La capitale économique ivoirienne, Abidjan, abrite pour la première fois le Discop, marché panafricain de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels, du 2 au 4 juin, a annoncé la ministre ivoirienne de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, lors d’une conférence de presse à soin cabinet.

" Vous imaginez la joie pour nous.  L’organisation de cet évènement montre que la Côte d’ivoire est un pays qui est de retour sur la scène internationale cinématographique", a déclaré Mme Bamba-Lamine, , en présence de Patrick Zuchowiki Jucaud, manager général de Basic Lead, structure promotrice du Discop.

Pour la ministre de Communication, la Cote d’Ivoire, en acceptant d’abriter le Discop 2015, offre ainsi l’occasion aux participants, notamment les créateurs, producteurs, surtout anonymes,  de faire des rencontres B to B, de parfaire leur formation professionnelle et de connaître les nouvelles opportunités de partenariats.

Plateforme solide et génératrice de revenus, Discop Abidjan 2015 va regrouper, selon Mme Bamba-Lamine, plus de 530 participants, 110 chaines  privées de télévisions, 25 plates-formes à péages et 50 opérateurs des télécommunications.

" L’organisation d’un  tel évènement en Côte d’Ivoire a pour  ambition de développer la signature ‘Babiwood’ en produisant, à Abidjan d’ici cinq ans, une grande semaine poly-évènementielle dédiée à la promotion du marche de la création audiovisuelle, musicale et radiophonique, multiplateforme et multi-écrans", a affirmé la ministre de la communication.

La cérémonie d’ouverture de cet événement sera marquée par la participation du Premier ministre Daniel Kablan Duncan et de plusieurs ministres de son gouvernement.

 AIP

Très discret depuis quelque temps, le bidouillant président du Séwé Sport de San Pedro (Ligue 1 ivoirienne), Eugène Marie Diomandé est bien au travail dans l’ombre, selon certains de ses proches approchés par La Diplomatique d’Abidjan.

Mettre fin à l'amateurisme

Selon ceux-ci, M. Diomandé qui est en train d’opérer des réglages au niveau de son club, en difficulté cette année après cinq ans de règne sur le championnat nationale de Côte d’Ivoire, mais surtout "de passer à l’offensive". Car, "l’heure est grave. Le football ivoirien, malgré une coupe d’Afrique des Nations remporté cette année, continue d’être gérer dans l’amateurisme", explique l’une de nos sources qui estime qu’"il est temps de mettre de l’ordre et mettre en place un système de gestion qui va garantir au football ivoirien un avenir serein", a-t-il ajouté. La prochaine Assemblée générale élective de la fédé est prévue en 2016. 

Mobilisation sur le net

D’ores et déjà, des internautes se mobilisent, et viennent de créer un Page Fan sur Facebook baptisée Eugène Diomandé président de la FIF, j'y adhère ! Une page entend mobiliser au moins 50 000 facebookers ivoiriens autour de cet idéal. « Nous ne connaissons pas M. Eugène Diomandé, mais nous voyons en lui un homme rigoureux et méthodique qui peut sauver le football ivoirien. Il ne nous a rien demandé, mais en tant qu’observateurs nous pensons que c’est lui qu’il faut à la tête de la FIF pour en finir avec cette gestion approximative qui dure depuis plusieurs années", explique l’administration de cette page que nous avons contacté via message inbox.  

Le football ivoirien a connu le plus grand scandale de son histoire cette année, avec le détournement des primes des demi-finale et finale des Eléphants victorieux de la dernière Coupe d’Afrique des Nations en janvier en Guinée Equatoriale. Une affaire qui a valu le limogeage du ministre en charge des Sports Alain Lobognon du gouvernement. L’enquête suit toujours son cours.

Abdoul Razak Dembélé

Le roi du Maroc Mohammed VI est arrivé à Abidjan Samedi en début de soirée, pour une visite officielle de 5 jours, a constaté l’AIP.

