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Il y a eu "juste un foyer" à Bouaké (Centre) mais "pas d’épidémie" de grippe aviaire en Côte d’Ivoire, a clarifié, jeudi à Séguéla, le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Nabagné Koné.
"Il y a eu juste un foyer de grippe aviaire à Bouaké qui a été très vite traité et circonscrit ; (…) à aucun élevage moderne n’a signalé de cas" dans le pays, a déclaré M. Nabagné Koné lors d’une conférence de presse, au terme d’un Conseil des ministres tenu à Séguéla, dans le cadre de la visite d’Etat qu’effectue le Président Alassane Ouattara dans le district du Woroba.
Selon lui, la maladie ne s’est pas propagée au-delà de ce foyer. "On ne peut donc pas parler d’épidémie, puisqu’il n’y a pas eu de contamination", a-t-il ajouté, précisant que les traitements administrés à certains sites d’élevage de poulets à Abidjan visent à prévenir contre la maladie.
Il a également lancé un appel au respect de la mesure d’interdiction de la vente du poulet en dehors des marchés, et appelé à la vigilance face à l’importation et la vente de poulets traditionnels par des voix non contrôlées.
Une épidémie de grippe aviaire s’est déclarée depuis quelques mois au Burkina Faso, voisin au Nord de la Côte d’Ivoire, emmenant les autorités ivoiriennes à interdire l’importation de volailles depuis ce pays.
AIP
Vingt-six milliards nécessaires au financement de la phase d’étude du projet de train urbain d’Abidjan sont déjà disponibles, a annoncé, jeudi à Séguéla, le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse, au terme d’un Conseil des ministres tenu dans cette ville dans le cadre de la visite d’Etat qu’effectue le Président Alassane Ouattara dans le district du Woroba (Nord-Ouest) depuis mercredi.
Selon M. Nabagné Koné, le gouvernement a adopté la convention signée entre l’Etat de Côte d’Ivoire le consortium d’entreprises concessionnaire chargé de la réalisation et l’exploitation de ce projet, destiné à "apporter des solutions durables aux problèmes de transports à Abidjan".
Le système de transport urbain ferroviaire de la capitale économique ivoirienne, dont la première ligne ouvrira fin 2019, empruntera, dans un premier temps, les emprises de la voie férée de la Sitarail.
Le train urbain d’Abidjan ralliera les communes d’Anyama (nord) et Port-Bouët (Sud), en passant par Abobo, Adjamé, Treichville, Marcory et Koumassi.
L’ordre ivoirien des architectes et la plate forme de promotion du "Made in Maroc" ont paraphé, jeudi à Abidjan, le protocole d’une convention de partenariat pour l’ouverture d’une école d’architecture le 5 octobre, à Abidjan.
Les partenaires ont signé le document à l’ouverture de la deuxième édition du Forum des étudiants africains, une plate forme de présentation des offres de formation des universités et grandes écoles marocaines.
La présidente de l’ordre des architectes, Mme Doukouré Séhinabou Yolande, a indiqué qu’il s’agira d’une école "d’excellence et de référence" qui bénéficiera de l’expérience avérée du Maroc en matière de formation.
Les avenants concernant les besoins de la Côte d’Ivoire et l’apport attendu du Maroc n’ont pas encore été signés mais "l’école ouvre effectivement en octobre. Les locaux sont prêts et nous commencerons bientôt les inscriptions avec un concours d’inscription pour les bacheliers", a assuré Mme Doukouré.
La Banque africaine de développement (BAD), à travers le Fonds africain de développement (FAD), a accordé un prêt de 18,807 milliards de francs CFA à la Côte d’Ivoire, pour l’aménagement de trois routes internationales dans l’Ouest du pays, a annoncé, jeudi le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Nabagné Koné.
Il s’agit des axes Toulepleu-Blolequin, Tabou-frontière du Liberia et Dannané-Lola (Libéria), a précisé M. Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse à Séguéla, le jeudi 23 juillet 2015.
La réalisation de ces infrastructures, qui entre dans le cadre d’un programme d’aménagements des routes et la facilitation du transport au sein des pays fleuve Mano, vise "à promouvoir les échanges commerciaux, à améliorer les conditions de vie au sein des habitants" de cet espace économique, a-t-il expliqué.
Ambitieux programme régional de 165 milliards
Cet ambitieux programme régional qui concerne trois pays le l’Union du fleuve Mano, la Côte d’Ivoire, la Guinée et le Libéria a été lancé, mardi 21 juillet 2015 à Abidjan, vise surtout à soutenir la relance économique post-conflit de la région de l’union du fleuve Mano à travers l’amélioration de l’infrastructure routière et la promotion des échanges commerciaux intra-communautaires.
