Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

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Le ministre des sports et des loisirs, François Albert Amichia, a promis jeudi, à la délégation du comité international des jeux de la Francophonie (CNJF) de 2017 que toutes  les infrastructures devant abriter la compétition seront livrées trois mois avant le démarrage de la compétition.

« Je suis conscient du retard accusé dans les préparatifs mais croyez-moi, les infrastructures sportives et culturelles, le dispositif organisationnel contenu dans le cahier de charges seront disponibles trois mois avant l’ouverture des jeux », a rassuré le ministre Amichia au terme de la visite de l’institut national de la jeunesse et des sports (INJS) à Marcory.

Cette visite des infrastructures du ministre ivoirien des sports et des loisirs avec le comité international de ces jeux avait pour but de permettre au directeur exécutif du CNJF, Sériba Mahaman Lawal d’avoir une idée de la planification de ces jeux.

Les 8è Jeux de la Francophonie se dérouleront à Abidjan du 23 au 30 juillet 2017 et réuniront 4 000 athlètes issus de 80 pays, rappelle-t-on.

Armand Tanoh

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Lancé le 08 avril à Abidjan, le 1er Colloque international sur la médiation a été officiellement ouvert ce jeudi par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, accompagné à l’occasion du ministre du Commerce Jean Louis Billon, de celui de la Justice, des droits de l’Homme et des Libertés publiques, Gnénéma Mamadou Coulibaly, et du président de la Cour suprême, René Aphing-Kouassi.

Initié par la Cour d’arbitrage de Côte d’Ivoire (CACI), ce Colloque qui se déroule sur deux jours à l’hôtel Pullman (Plateau) vise à sensibiliser les entreprises et le public sur le bien-fondé de l’usage de la médiation comme moyen alternatif de règlement des conflits en entreprise.

 

Ainsi, tout en se réjouissant de cette initiative, le Premier ministre a souligné qu’elle cadre parfaitement avec la vision de l’Etat ivoirien qui en a créé le cadre juridique après l’adoption par l’Assemblée nationale, le 20 juin 2014, d’une loi sur le recours à la médiation consécutivement à une décision prise en conseil des ministres.

 

Associée à l’arbitrage, la médiation place  la Côte d’Ivoire à la pointe de l’encadrement dans la justice des affaires et en fait l’un des pays les plus modernes, a souligné le chef du gouvernement. Il a rappelé que la Côte d’Ivoire a été classée parmi les 10 pays les plus réformateurs au monde, avec des classements respectifs de 7ème et 4ème en 2014 et 2015 dans le Doing Business (Banque mondiale).

 

Auparavant, le président de la CACI, Tall Yacouba, et le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), Djibo Nicolas, ont tout à tour souligné l’importance de la médiation comme mode alternatif de règlement des conflits en entreprise.

 

Tribunal privé qui a pour mission d’amener les parties à régler les conflits par elles-mêmes avec l’aide d’un tiers neutre, impartial, indépendant et formé aux techniques de la médiation, ce mode alternatif plus simplifié et moins onéreux désengorge les cours et tribunaux d’Etat et contribue à l’amélioration du climat des affaires.

 

« Après le temps de la justice traditionnelle sous l’arbre à palabre, le temps des tribunaux et cours, le temps du mode alternatif de règlement des litiges est arrivé et c’est inévitable », a fait observer M. Tall, appelant à créer l’émergence d’une autre face de la justice, moins belliqueuse et plus paisible.

 

Organisé en partenariat avec la CCI-CI, le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) et The Investment Climate Facility for Africa (ICF), ce Colloque réunit plusieurs experts issus de la Belgique, du Canada, de la France, de la Suisse et de pays africains ainsi que des magistrats, des spécialistes de la médiation, des représentants de chambres consulaires et des chefs d’entreprises de Côte d'Ivoire.

