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S’il est une ville de Côte d’ivoire dont l’histoire et l’influence riment étroitement avec Islam, c’est bien Bondoukou. Cette ville du nord-est, considérée comme l’une des plus vieilles du pays est, avec la ville de Korhogo, l’un des berceaux de la religion musulmane en Côte d’ivoire.
Son architecture atypique, constituée d’innombrables mosquées, lui confère une allure de ville ‘’sainte’’, d’où son appellation de ‘’ville aux milles mosquées ‘’. Cela est encore plus perceptible durant la période du Ramadan, où la ville est littéralement prise d’assaut par des milliers de pèlerins, en quête de purification et de savoir auprès des grands maîtres coraniques, gardiens des secrets du Saint Coran.
Au delà de cet aspect religieux, Bondoukou est une ville dont le charme et l’hospitalité ne laissent aucun touriste indifférent. Outre son architecture, la ville regorge de nombreux sites touristiques et espaces de détente qui sauront, à coup sûr, égayer le touriste de passage dans la capitale du « Gontougo ».
La mosquée Koudouss
Bâtie par feu l’Imam El Hadj Koudouss (d’où son appellation), elle est la plus belle et la plus grande de toutes les mosquées de la ville. Elle se dresse majestueusement et symbolise, à elle seule, la forte prédominance de la religion musulmane dans la ville. Elle est un lieu de culte qui attire chaque année des milliers de pèlerins de la sous-région..
La résidence de Samory Touré
Construite par Abakary Touré, riche commerçant local, elle fut bâtie par des maçons venus de Djenné (Mali) en 1800 et aurait servi de résidence au célèbre conquérant africain Samory Touré. Bien que cette information soit contestée, cet édifice à l’architecture de type sahélien constitue un objet de curiosité pour bon nombre de visiteurs
La première case de Bondoukou
Son histoire est étroitement liée à celle de la ville. Selon la légende,Taki Adreré fondateur de la ville de Bondoukou, voulant convaincre les siens d’habiter la case qu’il avait construit leur cria ‘’Gontougo’’ qui signifie :’’le bonheur est pour bientôt’’. Aujourd’hui, cette case, qui se visite que le 25 décembre à l’occasion de la fiago (feu de brousse), figure parmi les sites les plus visités de la ville.
Restaurants
Au-delà des spécialités européennes qu’offrent les restaurants de la ville, vous prendrez plaisir à découvrir les délices d’une gastronomie locale qui s’articule autour de l’igname, tubercule populaire dont la Côte d’Ivoire est troisième producteur mondial.
Shopping
Faites un tour le long des artères du centre-ville et vous pourrez apprécier les parures et accessoires typiques du pays Abron ainsi que des articles en tout genre provenant des pays frontaliers que sont le Ghana et le Burkina Faso.
Hôtels
La ville de Bondoukou dispose de quelques établissements que vous retrouverez sur www.jovago.com , site de réservation d’hôtels numéro 1 en Côte d’ivoire et en Afrique.
Sécurité
Bondoukou bénéficie d’une sécurité naturelle que lui confère son statut de ville ‘’sainte’’. Cependant, la présence d’une brigade de gendarmerie et d’un poste de police dans la ville, rappellent que les autorités mettent un point d’honneur à assurer la sécurité des biens et des personnes.
Insolite
De par sa situation géographique Bondoukou est un carrefour des civilisations. En effet, la ville est le chef-lieu d’une région frontalière de deux pays à la fois. Le Ghana dont elle est voisine du coté Sud-est et le Burkina Faso du côté Nord-est.
Après avoir organisé avec "succès" dans le "calme" et "sans violence" deux meetings à Abidjan, les proches de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo réunis au sein de la Coalition nationale pour le changement (CNC, opposition ) affirment avoir "vaincu la peur" pour mener désormais des activités politiques sur l’ensemble du territoire national.
Leur deuxième meeting à Abidjan, s’est déroulé, samedi, encore dans le calme à Koumassi (Sud d’Abidjan), après le premier organisé la semaine dernière à Yopougon, commune située dans l’Ouest de la capitale économique ivoirienne.
"N’ayez plus peur, réveillons-nous parce que je suis convaincu que la victoire est proche", a lancé le Député Bertin Konan Kouadio dit KKB, reconnaissant toutefois que le "chemin est encore long".
"Alassane Ouattara ne peut pas gagner d’élection en Côte d’Ivoire et n’a jamais gagné d’élection en Côte d’Ivoire", a-t-il insisté, sous les vivats des militants rassemblés à la Place Incha Allah (Si Dieu le veut) de Koumassi, annonçant dans la foulée que le prochain meeting aura lieu à Abobo avant la Place de la République au Plateau, le quartier administratif et des affaires d’Abidjan.
