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Le gouvernement réuni en conseil des ministres mercredi a adopté une communication relative à un plan stratégique élaboré en vue de la réhabilitation et la redynamisation du marché de gros de Bouaké.
Ce plan va couvrir une période de 10 ans (2015-2025) pour un budget de quelque 22,5 milliards de francs CFA. Selon la porte-parole adjointe du gouvernement, Anne désirée Ouloto, il s’agit notamment de faire de Bouaké la plaque tournante des échanges tant au niveau national que sous régional, en relevant le volume de produits qui y transitent.
Le Marché de gros de Bouaké (MGB) est spécialisé dans la commercialisation du vivrier et de l’agro-alimentaire. Inauguré en avril 1998, le MGB, bâti sur une surface de 28 ha, ambitionnait au démarrage de ses activités d’être le centre commercial du vivrier de la sous-région ouest-africaine.
L’ouvrage intégrait un ensemble d’infrastructures spécialisées mise en place par les autorités ivoiriennes en vue d’assurer l’autosuffisance alimentaire et améliorer les circuits de commercialisation.
« Toutefois la faible capacité du système d’exploitation et la très faible dynamique des infrastructures mises en place n’ont pas permis l’atteinte de ces résultats », a relevé Anne Ouloto, expliquant qu’il s’agit par ailleurs pour le gouvernement de revenir à ces objectifs ci-dessus évoqués avec le plan de redynamisation du marché de gros de Bouaké.
AIP
Un atelier sous-régional de réflexion sur les droits de l’homme ayant pour thème « Les mécanismes de prévention de la torture », a été organisé à Grand-Bassam, en présence du médiateur de la République, N’golo Coulibaly et du Ministre d’État, chargé du dialogue social et des Institutions, M. Ahoussou Kouadio Jeannot.
Cette rencontre, tenue lundi, s’est voulue un cadre de réflexion et d’échanges sur la manière d’inculquer davantage la notion des droits de l’Homme à toutes les corporations œuvrant dans les domaines judiciaires, policiers et autres pour un meilleur traitement des personnes en détention quelle qu’en soit la nature.
A l’occasion; les organisations telles que l’institut international des Ombudsmans, l’association pour la prévention de la torture et l’association des ombudsmans et médiateurs africains, ont aussi préconisé le recours aux valeurs et voies africaines pour le règlement des problèmes.
« Pour traduire en actes concrets ces dispositions qui protègent le citoyen contre les traitements dégradants, inhumains et cruels, l’Etat a mis en place des mécanismes de surveillance, dont la Commission nationale des droits de l’Homme (CNDH) », a indiqué le ministre d’Etat, chargé du Dialogue social et des Institutions, Ahoussou Jeannot.
AIP
Un exode massif de personnes vers un nouveau site d’orpaillage découvert à Kobada, village situé à 7 km de la ville de Kong, a été observé depuis plus de deux semaines, a constaté l’AIP.
Hommes, femmes et enfants de tout le département de Kong s’activent chaque jour à regagner » le nouvel eldorado minier » dans l’espoir d’un lendemain meilleur, pour motif, la découverte d’un nouveau site minier, par certaines personnes depuis quelques jours.
Koné Tchêgbê, rencontré sur les lieux, dit avoir obtenu la somme de sept millions, ce qui lui a permis d’acheter deux motos et un tricycle qu’il met en location, pour davantage améliorer ses conditions de vie.
Par ailleurs, cet état de densité humaine, présente un nouveau débouché et une hausse des prix dans les activités commerciales. Les restauratrices s’y sont installées, en vue d’approvisionner les ouvriers venus de divers horizons, en nourriture.
Koné Aïcha, restauratrice, dit ne pas se plaindre de s’être installée en ces lieux, parce que ses repas sont biens vendus. « Ici, la nourriture est bien vendue. Nos clients ont actuellement le pouvoir d’achat », s’est-elle réjoui.
AIP
La direction des Cantines scolaires du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle organise, jeudi, au magasin central de Yopougon, la journée africaine de l’alimentation scolaire, annonce un communiqué de cette direction.
La 26ème Conférence ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, tenue du 21 au 31 janvier 2016 à Addis-Abeba, avait décidé de célébrer la journée africaine de l’alimentation scolaire le « 1er mars de chaque année à compter de l’année 2016 », rappelle-t-on.
AIP
Au total 4,5 milliards F CFA seront consacrés à la vaccination de quelque 900.000 enfants dans le cadre du Programme élargi de vaccination (PEV), a annoncé le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, au cours d’une conférence bilan sur les activités de son département au titre de l’année 2016.