 

Créée en 1992 par la CCI-CI sous l’impulsion de Seydou Elimane Diarra, la CACI a vu son premier président, Lambert Amon-Tanoh, officiellement installé en 1997 par l’actuel Premier ministre, Daniel Kablan Duncan.

 

Avec AIP

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Les prix des principaux produits alimentaires de base ont de nouveau reculé en mai, frôlant leur plus bas niveau en six ans suite à la baisse sensible des cours des céréales du fait de perspectives de récoltes favorables pour cette année, rapporte, jeudi, la FAO.

L’indice FAO des prix des produits alimentaires a atteint en moyenne 166,8 points en mai, en recul de 1,4% par rapport à avril et en forte chute (– 20,7%) par rapport à son niveau d’il y a un an.

 

La FAO a également amélioré ses prévisions de mai 2015 pour les productions mondiales de blé, céréales secondaires et riz, en anticipant des récoltes plus abondantes de maïs en Chine et au Mexique ainsi que des récoltes de blé plus abondantes en Afrique et en Amérique du Nord.

 

Le dernier rapport de la FAO sur l’offre et la demande de céréales prédit une croissance de 1,3% pour la production mondiale de riz par rapport à l’an dernier, principalement grâce à de meilleures récoltes prévues en Asie. Toutefois, cette prévision reste très incertaine, car les résultats dépendront dans une large mesure de la tournure que prendra la saison au cours des prochains mois.

 

L’indice FAO des prix alimentaires est un indice pondéré par les échanges commerciaux qui permet de suivre l’évolution sur les marchés internationaux des prix des cinq principaux groupes de produits alimentaires: céréales, viande, produits laitiers, huiles végétales et sucre. En mai, cet indice a atteint son plus bas niveau depuis septembre 2009.

 

La déprime de mai s’explique à la fois par une baisse mensuelle de 3,8 pour cent de l’indice des prix des céréales, une baisse de 2,9% de l’indice des prix des produits laitiers et une baisse de 1% de l’indice des prix de la viande.

 

L’indice des prix du sucre a augmenté de 2% en raison de retards temporaires durant la saison de broyage au Brésil, malgré un approvisionnement abondant.

 

L’indice des prix de l’huile végétale a augmenté de 2,6%, en partie en raison des préoccupations sur un éventuel renforcement des conditions d’El Niño qui pourraient affecter la production en Asie du Sud-est.

 

Selon les dernières prévisions révisées, la production céréalière mondiale en 2015 devrait atteindre 2,524 milliards de tonnes, soit 1% de moins par rapport au niveau record de l’an dernier. Alors que certains stocks seront tirés vers le bas, le ratio stock-utilisation des céréales devrait chuter légèrement, «confortant ainsi les vues selon lesquelles les marchés des céréales devraient rester généralement stables», indique-t-on à la FAO.

Armand Tanoh

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L’écrivain et enseignant-chercheur, Gilbert Topé, a publié une nouvelle œuvre intitulée "Education aux archives, Théorie, pratique et valorisation", en vue d’éduquer à la bonne tenue des archives.

Ce livre fournit des éléments de réponse simples et pratiques pour que la question des archives soit bien appréhendée par tous, les citoyens, les organisations, les États…

Pour l’auteur, les archives occupent une place importante dans la vie de toutes les organisations privées ou publiques car elles leur permettent de retracer facilement leur mémoire et de pouvoir faire des projections dans le futur, surtout avec l’apport des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Cependant, a-t-il indiqué, la bonne tenue des archives n’est pas toujours l’affaire de tous car bien de structures perdent encore leurs documents.

Ainsi, pour permettre à chacun de mieux appréhender la question des archives, il a décidé de mettre sur le marché cette œuvre pour aider à la gestion des documents. L'oeuvre est éditée par L'Harmattan.

