Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La Représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Mme Aïchatou Mindaoudou, entreprend de mercredi à samedi, une mission de suivi de haut niveau dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, annonce un communiqué de l’ONUCI.

Cette visite de quatre jours sur le terrain fait suite à la mission que la Représentante spéciale et sa délégation avaient effectuée dans ces mêmes régions l’année dernière, du 23 au 27 février, et  au cours de laquelle ils avaient rencontré et échangé avec les diverses couches de la population notamment les autorités locales, les organisations de la société civile, les communautés et les leaders traditionnels, les représentants des jeunes et des associations de femmes ainsi qu’avec les cadres de la région, pour s’imprégner des avancées en matière de cohésion sociale et de sécurité ainsi que de la situation sociale et humanitaire des populations. 

Plusieurs projets à inaugurer

 

Au cours de la présente mission, plusieurs projets financés par l’ONUCI et les agences du Système des Nations Unies seront inaugurés. Ces projets rentrent dans le cadre de la réponse post crise en accompagnement aux efforts du Gouvernement visant à améliorer les conditions de vie des populations à promouvoir la cohésion sociale dans ces localités. 

 

L’ONUCI et les agences du système des Nations Unies avaient déjà appuyé les femmes dans des activités génératrices de revenus, dans la lutte contre les violences basées sur le genre. De même les autorités locales avaient également bénéficié d'un soutien pour la réhabilitation d’infrastructures publiques. 

 

Cette mission permettra, en outre, d’engager un dialogue, dans le cadre des bons offices de Madame la Représentante Spéciale, avec toutes les parties prenantes pour renforcer la réconciliation nationale, la cohésion sociale afin de contribuer à créer un climat apaisé avant la tenue du prochain scrutin présidentiel. 

 

La délégation comprend le coordonnateur humanitaire, le coordonnateur-Résident des activités opérationnelles du Système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR), le bureau de la Coordination des affaires humanitaires (OCHA), l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), l’entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU femmes), l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Programme alimentaire mondial (PAM), l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ainsi que  les divisions de l’Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire notamment les affaires politiques, l'information publique et les affaires civiles.   

 

Elle visitera plusieurs localités des régions du Guémon, Tonkpi, du Cavally et du Bas-Sassandra. 

 

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Le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, a été désigné par ses pairs ouest-africains comme nouveau président en exercice de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, en remplacement de son homologue ghanéen, John Dramani Mahama, qui vient de passer 14 mois à la tête de l’organisation.

Le cérémonial de transmission de commandement entre les deux chefs d’Etat s’est déroulé mardi à Accra, au Ghana, lors de la cérémonie de clôture de la 47ème session ordinaire de la CEDEAO, qui s’était ouverte dans la matinée en présence de 10 chefs d’Etat sur les 15 que compte la Communauté.

John Dramani Mahama a remercié ses pairs pour la confiance et le soutien dont il a bénéficiés tout au long de son mandat et félicité le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, pour le choix porté sur sa personne avant de lui souhaiter un fructueux mandat de président en exercice.

Quant au nouveau président en exercice de la CEDEAO, il s’est félicité du choix opéré par ses homologues, se disant conscient de la tâche et de la responsabilité qu’induisent ses nouvelles fonctions qu’il compte d’ailleurs mener à bien grâce au soutien du président de la Commission, Kadré Désiré Ouédraogo, dont il a salué au passage l’engagement, les compétences et la disponibilité.

M. Sall a loué les qualités de son prédécesseur qui ont permis à la sous-région d’enregistrer des succès indéniables tels que la mise en œuvre du Tarif extérieur commun (TEC), la lutte contre l’épidémie à virus Ebola et le terrorisme, la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, ainsi que la tenue récente d’élections présidentielles paisibles et équitables au Nigéria et au Togo.

Il a dévoilé les grandes lignes de son mandat que sont la paix et la sécurité régionales, notamment au Mali, la lutte contre le terrorisme et toutes les formes d’extrémisme, particulièrement au Nigeria et au Niger, la lutte inachevée contre l’épidémie à virus Ebola, l’accompagnement du processus électoral dans les Etats et la mise en œuvre de projets communautaires. Il a enfin sollicité le soutien et les conseils de ses pairs pour la réussite de sa mission.

Les chefs d’Etat et de gouvernement ont, dans une motion lue en leur nom par la ministre ghanéenne des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale, présidente du Conseil des ministres de la CEDEAO, Hanna Tetteh, rendu un vibrant hommage au président nigérian sortant, Goodluck Ebele Jonathan, pour l’engagement dont il a fait montre tout au long de son mandat pour mener les réformes et assurer le développement de son pays.

