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Un nouveau produit d’assurance, « Amifa réconfort accident », centré sur la couverture des risques suite à un accident de la vie professionnelle ou privée a été lancé, ce mardi, à Abidjan par Atlantic Microfinance For Africa (Côte d’Ivoire), filiale de la holding IMF et Atlantique Assurances Côte d’Ivoire, filiale de la holding Atlantic Business International toutes deux membres du groupe Banque Centrale Populaire du Maroc.
Le plan de prévoyance « Amifa réconfort accident » peut être souscrit à titre individuel ou par l’intermédiaire d’une personne morale (Entreprises, associations, mutuelles, etc.). Il garantit au souscripteur une couverture immédiate se traduisant par la réparation du préjudice (corporel et/ou financier) ou bien le versement d’un capital en cas d’invalidité totale, partielle ou de décès.
Son lancement est placé au cœur du dispositif commercial d’Atlantic Microfinance For Africa Côte d’Ivoire (AMIFA), afin de doter les clients de la Microfinance d’un produit de prévoyance dans le cadre de la fidélisation de son portefeuille.
Présidant la cérémonie de lancement, M. Habib Koné, directeur général d’Atlantic Business International, a expliqué qu' »il s’agit d’une offre globale grâce à la complémentarité des activités de deux Entités de la Banque Centrale Populaire évoluant en Afrique Subsaharienne AMIFA et AACI qui conjuguent ainsi leurs efforts en apportant conseil, expertise et réponses concrètes aux attentes des clients à travers un partenariat conduit par la Direction du pôle Assurance de Atlantic Business International. Cette nouvelle proposition vient combler l’absence de protection sociale et financière à laquelle sont souvent confrontés nos clients et prospects ».
M. Ahmed Serhrouchni, directeur en charge du pilotage et du développement du secteur des assurances à ABI, a pour sa part déclaré que « ce produit offrira outre la prévoyance, la sérénité aux populations à faibles revenus », ajoutant qu' »il combine les prestations d’un individuel accident classique et la garantie de verser une indemnité journalière suite à un éventuel accident individuel de l’assuré. (…).
Le directeur général de AMIFA Côte d’Ivoire, M. Adama Konaté a ainsi sollicité « l’engagement et l’assistance d’Atlantique Assurance et du Pôle de Développement des Assurances d’ABI pour nous accompagner tout le long du cycle de vie » de ce nouveau produit.
La mission d’Atlantique Assurances Côte d’Ivoire est d’assurer la couverture systématique des biens et des personnes à travers une gamme variée de produits accessibles et adaptés aux besoins de la clientèle, au-delà de la traditionnelle relation « Assureur-Assuré », souligne-t-on.
AIP
Le président directeur général du groupe de communication Voodoo, Fabrice Sawegnon a procédé, mardi, au lancement de sa structure caritative « Voodoo Fondation » dont la mission est de promouvoir, de conseiller et de soutenir les initiatives dans les domaines de l’éducation, l’aide et l’assistance sociale, la découverte et l’accompagnement de talents artistiques et sportifs.
Pour le Fondateur Fabrice Sawegnon, la particularité de sa structure est d’apporter un accompagnement intellectuel afin de promouvoir toute action en faveur de l’éducation et de l’éclosion des talents. « Nous préférons agir, qu’en parler », a-t-il indiqué, rappelant que la Fondation se veut un maillon de développement social et d’épanouissement.
Cette cérémonie a été l’occasion pour la directrice générale de la Fondation, Rosine Konan Yahaut de revenir sur les activités menées par la fondation depuis maintenant deux ans d’existence et dont la dernière en date est un programme dénommé « Tennis Academy », activité sportive au bénéfice des enfants issus de milieux défavorisés.
« Notre ambition est de grandir et d’aider beaucoup de personnes », a souligné Mme Konan en présence de plusieurs structures humanitaires et groupes artistiques dont certains ont témoigné des aides, soutiens et accompagnements de Voodoo Fondation depuis sa création en 2014.
AIP
Journée chaude dans la ville lagunaire d’Adiaké, à 94 km d’Abidjan. En effet, depuis le milieu de la matinée du mardi 7 février 2017, les Forces spéciales ivoiriennes, qui y sont basée, sont entrés en mutinerie. Des coups de feu tirés par ces soldats sont entendus depuis lors dans divers coin de la localité, où les habitants se sont terrés chez eux.
