Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Ils sont tombés dans les bras l'un de l'autre dans le hall de l'aéroport de Tijuana. La Californienne Hope Holland et son fils Jonathan, enlevé par son père à l'âge de 3 ans et élevé au Mexique, se sont rencontrés pour la première fois depuis 15 ans, mercredi 1er juillet, rapporte l'antenne de San Diego de la chaîne de télévision abc (en anglais).

Sans nouvelle de son fils pendant toutes ces années, la maman l'a reconnu sur sa photo de profil Facebook : une photo de lui et de son frère dans le bain, prise peu de temps avant son enlèvement. Et pour cause, c'est elle qui avait pris le cliché, rapporte le site de la chaîne.

Ils avaient "liké" la même page sur le réseau social

"J'ai fondu en larmes, mes mains et tout mon corps tremblaient...", a expliqué Hope Holland, se souvenant du moment où, après avoir "liké" une page, elle a reconnu son fils sur la photo de cet internaute dont le profil lui avait été soumis par l'algorithme de Facebook. "C'est un miracle", a commenté la mère, relevant cet incroyable hasard.

Jonathan, aujourd'hui âgé de 18 ans, avait mis cette photo de lui enfant comme photo de profil, dans l'espoir d'être reconnu par un membre de sa famille, a expliqué le site de la chaîne ABC (en anglais).

Après avoir échangé tant bien que mal par téléphone, le jeune homme ne parlant pas l'anglais, il a pu rendre visite à sa mère grâce à des fonds levés sur internet. En visite pendant deux mois, il retournera au Mexique pour finir le lycée et a fait part de son intention de s'installer en Californie pour y faire ses études supérieures, auprès de sa maman.

Source: msn.com

 

Comment

(Une proposition de la rédaction de La Diplomatique d'Abidjan, en partenariat avec notre JOVAGO Côte d'Ivoire)

Les professionnels du monde des arts et de la culture ivoirienne peuvent se réjouir. La réouverture du palais de la culture, leur palais de la culture,  qui, quatre années durant, était fermé pour cause de réhabilitation vient de rouvrir ses portes

Cette réhabilitation, fruit de la coopération ivoiro-chinoise,  intervient au moment où la Côte d’Ivoire se cherchait  toujours un véritable temple  dédié  à  l’art et à  la  culture sous toutes ses formes : concerts, festivals, vernissage, expositions, pièces de théâtre, spectacles de danse, etc.

Pourtant rien ne laissait présager que ce joyau architectural, bâti en 1 , sombre pendant plusieurs années dans le chaos et le délabrement total. a crise post électorale  de 2011  a vu ses installations endommagées, pillées et saccagées.

Ces souvenirs relèvent du passé désormais puisque la quasi totalité de l’édifice a été remis à neuf.

Le résultat est remarquable au vu des  24 milliards de FCFA investis par le gouvernement. La salle ‘’Anoumabo’’ a été complètement refaite,  de même que les  sept salles internes  qui ont été en plus, dotés de matériel techniques de dernières générations. De nouvelles annexes ont également  été construites  pour accroitre la capacité d’accueil du palais qui affiche déjà une programmation  complete jusqu’à août 2016 au moins. Une rehabilitation  quasi parfaite à tout point de vue qui devra être au cœur de l’actualité  socio-culturelle  pendant ces vacances scolaires.

La réouverture de ce Palais, replace Abidjan parmi les grandes capitales culturelles  africaines  et dote la Côte d’Ivoire d’une œuvre supplémentaire que des acteurs majeurs du tourisme  africain tels que jovago.com entre autres contribuent à  mettre en lumière pour une meilleure promotion du tourisme ivoirien.

