Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Environ 200 acteurs de la chaîne des valeurs du café Robusta sont en conclave à Abidjan, de mercredi à vendredi, dans le cadre du 3ème Colloque scientifique des chercheurs sur la culture du café Robusta couplé de la 5ème Assemblée générale de l’Agence des cafés Robusta d’Afrique et de Madagascar (ACRAM).

En procédant à l’ouverture officielle de ces assises qui se déroulent à l’hôtel Ivotel, au Plateau, le directeur de cabinet adjoint du ministère ivoirien de l’Agriculture et du développement rural, Kouakou Apporture, a souligné la baisse prolongée des cours du café de 1999 à 2010.

Cette situation, a-t-il mentionné, justifie le programme de relance de la filière lancé en 2014 par le gouvernement, au regard de la production nationale passée de 400.000 T dans les années 1990 à 100.000 T actuellement.

Le café représente 0,6% du PIB et 1,6% des recettes d’exportation en Côte d’Ivoire, 3ème pays producteur africain et autour du 15ème rang mondial alors qu’il occupait jusqu’au début des années 2000 respectivement les 1er et 3ème rangs africain et mondial.

Auparavant, le directeur général du Conseil du café-cacao, Mme Massandjé Touré-Litse, a fait savoir que la relance de la filière passe notamment par une intensification raisonnée des ressources et une utilisation optimale des intrants. Ce qui implique une amélioration de la qualité et la valorisation des spécificités du café ivoirien.

Entre autres intervenants, le PCA de l’ACRAM, Anselme Gouthon, a mis l’accent sur la recherche en vue d’engager une véritable réforme de la filière.

Le colloque porte sur le thème « Accroissement de la productivité pour une Robusta-culture durable en Afrique de l’Ouest et du Centre ». Ces assises réunissent divers acteurs de la chaîne des valeurs du café issus de différents pays (Cameroun, Togo, Gabon, Ghana, RDC, Costa Rica, Suisse, France) ainsi que d’organisations internationales (ACRAM, OIC, OIAC, CIRAD), de structures techniques nationales (CNRA, FIRCA, ANADER, Conseil du café-cacao), d’opérateurs de la filière et de ministères (Agriculture, Commerce, Affaires étrangères, Economie et Finances).

AIP

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Le président du Ghana, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo et son homologue sénégalais, le président Macky Sall, ont honoré de leur présence le AFRICA CEO FORUM 2017. Dans un monde où le nationalisme économique et le protectionnisme sont en constante augmentation, les deux présidents ouest-africains étaient réunis à l'occasion d'un panel exclusif pour discuter de la façon dont les sous-régions du continent peuvent collaborer plus efficacement.

Le discours de bienvenue précédant le panel a été prononcé par Johann Schneider-Ammann, le ministre suisse de l'Economie, de la Formation et de la Recherche et la discussion, qui a marqué la clôture de cette rencontre de deux jours. Le panel a été animé par Patrick Smith, le rédacteur en chef du magazine anglophone The Africa Report.

Evoquant les évènements mondiaux qui ont récemment fait l'actualité, le Président Akufo-Addo a déclaré que le développement de l'Afrique a été trop centré sur les évènements extérieurs au continent et il était important de se concentrer davantage sur "ce qui se passe sur le continent et dans nos pays". Il a fait part de sa volonté de sortir le Ghana de la dépendance à l'égard de l'aide extérieure pour devenir un pays "dépendant de ses propres ressources et de son savoir-faire".

Le Président Sall a toutefois insisté sur la nécessité de collaborer avec les investisseurs internationaux car le seul secteur privé africain "ne suffit pas pour répondre totalement à tous les besoins d'investissement de l'Afrique". Selon lui, il était important d'encourager une coopération "entre secteur privé africain et secteur privé international ". Il a également félicité la Banque mondiale et le Fonds Monétaire International pour le renforcement de leur partenariat pour le développement de l'Afrique.

Macky Sall a ensuite pris position contre le rôle supposé de l'Afrique dans la crise actuelle des migrants en Europe. "Entre l'Afrique et l'Europe c'est une vieille histoire [...] ce que je ne peux pas accepter c'est la caractérisation de la migration africaine,". Il a précisé que c'était dans l'intérêt du continent de lutter contre l'exode en masse car les "ambitions d'émergence [de l'Afrique] nécessitent du capital humain ".