Les causes de ce énième soulèvement au sein de l’armée ivoirienne en l’espace d’un mois, n’ont pas encore été données officiellement par les mutins, qui ont bloqué l'unique sortie de cette ville du Sud-est ivoirien presqu'encerclée par la lagune. Mais une affaire de prime, apprend-on, serait l'origine de ce mouvement d'humeur.
En milieu d’après-midi, précisément aux environs de 16 heures (GMT et locales), les tirs se sont intensifiés, alors que des émissaires de la hiérarchie militaire étaient en discussion avec leurs représentant. Certains parmi eux sont même descendus un peu plus bas dans le sens d’Abidjan, pour ériger un barrage au niveau de Kakoukro, village situé à 5 km à l’ouest d’Adiaké. « Depuis 16 heure ils ne font que tiré sur la route. On est tous à la maison. Ceux qui sont allé au champs ont peur de revenir », s’inquiète un habitant du village contacté par LDA au téléphone.
Des mutins ayant acquis l’anonymat ont confié à La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) qu’ils ne sont « pas d’accord avec le maintien Général de Brigade DOUMBIA Lassina ». Sans donner plus de détail. Que reprochent-ils à leur chef de cette unité d'élite considéré comme "le dernier recours"? La suite des événements nous dira.
Armand Tanoh
Le tribunal de première instance de Yopougon (Abidjan) va abriter, jeudi, le lancement d’un système d’information pour la gestion des procédures Judiciaires (SIGP) en présence des autorités du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme.
Le lancement du SIGP s’inscrit dans le cadre du programme d’appui à la modernisation du secteur judiciaire (ProJustice), financé par l’agence des Etats-Unis de Développement International (USAID), visant à sensibiliser tous les acteurs et les motiver à l’utilisation dudit système.
Destiné à tous les acteurs du domaine (juges, procureurs, greffiers, agents pénitentiaires, etc.), ce système permet spécifiquement l’automatisation de l’ensemble des procédures judiciaires ainsi que des actes administratifs.
La conception, le développement et le déploiement de l’application SIGP a été confiée, après un appel d’offres international, à un consortium ivoirien formé de la société nationale de développement informatique (SNDI) et des sociétés SOCITECH et INOVA.
Depuis avril 2016, en étroite collaboration avec les services du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, ProJustice a initié un programme d’informatisation des chaînes civile et pénale, ainsi que de la production d’actes administratifs.
AIP
Merck, entreprise de pointe spécialisée dans les sciences et les technologies, continue et réitère son engagement dans l'éducation médicale continue pour les professionnels de la santé impliqués dans le traitement des troubles de la fertilité à travers l'Excellence Academy Fertility, son programme de formation et d'expertise pour améliorer la prise en charge des couples infertiles.
Lancé depuis 2010 en Afrique du Nord et étendu vers l'Afrique Sub-Saharienne en 2015, une 2ème édition a eu lieu lors du 6ème congrès international du GIERAF, le Groupe Inter africain d'Etude, de Recherche et d'Application sur la Fertilité. En 7 ans, l'Excellence Academy a déjà formé plus de 5 000 professionnels de la santé sur des sujets liés à la fertilité, aux dysfonctionnements thyroïdiens ou encore la sclérose en plaques et les problèmes d'hypertension artérielle.
"Depuis plus d'un siècle, Merck œuvre pour le développement des solutions pour les couples afin de fournir des options de traitement des troubles de la fertilité toujours à la pointe de l'innovation. Pionniers en matière de traitement des troubles de la fertilité, nous soulignons notre engagement pour développer un réseau d'alliance et garantir un flux constant de formation en Afrique" a précisé le Dr. Karim Bendhaou, Président de Merck pour l'Afrique du Nord et de l'Ouest.
Pendant deux jours, plusieurs sujets d'actualité ont été débattus: des troubles de la fertilité masculine et des troubles de la fertilité féminine en passant par les divers protocoles de stimulations et les traitements disponibles. L'objectif de cette formation était en premier lieu d'assurer un partage des connaissances dans tous les pays africains francophones grâce au concept « Formation des formateurs » qui permettra par la suite aux spécialistes participants d'assurer à leurs tour la formation de leurs confrères dans leurs pays respectifs. Les journées ont été marquées par le riche échange entre africains du nord, africains subsahariens et français.