 

Comment

Depuis les menaces d’attaques proférées par le groupe terroriste Ansar Dine contre la Côte d’Ivoire et la Mauritanie, les autorités ivoiriennes multiplient les mesures de prévention. Des troupes ivoiriennes mènent depuis le début de la semaine, des opérations de ratissage au Sud du Mali, aux côtés des forces maliennes et onusiennes. Ansar Dine qui a revendiqué plusieurs attaques menées récemment dans des localités maliennes très proches de la Côte d’Ivoire, entend cibler le pays par des attaques, pour "sa collaboration avec les ennemis de l’islam", en référence à l’engagement de ses soldats au Mali.

Selon le journaliste Lemine Ould Salem, auteur du livre "Le Ben Laden du Sahara", les autorités sous-estiment le danger. Invité de la Radio RFI ce vendredi 3 juillet 2015, il donne les raisons qui, selon lui, pourraient justifier cet intérêt des groupes jihadistes  pour la Côte d’Ivoire. Décryptage.  

Premier enjeux, les intérêts français

« N’oubliez pas que la Côte d’Ivoire fait partie de cette région d’Afrique de l’Ouest qui a toujours été une cible majeure pour les groupes jihadistes qui étaient présents dans le nord du Mali. [...]La Côte d’Ivoire est non seulement le pays le plus riche de la sous-région, mais aussi symbolise tout ce qui, chez les jihadistes, peut justifier des actions. Notamment le lien avec la France, la grande présence économique française, mais également la présence militaire française. D’autant plus que les groupes jihadistes comprennent quelques éléments ivoiriens. Les habitants de Tombouctou et de Gao se souviennent de la présence d’Ivoiriens parmi les jihadistes qui avaient occupé ces villes en 2012», Lemine Ould Salem. 

La menace pas encore perçue en Côte d’Ivoire

"Ce qui rend plus facile pour ces groupe d’agir en Côte d’Ivoire, c’est que jusqu’ici, c’est qu’il me semble que les ivoiriens n’ont pas encore perçu la menace que représente ces groupes sur leur territoire. Tout comme dans le temps, la menace avait été sous-estimée en Mauritanie, (…) tout comme au Mali, j’espère que les Ivoiriens ne feront pas la même erreur", prévient le journaliste. 

Conseil, renforcer le dispositif du renseignement

Pour faire face à cette menace, Lemine Ould Salem conseille aux autorités ivoiriennes la mise en place d’un "observatoire de ces cellules religieuses", qui foisonnent les pays d’Afrique de l’ouest. Pour lui, "la mise en place d’organismes chargés d’analyser, pour pouvoir éventuellement anticiper sur l’évolution d’un certain nombre de pratiques" est nécessaire. Il faut "absolument" améliorer les services de renseignements, dit-il.

"Si par exemple les Algériens ont réussi à un moment donné à affaiblir la menace jihadistes chez eux, c’est en partie dû au travail d’infiltration de ces groupes. Donc la priorité aujourd’hui pour les Ivoiriens, c’est un département de renseignements, avec des gens formés, capables de comprendre ces groupes, de les approcher, notamment des arabisants par exemple", recommande-t-il.

Abdoul Razak dembélé, avec RFI

Comment

L’Etat de Côte d’Ivoire, sur les 413,25 milliards F CFA prévu dans le cadre du premier contrat de désendettement et développement (C2D) conclu d’accord partie avec la France, a remboursé 340 milliards F CFA, 82%, selon le bilan financier présenté par le secrétariat technique du C2D.

D’après ce bilan, sur les 340 milliards, 253 milliards, soit 75% ont été décaissés et injectées dans l’économie ivoirienne.

Dans le cadre de ce premier C2D qui couvre la période 2012-2015, 14 conventions d’affectation ont signées depuis le 1erdécembre 2012 et couvre six secteurs prioritaires.

Il s’agit entre autre, de l’éducation, la formation et l’emploi, la santé et la protection sociale, l’agriculture, le développement rural et la biodiversité,.

"Les choix des projets sont faits d’accord-partie entre le gouvernement de Côte d’Ivoire et la France et le choix de ces projets tiennent compte du programme de développement de la Côte d’Ivoire notamment les projets qui sont dans le PND" a expliqué le président du comité technique bilatéral, Théophile Ahoua N’doli indiquant le C2D est un élément de "bonne gouvernance".