D’un coût global de 165,40 milliards de francs CFA, va consister en la réalisation de 276,35 km de route, un pont de 200 mètres, deux postes de contrôle juxtaposés, 7,8 km de voies urbaines, 70 km de pistes connexes, deux gares routières, cinq marchés, cinq écoles réhabilitées, trois centres de santé, la construction d’un centre d’écoute et de réinsertion et trois forages.
Le programme va également permettre de fournir cinq kits de maraichage et cinq kits de transformation de produits agricoles à des groupements féminins.
Selon le directeur général adjoint de l’Agence de gestion des routes (AGEROUTE), M. Touré Abou, ce programme prend en charge le bitumage de l’axe Danané-frontière de Guinée (47,6 km), l’axe Bloléquin-Toulepleu-frontière du Libéria (65 km) et l’axe Tabou-frontière du Libéria (28 km) pour la Côte d’Ivoire. En Guinée, l’axe Lola-frontière ivoirienne (39,75 km) et au Libéria, l’axe Karloken-Fish Town (80 km) et la jonction Harper-Cavally (16 km).
Armand Tanoh, avec AIP
Près d’un milliard de femmes exclues du système financier : Cri de cœur du gouverneur de la BCEAO
Près d’un milliard de femmes dans le monde entier sont exclues du système financier formel, a confié le Gouverneur de la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Tiémoko Meyliet Koné lors d’une conférence de '' haut niveau'', mercredi à Yamoussoukro au tour du thème "" combler l’écart : approche de solutions politiques d’inclusion financière pour les femmes en Afrique ".
Selon M. Tiémoko, à l’échelle mondiale, moins de 8% des femmes habitant dans les pays à bas revenus peuvent bénéficier d’un prêt auprès des institutions financières et moins d’un tiers dispose d’un compte d’épargne.
" Et pourtant, les femmes composent 40% de la main-d’œuvre du monde et près de 37% des petites et moyennes entreprises (PME) sont détenues par des femmes ", a-t-il fait savoir, soulignant que cette situation montre que les résultats atteints sont encore en deçà des attentes pour relever les défis pour faire de l’inclusion financières de la femme une réalité, malgré les progrès réalisé en la matière.
M Koné a préconisé que les réflexions au cours des travaux soient axées sur l’identification des besoins des femmes en matière de services financiers, sur une compréhension commune du rôle que les régulateurs financiers peuvent jouer et sur les moyens de sensibilisation de l’AFI.
Ce en vue de développer une politique d’inclusion financière novatrice et des stratégies appropriées permettant de supprimer les différents obstacles entravant l’accès des femmes au financement tout en leur offrant des opportunités d’avoir accès à l’épargne, au crédit, à l’assurance et de subvenir de façon autonome à leurs besoins ainsi qu’à ceux de leurs enfants.
La conférence initiée par l’Alliance pour l’inclusion financière (AFI) s’inscrit dans le cadre de la 3ème table ronde annuelle des leaders de l’Initiative africaine sur les politiques de services financiers via la téléphonie mobile (AMPI) qui a démarré lundi dans la capitale politique ivoirienne.
On estime à plus de 2,5 milliards le nombre d’adultes qui n’ont pas accès aux services financiers de base soit presque la moitié de la population active mondiale. En Afrique, c’est environ 80 % des adultes qui sont exclus du système financier formel.
AIP
La troisieme table ronde annuelle des leaders de l’Initiative africaine sur les politiques de services financiers via la téléphonie mobile (AMPI) a ouvert officiellement jeudi ses travaux à Yamoussoukro avec l’objectif, de réussir une intégration plus poussée des services financiers par téléphone mobile dans le système bancaire et le secteur de la micro-finance en vue de mettre fin à l’exclusion financières et réduire la pauvreté.
" Notre vision commune est de mettre en synergie nos réflexions et actions pour relever ensemble les défis du développement des paiements via le téléphone mobile en Afrique en vue d’une plus grande inclusion financière ", a indiqué le gouverneur de la BCEAO et président de l’AMPI, Tiémoko Meyliet Koné.
Il a salué la percée de l’usage du téléphone portable à des fins de transactions avec des dizaines de millions de femmes et d’hommes, naguère exclus du système bancaire et qui tirent désormais profit des possibilités qu’offrent les nouvelles technologies pour exécuter avec célérité et à des coûts moindres leurs opérations financières.