Cette 2ème édition d'Excellence Academy Fertility a été organisée en étroite collaboration avec le GIERAF. Ce congrès est devenu une plate-forme incontournable de réflexion et d'échanges pour les chercheurs et professionnels en matière des troubles de la fertilité du couple en Afrique Francophone. Cette année, étaient présents plus de 400 professionnels de la santé, de sociétés savantes, d'organismes internationaux et des autorités publiques d'une vingtaine de pays africains et européens.
"Après le 5ème congrès international du GIERAF qui a eu lieu à Brazzaville en 2015, Merck est encore cette année au rendez-vous au Grand Bassam en Côte d'Ivoire pour accompagner le GIERAF dans son programme de formation des praticiens à travers l'Excellence Academy. La grande nouveauté cette année est « la formation des formateurs » pour mettre à la disposition de notre association une quinzaine de praticiens expérimentés et certifiés qui assureront la mise à niveau des collègues de leurs pays et sous-région. Toute notre gratitude à Merck pour sa politique de partage de connaissance et de promotion des praticiens." a déclaré le Dr. Moïse Kwassivi Fiadjoe, Past Président du GIERAF.
Le Dr. Ernestine Gwet Bell, Past Présidente du GIERAF et Présidente du Comité scientifique, a ajouté "La création et l'ambition du GIERAF se déclinent dans la recherche de la performance et la qualité en matière de prise en charge de l'infertilité en Afrique. Nous retrouvons ce souci de qualité chez Merck. Merci à Merck pour l'accompagnement dans la quête du bien-être des couples d'Afrique."
La compagnie aérienne Ethiopian Airlines annonce qu'elle a reçu son troisième Airbus A350 XWB le 1er février 2017. L'avion est baptisé du nom de Erta Ale, un grand volcan de bouclier basaltique situé dans la région de l’Afar au nord-est de l'Ethiopie.
Le Directeur général du groupe Ethiopian Airlines, M. Tewolde Gebremariam, a déclaré : « Dans le cadre de notre programme de modernisation de notre flotte, nous venons d’acquérir un troisième Airbus A350 XWB 900. Le Dreamliner B-787 et l'Airbus A-350 sont les avions les plus avancés sur le plan technologique au monde, et nous sommes très heureux de faire partie des rares compagnies aériennes dans le monde à posséder et à exploiter les deux avions dès leur mise en service. Les clients d'Ethiopian Airlines auront le privilège d'expérimenter les fonctions et services exceptionnels des deux avions. Ces avions écologiques nous permettront d'étendre notre vaste réseau à de nouvelles destinations comme Oslo en Norvège, Singapour, Chengdu en Chine, Jakarta en Indonésie, Victoria Falls (Chutes Victoria) au Zimbabwe et Antananarive à Madagascar. À bord de cette nouvelle game d’avions révolutionnaires, les passagers bénéficieront des derniers écrans tactiles haute définition avec encore plus de films, de séries télévisées et de canaux audio. Ils apprécieront également les sièges plus larges et les hublots plus grands, le niveau de bruit le plus bas pour un bi-réacteur, et une technologie avancée pour la climatisation et un éclairage LED complet. Tous ces équipements amélioreront le confort et réduiront le décalage horaire après un long vol ».
Le nouvel avion a une configuration de 30 sièges « Cloud Nine » (classe affaire) et 313 sièges en classe économique. Ethiopian a été la première compagnie aérienne africaine à s’offrir un Airbus A350 XWB, en 2016.
A nouveau sur Conakry
Par ailleurs, la compagnie aérienne Ethiopian Airlines a organisé une cérémonie de lancement le 2 février, à l'aéroport d'Addis-Abeba Bole, marquant le début de ses nouveaux services à destination de Conakry, la capitale de la République de Guinée
L'événement a été honoré par la présence de Mme Sidibe Fatoumata Kaba, Ambassadrice de la Guinée en Ethiopie, M. Toure Mohamed, Secrétaire Général du ministère guinéen des Transports, de la Communauté diplomatique guinéenne, M. Mesfin Tassew, Chef de l'exploitation d’Ethiopian Airlines et de la Direction exécutive d’Ethiopian.
