Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Plus de huit millions de francs CFA pour des projets d’élevage, de cultures maraichères et de commercialisation de produits agricoles ont remis en 2016 à environ 543 bénéficiaires issus de dix regroupements de Kaniasso et de Goulia, a appris l’AIP jeudi à Kaniasso.
La fédération des associations des femmes de Goulia, Sodja de Samakona, les femmes de Bagodougou, Benkelemen de Tanhara, Benkadi, Tian Bé ko, démocratie, Benkadi, la paix de Koro-oulé, Lôlô de Manadoun sont les groupements bénéficiaires de ce financement de ONU-Femmes, exécuté par la Caritas, précise-t-on.
Les autorités administratives et politiques de Kaniasso ont salué ONU-Femmes et appellent les bénéficiaires à la rigueur dans la gestion des fonds pour la survie du programme.
AIP
La localité de Tougbô (Nord-Est, région du Bounkani), une sous-préfecture de la côte d’Ivoire est connectée au réseau téléphonique du Burkina Faso, a constaté l’AIP sur place.
Créée le 5 mars 2008 par décret n°2008-97, la sous-préfecture de Tougbô semble plus appartenir au Burkina Faso qu’à la Côte d’Ivoire. Distante de 90 kilomètres de Téhini son chef-lieu de département et d’environ 20 kilomètres du Burkina Faso, cette sous-préfecture semble plus proche du pays des hommes intègres.
Lobi, komono, lorhon, malinké et koulango, peulhs et burkinabè (majoritaires) composent la circonscription. Les réseaux de communication ivoiriens sont inexistants, seul le réseau burkinabé y figure. Il est donc difficile pour les fonctionnaires et la population de Tougbô de rester en relation avec le reste de la côte d’Ivoire.
En ce qui concerne les infrastructures, on peut trouver à Tougbô, un centre de santé, des écoles primaires, les services de l’agriculture et des ressources animales et halieutiques, puis un collège en construction.
Un médecin, inconnu de la classe politique haïtienne, Jack Guy Lafontant, a été nommé Premier ministre mercredi soir par le Président haïtien Jovenel Moïse.
Selon l’AFP, qui cite le compte Twitter du Chef de l’Etat, le choix de ce gastro-entérologue, professeur à la faculté d’Etat à Port-au-Prince et membre de l’American college of gastroenterology, est une surprise.
Le chef de l’ancien gouvernement avait donné sa démission moins de 48 heures après la prestation de serment de Jovenel Moïse, afin de permettre une passation rapide du pouvoir exécutif mais le 58e président haïtien a attendu plus de deux semaines avant d’officialiser son choix.
Jack Guy Lafontant va devoir notamment travailler à la composition de son gouvernement et faire valider ses orientations de politique générale auprès des parlementaires.
AIP
Le président de l’audience correctionnelle qui s’est tenue mercredi à la section de tribunal de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou) a annoncé l’ouverture, pour bientôt, d’une enquête judiciaire afin d’en savoir plus sur les différents réseaux de trafic de marchandises prohibées à la prison civile de Séguéla et de procéder à leur démantèlement.
« Nous allons prendre toutes les mesures à l’effet d’assainir le milieu. Toutes les personnes qui seront citées seront entendues », a promis le président de séance au cours du jugement de Chérif Ousmane, se disant « homme de troupe en détention », et d’Oulaï Tiédé Roland poursuivis pour violence et voie de fait sur un codétenu pour vol de cigarettes.
Une fouille de leur cellule des accusés a permis de découvrir une dizaine de paquets de cigarettes, des lames en grande quantité et un miroir.
Interrogée sur la présence de ces marchandises pourtant interdites dans la Maison d’arrêt et de correction de Séguéla, Mme le régisseur a pointé du doigt des « agents indélicats en complicité avec les prisonniers ».
« Il y va de la crédibilité de notre système », a dit le magistrat qui a requis la mise à l’écart du principal suspect, en l’occurrence Chérif Ousmane, et l’ouverture, dans les plus brefs délais, de cette enquête.
La maison d’arrêt et de correction de Séguéla compte un peu plus de 100 pensionnaires, a-t-on noté.
