Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La Magie des ondes, c’est désormais sur la fréquence "Radio Afrika". Titre du nouvel album du groupe ivoirien Magic System. Radio pour radio, pour la promotion de cette œuvre de belle facture, les "gaous" d’Anoumanbo seront sur SKYROCK, la plus grosse radio urbaine de France du Lundi 13 au Vendredi 17 Juillet 2015 de 18H à 19H en temps universel (20H – 21H Heure de France).    

Les artistes Soprano, Mokobé, Youssoupha et bien d’autres seront les invités du Groupe Ivoirien sur Skyrock.  Sorti le 29 Juin dernier à Paris, « Radio Afrika » est un opus aux couleurs chaudes et aux rythmes dansant sertis des mélodies harmonieuses d’une douzaine de chansons cultes de grands noms de la musique Africaine.  

C’est aussi un hommage rendu par « les Quatre Magiciens » aux artistes Africains, qui ont marqué de par leurs empreintes, les sonorités du continent.  « Radio Afrika » c’est 12 titres qui font voyager le mélomane dans le temps de 1967 à 2002 avec des reprises de tubes devenus cultes comme « Sweet Fanta Diallo » d’Alpha Blondy, « Dansez Pata Pata » de Myriam Makeba, « Emma » de Touré Kunda, « Assibonanga » de Jhonny Clegg, « Mandan » de Salif Kéita, etc .

A travers ce huitième album les enfants d’Anoumabo ont donné une couleur magique à des classiques de la musique Africaine. Les mélomanes Ivoiriens pourront écouter suivre MAGIC SYSTEM dès aujourd’hui (18H) sur www.skyrock.fr.

Armand Tanoh

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Le diplomate a déblatéré. Et sans diplomatie aucune. L’ex-ministre des Affaires étrangère de Côte de Essy Amara, candidat à la prochaine présidentielle dans son pays prévue en octobre 2015, n’est pas allé du dos de cuillère le vendredi 10 juillet 2015 pour clouer au pilori le régime d’Alassane Ouattara. Exit le langage diplomatique voilé qu’on lui connait. Depuis sa ville d’origine Kouassi-Datékro, l’homme n’est pas passé par quatre chemins pour accuser, lors d’un meeting devant ses parents, Alassane Ouattara et son pouvoir d’être à la base de tous les maux qui minent la société ivoirienne. A commencer par la mauvaise gouvernance.

Corruption, népotisme…

"Je suis candidat aux élections d'octobre 2015 et c'est à prendre au sérieux ; (…) il s'agit aujourd'hui de retrouver la Côte d'Ivoire d'antan c'est à dire une Côté d'Ivoire unie et réconciliée, doublée d’un réarmement moral. Il ne s’agit pas d’honneur, ni de courir après la richesse, mais après avoir observé et travaillé avec le président Félix Houphouët-Boigny, j’ai mis mon expérience au service de la Côte d’Ivoire, qui a perdu aujourd'hui sa valeur, car gangrénée par le népotisme, la corruption et le déni des droits", a attaqué Essy Amara.

"Et cela peut se justifier par le rapport du PNUD, où sur le plan du développement humain, la Côte d’Ivoire est classée 171ème sur 181 pays. Quant à la bonne gouvernance, nous sommes dernier des pays de l’UEMOA", a-t-il déploré, avant d’ajouter : "C’est pour toutes ces raisons que j’ai accepté d’être candidat, car l’Afrique ne sera sauvée que par ses fils qui acceptent d’être pauvres et non qui courent après des milliards. Autrement dit, des fils qui acceptent de vivre du fruit de leur travail.

Division des ivoiriens

"Ma campagne est basée sur la réconciliation, car depuis quatre ans, les autorités, au lieu de cimenter le socle national, ont approfondi les divisions. En divisant les partis politiques à droite et à gauche à coups de millions du gouvernement pour des raisons électoralistes, ils ont encore divisé les populations dans les villages", a accusé le diplomate, qui se dit confiant pour battre le Président Alassane Ouattara aux urnes.

Abdoul Razak Dembélé

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Les choses se précisent et ont passe de plus en plus aux choses sérieuse quant à la réalisation de l’échangeur de l’amitié ivoiro-japonaise. Une infrastructure destinée à être bâti au carrefour Solibra d’Abidjan-Treichville sur le boulevard Valery Giscard d’Estaing (VGE). En effet, trois semaines  après la signature de la convention entre les gouvernements ivoirien et japonais à Abidjan le 25 juin 2015 pur la réalisation de cet ouvrage, les deux parties ont concrétisé, vendredi 10 juillet 2015. Ce, à travers la signature de l’accord de don entre la ministre ivoirienne de l’Economie et des Finances et le représentant de l’Agence japonaise de coopération internationale Yonezaki Eiro. Coût de l’infrastructure, environ 25,2 milliards de FCFA.