Mme Sidibe Fatoumata Kaba, l’Ambassadrice de la République de la Guinée en Ethiopie, a déclaré : « Ethiopian Airlines grandit depuis sa création; Et c'est une entreprise panafricaine. Nous sommes très heureux et fiers que ce projet soit réalisé pour renforcer le commerce, le tourisme et les relations bilatérales entre les deux pays. Le vol aidera également les hommes d'affaires guinéens à se rendre dans les grandes villes commerciales mondiales à travers le réseau d’Ethiopian Airlines ».
M. Mesfin Tasew, Chef de l'exploitation du groupe Ethiopian a déclaré : « Nous sommes heureux de lancer des services à destination de Conakry. Ce nouveau service occupe une place très importante dans l'expansion du réseau d’Ethiopian, car c'est la première des sept nouvelles destinations que la compagnie va lancer durant les cinq mois qui viennent. Couvrant le plus grand réseau en Afrique, plus que tout autre transporteur, Ethiopian a comblé les lacunes du transport aérien sur le continent. En outre, au fur et à mesure que l'économie africaine évolue, le besoin de transport aérien augmente considérablement et la disponibilité de connexions aériennes accessibles et sans difficulté est une question primordiale. À cette fin, Ethiopian a beaucoup travaillé pour servir le continent avec des technologies et des systèmes de l'aviation de meilleure qualité et les plus avancés technologiquement. »
Ethiopian commencera de nouveaux services à destination d’Oslo, d’Antananarive, de Singapour, Jakarta, Chengdu et Victoria Falls (les Chutes Victoria) dans les six prochains mois.
La Coupe d’Afrique des Nations (CAN), 2017 s’est achevée dimanche au stade de l’Amitié de Libreville avec le 5ème sacre du Cameroun, qui a battu l’Egypte (2-1), en finale de la 31èmeEdition. Une compétition qui aura été marquée par des surprises, des déceptions mais aussi des confirmations.
Les surprises
Le Cameroun sorti au premier tour de la CAN 2015 et l’Egypte absent des trois dernières éditions, ont été les grosses surprises de cette CAN 2017. Oubliés dans les pronostics de début de compétition, ces deux vieux ogres du football africain ont déjoué tous les pronostics en atteignant la dernière marche du podium, signant ainsi leur grand retour dans l’arène du football africain.
Des déceptions
Donnée favorite en début de compétition, la Côte d’Ivoire, l’ex-champion en titre, l’Algérie présente dans le top 5 africain du classement FIFA, le Sénégal numéro 1 africain et le Gabon Pays organisateur ont été les grandes déceptions de cette compétition. La Côte d’Ivoire est sortie dès le premier tour de la CAN avec une prestation qui laisse à désirer au vu de la qualité du groupe.
Il en est de même pour l’Algérie qui avait au sein de son effectif le « ballon d’or » africain en la personne de Riyad Mahrez et d’excellents autres joueurs qui pouvaient faire la différence. Le Sénégal malgré son élimination en quart de finale face au Cameroun aux tirs aux buts a été moins décevant que la Côte d’Ivoire et l’Algérie. « La chance n’était pas de leur côté », dira-t-on. Le Pays hôte, le Gabon, a lui complètement déçu avec son capitaine Aubameyang qui est resté l’ombre de lui-même.
Des confirmations
Des outsiders ont confirmé lors de cette CAN. Ils auraient pu être même champions d’Afrique sans que cela n’étonne, car il avait vraiment des arguments. Il s’agit du Burkina Faso et du Ghana, ex vice-champion d’Afrique. Avec des groupes qui se connaissent bien et une régularité à cette compétition, ces deux sélections ont fait montre de tout le bien qu’on disait d’eux en accédant au carré d’As de la compétition mais surtout en produisant du beau jeu. N’eut été le Cameroun et l’Egypte, ces deux sélections auraient pu être sur le toit de l’Afrique.
Le Bilan
Au total, 66 buts ont été marqués en 32 matchs au cours de cette 31ème Edition, soit une moyenne de 2,6 buts par matchs, la phase finale la moins prolifique en buts depuis celle de 2002 au Mali, pour 22 victoires et 10 nuls. Le meilleur buteur se nomme Junior Kabananga (RD Congo), avec trois réalisations à son compteur.