Vêtu d’un boubou beige à rayure marron surmonté d’un chapeau beige, Mohammed VI dont l’avion a atterri à 18 H à l’aéroport d’Abidjan, a été accueilli par le président ivoirien, Alassane Ouattara.

Lundi, le souverain chérifien échangera avec le Président Alassane Ouattara au palais de la Présidence de la République au Plateau, où des accords bilatéraux seront signés par les deux gouvernements.

Le roi du Maroc procédera mardi à 15 H à la pose de la première pierre du complexe de formation du lycée professionnel de Yopougon (Abidjan-Ouest), avant de se rendre à 16h30 sur la baie de Cocody pour une "visite explicative du projet de sauvegarde de la baie de Cocody".

Il se rendra mercredi à Grand-Lahou (Sud, région des Grands Ponts) pour procéder au lancement d’un nouveau village de pêche.

Mohammed VI qui avait séjourné en Côte d’ivoire en février 2014, vient pour la troisième fois à Abidjan en trois années consécutives.

Le président Alassane Ouattara a quant était quand à lui en visite officielle au Maroc en janvier dernier.

(AIP)

Sur les terrains bosselés en terre battue d'Abidjan, des dizaines de jeunes rêvent de troquer leurs ballons dégonflés pour rejoindre un club européen. Abusés par des agents peu scrupuleux et livrés à eux-mêmes, leur eldorado inaccessible se transforme souvent en désillusion.

"Quand j'ai vu notre sélection ramener la Coupe d'Afrique des nations en février, je me suis dit +pourquoi pas moi+ ?". Avec son bermuda fleuri et ses deux téléphones portables, Christian Nougbele a déjà la panoplie du stéréotype du footballeur professionnel. "Jouer la Ligue des champions en Europe" : cette phrase revient sans cesse dans la bouche de ce meneur de jeu longiligne de 23 ans.

Le 6 juin prochain, Christian, qui enchaîne les matches en troisième division ivoirienne, devra pourtant se contenter de regarder la finale de la prestigieuse coupe d'Europe à la télévision. Derrière lui, Issa Koné, un colosse d'1,90 m soupire. "S'ils n'ont pas percé à 25 ans, ils ne réussiront jamais... Mais il y a trop de marchands de rêves dans le football...", peste cet éducateur qui forme une centaine de jeunes à l'institut Cissé, une école de football nichée au coeur de Yopougon, un quartier pauvre d'Abidjan.

Les marchands de rêve, ce sont ces agents de joueurs, rarement officiels, qui gravitent autour des terrains de football du pays, prêts à abuser de la crédulité des familles.

- 'Persuadés de pouvoir jouer au Barça' -

"Les jeunes sont tous persuadés qu'ils peuvent jouer dès demain au Real Madrid ou au Barça", explique Alfred Obou, un agent agréé par la Fifa qui a envoyé des internationaux comme Cheick Tioté ou Kader Keïta vers l'Europe. "Alors forcément, il y a des gens qui en profitent et qui les font rêver", regrette-t-il non sans rappeler que des stars comme Didier Drogba ou Yaya Touré ont "commencé dans des clubs de second rang avant d'exploser".

Yao Komenan, un entraîneur de 42 ans, connaît bien le problème. De retour de Tunisie, il a passé sept mois à aider des joueurs africains délaissés par ces intermédiaires peu scrupuleux. "Des agents leur avaient promis de les faire jouer en Europe via la Tunisie, mais une fois arrivés à l'aéroport, ils s'étaient volatilisés. Les gamins étaient complètement abandonnés, sans ressources", raconte le technicien. "Ils ne se soucient même pas du niveau du joueur. A Tunis, la plupart des joueurs que j'ai vus n'avaient pas du tout les capacités pour jouer en Europe", se souvient-il. Inspiré par l'académie de Jean-Marc Guillou qui a fait éclore plusieurs stars du football ivoirien, l'institut Cissé, créé en 2007, prend gratuitement en charge des joueurs amateurs ivoiriens et tente de les protéger des chimères européennes.