Les dirigeants ouest-africains lui ont particulièrement exprimé leur reconnaissance pour sa contribution significative à l’approfondissement du processus d’intégration régionale et sa gestion des crises malienne et bissau-guinéenne.

Les autres décisions de ce 47ème sommet portent, entre autres, sur l’annulation de la dette de 200 millions de dollars de la Guinée relative au prêt accordé à cet Etat pour appuyer son secteur énergétique, la création du Centre régional de contrôle et de surveillance des maladies, le respect scrupuleux du calendrier électoral arrêté pour la tenue de l’élection présidentielle le 11 octobre au Burkina Faso.

Selon le communiqué final lu par le président de la Commission, Kadré Désiré Ouédraogo, les dirigeants ouest-africains ont également approuvé la prorogation, du 1er juillet au 31 décembre 2015, du mandat de la Mission de la CEDEAO en Guinée- Bissau (Ecomib) assorti d’un processus de retrait graduel.

Ils ont en outre décidé de célébrer le 40ème anniversaire de la CEDEAO à travers des festivités spécialement dédiées pour l’occasion et qui se dérouleront à Abuja, au Nigéria, à une date qui sera communiquée ultérieurement.

La prochaine session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO se tiendra à une date et lieu qui seront fixés après consultations.

A A D

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La ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara Kamissoko, est depuis lundi à Séoul, en Corée, où elle participe au Forum mondial sur l'éducation qui se déroule de mardi à jeudi, annonce un communiqué  ministère parvenu mercredi à l’AIP.

Il est également prévu en marge de ce forum une réunion avec le Conseil d'administration du Partenariat mondial pour l'éducation prévue de vendredi à samedi à Séoul ainsi que des séances plénières et des débats thématiques qui se dérouleront en parallèle.

 

D’autres rencontres sont prévues en marge des discussions du programme officiel en raison de la présence au même endroit de tous les acteurs et décideurs de l'éducation au plan mondial, indique-t-on.

 

A la tête d’une délégation de la Conférence des ministres de l'Éducation des pays ayant le français en partage (CONFEMEN), Mme Kandia Camara a rencontré la directrice générale de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à qui elle a traduit le soutien de la CONFEMEN à son organisme qui a développé la vision et les ambitions d’une approche holistique des questions d’éducation, de santé, de protection ou de justice.

 

Kandia Camara participera à des panels sur "l’Education tout au long de la vie" ou sur "Comment l'éducation peut contribuer au développement durable".

AIP

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Du 04 juillet au 29 août prochains, l’A380 d’Air France va desservir chaque samedi l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, en vue d’accompagner la croissance du marché ivoirien et de satisfaire la demande.

Selon le délégué régional d’Air France pour le Bénin, le Burkina Faso, le Niger, le Togo et la Côte d’Ivoire, Philippe Barbieri, qui en a fait l’annonce mercredi à Abidjan au cours d’une conférence de presse, cette fréquence va apporter une capacité supplémentaire de 7.7%, par rapport au B777-300.

M. Barbieri qui avait à ses côtés le délégué local Côte d’Ivoire, Daniel Gratien, a justifié cette décision par la performance commerciale de la compagnie aérienne française à Abidjan, où elle opère déjà 10 vols hebdomadaires dont trois avec l’A380 depuis le 26 octobre 2014 (les vendredis, dimanches et lundis).

Le délégué régional a en outre laissé entendre que la 4ème fréquence de l’A380 pourrait être mise de façon pérenne sur Abidjan à compter de l’année prochaine, annonçant un investissement de 500 millions d’euros par la compagnie, pour améliorer ses services sur toutes les lignes.

Toutefois, en dépit de l’optimisme affiché par Air France, son responsable régional admet « une petite crainte », à savoir l’environnement politique en fin d’année, en raison des élections. « On sait qu’en période électorale, il y a toujours un attentisme des clients… », a fait observer M. Barbieri, précisant ne pas avoir d’informations particulières sur les élections, « simplement le report statistique de ce qui se fait ailleurs ».

Dans la même lancée, M. Gratien a souligné que ce « flottement est constaté partout dans le monde lorsqu’il y a des échéances électorales », donc pas spécifiquement en Côte d’Ivoire.