"La peur est terminée. Nous l’avons vaincu", lance un militant, le visage inondé de grosses goutes de sueur, sous un soleil accablant. De son côté, Laurent Akoun s’exprimant au nom des frondeurs du Front populaire ivoirien (FPI) incarnés par Abou Drahamane Sangaré, a soutenu que "la CNC est une équipe pour gagner le changement".
"Tant que celui qui est là au niveau de la Commission électorale (Youssouf Bakayoko) doit organiser les élections, on ne se recensera pas", a-t-il ajouté, soulignant que "nous qui sommes un segment important du peuple ivoirien n’accepterons pas d’être mis à l’écart". M. Akoun a également appelé au respect de la constitution ivoirienne, notamment en son article 35.
"Vous êtes extraordinaires pour votre engagement (...) La nouvelle Côte d’Ivoire est née", a renchérit l’ex-Premier ministre Charles Konan Banny qui avait à ses côtés sur le podium, Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président ivoirien.
Pour lui, l’objectif de la CNC est d’obtenir la gouvernance du pays. "Le processus de libération de Laurent Gbagbo et des autres prisonniers est en marché (...)", a conclu M. Banny fortement ovationné par les militants.
Mise en place le 15 mai dernier à l’issue de la signature d’une charte, la CNC regroupe 19 partis politiques et mouvements proches de l’ancien Chef de l’Etat Laurent Gbagbo détenu à la Cour pénale internationale (CPI ) depuis fin novembre 2011.
APA
Un nouveau conseil d’administration a été installé avec la nomination d’un nouveau président à la bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) et le dépositaire central/banque de règlement (DC/BR) au terme de leur assemblée générale ordinaire tenue, jeudi, à Abidjan.
Au terme de la première réunion du nouveau conseil d’administration issue de cette assemblée, Pierre Goudiaby Atepa a été élu président des conseils d’administration de la BRVM et du DC/BR en remplacement de Gabriel Fal, selon un communiqué de presse de l’institution.
Le tout nouveau président des Conseils d’Administration entend poursuivre la politique de développement des deux institutions sous-régionales entamée sous la houlette de son prédécesseur à qui il n’a pas manqué de rendre un "hommage appuyé" pour son action à la présidence de la BRVM et du DC/BR.
Trois nouveaux administrateurs entrent également au conseil d’administration. Il s’agit de Daouda Coulibaly, représentant la SGI Africaine de Bourse, Francis Padonou, représentant la SGI BIBE Finance & Securities et Patrick Brochet, représentant la SGI Impaxis Securities.
AIP
Le ministre ivoirien de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, a procédé le jeudi 25 juin 2015, à l’inauguration du nouveau marché de volaille moderne au centre-ville de la commune de Koumassi située au sud d’Abidjan.
Cet espace commercial a été réalisé en lieu et place de l’ancien marché de volaille appelé communément appelé "marché poulets", situé non loin de la célèbre "Place Inch’ Allah’’, vise selon M. Bakayoko à permettra aux populations de " mieux vivre, leur garantissant un meilleur commerce".
Fiche technique
Ce marché, qui est une initiative de la mairie de Koumassi, a été construit en BOT par le groupe BMA, entreprise spécialisée dans l’immobilier et l’aménagement des grands sites. Il est implanté sur une superficie de 3265 m², et dispose de toutes les commodités modernes : boucherie, poissonnerie, abattoirs de poulets, chambres froides. Il comprend 44 magasins, 44 box, 2 blocs sanitaires, 700 étales pour vivriers et divers, 37 pour poulets, 18 pour la boucherie, pour la poissonnerie, 2 chambres froides, deux abattoirs pour poulets. Il a coûté 715,084 FCFA.
Armand Tanoh
Karim Ouattara, ex-conseiller à la CDVR et leader de Jeunesse est l’invité du « Café des élections », une tribune initiée par l’Association ‘’Communicateurs pour la Paix et le développement’’ (COMPAD) à la Maison de la presse au Plateau, selon un communiqué dont copie nous est parvenue.
Le ‘’Café des élections’’ s’inscrit dans la noble vision d’encourager et de renforcer la synergie entre les différents acteurs de la vie sociale ivoirienne, à la création d’un environnement propice à la tenue d’un scrutin présidentiel apaisé en 2015 à tous les niveaux, en facilitant le dialogue entre les acteurs politiques, y compris les représentants de la société civile et les partis politiques etc.