Financé par Souleymane Cissé, ex-joueur ivoirien aujourd'hui entraîneur adjoint du club de Monaco, l'école a même réussi à bricoler un terrain aux dimensions règlementaires. Au bout d'un petit chemin de terre, face à la lagune d'Abidjan, ce grand champ plein de trous entouré de palmiers et d'hévéas sert de stade d'entraînement à l'équipe.

- 'Pas le paradis' -

Depuis la crise politico-militaire qui a frappé le pays en 2010-2011, le gazon "venu d'Europe" s'est raréfié. "La Côte d'Ivoire manque d'infrastructures et les conditions de jeu sont mauvaises. Si vous vous blessez ici, vous ne serez pas bien soigné", regrette M.Koné. Derrière les succès de sa sélection nationale, le football ivoirien, sans moyens et sans ambition, ne suffit plus aux jeunes joueurs. Le salaire moyen d'un joueur de première division ne dépasse pas 150.000 francs CFA mensuels (230 euros) et le niveau du championnat reste faible. Les clubs ivoiriens n'ont plus remporté de trophée continental depuis 1999.

Sidick Camara, a eu sa chance de l'autre côté de la Méditerranée, grâce aux partenariats de l'institut Cissé. Ce milieu de terrain de 20 ans a passé cinq mois en stage dans le club de Coimbra, en première division portugaise. "Je me suis rendu compte que ce n'était pas facile du tout", se souvient le joueur qui évolue maintenant en championnat amateur ivoirien. "Il faisait froid, la nourriture était différente, la langue aussi était une barrière. Nous étions quatre Africains à l'essai. Aucun n'a été retenu", regrette-t-il, dépité.  Ce premier échec n'a pourtant pas découragé Sidick qui s'accroche encore à l'idée d'une carrière dorée sur le Vieux Continent.  L'Europe, ce n'est pas forcément le paradis. Mais le paradis, ça se trouve où ?", s'interroge-t-il.

A côté de lui, l'entraîneur Yao Komenan hoche la tête, fataliste. "Revenir en Afrique, pour eux, c'est revenir en enfer".

AFP

La Commission électorale indépendante (CEI) procédera à l’enregistrement des candidatures à l’élection du président de la République dans le courant de la fin du mois de juillet a annoncé le président de l'institution, Youssouf Bakayoko, vendredi lors d’une rencontre avec le corps préfectoral sur le mode opératoire de la révision de la liste électorale.

Selon le président de la CEI Youssouf Bakayoko, après la révision de la liste électorale qui comprend l’enrôlement des électeurs, suivi de la phase contentieuse et l’enregistrement des candidatures à l’élection du président de la République, suivra l’impression des documents électoraux, les fiches d’émargements les bulletins de vote et affiches avant l’ouverture de la campagne électorale.

‘’ Comme vous le voyez les tâches sont engagées le rouleau compresseur est bien enclenché’’, a fait observer le président de la CEI, soulignant que l’élection présidentielle à venir constitue un important défi aussi bien pour l’institution que pour tout la Communauté nationale.

Se disant conscient de la place particulière du corps préfectoral dans leur circonscription respective, le président de la CEI a insisté sur le rôle qu'il juge ‘’éminent '' pour la réussite des élections apaisées devant confirmer la consolidation de la démocratie dans le pays, rassurer les investisseurs économiques nationaux et internationaux de la solidité des institutions ivoiriennes et de leurs fondamentaux afin de les amener à accompagner notre pays dans sa marche inexorable vers l’émergence à l’horizon 2020.

AIP

Sur invitation du gouvernement tunisien, le ministre ivoirien de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, va participer du 1er au 4 juin à Tunis, aux journées de Partenariat numérique Tunisie-Côte d’Ivoire.

D’après une note d’information de son ministère, il y conduira une forte délégation d’acteurs publics et privés du secteur ivoirien des TIC.