Le Burkina Faso détient la meilleure attaque du tournoi avec 8 buts et l’Egypte, la meilleure défense avec 3 buts encaissés en 6 matchs. Plusieurs joueurs se sont révélés au cours de cette CAN notamment Denis Bouanga (Gabon), Junior Kabananga (RD Congo), Préjuce Nakoulma, Bertrand Traoré et Hervé Koffi (Burkina Faso), Christian Bassogog (meilleur joueur de la CAN), Benjamin Moukandjo, Michael N’Gadeu et Fabrice Ondoa (Cameroun), Mohamed Salah (Egypte), Youssef Mzakni, Naim Sliti et Wahbi Khazri (Tunisie), Modou Kara M’Bodji (Sénégal)
Les pelouses, la fausse note
Là où l’on pourrait dire que le Gabon a raté sa CAN, c’est au niveau des infrastructures sportives. Des pelouses dont celles du stade d’Oyem et de Port Gentil étaient difficilement praticables.
La prochaine Coupe d’Afrique des nations (CAN) aura lieu au Cameroun dans deux ans.
AIP
La justice française a ordonné, mardi, le renvoi en procès de l’ancien président, Nicolas Sarkozy, et de 13 autres personnes dans l’enquête sur les dépenses de la campagne présidentielle de 2012 et des factures présumées fausses de la société Bygmalion.
La justice lui reproche d’avoir dépassé « sciemment » le plafond des dépenses fixé à 22,5 millions d’euros.
Mais ce dernier nie tout dérapage dans les dépenses de la campagne menée, il y a un peu plus de quatre ans, pour sa réélection.
AIP
Le préfet de région de San Pedro, Coulibaly Ousmane a reçu lundi à son cabinet, une délégation du Fonds au profit des victimes de guerre (FPV) près la Cour pénale internationale (CPI), en mission d’évaluation générale de la situation des victimes en Côte d’Ivoire, rapporte l'AIP.
La rencontre a eu lieu en présence de représentants d’association, d’ONG, de chefs de communauté. «Le but de notre mission en Côte d’Ivoire, est de comprendre la situation actuelle des victimes de guerre, notamment ce qu’elles ont subies, savoir quelle a été la réponse déjà apportée par l’Etat, mais également par la communauté internationale (…) afin de décider s’il est nécessaire ou pas pour le FPV d’ouvrir des programmes de réhabilitations physiques, psychologiques ou matériels », a déclaré la chef de mission, Aude Rodolphe.
La cheffe de délégation a expliqué qu’en matière de réparation des préjudices subis par les victimes, c’est l’Etat le premier responsable de cette réparation, précisant que le FPV ne fait pas de réparation financière, mais initie et soutient des programmes d’aide aux victimes.
La mission a rencontré l’après-midi les responsables des associations de victimes, les chefs de communauté pour mieux cerner la situation des victimes de guerre recensées à San Pedro.
Le FPV a été créé en même temps que la Cour pénale internationale (CPI). Elle est une institution non judiciaire et indépendante de la CPI. Il soutient actuellement des programmes qui couvrent plus de 300 000 victimes directes et indirectes des guerres au Congo et en Ouganda.
Le « dernier recours » en colère. Des tirs nourris sont entendus depuis 10 heures, ce mardi 0 février 2017, dans la ville d’Adiaké (Sud-région du Sud-Comoé) en provenance du camp militaire des forces spéciales basées dans la ville, rapporte l’AIP. Les raisons, une mutinerie des éléments des Forces spéciales ivoiriennes, basées dans ce département. Ces coups de feu ont créé une panique générale dans la localité, entraînant la fermeture des écoles, commerces, banques et autres administrations. Les raisons de ces tirs n’ont pas encore été élucidées.
Pour l’heure, les mutins ne se sont pas encore exprimés publiquement sur les raisons de cette « révolte » des plus surprenantes. Mais une affaire de primes serait évoquée par certains militaires, à en croire des sources proches de la hiérarchie militaire, qui a déjà envoyé une délégation sur les lieux pour entamer des négociations. Nous y reviendrons.
A T