Pour Patrick Krou, coordonnateur général de cette Association, le ‘’Café des élections’’ permettra de jeter les bases d’un environnement serein, apaisé, propice aux débats d’idées dans le respect des règles démocratiques et des engagements pris. Toute chose qui cadre bien avec ses objectifs tels que Favoriser un processus électoral apaisé, Encourager les populations à s’impliquer résolument dans la création d’un environnement apaisé avant, pendant et après l’élection présidentielle, Informer les différents acteurs de leurs rôles et leurs responsabilités dans le processus électoral, etc.
C’est pourquoi, le thème de ce premier café est : «Présidentielle 2015: Quel choix pour la jeunesse» prévu pour le samedi 4 juillet à la Maison de la Presse(à 10heures).
L’Association ‘’Communicateurs pour la Paix et le développement’’ (COMPAD) a été créée en juin 2014. Elle est composée de journalistes, animateurs, cadreurs, chargés de communication, attachés de presse, producteurs, techniciens et autres hommes de média. Sa mission la création d’une plateforme de propositions jouant le rôle de contrepoids, dont la mission première consistera à éveiller les consciences, mais aussi et surtout à jouer un rôle catalyseur pour l’essor du développement socio-économique de la Côte d’Ivoire.
Daniel Coulibaly
"Le 19 juin, alors que je me rendais à la mosquée, des forces de l’ordre gabonais m’ont arrêté pour un contrôle de pièces d’identité. Je leur ai expliqué que j’avais oublié mes pièces à la maison, mais ils m’ont embarqué de force pour la Côte d’Ivoire sans même me laisser le temps de prévenir mes deux femmes et mes neufs enfants restés au Gabon". Ce récit bouleversant du vieux Soumahoro Mamadou, 62 ans, devient révoltant quand ce dernier affirme qu’il était à sa trentième année de résidence au Gabon. Comme ce sexagénaire, huit autres ivoiriens ont subit le même sort.
Ces neuf personnes, arrivées en Côte d’Ivoire sans le moindre sou, ont reçu une aide du gouvernement ivoirien le vendredi 27 juin à Abidjan, qui leur a été remis à Abidjan par le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, et celui l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, rapporte l’AIP.
Chacun d’entre eux a reçu un kit comprenant une enveloppe de 100 000 FCFA, de vivres et non vivres précisément du savon, du riz, des pâtes alimentaires, des nattes, des seaux de bains.
Un acte inamical pour un allié
Si pour l’heure les autorités ivoiriennes n’ont pas encore réagi à ces rapatriements, pour le moins embarrassant, de leurs compatriotes par un pays ami comme le Gabon, il n’en demeure pas moins que forme de cette procédure d’expulsion contraste nettement avec l’excellence des relations entre les deux pays depuis plusieurs décennies. Et qui se sont encore plus renforcées ces dernières années, avec l’avènement des autorités actuelles des deux pays.
Fort de cette bonne coopération, les gouvernements ivoiriens et gabonais ont conclu, en novembre 2014 à Yamoussoukro, cinq accords de coopération, dont l’un relatif à la suppression des visas entre les deux pays pour les passeports diplomatiques et de service et officiels.
Vraiment dommage pour des relations diplomatiques qui remontent depuis le 31 décembre 1966, et pour deux Etats qui coopèrent étroitement au plan politique et diplomatique depuis leur accession à l’indépendance, respectivement les 07 août 1960 pour la Côte d'Ivoire et 17 août 1960 pour le Gabon. Un poignard dans le dos de l'intégration africaine.
Armand Tanoh
Le taux de réussite à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC), session 2015, est de 58,62%, a annoncé samedi le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique par la voix de la première responsable de la Direction des examens et concours (DECO), Dosso Nimaga Mariam.
Lors d'un point presse organisé à Abidjan, Mme Dosso a noté que ce taux de réussite de 58,62% connaît une nette amélioration par rapport à ceux des deux années précédentes qui étaient de 57,43% en 2014 et de 40,22% en 2013.
La proclamation des résultats est prévue pour ce samedi à 14H.
AIP
La Fédération ivoirienne de football (FIF) a réalisé un excédent budgétaire de 320 millions de francs CFA au titre de l’année 2014, a révélé le président de cette instance, Augustin Sidy Diallo, à l’ouverture de l’Assemblée générale ordinaire, au siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) dite La Maison de l’Entreprise, au Plateau.