Ces journées s’inscrivent dans le cadre d’une stratégie de renforcement de la coopération en matière de TIC entre les deux pays.

En effet, venu participer à la 2ème édition des Journées de l'Entreprise numérique organisée par la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), du 09 au 10 avril dernier, le ministre tunisien des Technologies de la communication et de l’Economie numérique, Noomane Fehri, avait convenu avec son homologue ivoirien d’organiser un évènement de haut niveau entre responsables du secteur des TIC, publics et privés, afin de renforcer la coopération et le partenariat entre les acteurs économiques de ce secteur à fort potentiel au profit de nos deux pays.

Cette plateforme de coopération bilatérale a pour objectif de mettre en place des synergies et des partenariats entre les différents opérateurs de ces pays et de créer de véritables opportunités de collaboration en matière numérique entre les deux pays.

Le renforcement de la coopération entre la Tunisie et la Côte d’Ivoire en matière de Technologie de l’information et de la communication s’inscrit dans la stratégie plus globale de développement des relations entre la Côte d’Ivoire et les pays les plus avancés du continent africain, et participe de ce fait au partage d’expériences et de bonnes pratiques.

AIP

C'est dans un hôtel de la commune de Cocody (Abidjan), le 25 mai dernier, que  KONAN Yao Venance suspecté de chantage a été interpellé par les agents de la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC). Une interpellation survenue après la plainte déposée par   une victime du présumé maître chanteur que nous nommerons "Dame K.A".

Dans les faits, le 21 février 2015, Dame K.A, fait la connaissance sur les réseaux sociaux de « YAN CEDRICK DADIER » en réalité un faux profil utilisé par le suspect. Après des échanges, une relation amoureuse naît et la confiance s'installe.

Dame K.A qui a volontairement envoyé des photos dénudées d'elle, à son ''amoureux'' pour lui faire plaisir, se retrouve en mauvaise posture. En effet, celui-ci après réception des images, lui réclame de l'argent faute de quoi, il publierait ces images sur les réseaux sociaux. La victime ne possédant pas la somme demandée et après plusieurs supplications, KONAN YAO VENANCE exige qu'elle le paye en nature.

Rendez-vous est donc pris, pour avoir des rapports sexuels avec sa victime en guise de payement. C'est gavé de stimulants sexuels, que le suspect a été pris par les agents de la PLCC, à l'hôtel où il attendait sa victime.

Conduit dans les locaux de la PLCC pour y être interroger, les investigations ont révélé qu'en plus d'être en contact avec d'autres victimes résidant en Côte d'ivoire, au Mali et en France, KONAN YAO VENANCE disposait d'une centaine de photos compromettantes impliquant d'autres femmes.

KONAN YAO VENANCE alias « YAN CEDRICK DADIER » pourrait être poursuivi pour usurpation d'identité, faux usage de faux, diffusion d'images à caractères sexuels et tentatives d'escroquerie sur internet. Il a donc été conduit, devant le parquet pour répondre des actes qui lui seraient reprochés.

Source : cybercrime.interieur.gouv.ci

Un véritable fardeau que la très discrète artiste ivoirienne Atoinette Konan vient de déposer ce vendredi 29 mai 2015 soir, après l’avoir porté durant près de trente ans. En effet, invitée de l’émission Show Time sur la RTI 1 animée par Didier Bléou, celle qui a révéla l’instrument musical "Ahoko" dans les années 80 au grand public a depuis cette époque porté (et continuera encore peut-être) de porter le voile de la "la maitresse ivoirienne" de l’ex-président du Burkina Faso Thomas Sankara (1983-1987), tué lors d’un coup d’Etat en 1987.  Interrogé sur cette affaire par la co-animatrice de l’émission, Aurelie Eliam, la chanteuse Antoinette Konan a tout simplement, et catégoriquement, nié la rumeur qui pourtant, comme un bon vin, s’est au fil du temps ancrée dans les esprits des Ivoiriens et devenue "vérité malgré elle" faute de démenti. Les ragots " ont voulu qu’il y eut quelque chose, mais il n’y a (jamais) rien eu entre nous", a-t-elle coupé net, signalant que cette folle affaire lui a d’ailleurs fait plus de mal que de bien.