Par ailleurs, lors de la conférence de presse, Air France a relevé le tarif d’assistance qui s’avère très cher sur la plateforme d’Abidjan, ce qui, au dire de M. Barbieri, va dans le sens contraire de ce qui se fait ailleurs où il y a en outre plusieurs prestataires.

A ce sujet, il a fait savoir que la compagnie koweitienne NAS a augmenté le tarif d’assistance de 37% pour Air France, à tous les niveaux. « Poser un (Boeing) 777 à Abidjan, c’est six fois plus élevé que le poser à Johannesburg, trois fois plus que le poser à Accra et 1,7 fois plus cher que le poser à Tokyo, l’une des villes les plus chères au monde », a affirmé Philippe Barbieri.

Après son vol inaugural effectué à Abidjan en janvier 2014 à l’occasion du Forum Investir en Côte d’Ivoire (ICI 2014), l’A380 d’Air France a commencé ses vols commerciaux le 26 octobre. Ce qui fait d’Abidjan, la 2ème destination africaine (après Johannesburg), la première d’Afrique francophone et la 7ème au monde.

Du 1er janvier 2015 à avant-hier (18 mai), l’A380 a transporté plus de 40.000 passagers à destination ou au départ d’Abidjan, ce qui est significatif au regard des 215.000 voyageurs globalement enregistrés en 2014 pour Air France et 1,3 million pour l'ensemble des compagnies, selon AERIA. L’A380 offre 516 sièges contre 303 pour le B777-300 (+20%). Créée le 7 octobre 1933 (82 ans), Air France fêtera en octobre ses 75 ans de présence en Côte d’Ivoire.

Armand Tanoh, avec AIP

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L’étape de Gbéléban, vendredi, de la visite d’Etat du Président de la République de Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, dans le district du Denguélé (Nord-ouest) sera marquée par la participation de son homologue guinéen, Alpha Condé, qui prendra part à l’ensemble du programme prévu cette journée, a appris l’AIP de source officielle.

La venue du Président Condé, signalée au calendrier de la visite, a été annoncée de vive voix mardi aux populations de Gbéléban, à travers leurs élus, cadres et autorités administratives lors d'une rencontre à la résidence du préfet du département, a constaté l'AIP.

Une délégation du protocole d’Etat venue s’assurer de la conformité du dispositif d’accueil a ainsi confirmé la nouvelle au comité d’organisation locale réuni pour "un dernier point des préparatifs".

"L’arrivée d’Alpha Condé à Gbéléban s’inscrit dans le cadre global du renforcement des relations entre son pays et la Côte d’Ivoire", a expliqué Selon le préfet Brou Yao à l'AIP, citant le protocole d’Etat.

Le chef de l'Etat guinéen  va notamment procéder avec Alassane Ouattara à l’inauguration d’un pont qui va relier la Côte d’Ivoire et la Guinée à partir Gbéléban. Ce pont enjambe le fleuve Gbahanla qui marque la limite naturelle entre les deux pays. Un cours d'eau qui, pendant la période de crue qui dure six mois, constituait un obstacle infranchissable, entravant les échanges entre les deux Etats.

Outre l’étape de l’inauguration du pont, le chef de l’Etat guinéen prendra part au meeting qu’animera son homologue ivoirien dans la localité. Ensemble, ils participeront à la prière de 13 heures à la grande mosquée de Gbéléban avant de partager un déjeuner à la suite duquel le Président Condé regagnera son pays, a confié également le préfet Brou Yao.

Le Président Alassane Ouattara entame ce mercredi une visite d’Etat dans le district du Denguélé, qui comprend les régions du Folon et du Kabadougou avec une population globale de près de 300 000 habitants.

Il sera accueilli à la mi-journée à Odiénné (la capitale du Kabadougou) où il présidera, le même jour en fin d'après-midi, un Conseil des ministres.

Minignan et Kaniasso le recevront jeudi pour ce qui est du Folon. Dans le Kabadougou, en plus d'Odiénné, il se rendra vendredi dans les départements de Gbéléban et de Samatiguila et samedi à Madinani et à Seguelon.

Alasane Ouattara va clôturera sa visite d’Etat dans le Denguélé par un meeting dimanche au stade municipal d’Odiénné.

Source : AIP

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La Société africaine des biocarburants et des énergies renouvelables (SABER) a lancé la première édition des trophées «SABER AFRICA GREEN AWARD», lors de la 6ème édition du salon international des énergies renouvelables et de l’environnement  en Afrique (SIERA) qui s'est tenue du 23 au 26 Avril 2015 à Dakar.