Selon Sidy Diallo, la saison sportive 2013-2014 fut une des plus radieuses au vu des performances tant au niveau des clubs que des équipes nationales avec l’accession du Séwé Sport de San Pedro en finale de la ligue africaine de football et la qualification de toutes les catégories des sélections nationales aux phases finales des coupes continentales.
Il a remercié tous les acteurs du mouvement sportif ivoirien qui ont contribué à hisser le football ivoirien à un si haut niveau et sollicité leur appui pour maintenir le cap à travers des contributions constructives au cours des assises de l’assemblée dont il a plaidé qu’elle se déroule dans un esprit apaisé.
« Nous sommes ensemble pour le meilleur et pour le pire. J’invite tout le monde à être positif. J’attends de vous une participation apaisée. Je voudrais que notre sport soit une famille », a préconisé le président de la Fédération aux 74 délégués présents aux assises sur les 81 initialement attendus.
Cette AGO a été rehaussée de la présence de Laurent Dona Fologo qui a été ministre de la Jeunesse et des Sports sous le régime d’Houphouët-Boigny, a-t-on constaté.
AIP
Les Nations-Unis ont proclamé le 26 juin de chaque année journée internationale de soutien aux victimes de torture. Cette journée vise une mobilisation mondiale pour son abolition, à lutter contre l’impunité des tortionnaires et du droit à réparation des victimes. En Côte d’Ivoire, une coalition d’ONG de Défense de droits de l’Homme a marqué cette journée par un panel sous le thème : « La prise en charge des victimes de torture en Côte d’Ivoire » au siège de la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté à Cocody-Danga.
…Faire de la Côte d’Ivoire, un eldorado des Droits de l’Homme
Ce qu’il faut retenir de ce panel, c’est que la coalition est unanime pour dire non aux actes de torture qui, malheureusement, sont une réalité en Côte d’Ivoire. Et qu’aucune disposition du code pénal ne permet de punir ses auteurs. Pourtant l’article 3 de la Constitution ivoirienne interdit… les traitements inhumains et cruels, dégradants et humiliants, la torture physique ou morale,(…). C’est pourquoi, pour mettre fin à cette impunité, elles recommandent, entre autres, la ratification du protocole facultatif contre la torture(OPCAT) par l’Etat ivoirien, afin de mettre en place un mécanisme national indépendant de protection des droits de l’homme, la révision du code pénal et le code de procédure pénale à l’effet de définir, de criminaliser et interdire la torture sous toutes ses formes, rétablir les victimes de torture dans leur droit tout en les prenant spécifiquement en charge parmi celles de la guerre etc.
M. Bakayoko Ibourahema, Directeur de la protection, représentant le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, a rassuré les ONG du soutien de l’Etat à combattre cette pratique, et surtout punir les auteurs. « L'Etat est à vos côtés pour lutter contre l’impunité des ennemis de l’humanité qui sont les tortionnaires. La Côte d’Ivoire en signant la Convention contre la torture en 1995 s’engageait à lutter contre cette pratique. Elle travaille à la criminalisation des actes de torture », a-t-il soutenu, ajoutant que le chef de l’Etat veut faire de la Côte d’Ivoire, un eldorado des Droits de l’Homme, même si beaucoup reste à faire.
Réparation et justice aux victimes
Les résultats d’une enquête conduite par la commission nationale d’enquête(CNE), pendant la crise post-électorale, révèlent 296 cas de torture qui ont entraîné la mort, 1354 cas de torture et 1135 cas de traitements cruels, inhumains et dégradants. La coalition trouve donc salutaire le fonds d’indemnisation des victimes de guerre créé par le président Alassane Ouattara, et confié à la CONARIV(Commission nationale de réconciliation et d’indemnisation des victimes de guerre).
Selon Mme Konaté Dindio de la CONARIV, la Commission est à la phase d’enregistrement de toutes les victimes de la guerre y compris celles de la torture. Et suivra la phase d’indemnisation.
« Il faut accorder réparation et justice aux victimes de torture en Côte d’Ivoire… », soutient, pour sa part, Paul Angaman de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture en Côte d’Ivoire(ACAT-CI) et président de cette coalition.
La section Côte d’Ivoire d’Amnesty International par la voix de son coordinateur de campagne, Kangoyé Ismaïla, a indiqué que 141 pays à travers le monde pratique la torture comme moyen pour obtenir des victimes des aveux, des informations ou tout simplement comme une forme de punition. C’est pourquoi, l’organisation a lancé « Stop Torture » le 13 mai 2014 afin d’attirer l’attention des gouvernants du monde entier sur cette pratique humiliante. « En Côte d’Ivoire, il est temps de rendre justice et réparation aux nombreuses victimes de la torture », a-t-il souhaité.