Selon la ministre, qui s’exprimait samedi en présence des partenaires techniques, financiers et des acteurs du système de santé, 2017 est décrétée ‘’année de la vaccination et de l’hygiène en milieuhospitalier’’.
Pour assurer une meilleure couverture vaccinale et des consultations prénatales, 15 unités mobiles seront déployées sur toute l’étendue du territoire. De plus, 11 chambres froides pour Abidjan et 16 pour l’intérieur du pays sont disponibles pour la conservation des vaccins, dont l’approvisionnement ne connaîtra pas de rupture, a ajouté la ministre.
La ministre a, par ailleurs, relevé que l’environnement hygiénique des hôpitaux sera assaini au cours de cette année, avec l’instauration d’un prix du meilleur établissement sanitaire pour encourager les centres hospitaliers dans cette dynamique.
AIP
Le top départ de la 4ème édition de la Copa Coca-Cola, le tournoi de football inter-écoles des jeunes de 13 à 15 ans, a eu lieu samedi, dans trois localités du pays, indique une note d’information parvenue à l’AIP.
Les compétitions se sont déroulées dans les villes d’Adzopé, de Dabou et Toumodi et ont vu les qualifications des équipes des villes d’Alépé (Adzopé), de Tiébissou (Toumodi), de Grand-Lahou (Dabou) et Aboisso (Aboisso) pour le tour suivant.
Ces éliminatoires inter-départementales prendront fin le 8 mars et seront suivies des finales inter-régionales avec les qualifiés au niveau des départements dans la période du 11 mars au 8 avril. Cinq villes abriteront les hostilités. Il s’agit d’Abidjan, d’Abengourou, de Toumodi, de Katiola et de Yamoussoukro.
L’édition 2016 de la Copa Coca-Cola avait été remportée par l’équipe régionale de l’Indénié-Djuablin qui avait battu en finale, à Yamoussoukro, celle de l’Agnéby-Tiassa aux tirs aux buts (4-2) après un nul vierge au temps réglementaire.
Le prix du meilleur joueur de la troisième édition avait été attribué à Traoré Adama ( de la région de la Nawa) qui a bénéficié d’un séjour en France pour suivre l’EURO 2016 à la faveur du camp international de juillet, en compagnie de ses camarades des autres pays.
AIP
Le coordonnateur de la catéchèse et des communautés ecclésiales de base (CEB) de l’archidiocèse d’Abidjan, Père Patrice Savadogo, s’est exprimé sur le symbolisme de la prise des cendres qui marque le début du carême chrétien.
« Le mercredi des cendres nous rappelle que nous sommes poussière. Il symbolise le feu de l’esprit qui va consumer en nous le péché pendant le temps de carême. Temps de bon et vrai combat afin d’être appelé à la victoire et à la résurrection » a-t-il expliqué, mardi, sur les antennes de la Radio nationale catholique.
Pour le Père Savadogo, tout chrétien est certes appelé à recevoir la cendre mais pas de la recueillir pour en faire une potion de guérison ou de magie en l’administrant à des malades ou en le commercialisant.
« Il ne faut pas aller imposer les cendres coûte que coûte à des malades qui sont hospitalisés et qui vivent déjà une forme de pénitence. Encore moins les recueillir comme si cela était une potion de guérison ou de magie et aller l’administrer aux malades voire le commercialiser », a-t-il déconseillé.
Depuis ce mercredi matin, les chrétiens catholiques se ruent vers les églises pour la prise des cendres marquant le début de 40 jours de prières, de partage et de pénitence, a-t-on constaté.
AIP
Trois prix d’une valeur totale de 10 millions de francs CFA récompensant les jeunes entrepreneurs dans les domaines de l’agriculture, des nouvelles technologies (NTIC) et du commerce sont institués lors de la 3ème édition de la foire internationale d’Abidjan (FIA), a annoncé mardi la commissaire générale de cette foire, Adja Bakayoko lors d’un point de presse à la chambre de commerce et d’industrie au plateau.
Selon Mme Bakayoko, ces prix représentent une des innovations de cette édition qui se tiendra du 22 mars au 2 avril, autour du thème « Entrepreneuriat, une solution au chômage et à la lutte contre la pauvreté ». A travers ce prix, a expliqué la commissaire générale, la FIA entend financer les meilleurs projets des jeunes entrepreneurs et leur garantir en plus un encadrement adéquat pour la réalisation de leur projet.