L’édition 2015 du SIERA qui s’est tenue du 23 au 26 Avril 2015 à Dakar au Sénégal a tenu toutes ses promesses. En plus de la forte mobilisation des visiteurs, des exposants et des experts du domaine des Energies Nouvelles et Renouvelables qui ont assisté à l’événement, la grande nouveauté cette année a été le lancement des trophées «SABER AFRICA GREEN AWARD» organisé par la Société africaine des biocarburants et des énergies renouvelables (SABER). Une nouvelle initiative qui vient encourager les acteurs qui œuvrent dans le domaine des Nouvelles et Renouvelables en Afrique.

Cette 6ème édition du salon SIERA qui s’est tenue au CICES de Dakar sous le thème «Les technologies des énergies renouvelables» a été organisée par le Groupe EXCAF (Expo Carrefour Afrique) en partenariat avec la société africaine des biocarburants et des énergies renouvelables (SABER).

« Le développement des Energies Renouvelables est un enjeu majeur pour le continent africain. Il répond non seulement au défi  environnemental, mais aussi à un besoin de diversification des sources d’énergies », souligne Thierno Bocar TALL, président de la société africaine des biocarburants et des énergies renouvelables (SABER). Les différents apports bénéfiques de ces sources d’énergie en font un facteur de  développement durable crucial pour l’Afrique

 

Avec Afrique Média 24

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Une usine produisant industriellement du chocolat a été inaugurée lundi à Abidjan, une première pour la Côte d'Ivoire, le premier producteur mondial de cacao, afin de stimuler et d'accompagner l'augmentation de la consommation locale.

 "Nous avons souhaité que nous puissions (. . . ) faire du chocolat pour les Ivoiriens, pour les Africains et surtout les Africains de l'ouest", a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara, après une visite des installations.

D'un coût de 6 millions d'euros, l'usine, d'une superficie de 2. 000 mètres carrés et d'une capacité de production de 10. 000 tonnes par an, va fabriquer pour la première fois à l'échelle industrielle du chocolat "made in Côte d'Ivoire".

"L'arrivée d'une nouvelle chocolaterie chez le premier producteur mondial de cacao (. . . ) permettra aussi aux planteurs ivoiriens d'accéder enfin au plaisir du chocolat", a espéré Patrick Poirrier, le PDG du chocolatier Cémoi, propriétaire de cette structure.

L'"or brun" représente 22% du PIB, plus de 50% des recettes d'exportation de la Côte d'Ivoire et surtout les deux tiers des emplois et des revenus de la population, selon la Banque mondiale.

Il fait vivre plus de six millions de personnes en Côte d'Ivoire, pour lesquelles la consommation du chocolat n'était pas dans les habitudes alimentaires, d'après des chiffres officiels.

"Aujourd'hui, transformé localement, vendu localement, l'Ivoirien a de plus en plus accès à un produit qui est un produit du terroir, qui se vend dans le monde entier, mais qui lui était interdit", s'est félicité le ministre du Commerce, Jean-Louis Billon.

La Côte d'Ivoire, avec plus de 35% des récoltes mondiales, et une production record de plus de 1,7 million de tonnes en 2014, entend s'imposer dans d'autres secteurs plus lucratifs de cette industrie.

Elle est en train de devenir le numéro un de la transformation de fèves, selon des estimations de l'Organisation internationale du café et du cacao (ICCO).

AFP

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La nouvelle aile du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, a été inaugurée vendredi 15 mai, en présence du Premier Ministre Daniel Kablan Duncan. Situé dans le quartier chic de Cocody, le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, qui allie le luxe français à la culture africaine est une oasis légendaire. Surplombant la lagune Ebrié et le Plateau, cet hôtel 5 étoiles se dresse majestueusement dans un écrin de verdure et d’eau.

Le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, qui répond aux demandes de tous les segments de clientèle, s’impose comme la référence Sofitel en Afrique de l’Ouest et conforte la présence du Groupe Accor dans la région qui compte aujourd’hui 17 Sofitel en Afrique et océan Indien. « Nous sommes très heureux en cette journée d’inauguration. C'est un grand jour pour Abidjan et la Côte d’Ivoire qui voient aboutir les travaux de rénovation du deuxième bâtiment de cet hôtel géré par le Groupe Accor sous enseigne Sofitel. Cet hôtel est à nouveau une référence hôtelière en Afrique.» a déclaré M. Thierry de Jaham, Directeur Général du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire.