Gilbert Toppé est auteur de deux autres œuvres à savoir "Communication politique et développement en Côte d’Ivoire" et "L’Union africaine et le développement de l’Afrique". Ayant exercé à l'AIP en qualité dev journaliste, il a été par la suite chef de service de la documentation et des archives au ministère de la Communication. Il est actuellement enseignant-chercheur en Science de l’information et de la communication à l’université de Bouaké.

 

 

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Le directeur général de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) en Côte d’Ivoire, Fidèle Sarassoro, lance un ultime appel aux ex-combattants non encore insérés dans le tissu socioéconomique à se faire enrôler avant le 30 juin, date marquant la fin du processus de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) en Côte d’Ivoire. "En ce moment nous sommes totalement déterminés, a traiter l’ensemble des ex-combattants ; donc je voudrais vraiment leur lancer un appel pour qu’ils viennent, qu’ils viennent massivement, avant le 30 (juin) pour que l’ADDR puisse les aider à avoir une vie normale, de sorte que leur désir soient réalisés", a déclaré M. Sarassoro, lors d’un déjeuner de presse, jeudi à l’hôtel Tiama du Plateau, avec des rédacteurs en chef de médias. "Ils n’ont rien à craindre, absolument rien à craindre", a ajouté le DG de l’ADDR, insistant qu’au-delà du 30 juin, ils seront forclos.

 

A ce jour, 54.424 ex-combattants ont été réinsérés ou sont en cours de réinsertion en Côte d’Ivoire, sur un effectif global potentiel de quelque 64.000. Concernant les ex-combattants vivant dans des pays de la sous-région comme le Libéria, Fidèle Sarassoro espère qu’avec la levée prochaine de la ceinture sécuritaire sanitaire mis en place en Côte d’ivoire dans le cadre de la lutte contre la fièvre Ebola, ces derniers rentreront en masse au pays et seront pris en compte dans le processus DDR.

Plusieurs milliers de jeunes ivoiriens se sont engagés aux côtés des différentes belligérances durant la décennie de crise militaro-politique que le pays a traversé de 2002 à 2011. Depuis la fin de la crise postélectorale (2010-2011), un processus de DDR est en cours dans le pays.

 

Ce processus qui prend fin le 30 juin, est marqué depuis ces dernières semaines par le déguerpissement d’ex-combattants des sites militaires et civils illégalement occupés à Abidjan et à l’Intérieur du pays, à travers l’"opération Bonheur" initiée par l’Etat major général des Forces républicaines de Côte d’Ivoire. Pour l’heure, 3059 ex-combattants ont été démobilisés dans le cadre de cette opération qui se poursuit. Ces derniers sont pour la plupart en instance de resocialisation en attendant leur réinsertion.

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Le chef du service de diabétologie du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Yopougon, Pr Lokrou Adrien, a révélé qu’à ce jour, 42 000 personnes vivent avec le diabète en Côte d’Ivoire. Lors des journées scientifiques et portes ouvertes organisées jeudi à l’Institut national de santé publique (INSP) d’Adjamé, Pr Lokrou a souligné que ce nombre peut être revu à la hausse. Ce, parce que  ces diabétiques ont été enregistrés parmi les personnes qui ont accepté de se faire dépister dans le Centre antidiabétique d’Abidjan (CADA). 

Relevant l’émergence des maladies non transmissibles dont le diabète dans le pays qui traverse une transition épidémiologique, Pr Lokrou a appelé à la mobilisation de tous. "Vu ses nombreuses complications, le diabète demeure une préoccupation et un problème auquel nous devons tous faire face", a-t-il invité les populations, en présence du directeur général de la Santé publique, Pr Kouassi Dinard. Ce dernier qui représentait la ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Dr Raymonde Goudou-Coffie, a insisté sur la décentralisation de la prise en charge du diabète, appelant de tous ses vœux la mise en œuvre effective de la Couverture maladie universelle. Ces dispositions, a-t-il dit, permettront aux malades de se soigner convenablement sur l’ensemble du pays. Des séances de dépistage gratuit ont marqué cette double cérémonie.