Les deux leaders se sont accordés à dire que la création d'une zone de libre-échange dynamique en Afrique, évoquée à une réunion de l'Union Africaine en Ethiopie, aurait dû exister depuis longtemps. Le Président Akufo-Addo a rappelé que "les échanges intra-régionaux en Afrique sont les plus bas au monde". Selon les statistiques de l'Organisation mondiale du commerce, le commerce régional entre pays africains représentait seulement 18% du volume mondial en 2014, contre 52% et 69% respectivement pour l'Asie et l'Europe.

Macky Sall a souligné le rôle important que les femmes ont à jouer dans le secteur public sans oublier également les femmes en milieu rural qui continuent de travailler dans des situations extrêmement difficiles. Selon lui, les mesures prises qui bénéficient aux femmes dans tous les domaines de la société "contribuent certainement à donner une place importante aux femmes dans le développement du continent".

Nana Akufo-Addo a fini par remercier profondément son homologue sénégalais au nom de l'Afrique de l'Ouest pour "la réaction tout en lucidité du Sénégal, après la décision de [l'ancien président de la Gambie] Yahya Jammeh de rester au pouvoir". Il a annoncé que pour la première fois dans l'histoire de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), il y a 15 pays membres avec des gouvernements démocratiquement élus.

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Une attaque terroriste a fait cet après-midi au moins quatre morts et une vingtaine de blessés à Londres, devant le Parlement britannique. L'assaillant a été abattu.

Une attaque, qualifiée par les autorités de «terroriste», a causé au moins quatre morts et une vingtaine de blessés, dont plusieurs dans un état grave ce mercredi après-midi à Londres. Un homme, au volant d'un 4X4, a lancé sa voiture sur la foule sur le pont de Westminster, qui enjambe la Tamise, à proximité du Parlement britannique. Il a embouti sa voiture peu après la sortie du pont, puis en est sorti. Après avoir couru vers les grilles du Parlement, il a poignardé un policier. Les autorités lui ont tiré dessus alors qu'il tentait de s'attaquer à un deuxième policier.

La première ministre britannique Theresay May venait de s'exprimer devant les députés. Elle «va bien» selon un porte-parole du 10, Downing Street et a été évacuée. Elle doit présider ce soir une réunion de crise, a annoncé Downing Street. Les députés ont quant à eux été confinés à l'intérieur du Parlement, puis ils ont été évacués un peu plus tard vers les locaux de Scotland Yard, situés à proximité, escortés par des policiers lourdement armés.

 

Quatre morts, dont l'assaillant

L'attaque, outre son auteur qui a été tué, a fait au moins trois morts dont un policier, et au moins 20 blessés. «Quatre personnes sont mortes. Cela inclut un policier et un homme qui est considéré comme étant l'assaillant» a annoncé le chef de la police, Mark Rowley, dans une déclaration à la presse devant le siège de Scotland Yard. «Au moins dix personnes ont été soignées sur Westminster Bridge», ont annoncé les services ambulanciers de Londres.

Une femme, grièvement blessée, a été repêchée dans la Tamise. «Nous partons du principe qu'elle est tombée ou a sauté du pont», a déclaré l'Autorité portuaire de Londres.

Trois lycéens français parmi les blessés

Trois Français, des élèves du lycée Saint-Joseph de Concarneau qui se trouvaient en voyage scolaire, ont été blessés lors de l'attaque, a confirmé le Quai d'Orsay. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a assuré «les familles de nos compatriotes concernés de son soutien dans ce moment difficile.» Selon nos informations, les lycéens sont soignés à l'hôpital Saint-Thomas. Deux d'entre eux sont dans un état grave.

 

 

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L'ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, reconnu coupable par la Cour pénale internationale de subornation de témoins dans son procès pour crimes de guerre et crimes contre l'Humanité, a été condamné mercredi à un an d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende.

 

« Jean-Pierre Bemba est condamné à un an d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende » pour subornation de témoins, a indiqué la CPI mercredi 22 mars sur son compte Twitter.

 

« La Chambre a ordonné que l’intéressé purge cette peine à la suite de celle prononcée à son encontre dans l’affaire principale », indique dans un communiqué la CPI, faisant référence à la précédente condamnation de l’ancien vice-président congolais à 18 ans de prison pour « crimes contre l’Humanité » et « crimes de guerre ».

 

La Chambre « a également condamné Jean-Pierre Bemba à une amende de 300 000 euros, qu’il devra verser à la Cour dans un délai de trois mois à compter de la décision relative à la peine, et qui sera ensuite transférée au Fonds au profit des victimes », ajoute le texte.

 

Le procureur avait requis huit ans de prison à l’encontre de Jean-Pierre Bemba, jugé coupable mi-octobre 2016 d’avoir influencé quatorze témoins, présenté de fausses preuves et sollicité la déclaration de faux témoignages.