Le C2D est né à la suite de l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE qui a permis à la Côte d’Ivoire d’obtenir une annulation sèche de 600 milliards F CFA de sa dette due à la France et le reste 1900 milliards a été reconverti en programme de développement et de lutte contre la pauvreté.

"Le C2D a pour objectif d’appuyer le gouvernement dans sa politique de développement et dans sa politique de bien-être des populations",  a indiqué le président du comité technique bilatéral lors d’une rencontre, jeudi, avec les médias nationaux et internationaux pour la présentation de ce programme.

 

Le deuxième C2D  d’un montant de 738 milliards F CFA, sur la période 2014-2020, a été signé entre les deux pays, le 03 décembre 2014. L’instruction des projets est cours, souligne-t-on.

Avec AIP

Comment

Une délégation du quotidien burkinabé, le Sidwaya, a rendu une visite de courtoisie à l’Agence ivoirienne de presse (AIP), vendredi à Abidjan, au cours de laquelle, elle l’a invitée au lancement officiel de ses produits numériques, prévu lundi.

Cette cérémonie sera placée sous la coprésidence du ministre burkinabé de la Communication chargé des relations avec le Conseil national de la transition (CNT), Frédéric Nikiéma et la ministre ivoirienne de la Communication, Me Affoussiata Bamba Lamine.

Les produits numériques du Sidwaya se déclinent en un site web pour l’Agence d’information du Burkina (AIB), un site web pour le quotidien Sidwaya et un support mobile à l’endroit de la diaspora.

Sidwaya est le quotidien gouvernemental burkinabé d’informations générales.

AIP

 

 

Comment

En vue de moderniser la gestion des plantations et de parvenir à la professionnalisation des producteurs d’hévéa, des applications informatiques sont en train d’être vulgarisées auprès des acteurs de la filière par le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA) et l’Association des professionnels du caoutchouc naturel (APROMAC).

Ces applications ont été présentées lors d’un atelier organisé vendredi à l’hôtel Tiama (Plateau, Abidjan) par les deux structures, sous le regard du ministère de l’Agriculture représenté par le directeur des Cultures de rente, M. Goré Bi.

Sur les nombreuses applications créées, figurent trois qui ont fait l’objet de cette présentation, en l’occurrence la Clinique phytosanitaire en ligne de l’hévéa (www.cliniquehevea-ci.com), la Gestion des plantations d’hévéa (GESPH) et le Programme d’identification clonale (PIC Hévéa).

Présentée par Pr Hortense Atta Diallo, la Clinique phytosanitaire en ligne de l’hévéa vise à contribuer à une meilleure maîtrise de ses maladies et à vulgariser les méthodes de lutte existantes.

C’est un instrument dynamique, consultable sur Internet, en vue de poser le diagnostic et de faire des recommandations de traitement aux planteurs. Ces derniers ainsi que les spécialistes et le public ont un accès libre à ce site pour se former, identifier les maladies à partir de photos et d’images mais aussi d’échanger à distance avec des chercheurs à travers une plateforme créée à cet effet.

Quant à la GESPH, elle est un logiciel gratuitement mis à la disposition des planteurs. Cet instrument qui est la propriété exclusive du FIRCA, agissant pour le compte de la filière représentée par l’APROMAC, propose aux producteurs un schéma de professionnalisation par l’assistance technique des acteurs majeurs de l’exploitation que sont le régisseur, les chefs d’équipe et les ouvriers.

Ce logiciel est donc un outil de contrôle des résultats obtenus sur les exploitations au profit des propriétaires, ce qui pourra les prémunir contre les dérives de leurs employés, notamment les vols de production et une mauvaise productivité de la plantation.

De son côté, le PIC Hévéa est une application résultant du projet "Elaboration d’une clé d’identification clonale" mis en œuvre dans le cadre du 2ème cycle de projets de la filière hévéa.