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L’ONG Appui au développement durable de Mankono (ADDEM) qui initie une opération gratuite de la cataracte de lundi à mardi au centre hospitalier et universitaire (CHU) de Treichville est, selon son président d’honneur, le ministre d’Etat Moussa Dosso, en quête de quelques 500 malades pour la phase opérationnelle de cette action. "Pour Abidjan, nous avons besoin de 200 malades et pour tout le reste du pays, nous avons besoin de 300, une fois qu’on respecte ce quota, nos partenaires reviendront avant la fin de l’année pour élargir l’opération à mille malades", a indiqué jeudi à Abidjan M. Dosso, présidant la cérémonie de lancement de cette campagne.

Selon Moussa Dosso, il est impérieux de venir en aide à toutes ces personnes qui souffrent de ce handicap dans différentes régions de la Côte d’Ivoire, d’où son implication personnelle à cette "noble cause".

 

"Dans nos régions, il y a beaucoup de cas de cataracte. Au début, on était limité à Mankono mais aujourd’hui nous l’avons dépassé. Je souhaite qu’ensemble, nous puissions tisser cette toile de solidarité pour aider nos populations", a-t-il indiqué. Précisant le mode opératoire de cette campagne, le président de la Fondation ADDEM, Dr Kouyaté Karim, a pour sa part relevé que les potentiels bénéficiaires seront entièrement et gratuitement pris en charge pour l’exécution de cette opération.

"Nous recrutons ces personnes qui souffrent de la cataracte pour pouvoir les opérer du 8 au 12 juin au service d’ophtalmologie du CHU de Treichville. Elles vont être opérées gratuitement après qu’un diagnostic ait été posé au préalable. Les inscriptions se font auprès de la fondation au 09-00-13-10", a-t-il précisé.

 

L’ONG ADDEM organise cette campagne en collaboration avec le ministère de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, la Banque Islamique de Développement et l’ONG NADI BASSAR (Tunisie). Cette campagne débutera par une série de sensibilisations et de consultations foraines, et rentrera dans sa phase opérationnelle avec 500 malades de la cataracte.

Avec AIP

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Le premier ministre, Daniel Kablan Duncan a réceptionné, jeudi, à Abidjan, l'annuaire du Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (COCVOF-CI), lors d’une audience accordée aux initiatrices de ce projet qui plaident pour "l'application d’un quota d’au moins 30%"  de leur participation dans la gestion des affaires publiques.

La conseillère spéciale du président de la République chargée du genre et des affaires sociales, Jeanne Peuhmond, chef de la délégation a exprimé cette volonté des femmes ivoiriennes, se fondant sur le fait que "le gouvernement peine à appliquer les recommandations sur la responsabilisation des femmes".

Aussi, a-t-elle plaidé pour l’implication personnelle du Premier ministre, afin d'exhorter les institutions publiques et privées à aller vers l’application d’un quota d’au moins 30%  de la participation des femmes ivoiriennes dans la gestion des affaires publiques et politiques. Elle a également demandé le soutien du gouvernement pour mener à bien "ce programme innovant" du compendium des compétences féminines.

M. Duncan a rassuré ses interlocutrices quant à la volonté du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, de tout mettre en œuvre pour réduire les inégalités entre hommes et femmes.

L’annuaire des compétences féminines, a dit Mme Peuhmond, comporte plus de 10 000 femmes dont plus de 1003 cadres de haut niveau, classées par ordre alphabétique  et par compétence.

 

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Les résultats du concours du CAFOP Session 2015 viennent d'être proclamés par la DECO ce jeudi 4 juin 2015. Pour consulter la liste des admissibles, CLIQUEZ ICI!

 

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Un accord cadre d’achat d’électricité a été signé ce mercredi 3 juin entre Platinum Power et l’Etat ivoirien sous le haut patronage de SE le Président Alassane Ouattara et de SM le Roi Mohamed VI, et en présence effective de Adama Toungara, Ministre du Pétrole et de l’Energie de Côte d’Ivoire ainsi que des plus hautes autorités ivoiriennes et marocaines.