 

Deux autres proches de Jean-Pierre Bemba condamnés

 

Deux proches de l’ancien-vice président congolais ont également été condamnés dans le cadre de cette affaire. Parmi eux, Me Aimé Kilolo, l’un des avocats de Jean-Pierre Bemba, qui écope d’une peine totale de deux ans et six mois d’emprisonnement, dont a été déduit le temps qu’il a déjà passé en détention, ainsi qu’à 30 000 euros d’amende.

 

Fidèle Babala, député du MLC et ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre Bemba, a également été condamné à une peine totale de six mois d’emprisonnement, dont a aussi été déduit le temps déjà passé derrière les barreaux. Les parties prenantes au procès peuvent faire appel de la décision sous 30 jours.

 

Condamnation à 18 ans de prison

 

Reconnu coupable de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre en tant qu’autorité hiérarchique, Jean-Pierre Bemba a déjà été condamné à 18 ans de prison le 21 juin 2016 pour la vague de meurtres et de viols commis par le Mouvement de libération du Congo (MLC), alors groupe armé, en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003.

 

Fin septembre, l’ancien vice-président a fait appel de cette condamnation, dénonçant des vices de forme et évoquant notamment l’arrestation de son avocat durant le procès.

Source : AFP/Jeune Afrique

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A peine nommé à la tête de l’équipe nationale de football de Côte d’Ivoire, le Belge Marc Wilmots annonce les couleurs. Il entend redynamiser l’équipe en faisant appel à des joueurs ayant pris leur retraite international. Avec en ligne de mire l’ex-capitaine Yaya Touré, milieu de terrain de Manchester City en Angleterre. « J’Irai voir Yaya Touré et discuter avec lui», a notamment déclaré M. Wilmots le mercredi 22 mars à Abidjan.

 

Pour lui, le Citizen reste un joueur important pour les futurs challenges des Eléphants, qui sont engagés dans les éliminatoires de la coupe du monde 2018 prévue en Russie.

Mais le technicien belge ne vise pas uniquement le frère cadet de Kolo Touré. Il entend également rencontrer Yao Kouassi Gervais dit Gervinho et Salomon Kalou qui, selon ses dires, «  ne sont pas des joueurs finis ».

"Seul patron à bord"

Mais il prévient déjà qu'il ne se laissera influencer par aucune pression extérieure dans ses choix. «Quand je prends une affaire, je suis le seul patron à bord (...) je fais ma route, je fais ce que veux comme je le pense avec mes sentiments et ma manière travailler. Honnêteté, union, travail: voilà ce qui me fait avancer», a martelé l'ancien sélectionneur de la Belgique.

 

Les Eléphants vainqueurs de la coupe d’Afrique des Nations 2015, sont sortis au premier tour de l’édition 2015 de cette compétition au Gabon. Une contre-performance que les supporters ivoiriens veulent très vite oublier.

Armand Tanoh 

 

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Abidjan, 22 mars (AIP) – Une délégation de 35 entreprises marocaines participent pour la troisième fois consécutive à la Foire Internationale d’Abidjan (FIA) qui se tiendra du  22 mars au 2 Avril  à Abidjan, a-t-on appris dans un communiqué transmis à l’AIP.

Il s’agira pour ces entreprises marocaines de prospecter et d’explorer les opportunités d’affaires existantes sur le marché ivoirien qui offre l’opportunité d’accéder à un marché sous régional de 320 millions de consommateurs (CEDEAO).

Les entreprises marocaines exposeront leur potentiel dans différents secteurs d’activités notamment le textile et le cuir, les bâtiments et travaux publics (BTP) et matériaux de construction, l’ameublement,  les NTIC  et  logistique,  la pharmaceutique, l’ audiovisuel,  le Télécom, l’édition, la presse, le cosmétique, les banques et les services financiers, les énergies renouvelables,  l’électricité, l’électronique et automobile.

Un programme de rencontres B to B avec les entreprises Ivoiriennes est prévu en marge de la Foire ainsi que des visites sur site, de certains établissements publics et organismes qui lancent des appels d’offres de projets de BTP, construction, électrification, eaux, irrigation entre autres.

Les échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et le Maroc sont passés de 80 millions de dollars en 2010 soit 52 milliards F CFA, à 120 millions de dollars en 2014  environ 72 milliards F CFA,  200 millions de dollars en 2015 soit  130 milliards F CFA, relève-t-on.

AIP

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Une vingtaine d’élèves du Lycée Dominique Ouattara de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou) portent une grossesse, a appris l’AIP auprès du proviseur Ouattara Bakary au cours d’un entretien, mardi.