 

A l’expérience du génie japonais

Selon M. Yonezaki Eiro, l’ouvrage sera réalisé par une entreprise japonaise. L’appel d’offre sera ouvert en septembre pour désigner la société nippone en charge de la réalisation du projet, et sera clôturé en novembre. Les travaux débuteront en décembre 2015 et prendront fin en décembre 2018. L’"Echangeur de l’amitié ivoiro-japonaise" comme sera baptisé cet ouvrage, sera d’un grand soulagement pour les usagers du boulevard VGE.

Enjeux stratégiques 

Au-delà du renforcement de la fluidité routière et le soulagement de la population abidjanaise, cet ouvrage va permettre à ce carrefour majeur de la capitale économique ivoirienne, de trouver une solution aux terribles embouteillages qui y bloquent quotidiennement la circulation durant des heures, surtout aux heures de pointe. Occasionnant de longues files d'attente, et représentent ainsi un handicap énorme aux activités du secteur privé, moteur de la croissance économique. 

 

MT

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Maintes fois annoncés sans se tenir, les Etats généraux de la boxe ivoirienne se sont ouverts le vendredi 10 juillet 2015. Sous l’œil averti du président de la Fédération ivoirienne de boxe (FIB), le Gal Soumahoro Gaoussou, au centre technique national de football de Bingerville.

Pour une nouvelle feuille de route

 

Sur trois jours (du 10 au 12 juillet) les acteurs de ce sport vont penser à une nouvelle donne de leur discipline, gangrenée par des problèmes de personnes et le manque de compétitions d’envergure depuis une décennie. Le noble art qui semble avoir pris un nouveau départ avec l’arrivée à sa tête du Général Soumahoro Gaoussou, entend ainsi signer son « renouveau » avec une nouvelle feuille de route, fruit des résultats des travaux.

L’officier supérieur de l’armée ivoirienne a pleinement conscience de la tâche qui l’attend. A l’ouverture de ses assises, dont le thème est « Quelles stratégies pour le renouveau de la boxe en Côte d’Ivoire », il est revenu sur la précarité et les sanctions dont était l’objet la FIB. « La suspension internationale dont notre pays a été l’objet et a eu pour conséquence la quasi inactivité de nos clubs", a-t-il regretté.

Deux panélistes entretiendront les participants sur l’environnement de la boxe dans le monde et en Côte d’Ivoire en particulier.

 

Intégrer localement les évolutions internationales

« En nous appuyant sur les réussites et les difficultés des grandes figures de la boxe ivoirienne du le passé, nous devons pouvoir tirer les plus grandes leçons et opérer l’indispensable mutation pleine et entière », a affirmé le président de la FIB.

A l’instar de tous les sports, les boxeurs ivoiriens veulent intégrer les nouvelles règles et évolutions que connait le noble art au plan international dans le système local. Rash N’Guessan, président du comité scientifique aura la lourde charge de diriger les différents panels durant les échanges. Le bal de ses panels a été ouvert par l’ancien président de la FIB le Colonel N’Datchi sur le thème : « La boxe dans le monde ».

 

Izoudine Youssef

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L’Ambassadeur de Côte d’Ivoire en Chine, Dosso Adama a accordé jeudi une audience au Chef de la Division 11 du Département des prêts concessionnels de la banque chinoise EXIMBANK, Ji Chun.

Selon une note d’information, M. Ji Chun et l’Ambassadeur Dosso ont discuté des projets d’infrastructure transmis par le ministère délégué des Finances et pour lesquels, un financement en termes de prêt concessionnel est sollicité par le gouvernement Ivoirien.

Les deux personnalités ont , en outre,  profité de l’audience pour faire le point sur l’état d’avancement des précédents projets et passer en revue d’autres questions d’intérêts communs entre les deux pays.

 

AIP

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Le président de la République, Alassane Ouattara, a accordé une audience ce vendredi au  fondateur de la communauté Sant’Egidio, Pr Andrea Riccardi, qui a traduit sa joie d’être encore une fois en Côte d’Ivoire qu’il a présentée comme un "laboratoire du vivre ensemble".

"La Côte d'Ivoire est un laboratoire de la civilisation, du vivre ensemble. Elle a toujours accueilli des peuples différents", a traduit Pr Riccardi, au sortir de la rencontre, avant d’ajouter que " La Côte d'Ivoire est ce que j'appelle mon Idéal."

Le Pr Riccardi par ailleurs ministre italien de la Coopération Internationale et de l’Intégration qui a relevé n’être pas à sa première visite en Côte d’Ivoire, où il s’est rendu dans des moments difficiles, a en outre marqué sa joie d’y être de nouveau dans une période constructive.