AIP
Les éléments de la brigade de la gendarmerie nationale de Prikro en poste à Famienkro (25 km de prikro) ont arrêté mercredi, le sieur Souleymane Kouassi Yaya, un sexagénaire, avec 141 kilogrammes de cannabis dont il s’est réclamé producteur.
Selon l’Adjudant-chef Douti, ses éléments et lui ont pu facilement mettre la main sur cet individu grâce à la collaboration des populations qui les ont alertés.
Le producteur de cannabis Souleymane Kouassi est actuellement aux mains de la gendarmerie de Prikro pour nécessité d’enquête afin de démasquer ses complices.
AIP
Les communautés de 25 villages du département de Dimbokro, se sont engagés à mettre fin à la défécation à l’air libre (FDAL) par la mise en place d’un système durable d’assainissement de leur environnement et cadre de vie, en présence du sous-préfet central de Dimbokro, Stéphane Yapo Assamoi et celui d’Abigui, Mme Bamba Chao.
Cette promesse a été faite, mercredi, lors d’un atelier de restitution des travaux de déclenchement initié par Habitat for humanity Côte d’Ivoire (HFH-CI) dans le cadre de son projet pilote d’hygiène et d’assainissement à travers l’assainissement total piloté par la communauté (ATPC) qui est, selon le coordonnateur du projet, Dacoury Jacques Rodrigues, un des axes de stratégie du programme WASH (water, sanitation and hygiene) en faveur des populations rurales qui majoritairement ne disposent pas de latrines. L’ATPC se déroule en trois étapes. Le pré-déclenchement, le déclenchement et le suivi post-déclenchement.
La soixantaine de chef de village, de leaders religieux, d’organisations féminines et de jeunesse en provenance des villages et des quartiers de Dimbokro qui ont promis la fin de la défécation à l’air libre, ont, selon un plan d’action communautaire, envisagé des activités notamment la construction de latrines dans tous les ménages. Pour stimuler ces travaux, ils ont décidé d’instaurer une compétition entre les villages.
Les autorités sous-préfectorales, par la voix de Stéphane Yapo, ont exhorté les villages à s’approprier ce projet qui leur permettra d’avoir des populations bien portantes capables d’insuffler un dynamisme à leur évolution. Car, a estimé M. Yapo, il n’y a de développement sans homme bien portant.
AIP
La Côte d’Ivoire entreprend des actions diplomatiques pour l’obtention du siège de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour la période 2018-2019, selon un communiqué du conseil de ministres qui s’est tenu, mercredi.
Le gouvernement a indiqué à la délégation ivoirienne qui se rendra à la 34ème session du Conseil des Droits de l’homme prévue du 27 février au 02 mars à Genève en Suisse, de profiter «de cette tribune pour faire la promotion de la candidature de la Côte d’Ivoire au poste de membre non permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies pour la période 2018-2019».
A cette occasion , les personnalités ivoiriennes conduites par le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon Tanoh prendront part au segment de haut niveau du Conseil des Droits de l’homme consacré aux Chefs d’état et de gouvernement.
Le chef de l’état ivoirien, Alassane Ouattara avait présenté la candidature de la Côte d’Ivoire, à la tribune des Nations Unies lors de la 71ème Assemblée générale en septembre. Le pays a déjà siégé comme membre non permanent du Conseil de sécurité de 1964 à 1965 et de 1990 à 1991.
Les élections pour les choix des membres de ce conseil de sécurité sont prévues pour juin 2017, lors de la 72ème session de l’Assemblée générale de l’ONU à New York, rappelle -t-on.
AIP
Le gouvernement ivoirien a adopté la mise en œuvre d’un projet d’interconnexion électrique entre la Côte d’Ivoire, le Liberia, la Sierra-Leone et la Guinée pour la construction et l’exploitation d’une ligne de 225 kV, longue de 1303 km.
La mise en œuvre du projet qui est à la phase de signature des contrats de prestations, verra également l’installation de 12 postes de transformation haute et moyenne tensions répartis dans ces quatre Etats, selon la communication relative au projet d’interconnexion Côte d’Ivoire-Libéria-Sierra-Leone-Guinée (CLSG) .
D’un coût initial d’environ 270 milliards de francs CFA, ce programme d’envergure est financé par la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque européenne d’investissement (BEI) ainsi que la KfW et par une contribution des Etats membres, indique le communiqué du conseil des ministres tenu mercredi au palais présidentiel.