Ces filles dont l’âge oscille entre 14 et 16 ans sont presque toutes du premier cycle de cet établissement de plus de 4300 élèves. Certaines ont déjà déposé un certificat médical attestant de leur état afin de pouvoir reprendre les cours l’année prochaine.

Quant aux auteurs de ces grossesses, selon le proviseur, ‘’il y a tout le monde dedans’’, surtout les élèves qui ont récemment déclenché des batailles rangées à cause d’une fille en classe de Quatrième.

Le phénomène ne semble pas s’essouffler malgré la campagne ‘’Zéro grossesse à l’école’’ initiée par le ministère de l’Education nationale, surtout que des statistiques de la tutelle indiquent que l’âge du premier rapport sexuel des écolières ivoiriennes se situe autour de neuf ans.

AIP

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Le ministre des Sports et des Loisirs, François Albert  Amichia, a exprimé mercredi, à Abidjan,  la satisfaction du gouvernement quant au choix du Belge Marc Robert Wilmots, « un entraîneur expérimenté », au poste de sélectionneur national de football de Côte d’Ivoire.

Recevant ce jour, à son cabinet, le technicien Belge accompagné par une délégation de la Fédération ivoirienne de football (FIF) conduite par son président Augustin Sidi Diallo, le ministre a remercié le nouveau patron de la sélection ivoirienne, avec son bon palmarès en lui demandant de savoir  « transmettre aux Eléphants, les valeurs qu’il a transmises à l’équipe nationale de la Belgique ».

Selon M. Amichia, il sera « inconcevable » que la Côte d’ivoire soit absente aux rendez-vous internationaux  de la Coupe du monde en Russie et de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) au Cameroun. C’est pourquoi, il a assuré le nouveau coach du soutien des dirigeants du football ivoirien à œuvrer de sorte à «réconcilier la sélection avec le peuple ivoirien ».

De son côté, le sélectionneur Wilmots s’est  félicité de l’accueil « chaleureux » qui lui a été réservé depuis son arrivée mardi, en Côte d’Ivoire, « un pays qui l’a toujours inspiré » et promis de faire « du mieux » qu’il pourra, conscient de la mission qui lui a été assignée, pour que ce projet à long terme soit un succès.

Le technicien Belge Marc Wilmots est le nouveau sélectionneur des Eléphants footballeurs de Côte d’Ivoire. Il remplace le Français Michel Dussuyer qui a démissionné à l’issue de la CAN de Gabon 2017. Il a signé ce mercredi, un contrat de deux ans qui court jusqu’au 31 mars 2019 avec la FIF. L’objectif immédiat est la qualification pour la coupe du monde en Russie en 2018.

AIP

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Quarante-cinq tonnes de faux produits pharmaceutiques, d’une valeur de près de cinq milliards de francs CFA ont été  saisis et incinérés ainsi qu’un réseau de fabrication de faux médicaments contrefaits démantelé à Abidjan par la police nationale.

Ces  faux médicaments et un appareil de fabrication ont été découverts, mardi, dans le sous-sol d’une résidence de neuf pièces de stockage à Cocody (Abidjan) grâce à la plateforme de lutte contre les faux médicaments.

« Nous avons saisi des comprimés, des sirops, des médicaments faux et contrefaits, c’est le lieu pour le Conseil de l’ordre des pharmaciens de remercier toutes les structures qui ont œuvré à cette saisie », a fait savoir Aristide Amondji, vice-président de l’Ordre des pharmaciens de Côte d’Ivoire.

Cette action s’inscrit dans la politique du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique qui invite les populations à se procurer les médicaments dans les pharmacies agréées, souligne-t-on.

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L’Association des sociétés d’électricité d’Afrique (ASEA) organise depuis lundi, à Abidjan, un atelier de trois jours à l’intention des responsables hygiènes, sécurité et environnement (HSE) des sociétés d’électricités et administration publique en charge de l’environnement des pays membres de l’association, annonce l’AIP.

L’objectif de cet atelier est de maitriser les outils de gestion de l’environnement et de faire la promotion de l’économie verte et des enjeux environnementaux et sociaux dans le développement des infrastructures électriques en Afrique et le renforcement des capacités des principaux acteurs compétents.

Selon le Directeur Général de l’ASEA, Abel Didier Tella, il y une nécessité d’intégrer  les environnementaux de sécurité, d’hygiène de travail  dans les projets énergétiques dans sa phase de conception construction et exploitation.

L’ASEA est une organisation panafricaine qui joue un rôle  majeur dans l’harmonisation, la mutualisation et le partage des connaissances, des compétences et des savoir-faire, a-t-on appris.

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