" Toutefois, dans la plupart des cas les transactions réalisées par le canal du téléphone portable restent limitées aux transferts d’argent et aux paiements de facture, et leur portée demeure loin de nos ambitions visant à développer des services financiers plus inclusifs ", a fait remarquer Meyliet Koné.
Le Gouverneur de la BCEAO a affirmé qu’un plan stratégique adopté sur la période 2014-2016, contribuera à relever les défis de la protection et l’éducation financière des usagers, des opérations transfrontalières et les transferts des migrants, de l’organisation des réseaux de distribution de la monnaie électronique adaptés aux besoins de nos populations, du renforcement de la concurrence et le soutien à l’innovation ainsi que l’interopérabilité des services financiers par téléphone mobile
L’association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile dénombre sur le continent africain 130 offres de services financiers via la téléphonie mobile auxquelles ont accès environ 98 millions d’utilisateurs.
Dans l’Union économique et monétaire Ouest africain (UEMOA) le nombre d’utilisateurs des services financiers par téléphone mobile est passé de 11 millions à 18,2 millions entre 2013 et 2014.
En Côte d’Ivoire, l’équivalent de 43 % de la population utilisent le téléphone portable pour réaliser des transactions financières. À fin décembre 2014, le nombre de souscripteurs aux offres de services financiers via la téléphonie mobile a atteint 9,3 millions, soit près de la moitié de la population.
La 3ème table ronde annuelle des leaders de l’AMPI a pour thème " la prochaine génération des services financiers via la téléphonie mobile : convergence et développement ".
Elle sera marquée par des échanges d’expériences et des conférences de haut niveau relatives aux services financiers via le téléphone portable, et sera l’occasion de faire le bilan des actions de l’AMPI et de dégager des perspectives pour développer davantage les services financiers en Afrique.
La 3ème table ronde de l’AMPI prend fin vendredi avec l’élection de son nouveau président.
AIP
La capitale politique ivoirienne, Yamoussoukro, va accueillir de lundi à mardi, les assises de la 9ème réunion du Comité exécutif de l’Association des Ombudsman et Médiateurs africains (AOMA).
L’examen et l’adoption du procès-verbal de la 8ème réunion du Comité exécutif tenue à Nairobi, au Kenya, la présentation du rapport de la présidente de l’AOMA, Mme Fozia Amin, et celles du Secrétaire général et du président de l’AORC, les rapports des coordonnateurs régionaux et la revue des demandes d’adhésion seront les points inscrits à l’ordre des travaux de cette 9ème réunion du Comité exécutif de l’AOMA présidés par le Médiateur de la République de Côte d’Ivoire, N’Golo Coulibaly, indique un communiqué de l’institution parvenu jeudi à l’AIP.
Depuis sa 4ème assemblée générale tenue le 4 novembre 2014 à Addis-Abeba en Ethiopie, l’Association des Ombudsman et Médiateurs africains est présidée par Mme Fozia Amin, Médiatrice en chef de l’Ethiopie, et N’Golo Coulibaly, Médiateur de la République de Côte d’Ivoire, assure la première vice-présidence, rappelle-t-on.
AIP
Un investissement de près de 16 milliards de francs CFA va être fait, dès 2016, pour la relance du projet soja dans le Nord-ouest de la Côte d’ivoire, précisément dans la région du Bafing.
"Nous allons relancer le projet soja qui avait été abandonné au cours des dernières années et ce projet va bénéficier d’un investissement de près de 16 milliards de francs CFA pour une production annuelle de 40.000 tonnes de graines de soja", a affirmé le président icvoirien Alassane Ouattara, jeudi, lors d’un meeting à Touba.
Le chef de l’Etat a expliqué que ce projet permettra d’apporter une réponse à l’emploi des jeunes.
Le président Alassane Ouattara effectue depuis mercredi une visite d’Etat de cinq jours dans les régions du Bafing, du Worodougou et du Béré.
Avec AIP
Le Tournoi International de l’Intégration de l’Afrique de l’Ouest (TIIAO) va démarrer le 1er août à Abidjan. Angbo Isaac, président de la Fédération ivoirienne de Judo et discipline assimilée (FIJDA) l’a annoncé au cours d’une conférence de presse ce mardi 21 juillet 2015, à Cocody.
À ce jour, 13 nations ont déjà confirmé leur participation à ce rendez-vous, qui ouvre ses portes le 1er août. Il s’agit du Bénin, le Burkina Faso, la France, le Gabon, le Ghana, la Guinée, le Kenya, le Mali, le Maroc, le Niger, la Sierra Leone, le Togo et la Côte d’Ivoire, pays hôte.