Platinum Power, opérateur africain dans le secteur de l’énergie, de l’eau et de l’environnement, poursuit ainsi le développement de trois complexes hydroélectriques en Côte d’Ivoire. Ceux-ci répondent à la volonté de l’État de Côte d’Ivoire d’accroître sa capacité en matière de production d’énergie électrique par la valorisation de son potentiel hydroélectrique. SE le Président Ouattara n’a pas manqué de rappeler, lors du discours d’ouverture des travaux de l’assemblé annuelle de la BAD la semaine dernière, que « seuls 5 % du potentiel hydroélectrique de l’Afrique est utilisé. L’ensemble des pays d’Afrique subsaharienne produit moins d’énergie qu’un seul pays d’Europe. »

Historique du développement de trois barrages en Côte d’Ivoire

Les complexes hydroélectriques mis en développement par Platinum Power en Côte d’Ivoire représentent une puissance potentielle globale de 300 MW, soit 15 % de la puissance installée supplémentaire que le gouvernement ivoirien ambitionne d’ajouter pour atteindre 3500 MW en 2020, et un investissement de 7 Milliards de Dirhams (soit 450 Milliards FCFA). Le développement de ces projets a été amorcé en février 2014 par la signature d’un Protocole d’Accord entre Platinum Power et l’Etat de Côte d’Ivoire.

Au vu des progrès accomplis sur les différents projets, un second protocole d’accord a été signé avec le Ministère du Pétrole et de l’Energie ivoirien en janvier 2015 à l’occasion du

Forum marocco-ivoirien, placé sous la présidence effective de SM le Roi Mohamed VI et de

SE le Président Alassane Ouattara. Ce second protocole a renforcé la portée du premier en étendant les prérogatives de Platinum Power aux projets de production d’énergie électrique à partir de sources conventionnelles. Il lui a également donné accès à d’autres projets d’infrastructures, notamment au transport de l’énergie.

La démarche de développement des projets de Platinum Power est accompagnée par la

Société des Energies de Côte d’Ivoire (CI-Energies), qui agit en tant que maître d'oeuvre du

Ministère du Pétrole et de l’Energie ivoirien pour l’exécution des deux protocoles signés.

Un projet ambitieux qui avance à grand pas

Les obligations de Platinum Power dans ce cadre portent sur le développement, le financement, la construction et l’exploitation de ces centrales, ainsi que sur les installations de raccordement au réseau national ivoirien.

Depuis l’accord de janvier 2015, Platinum Power, accompagnée par ses partenaires de référence internationale – ‘Tractebel Engineering France' pour les études de faisabilité topographie ; LiDAR, pour les travaux géotechniques et géophysiques ; ‘Burgeap Côte d’Ivoire’ pour l’expertise environnementale et socio-économique ; ainsi que le cabinet d’avocats ‘Linklaters’ pour le conseil juridique et contractuel – a réalisé une avancée considérable sur les projets de Gao et de Tayaboui.

En savoir plus sur Platinum Power

Platinum Power SA est un opérateur africain spécialisé dans le développement, le financement, la construction et l’exploitation de projets de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Véritable pionnier dans son secteur, cet opérateur indépendant d’énergie est présent au Maroc, en Côte d’Ivoire, au Cameroun et au Sénégal, avec un pipeline de près de 1 000 MW de projets hydroélectriques et éoliens.

Platinum Power est une société marocaine, dont l’actionnaire de référence est le fonds

Américain Brookstone Partners, un  fonds d’Investissement américain basé à New York, qui est présent sur le continent africain depuis cinq ans via son entité africaine Brookstone Africa, la première entité à avoir reçu le statut Casablanca Finance City au Maroc.

Abdoul Razak Dembélé, avec Platinum Power

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