L’histoire

Pour en revenir à l’histoire, tout part de cette fameuse scène, où Antoinette Konan est en train d’apprendre à jouer l’Ahoko à un Thomas Sankara visiblement très impressionné de découvrir cet instrument particulièrement original. C’était lors de la soirée gala d’’un sommet de chefs d’Etat à Yamoussoukro. S’expliquant lors de l’émission, l’artiste affirme qu’elle avait été appelé par l’ambassadeur Georges Ouégnin, chef de protocole du président Félix Houphouët-Boigny, à revenir dans la salle, à sa grande stupéfaction, alors qu’elle avait fini de faire sa prestation.

La raison, le capitaine Thomas Sankara qui était un féru de musique, surtout des instruments musicaux - il jouait assez bien à la guitare-, tenait à savoir comment se joue l’ahoko.  Cet instrument de la famille des idiophones, utilisé essentiellement par le peuple Baoulés de Côte d’Ivoire, et qui est constitué d’une petite boule (souvent un fruit évidé et séché), ayant deux trous symétriques de chaque côté servant de caisse de résonance et traversée de part en part par une longue tige en bois strié.

Ainsi, l’enthousiasme très affiché du leader de la révolution burkinabé à cet instant, a suffit pour alimenter toutes sortes de bruits à ce sujet. Des rumeurs qui vont s’intensifier la fille Kodè de Béoumi, qui faisait partie à l’époque de la crème de la musique ivoirienne, multipliait les va-et-vient entre Abidjan et Ouagadougou.

Jamais vu Sankara à Ouaga

Appelé à expliqué ces mouvements "suspects" entre les bords de la Lagune Ebrié et la capitale du pays des hommes intègres, Antoinette Konan a fait savoir qu’elle s’y rendait pour prester à des spectacles, sous la houlette de son premier arrangeur et mentor Bocana Maïga. Mais durant tous ces séjours ouagalais, "je n’ai jamais vu cet homme (Sankara)" la-bas, a affirmé l’artiste, insistant que plus rien ne l’a lié à l’ex-président du Faso après la séance de formation à l’ahoko de Yamoussoukro. Voilà qui certainement va mettre fin (espérons-le) à trois décennies de "on dit" ⁽¹⁾  des "affairés de Babi" ⁽²⁾ .

Armand Tanoh

(1)    "On dit" : façon familière (très souvent péjorative) de désigner les rumeurs en Côte d’Ivoire

(2)    "Affairé" : adepte ou friand du commérage (dans le jargon ivoirien) ; Babi : une autre façon d’appeler Abidjan « dans le jargon ivoirien) ;  "affairés de Babi" = adeptes ou friands du commérage à Abidjan.

Le maire du Plateau, Akossi Bendjo et celui de Marcory, Aby Raoul, ainsi que des adjoints aux maires de Cocody, Attécoubé et Port-Bouët (Abidjan) ont effectué, jeudi, une visite de certains sites à risque dans les communes de Cocody (Riviera 3, 2 et Palmeraie) et d’Attécoubé (Santé 3 et Mossikro), annonce un communiqué de la coordination des maires d’Abidjan.

En compagnie d’experts de l'Office national de la protection civile (ONPC), de l'Office national de l'assainissement et du drainage (ONAD) ainsi que des représentants du ministère de la Construction, la délégation a rappelé aux riverains les mesures à prendre pour éviter à nouveau les drames qui avaient frappé de nombreuses familles l’année dernière en raison des inondations et des éboulements.

Ils ont évoqué avec elles les solutions définitives à certains problèmes comme le cas du quartier de la Riviera Palmeraie.

Avec AIP