Le Gabon est le pays qui vient avec la plus forte délégation dont 20 judokas et 5 encadreurs. Le Maroc, premier pays maghrébine, et le Kenya sont à leur première participation à cette compétition. Cette édition est particulière au regard des précédentes éditions, vu le nombre de partenaires et sponsors qui collent leur image à cette fête du Judo internationale.
La sélection ivoirienne, détentrice du trophée, affiche ses ambitions avant la compétition, car elle sera rude avec les Jeux africains en ligne de mire, qui s’ouvre à Brazzaville (Congo), seulement cinq semaines après le TIIAO 2015. Elle va donc servir aux pays participants de peaufiner au mieux leur préparation. « Les athlètes viendront de plusieurs pays pour défendre leurs chances et se préparer pour les Jeux africains », a affirmé Selon le président de la FIJDA, ajoutant que « pour la première fois, le TIIAO aura un parrain, en la personne du ministre ivoirien des Sports, François Amicha ».
Les délégations débarqueront au bord de la lagune Ebrié à partir du 29 juillet prochain. L’acte 5 du TIIAO sera brandé du slogan « Viens visiter mon beau pays ».
Tous les athlètes et encadreurs feront une randonnée à Jacquville pour donner un caractère touristique à cette messe du judo en terre ivoirienne. Les organisateurs comptent initier des stages de formation pour les athlètes de haut niveau pour les prochaines joutes éditions.
Pour Isaac Angbo, le TIIAO sera l’occasion de permettre aux locaux d’élever leur niveau.
Izoudine Youssef
GSK et Save the Children ont annoncé, le mardi 21 juillet 2015, le lancement du 3econcours sur l'innovation en matière de soins de santé pour un prix d'une valeur d‘un million de dollars, récompensant les projets innovants qui permettent de réduire la mortalité infantile dans les pays en voie de développement.
Du 15 juillet au 7 septembre 2015, des organisations issues de pays en voie de développement ont l'opportunité de présenter les procédures innovantes en matière de soins de santé qu'ils ont mises en place. Ces projets doivent présenter des améliorations tangibles pour la survie des enfants de moins de 5 ans. Ils doivent en outre fournir des solutions durables et pouvoir être reproduits à plus grande échelle.
Des millions de personnes n'ont toujours pas accès aux soins de santé les plus basiques. C'est pourquoi, cette année, l'accent sera mis sur les innovations qui permettent de renforcer les systèmes de soins de santé publique existants dans les pays en voie de développement. Par ailleurs, les solutions proposées doivent montrer qu'elles ont permis de faciliter cet accès aux femmes enceintes, aux mères ainsi qu'aux enfants de moins de 5 ans. Le partenariat entre GSK et Save the Children repose essentiellement sur le renforcement des systèmes de soins de santé pour tous dans les pays en voie de développement. Le but est ici d'étendre mondialement l'accès aux soins de santé pour garantir un accès équitable et disponible pour tous. L'épidémie du virus Ebola de l'an dernier est la preuve que des solutions et des approches sont nécessaires pour répondre aux difficultés structurelles qui affaiblissent les systèmes de soins de santé.
Ramil Burden, le vice-président en charge de l'Afrique et des pays en voie de développement chez GSK, déclare : « Des systèmes de soins de santé solides forment l'épine dorsale des communautés prospères mais beaucoup trop de pays manquent d'infrastructures et de personnel qualifié afin de faire face aux difficultés quotidiennes en matière de soins de santé, sans parler des catastrophes telle que l'épidémie du virus Ebola. Le prix de cette année est dédié aux innovations qui permettent de renforcer plus efficacement les systèmes de soins de santé afin que les mères et les enfants puissent accéder plus facilement aux soins dont ils ont besoin. »
Mavis Owusu-Gyamfi, le Directeur de la qualité et de l'élaboration des programmes chez Save the Children, déclare : « Des millions d'enfants meurent de maladies qui peuvent être évitées, simplement à cause de systèmes de soins de santé défaillants. L'épidémie du virus Ebola nous a appris que dans l'impossibilité de répondre à une pareille situation, nous courrons le risque d'une crise sanitaire mondiale. Il ne suffit pas de se focaliser sur des interventions ponctuelles comme réparer des hôpitaux et des cliniques, fournir des vaccins ou des médicaments, recruter et former plus de personnel de santé – il faut regarder tous ces aspects à la fois, ainsi que la façon dont ils sont financés et gérés. Si nous désirons sauver des millions de vies, il faut que la mise en place de bons systèmes de soins de santé dans les pays en voie de développement devienne la norme et non l'exception. Nous avons besoin d'idées ambitieuses afin de répondre à cette problématique et nous espérons, cette année, voir des projets viables que nous pourrons appliquer à plus grande échelle. »
Un jury, codirigé par les PDG respectifs de GSK et Save the Children, Sir Andrew Witty et Justin Forsyth, sera composé d'experts du secteur des soins de santé publique, de la science et du monde universitaire. Ils décerneront une partie ou la totalité du prix à un ou plusieurs projets d'innovation en matière de soins de santé.