Le Directeur Général de la Société des palaces de Cocody (SDPC), Maférima Diarassouba, déclare « En faisant appel au Groupe Accor, la société des Palaces de Cocody cherchait à viser l’excellence dans la rénovation comme dans la gestion de cet hôtel historique d’Abidjan.». Cet établissement prestigieux de Côte d’Ivoire a été construit par l’architecte Moshe Mayer en 1963. La Tour de l’hôtel a été magnifiquement restaurée en 2011 par l’architecte Pierre Fakhoury, qui a poursuivi les travaux dans le Bâtiment Principal.

En juillet 2012, en présence des représentants de l’Etat Ivoirien, la SPDC et Accor signaient un contrat de gestion, confiant les destinées de l’hôtel à Sofitel dès le 1er janvier 2013. La rénovation du Bâtiment Principal terminée, cet hôtel iconique s’offre aujourd’hui aux visiteurs mariant harmonieusement l’expertise de la marque Sofitel avec le meilleur des traditions ivoiriennes.

Le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire propose 392 chambres, dont 121 suites et 1 suite présidentielle ainsi que 31 appartements soit une capacité totale de 423 clés.

Pour l’aménagement intérieur, Pierre Fakhoury s’est adjoint les services du décorateur franco-argentin Luis Laplace. La force de la nature, les couleurs vives, les matériaux tels que l’or et le bois, sont autant de symboles repris dans la décoration des espaces. L’art de la composition qui transparait dans les motifs des tissus ivoiriens, la géométrie des formes, la simplicité ont inspiré les intentions du décorateur.

En chiffres

Le Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire compte désormais quatre restaurants. En plus du Toit d’Abidjan - situé au 23e étage, offrant une vue panoramique sur la ville et le Lagon Ebrié - et de La Gourmandise, au coeur de l’hôtel, où la poésie de l’Afrique rencontre les saveurs de la cuisine française, les clients découvriront le restaurant Le Pavillon, typiquement ivoirien et La Brasserie Française qui propose les grands classiques.

Cette offre est complétée par le pool lounge, L’Oasis, et 2 bars, le Cacao Lounge dans la Tour et le Link bar dans le Bâtiment Principal, une galerie marchande comprenant 11 bou tiques et un cinéma 3D de 386 places. L’hôtel compte également 20 espaces de réunion dont 9 nouvelles salles, tous équipés d’un matériel audiovisuel high-tech. À côté de l’hôtel, le Palais des Congrès d’Abidjan est doté d’un auditorium de 1 650 places.

Les clients Membres PLATINIUM du programme de fidélité Le Club AccorHotels, en

quête d’exclusivité, pourront bénéficier des services du Club Millésime à la Mezzanine. Enfin, le So SPA, espace de 1 200 m2 dédié au bien-être, ouvrira ses portes prochainement.

Armand Tanoh, avec hopscotchafrica

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M. Youssouf Bakayoko, Président de la CEI, Madame Nialé Kaba, ministre de l’Economie et des Finances, et M. Babacar Cissé, Représentant résident du PNUD, ont signé ce lundi 18 mai 2015 à Abidjan au siège de l’Institution en charge des élections une convention dans le cadre  du Programme d’Appui à la Consolidation de la Démocratie et de la Gouvernance Participative en Côte d’Ivoire.  Il s’agit d’un montant de près de 9 milliards que le PNUD devrait mettre  à la disposition de la Commission électorale indépendante (CEI) dans le cadre du financement du processus électoral. A cette occasion, le Président de la CEI a expliqué que le scrutin présidentiel à venir est « celui de la concrétisation de la normalité institutionnelle retrouvée du pays ».

« Beaucoup d’observateurs pertinents et crédibles de la vie socio-politique de notre pays le qualifient d’ailleurs de « scrutin de vérité » ; vérité du retour définitif de la paix, vérité de l’ancrage durable de notre pays aux valeurs démocratiques universelles », a-t-il insisté. C’est pourquoi, Il demande l’attention et la contribution de tous et se félicite de la présente cérémonie.