Mme Sophie Konaté, chargé de programme de la Fondation Fondation Friedrich Naumann, dont le siège a servi de cadre pour cette manifestation a dit sa joie d’accompagner les ONG des Droits de l’Homme dans leur combat pour mettre fin aux actes de torture et demander réparation pour ses victimes. « Il faut que les victimes de la torture soient spécifiquement prises en compte parmi celles de la guerre afin qu’elles obtiennent justice et réparation », a-t-elle dit.
Des sous-thèmes ont été présentés selon l’ordre par Paul Angaman, coordonnateur de l’ACAT-CI : « Qu’est-ce que la torture ? » ; Yvon Madofe de l’ONUCI sur : «Le droit à la réparation des victimes de la torture » ; Mme Konaté Dindio de la CONARIV sur : « Le mandat et missions de la CONARIV ».
Une coalition d’ONG pour l’abolition de la torture
La coalition des ONG pour l’abolition et la criminalisation des actes de torture est constituée de : l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture(ACAT-CI), le Mouvement ivoirien des droits humains(MIDH), la coalition ivoirienne de la cour pénale internationale(CI-CPI), l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire(AFJCI), SOS Exclusion, l’Observatoire ivoirienne des droits de l’Homme(OIDH), la ligue ivoirienne des droits de l’homme(LIDHO), l’Organisation mondiale contre la torture(OMCT).
Daniel Coulibaly
(Une proposition de La Diplomatique d'Abidjan et son partenaire JOVAGO)
Si les belles mosquées de l’époque ont aidé à l’implantation de l’Islam, il n’en demeure pas moins que certaines d’entre elles, ont fait et continuent de faire aujourd’hui encore l’objet d’une attention toute particulière du fait de leur splendeur. A ce titre, elles représentent des sites hautement touristiques qui contribuent à promouvoir le tourisme religieux en Côte d’Ivoire.
Aussi à l’occasion du mois sacré de Ramadan, l’équipe de jovago.com, acteur du tourisme ivoirien, vous propose un top cinq des plus belles mosquées du pays.
1- La mosquée du Plateau (Abidjan)
Entamée depuis une dizaine d’années déjà, la mosquée du Plateau est l’un des édifices religieux les plus imposants et les plus modernes du pays. Sa capacité d’accueil (9500 places), son amphithéâtre, ses bureaux, son parking ultra modernes, de même que le minaret long de soixante-cinq mètres, en font l’une des mosquées les plus belles de la sous-région.
2- La grande mosquée de la riviera 2 (Abidjan)
Dernier édifice religieux offert par feu le président Houphouët Boigny à la communauté musulmane de Côte d’Ivoire, il fut inauguré en 1987. En attendant la fin des travaux de celle du plateau, la mosquée de la Riviera 2 reste l’un des lieux de culte les plus visités par les autorités locales ou non, qui s’y rendent lors de leur séjour en Côte d’Ivoire ou à l’occasion de grandes cérémonies musulmanes.
3- La mosquée Koudouss (Bondoukou)
Symbole de la forte influence de l’Islam dans la région, la mosquée Koudouss est considérée comme l’une des plus vieilles mosquées de Côte d’Ivoire. Elle fût construite par l’une des figures emblématiques de l’Islam, l’Imam El hadj Koudouss. Bien que bâtie depuis plus d’un siècle, elle a su garder son éclat et sa récente a contribué à lui redonner toute sa splendeur et sa beauté.
4- La grande mosquée de Yamoussoukro
La grande mosquée de la ville constitue avec la Basilique Notre Dame de la Paix, l’un des joyaux architecturaux qui fait la fierté de la capitale politique de la Côte d’Ivoire. Construite par le président Houphouët Boigny, cette mosquée à l'architecture traditionnelle figure parmi les lieux de culte les plus visités du pays. En effet, rares sont les dirigeants et touristes musulmans qui passent à Yamoussoukro sans y adresser une prière à Allah.
5- La mosquée de Marcory
C’est l’une des mosquées les plus récentes du pays. Elle a été bati en 2007 par la communauté libanaise ‘’Al Gadhir’’ vivant en Côte d’Ivoire, avec à sa tête l’imam Kobéissi. Son architecture moyenne orientale ainsi que la qualité de ses infrastructures (clinique, centre culturel, boutiques) font d’elle, l’une des mosquées les plus modernes du pays.
Armand Tanoh, avec Jovago