Le concours sur l'innovation en matière de soins de santé de cette année ne se limitera pas au montant du prix mais il prévoit également de mettre en place une plateforme de test et d'évaluation des nouveaux projets répondant à la problématique liée aux soins de santé, dans le but d'identifier ceux qui ont un réel impact et de les partager avec l'ensemble de la communauté sanitaire mondiale.
Pour plus d'informations sur la procédure et sur les critères du jury, visitez le sitehttp://myg.sk/Save-HealthcareInnovationAwardLa date limite pour la soumission des projets est le 7 septembre à 23 h 59 (GMT). Les gagnants seront annoncés en novembre.
À propos du Prix de l'innovation en matière de soins de santé :
Le Prix de l'innovation en matière de soins de santé a été annoncé en mai 2013 à la suite du nouveau et important partenariat entre GSK et Save the Children dont l'objectif est de sauver la vie d'un million d'enfants parmi les populations les plus vulnérables. L'approche unique de cette association repose essentiellement sur la volonté d'innover le plus possible grâce à un travail de groupe afin de réduire la mortalité des moins de 5 ans. Par exemple, Save the Children siège à présent au nouveau conseil d'administration du département Recherche et Développement (R&D) de GSK spécialisé en pédiatrie où il apportera son expertise pour la mise au point des médicaments spécialement conçus pour les enfants. Ce partenariat doit permettre d'accélérer l'amélioration des interventions de secours aux très jeunes enfants et d'identifier les meilleurs moyens d'intervention pour les pays en voie de développement.
Le premier prix 2014 a été décerné conjointement à l'université de KwaZulu-Natal (UKZN) en Afrique du Sud et à ColaLife en Zambie. Le projet de l’UKZN consistait à améliorer l'allaitement pour les enfants prématurés et incorporait une application pour smartphone qui permet de faciliter la pasteurisation et le stockage des dons de lait maternel. Quant au projet de ColaLife, il consistait à adapter la chaîne d'approvisionnement des boissons non alcoolisées et d'autres biens de consommation pour les régions les plus difficiles d'accès en leur permettant de livrer des kits spécialement conçus pour le traitement des diarrhées de l'enfant. Les deux participants ont chacun reçu un prix de 350 000 de dollars afin de réaliser leur projet.
Bien que de réels progrès aient été réalisés ces dernières années, plus de 6 millions d'enfants de moins de 5 ans meurent chaque année dans le monde. Le plus souvent, ces enfants se trouvent dans les zones les plus difficiles d'accès et parmi les populations les plus marginalisées. L'objectif du Prix de l'innovation de GSK et Save the Children consiste à découvrir et encourager la reproduction des meilleures pratiques les plus innovantes en termes de soins de santé afin d'avoir le plus d'impact possible sur les enfants les plus vulnérables.
Conditions de participation :
1) Faire partie d'un pays répertorié en tant que pays à revenus « bas », « bas à moyens » ou « moyens » par la Banque mondiale (http://data.worldbank.org/country). Les pays répertoriés dans la catégorie des « hauts revenus » par la Banque mondiale ou qui sont membres de l'Union européenne ne sont pas admissibles (http://europa.eu/about-eu/countries/index_en.htm).
2) Décrire une approche ou une procédure innovante focalisée sur la survie des moins de 5 ans et pouvant avoir un apport considérable dans un des pays admissibles.
GSK– une des plus grandes entreprises en recherche pharmaceutique et en soins de santé au niveau mondial – a pour mission d'améliorer la qualité de vie des gens en élargissant leurs possibilités d'action, en leur permettant de se sentir mieux et de vivre plus longtemps. Pour plus d'informations, veuillez visiter le sitewww.gsk.com.
À propos de Save the Children –Nos activités s'étendent à plus de 120 pays. Nous sauvons la vie de nombreux enfants. Nous luttons pour leurs droits. Nous les aidons à réaliser leur potentiel.www.savethechildren.org.uk