Le ministre du Pétrole, de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables ainsi que l’ensemble des ministres concernés ont été instruits par le gouvernement, en vue de prendre les mesures nécessaires pour la levée des obstacles résiduels liés à l’exécution du projet en Côte d’Ivoire.
AIP
Les mois de février et mars constituent une période peu propice aux activités maraîchères à Ferkessédougou en raison de la sécheresse et de la concurrence des pays voisins, a appris l’AIP, lors d’une visite dans les bas-fonds d’un quartier.
Issa Coulibaly est jardinier dans les bas-fonds de Bromakoté où il pratique la culture des choux, des feuilles de laitues, des aubergines, des piments et bien d’autres feuilles comestibles.
Avec une superficie d’à peine un quart d’hectare, il dit subvenir aux besoins de sa petite famille composée de sa femme et de ses cinq enfants. Les produits maraîchers, qui sortent de ce modeste jardin, permettent à Issa de payer son loyer et d’assurer aussi bien l’alimentation que la scolarisation de ses enfants.
« J’entretiens ce jardin, et en retour il me rapporte presque trimestriellement 200 à 300 000 francs CFA», fait savoir Issa qui affirme que la culture du potager rapporte assez pour rendre le jardinier, non seulement auto-suffisant en légumes, mais pour le mettre à l’abri du besoin.
Toutefois, selon Issa, il existe des périodes de vaches maigres où les petits acteurs du maraîcher éprouvent des difficultés. Il s’agit de la grande sécheresse surtout les mois de février et mars. A cette période, les acteurs du maraîcher éprouvent de sérieux problèmes avec l’assèchement des marécages.
« Nos rendements baissent, les bas-fonds sont secs, l’eau manque pour relancer nos pépinières qui brûlent sous le soleil, et le peu de cultures que nous arrivons à sauver, est terriblement concurrencé sur le marché local », situe t il.
Selon lui, c’est aussi la période où les produits maraîchers des pays voisins du Nord (le Burkina Faso et le Mali) et du Niger alimentent le marché ivoirien notamment en légumes vendus en gros et par sacs.
De par leurs produits qu’ils proposent à savoir les choux, les courgettes, les aubergines, les oignons, les carottes, etc, ils concurrencent les producteurs nationaux en qualité et en quantité.
« En plus, ils sont moins chers. Nous sommes obligés de casser les prix alors que notre production, elle-même est insuffisante, à cette période de l’année », explique-t-il.
Tout comme Issa Coulibaly, les acteurs ivoiriens du maraîcher affirment n’être aucunement tentés par une quelconque aventure à l’étranger. C’est pour cela qu’ils ils se tournent vers les autorités compétentes pour une mécanisation de la filière.
Pour eux, la maitrise de l’eau et la professionnalisation de la filière pourraient permettre de produire en qualité et en quantité en février-mars.
AIP
Un nouveau complexe hôtelier, « Azalaï Hotel Abidjan », situé dans la commune de Marcory (Abidjan-Sud) sera inauguré vendredi en présence du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a-t-on appris du directeur général du complexe, Stanilas Kanté, lors d’une conférence presse animée jeudi, au sein de l’établissement, annnonce l'AIP.
Pour le directeur de cabinet du ministre du Tourisme, Aphing Kouassi, cette infrastructure hôtelière de haut standing est une « fierté du partenariat public-privé ». Le gouvernement ivoirien, dans le cadre de sa politique de redynamisation du secteur touristique a apporté son soutien notamment pour l’acquisition des titres fonciers et aussi pour les procédures administratives lors de la construction de cet établissement, a-t-il ajouté.
Le directeur général délégué du groupe Azalaï , Mohamed Ag, a confié que cette œuvre est née de la volonté d’un groupe d’africains, qui se sont unis pour œuvrer au développement de l’Afrique. « Ce groupe panafricain s’est dit que le développement de l’Afrique ne peut se faire que par les africains eux-mêmes et non par les occidentaux », a-t-il expliqué.
L e coût d’investissement de cet hôtel quatre étoiles, construit sur 14 étages est estimé à 24,2 milliards de francs CFA. Il entend employer près de 200 personnes en emplois directs et environ 1.000 emplois indirects.
A T