Pour assurer la vulgarisation de la clé d’identification, cette application informatique accessible aux potentiels utilisateurs participe à la formation des acteurs de la filière (planteurs, pépiniéristes, chercheurs, etc.) à la reconnaissance des clones d’hévéa vulgarisés en Côte d’Ivoire. A ce jour, cinq clones sont recommandés aux producteurs (GT1, PB 217, IRCA 41, IRCA 230, IRCA 331).

A l’ouverture de l’atelier, MM. N’Diaye Oumar et Attobra Akpagni, représentant respectivement le directeur exécutif du FIRCA et le président de l’APROMAC, ont tour à tour exhorté les acteurs à s’approprier ces outils qui ne valent que s’ils sont exploités.

Par ailleurs, au nom de M. Brédoumy Kouassi Soumaïla, directeur général des Productions et de la Sécurité alimentaire, M. Goré Bi a invité les gros producteurs d’hévéa à s’impliquer dans la mise en place de l’Interprofession de la filière. Ce processus démarré depuis 2013, s’il aboutit, permettra ainsi aux autorités d’avoir un interlocuteur crédible.

 

AIP

Comment

Il faut le dire. Les élections processus électoraux en cours dans certains pays d’Afrique de l’Ouest préoccupent sérieusement les Etats Unies d’Amérique. Et, ce, au plus haut niveau : Le président Barack Obama. En effet, la Sous-secrétaire d’Etat adjointe aux affaires de l’Afrique de l’Ouest du Département d’Etat, Bisa Williams, est arrivée jeudi 2 juillet à Abidjan, pour une visite de sept jours, qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée en Afrique de l’Ouest, notamment en Côte d’Ivoire, au Mali, au Togo, au Sénégal et en Guinée. En vue de discuter de l’importance des élections paisibles, transparentes et inclusives dans la région.

Au cours de sa visite, la Sous-secrétaire d’Etat adjointe rencontrera des membres du gouvernement et des leaders politiques ivoiriens et prononcera également un discours sur les élections à venir lors d’une rencontre avec des leaders d’organisations de la société civile, des responsables d’associations de femmes, des anciens boursiers du gouvernement américain, des associations de jeunes et des journalistes. 

L’ambassadeur Bisa Williams est fonctionnaire de carrière du Service diplomatique supérieur avec rang de Ministre-Conseiller.

Elle a servi comme ambassadeur des Etats-Unis auprès de la République du Niger de 2010 à 2013.

La Sous-secrétaire d’Etat adjointe aux affaires de l’Afrique de l’Ouest a également occupé des postes à l’ambassade américaine à l’Ile Maurice, en France, au Panama et en Guinée.

 

Parlant le français, l’espagnol et le portugais, l’ambassadeur Williams est titulaire d’un Master obtenu à National War College de la National Defense University à Washington, DC, et de l'Université de Californie, Los Angeles. Elle est aussi détentrice d’une licence avec mention cum de l’Université de Yale.

Avec AIP

Comment

Le ministère de l’Industrie et des mines a procédé, vendredi, à Abidjan, au lancement d'un projet d'appui direct aux entreprises opérant dans le secteur de développement de la transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire dont le coût global est de 7,9 milliards de francs.

Ce projet qui durera trois ans est une initiative du gouvernement ivoirien qui, "conscient de l’impact de la transformation des noix brutes sur le développement socio-économique", a adopté un programme en décembre 2013 visant "à atteindre un taux de transformation locale de ce produit de rente d’environ 16% en 2016 pour atteindre le seuil de 100% à l’horizon 2020".

Son financement s’inscrit dans un partenariat public-privé et concernera pour cette phase pilote de 16 entreprises de transformation déjà sélectionnées et qui bénéficieront d’encadrement d’au moins trois mois par des cabinets d’expertise avant le décaissement des fonds où la part de l’Etat ivoirien est de 4,7 milliards de francs CFA.