Le Président Ouattara a pour sa part rendu un vibrant hommage à son hôte disant qu’il est, "un grand ami de la Côte d’Ivoire et des Ivoiriens". Il lui a notamment  témoigné sa gratitude pour la contribution de sa communauté à la paix dans notre pays et dans le monde ainsi que pour ses actions en faveur du dialogue inter-religieux.

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Il n’y a pas encore de "chiffre précis" sur le nombre de victimes des crises successives en Côte d’Ivoire depuis 1990, affirme la directrice générale  du Programme nationale de cohésion sociale (PNCS), Pr Mariatou Koné, évoquant l’existence de plusieurs listes de victimes établies par diverses structures, à consolider en vue de leur indemnisation.

"A ce jour, ce ne serait pas juste d’avancer un nombre. Mais, je peux vous dire que l’ex-Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) avait annoncé 74.000. Avec ce que je vois, il y en aura autour de 150.000 victimes. Mais je ne peux pas avancer un chiffre précis", a déclaré Mme Koné, lors d’un entretien qu’elle a accordé vendredi à des journalistes de l’AIP, en marge d’une "visite de courtoisie" qu’elle effectuait au siège de l’Agence à Abidjan-Plateau.

"Je dois vous avouer qu’à ce jour, il est difficile de produire un chiffre fiable, dans la mesure où le recensement s’est opéré sur l’ensemble du territoire national. Il faut que les dernières données remontent", a-t-elle insisté.

Selon la directrice du PNCS, plusieurs structures dont la sienne ont effectué des recensements de victimes, notamment  les associations de victimes, la Commission nationale de réconciliation et d’indemnisation des victimes, (CONARIV), des organisations de la société civile, l’ex-Commission dialogue, vérité et réconciliation, la cellule spéciale d’enquête et d’instruction, la chambre de commerce et d’industrie.

"Il y a donc plusieurs listes de victimes qui sont à consolider", a-t-elle dit, précisant que les personnes physiques et morales prises en compte dans le cadre de l’indemnisation des victimes sont celles s’étant fait identifier avant la clôture de l’opération de recensement des victimes, le 30 juin.

La Côte d’Ivoire se remet d’une grave crise postélectorale  qui a fait, entre décembre 2010 et avril 2015 plus de 3000 morts, et qui marquait l’épilogue de quelque deux décennies  de crises successives.

AIP

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Le président de l’université Péléforo Gbon Coulibaly de Korhogo, Pr Adama Coulibaly, et le doyen de la faculté Gembloux Agro-bio Tech de l’université de Liège, en Belgique, Pr Philippe Lepoivre, ont paraphé, vendredi à Abidjan, un accord-cadre de collaboration scientifique, technique et pédagogique en matière d’agropastoralisme et d’ingénierie des productions animales et végétales.

L'objectif du partenariat est d’améliorer réciproquement l’enseignement et la formation dans ces domaines dans un cadre formel.

Echange et mobilité des étudiants et enseignants-chercheurs, échange de documents et publications ou encore cotutelles de thèses sont annoncés dans cet accord qui doit être finalisé par des conventions spécifiques élargissant cette collaboration "par voie d’avenant à d’autres domaines relevant de la compétence des parties contractantes".

En présence du directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kpagni Moro Albert, les coordonnateurs des activités réalisées dans le cadre de cet accord, Adama Coulibaly et Philippe Lepoivre, ont salué sa mise en œuvre effective qui devrait être bénéfique aux deux parties.

"La signature de cet accord bénéficie du soutien à 100% du ministre Gnamien Konan qui souhaite que chaque université ivoirienne bénéficie d’une ferme agropastorale. Aux termes des conventions spécifiques qui suivront cet accord-cadre, il souhaite que chaque université bénéficie d’une ferme agropastorale pour les travaux de recherche, permettant aux étudiants de se nourrir et aux universités de se faire des ressources additionnelles", a-t-il souligné.

Gembloux Agro Bio-Tech propose un enseignement de haute qualité et ouvert sur le monde, à la pointe du développement durable et de l’éco-innovation.

Elle constitue la plus ancienne institution des sciences agronomiques et d’ingénierie du vivant en Fédération Wallonie-Bruxelles. Depuis plus de 150 ans, la faculté forme des universitaires et des ingénieurs capables de répondre aux attentes de la société dans les domaines de la production, de la transformation et de la valorisation des bio-ressources.

Créée en 2012, l’université Péléforo Gbon Coulibaly a une vocation principalement agropastorale.

 

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Quatre-vingts personnes soupçonnées de cybercriminalité ont été interpellés au premier trimestre 2015 en Côte d'Ivoire, avec 480 affaires traitées contre 450 affaires traitées et 70 interpellations 2014 dans le pays, a appris l'AIP auprès du directeur de la direction de l’informatique et des traces technologiques (DITT), le commandant Ouattara Guelpetchin.