Outre ce prix, cette édition prévoit entre autres un volet social qui se déroulera du 15 au 21 mars, à travers des consultations ophtalmologiques gratuites et une séance de vaccination contre la méningite. Un espace dédié au divertissement des enfants sera également installé à cette foire.
« Cette édition est la foire de la maturité (…) Par cette 3ème édition nous voulons confirmer la réussite de la 2ème édition et dire que la FIA est un évènement incontournable dans la sous région », a déclaré Adja Bakayoko, ajoutant que le Nigeria est le pays invité d’honneur de cette édition.
Environ 100 mille visiteurs et 200 exposants représentant des institutions, des ambassades, des artisans, des commerçants et des entrepreneurs sont entendus pour des échanges, des rencontres B to B et des ventes d’articles et de services divers.
AIP
L’Institut international des Ombudsmans (IIO) a organisé à Grand-Bassam un atelier régional de formation sur « les mécanismes de prévention de la torture », conjointement avec l’Association des Ombudsmans et Médiateurs africains (AOMA) et l’Association pour la prévention de la torture (APT).
La soixantaine de participants s’est familiarisée, lundi, avec le projet de protocole facultatif à la Convention contre la torture pour comprendre le fonctionnement d’un mécanisme national de la torture dans les lieux de détention. Ils ont aussi envisagé des méthodologies d’appropriation des mécanismes de prévention dans les institutions de médiateurs de leur association après avoir passé en revue les défis de chaque institution en ce qui concerne l’état de la législation sur la torture et les actions déjà entreprises pour sa prévention.
Le Médiateur de la République de Côte d’Ivoire, N’Golo Coulibaly, a signifié que cette session fait suite à celles déjà initiées dans le but d’amener les Ombudsmans et Médiateurs à s’intéresser à la question des droits de l’homme et que leurs violations doivent constituer des motifs d’interpellation pour l’apaisement du climat social.
Le ministre d’Etat auprès du président de la République chargé du Dialogue politique et des Relations avec les institutions, Jeannot Ahoussou Kouadio, représentant le Premier ministre, a énuméré les nombreuses actions entreprises et engagées par la Côte d’Ivoire, dont la réforme des codes usuels pour une harmonisation des dispositions aux normes et standards internationaux en matière de torture, l’intégration de modules sur les droits de l’homme dans la formation des forces de l’ordre et de sécurité, le renforcement des capacités des forces de sécurité sur la prévention de la torture, ou encore l’abolition de la peine de mort.
Il a rappelé que, « pour traduire en actes concrets ces dispositions qui protègent le citoyen contre les traitements dégradants, inhumains et cruels, l’Etat a mis en place des mécanismes de surveillance » dont la Commission nationale des droits de l’homme (CNDHCI) et le Médiateur de la République.
A son avis, cet atelier va contribuer à construire une « société nouvelle » qui préserve les droits de l’homme et les respecte. « Les Ombudsmans et Médiateurs doivent devenir des défenseurs des droits en plus de leur mission première de règlement des conflits nés des dysfonctionnements des services administratifs publics », a-t-il insisté.
AIP
-La place boursière de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et celle de Casablanca, au Maroc, veulent se rapprocher davantage pour le bénéfice des opérateurs et des entreprises des Etats membres.
En marge de la visite officielle du roi Mohammed VI, en terre ivoirienne, une délégation de la bourse de Casablanca a effectué vendredi une visite de travail et d’échanges au siège de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) de l’UEMOA à Abidjan afin d’en améliorer l’accessibilité et la visibilité à l’échelle internationale, et d’adopter les meilleures pratiques, selon un communiqué de l’institution parvenu à l’AIP.
A la tête d’une forte délégation, la présidente de l’Autorité marocaine des marchés de capitaux (AMMC), Nezah Hayat, s’est réjouie des progrès enregistrés par les deux institutions centrales du marché financier régional de l’UEMOA, à savoir la BRVM et le Dépositaire central Banque de règlement (DC/BR).
Elle a dit l’engagement de l’AMCC auprès du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (CREPMF) pour accompagner les deux bourses dans le développement d’une plus forte intégration des marchés de capitaux en Afrique.
Une convention de partenariat, dans l’objectif de renforcer la coopération entre la BRVM de l’UEMOA et la Bourse de Casablanca, à travers quatre principaux axes, à savoir l’échange d’informations et d’expériences, la formation et l’assistance technique, la promotion des deux marchés et le développement des doubles cotations, a été conclue en décembre 2013 en présence du premier ministre ivoirien d’alors, Daniel Kablan Duncan, actuel vice-président de la République de Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
AIP