Ce programme s’appuie sur quatre composantes, à savoir la facilitation d’accès aux financements pour la transformation, l’amélioration de la qualité qui permettra de mettre en place un mécanisme d’appui, une aide à la commercialisation et le renforcement des capacités pour un accompagnement tant administratif, technique que technologique.

Le directeur de cabinet du ministère de l'Industrie, Gnamien Guillaume, représentant  le ministre Jean Claude Brou, a partagé la foi que les actions qui seront menées, permettront d’améliorer la capacité de transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire avant  d’inviter les opérateurs économiques à "s’inscrire dans une dynamique de transformation des matières premières agricoles" du pays.

"Le ministère de l’Industrie et des mines s’engage à soutenir les efforts d’investissement. Dans ce sens, nous continuerons à l’amélioration de l’environnement des affaires en levant les contraintes liées au développement industriel", a-t-il affirmé.

La Côte d'Ivoire occupe le premier rang africain des producteurs de noix de cajou et le deuxième rang mondial avec une production, en 2014, d’environ 500 000 tonnes. Les prévisions pour 2015 annoncent une production de plus 550 000 tonnes.

 

Armand Tanoh, avec AIP

Comment

L’institution le Médiateur de la République, a, par le truchement de son premier responsable, N’Golo Coulibaly, fait don, vendredi, de vivres à des associations musulmanes, ainsi qu’à des représentants d’organes de presse et au personnel de l’institution, un "soutien" pour le jeûne du Ramadan.

Ces dons d’une valeur de 3.500.000 FCFA, comprennent, notamment du lait, du sucre, de l’huile et du riz. Ils ont été remis à 22 associations musulmanes et 15 organes de presse.

Selon M. N'Golo, il est opportun d’accompagner en ce temps de pénitence, ceux qui prient non seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour la Côte d’Ivoire, estimant que c’est en reconnaissance de cette "ascèse", que ce geste est fait.

"Ce que nous donnons vaut non seulement par la valeur de ce qui est donné mais cela vaut aussi par l’intention et le bon cœur qui l’accompagne", a-t-il indiqué, souhaitant que "tout ce qui sera fait durant ce temps de carême, nous permette de repartir rénovés et blanchis de tous nos péchés".

Le Médiateur de la République a par ailleurs soutenu les propos de son secrétaire général, Pannan Coulibaly qui auparavant a souhaité un bon temps de carême aux musulmans, non sans les inviter à de  l’attention et de la vigilance au regard des menaces contre la Côte d’Ivoire, des groupes terroristes, notamment les djihadistes.

Le porte parole des bénéficiaires, Sindou Bamba de la communauté musulmane des aveugles de Côte d’Ivoire (CMACI), s’est félicité de ce geste "hautement symbolique" du Médiateur de la République, à l’endroit duquel il a dit sa reconnaissance.

"Ce don dénote de votre degré de foi et de votre grand humanisme, que Dieu vous le rende au centuple et que chaque année, par votre biais, nous en recevions davantage", a indiqué M. Bamba.

 

La communauté musulmane observe, depuis le 18 juin, le jeûne du Ramadan qui dure 29 ou 30 jours.   

Avec AIP

Comment

L’ancien directeur général d’Ecobank, Thierry Tanoh, licencié en 2014 après une longue crise de gouvernance, aurait remporté à Londres, son procès contre la banque panafricaine. Selon une source introduite qui en a fait l’annonce à l’AIP, vendredi, le verdict de la Haute Cour de justice de Londres est tombé et ce, encore en faveur de l’Ivoirien Thierry Tanoh.

 

Des décisions de justice avaient également été prises en faveur de Tanoh à Lomé et Abidjan où la banque avait été condamnée à lui verser respectivement des dommages et intérêts de 7,5 et 5,7 milliards de FCFA. Thierry Tanoh est actuellement le secrétaire général adjoint de la présidence ivoirienne.

 

AIP

Comment