Le directeur de la DITT, qui a fait cette annonce vendredi à Yamoussoukro, lors d’un colloque international sur la cybercriminalité, a indiqué par ailleurs que 90 % des infractions recensées au monde sont des infractions classiques avec usage des technologies de l’information et de la communication (TIC).

" En 2013, 85% de ces infractions sont commis depuis l’Afrique " , a précisé le commandant Ouattara Guelpetchin.

Initié par l’institut de lutte contre la criminalité économique (ILCE) de la haute école de gestion Arc (HEG Arc) et l’Ecole supérieure de commerce et d’administration des entreprises (ESCAE) de l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, le colloque international a pour thème " l’impact de la cybercriminalité sur la société Ouest-africaine : exemple de la Côte d’Ivoire ".

Les infractions qualifiées "délinquance astucieuse" sur internet ont un impact au plan culturel, social et sur les investissements étrangers.  "On évalue le préjudice subi à 1,5 milliards F CFA", a confié lors de sa communication l’étudiant Koné Aboubacar Sidiki de l’INP-HB dans le cadre de ses travaux de recherche .

Le colloque international sur la cybercriminalité, deuxième du genre, rassemble des experts du domaine en provenance de Suisse et de la Côte d’Ivoire, ainsi que les représentants des institutions publiques, des entreprises privées et des établissements d’enseignement supérieur, la presse et société civile.

AIP

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La banque panafricaine Ecobank dispose désormais en Côte d’Ivoire, d’un siège qui lui est propre, inauguré vendredi à Abidjan par le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan. Avec ce nouveau siège situé au Plateau, Place de la République, « Ecobank acquiert ainsi une plus grande représentativité et respectabilité dignes des grands groupes », a déclaré le chef du gouvernement pour qui cette banque s’érige ainsi à l’aune des références du système bancaire ivoirien. S’exprimant au nom du Président Alassane Ouattara, le Premier ministre s’est réjoui de ce qu’Ecobank s’inscrive dans la dynamique de la relance économique du pays marquée par une croissance inclusive, durable et robuste.

Daniel Kablan Duncan a profité de la tribune pour exhorter Ecobank et le groupe auquel il appartient (Ecobank Transnational Incorporated, ETI) à jouer leur rôle de financement de l’économie. Auparavant, le président du conseil d’administration, Pierre Magne, et la directrice générale adjointe d’ETI, Evelyne Tall, entre autres, ont tour à tour salué l’inauguration de ce joyau architectural qui s’inscrit, au dire de la seconde citée, « dans le contexte d’une Afrique qui gagne ».

Le terrain a été acquis en 2009. Construit sur 10 niveaux (rez-de-chaussée, mezzanine et huit étages), le siège d’Ecobank a été réalisé avec des compétences issues d’horizons divers. D’après l’architecte principal, Ibrahima Konaré, maître d’œuvre, le chantier a réuni une centaine de Chinois, une cinquantaine d’Européens et 2.000 jeunes Ivoiriens.

 

Coût des travaux, 12 milliards


D’un coût de quelque 12 milliards FCFA, l’ouvrage a nécessité quatre ans de travaux. Il tire sa symbolique du patrimoine culturel inspiré par la rencontre du tabouret Akan et de l’emblème national, l’éléphant. En outre, poursuit le patron d’Archi 2000, les notions de haute qualité environnementales relatives à l’éco-construction et à l’éco-gestion ont été prises en compte. « En somme, l’immeuble a été conçu pour lui assurer un fonctionnement intelligent », a résumé M. Konaré, après avoir détaillé les techniques et technologies utilisées.

Ecobank a été fondée en 1985 par une fédération de chambres consulaires de la CEDEAO et de l’UEMOA. Présent en Côte d’Ivoire depuis 1988, la banque y a démarré ses activités l’année suivante. A ce jour, cette banque qui occupe la 2ème place dans le classement des banques dans le pays compte 655 employés répartis dans 52 agences et plus de 20.000 clients.

Filiale d’ETI basée à Lomé, au Togo, Ecobank Côte d’Ivoire a un capital de 21,9 milliards FCFA (contre un milliard à son installation), 54 milliards FCFA de crédit net bancaire et un résultat de 17 milliards FCFA en 2014. Le total bilan se chiffre à 850 milliards FCFA. La banque est présente dans 36 pays africains, avec une filiale à Paris (France) ainsi que des représentations à Dubaï (Emirats arabes unis), Johannesburg (Afrique du Sud), Londres (Grande-Bretagne) et Beijing (Chine).

Le directeur général (DG) exécutif du groupe est Albert Essien et le DG d’Ecobank Côte d’Ivoire est Charles Daboiko. La cérémonie d'inauguration s'est effectuée en présence de plusieurs membres du gouvernement, d'autorités politiques, administratives et coutumières locales ainsi que de responsables de structures publiques et privées nationales et étrangères.

Armand tanoh, avec AIP

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