et leur famille à Abidjan.  Il s’agit d’un projet bien réfléchi entre la Première Dame et son Altesse Royale, la Princesse Lalla Salma, épouse de sa Majesté le Roi Mohammed VI. Il va permettre à bon nombre d’enfants de bénéficier de soin de qualité à l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville où un service d’oncologie-pédiatrique a été construit, et qui va bientôt démarrer ses activités »,  a confié le Dr Chami Khazra, chef de délégation de la Fondation Lalla Salma à sa sortie d’entretien avec Dominique Ouattara, soulignant que la maison de vie est un concept qui va permettre aux enfants de poursuivre leur traitement du début jusqu’à la fin.

« Il va permettre d’augmenter le taux de guérison des enfants atteints de cancer, mais aussi, de diminuer le taux d’abandon des enfants qui démarrent leur traitement. Généralement, cet abandon est dû à l’absence d’un centre d’hébergement à proximité du centre d’oncologie », a ajouté le Dr Chami Khazra. 

Il faut indiquer que la maison de vie va comprendre une vingtaine de chambres, une administration, un espace de soin et un espace de jeu pour les enfants. Elle va permettre de diminuer le taux d’abandon des soins dû à la durée du traitement et parfois à l’absence de centre d’hébergement des parents des enfants malades. 

 

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Facebook lance une nouvelle fonctionnalité via son application de messagerie instantanée Facebook Messenger. Cette nouvelle fonctionnalité « donne aux gens une façon plus pratique et sure d'envoyer ou de recevoir de l'argent entre amis », a indiqué l'entreprise sur son blog.

L’utilisation de ce nouveau service est simple, selon ses promoteurs. Pour envoyer de l'argent à un ami sur Facebook via Messenger, il vous faut commencer par démarrer une conversation avec votre ami, qui bien évidemment devra être connecté. Ensuite, vous devez taper l'icône de dollar ($) puis entrer le montant que vous voulez envoyer. Il ne vous restera plus qu'à taper sur « Pay » en haut à droite de la fenêtre Messenger et ajouter votre carte de débit pour envoyer de l'argent.

A l'autre bout du réseau, votre ami pourra recevoir l'argent en acceptant dans un premier temps la conversation que vous avez initiée. Il devra ensuite taper « Add Card » dans le message et ajouter sa carte pour recevoir l'argent.

L’argent est donc immédiatement transféré. Pour le retrait de cet argent, il faudra peut-être un à trois jours ouvrables pour que l'argent soit disponible en fonction de la banque du destinataire.

La carte de débit ajoutée la première fois pour recevoir ou envoyer de l'argent via Messenger pourra servir aux transferts d'argent dans l'avenir. « Vous pouvez créer un code PIN pour fournir un niveau de sécurité supplémentaire la prochaine fois que vous envoyez de l'argent », a indiqué Facebook, en ajoutant que pour les appareils iOS, il y a une possibilité d'activer le Touch ID.

Les cartes de débit acceptées sont les cartes Visa ou MasterCard émises par une banque américaine. La fonctionnalité sera en effet déployée pour les utilisateurs US dans les prochains mois pour les ordinateurs de bureau et appareils mobiles exécutant Android ou iOS. L’objectif de la société serait donc d’accroître le nombre d'utilisateurs d'applications Facebook, plutôt que de concurrencer directement les autres services de paiements similaires.  

Des inquiétudes

Les utilisateurs de Facebook se réjouissent de ce nouveau service, mais toutefois émettent des réserves sur les mesures prises pour sécuriser les informations.

A ce niveau, le réseau social rassure sur « un processeur de paiements fiables et de confiance » depuis 2007 et que plus d'un million de transactions sont traitées chaque jour sur le site. Les paiements effectués sont également gérés sur Messenger. La société ajoute encore que sa priorité absolue est d'intégrer « les meilleures pratiques de sécurité » pour traiter les paiements.

« Nous utilisons des systèmes sécurisés qui chiffrent le lien entre vous et Facebook ainsi que vos informations de carte lorsque vous nous demandez de les stocker pour vous. Nous utilisons des logiciels et matériels de protection qui répondent aux normes les plus élevées de l'industrie. Ces systèmes de paiement sont conservés dans un environnement sécurisé qui est séparé des autres parties du réseau Facebook et qui reçoit un suivi et un contrôle supplémentaires. Une équipe de spécialistes anti-fraude surveille les activités d'achat suspectes pour aider à garder les comptes en toute sécurité », a-t-elle dit.

Il faut noter que les paiements via Facebook Messenger sont gratuits. 

 

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