« Il est heureux, à cet égard, que nous formalisions ce matin, votre engagement à soutenir notre Institution à travers le Programme d’Appui à la Consolidation de la Démocratie et de la Gouvernance Participative en Côte d’Ivoire et la mise en place d’un Basket Fund d’un montant de 17,65 millions USD, soit 8,82 milliards de F CFA, dont 10,53 millions USD, soit 5,33 milliards de F CFA pour le processus électoral proprement dit », s’est-il réjoui. Ce financement devrait permettre  le renforcement des capacités des démembrements locaux, le renouvellement partiel des matériels électoraux, la formation de nos Commissaires locaux, la sensibilisation et l’éducation civique des populations et la logistique de déploiement des matériels et documents électoraux. C’est un pas.

Toutefois, « en terme budgétaire, le coût estimatif de ces besoins ressort à 11 milliards de FCFA,  soit 18% environ de nos besoins globaux de financement du scrutin présidentiel », a regretté Youssouf Bakayoko. C’est pour cette raison qu’il a renouvelé son plaidoyer auprès des partenaires sollicités afin qu’ils réagissent. Un plaidoyer auquel s’est aussitôt associé Babacar Cissé : « A quelques 5 mois des élections, il faut s’assurer que tout le financement escompté soit mobilisé rapidement pour la mise en œuvre sans délai de toutes les activités du projet. Nous nous sommes déjà rapprochés des partenaires dans ce sens ». Pour sa part, madame Nialé Kaba espère qu’au « regard des enjeux, les partenaires vont se mobiliser ». Elle a expliqué que le Gouvernement s’est engagé à des « élections libres,  apaisées, crédibles, et inclusives ». Et est conscient que les moyens sont un « préalable » à cette réussite. Pour la ministre, l’Etat fera sa part pour notamment assurer un taux de participation intéressant qui est un « indicateur important » de la crédibilité des élections.

Source : CEI

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L’opportunité de rencontrer l’ensemble des professionnels des phosphates, avec la présence des personnalités influentes des industries minière et de transformation

 

Le Groupe OCP organise la troisième édition du Symposium International sur l’Innovation et la Technologie dans l’Industrie des Phosphates, « Symphos » , qui s'est ouverte le 18 et prendra fin le 20 mai 2015 à Marrakech, sous le thème « L’innovation au service d’une agriculture durable ».

 

Cette nouvelle édition réunira plus de 1200 participants de l’industrie des phosphates, venus des cinq continents représentant plus de 45 pays. SYMPHOS 2015, carrefour de rencontres et d’échanges entre les principaux acteurs internationaux de l’industrie des phosphates et dérivés, s’inscrit dans la continuité des deux précédentes éditions, en s’ouvrant davantage sur l’innovation au service d’une agriculture durable. Cette édition traitera notamment des thématiques relatives aux procédés industriels, aux éléments de valeurs, aux fertilisants du futur et aux slow & controlled releases.

 

Désormais une référence internationale dans le secteur des phosphates, l'événement offre une plateforme favorisant la diversification, la modernisation et le développement de l’industrie des phosphates ainsi que l’accompagnement des besoins du développement agricole mondial. Le Groupe OCP, conscient que l’innovation constitue un des principaux leviers pour une exploitation raisonnée et pérenne des réserves phosphatières, témoigne à travers le SYMPHOS de son engagement pour une agriculture durable et prospère à travers le monde. En fédérant la communauté mondiale des phosphates pour partager expertises, compétences et expériences, SYMPHOS vise un objectif capital : contribuer à faire émerger les idées de demain, à même de relever les grands défis de la préservation des sols et des ressources, pour une agriculture durable.

 

Le SYMPHOS tentera d’examiner les nouvelles techniques et technologies pouvant améliorer les systèmes de production dans l’industrie phosphatière et la préservation des ressources. Il s’agira d’envisager l'avenir de l'industrie des phosphates dans le cadre d'une démarche de développement durable et de technologies propres, d’échanger autour des matières premières, des produits intermédiaires et des produits finis du phosphate. Le modèle marocain de management industriel et de développement de l’innovation dans l’industrie phosphatière sera mis à l’honneur, en particulier dans les domaines des mines, de la bénéficiation des phosphates, de la valorisation et de la production des engrais.

 

Ce symposium représente une véritable plateforme de networking, et offre l’opportunité de rencontrer l’ensemble des professionnels des phosphates, avec la présence des personnalités influentes des industries minière et de transformation. Tous les acteurs de la chaîne de valeur seront représentés : producteurs, consommateurs, traders, analystes de marché, ingénieurs et experts techniques. Un espace d’exposition d’une centaine de stands sera aussi proposé, réunissant les principales entreprises du secteur, qui viendront présenter leurs produits, services et innovations.

 

Distribué par APO (African Press Organization) pour OCP S.A.

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