Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Les éléments de la brigade de gendarmerie de Tiassalé, sous l’ordre du préfet, Jules Gouessé, ont procédé mercredi, à la destruction du matériel d’un groupe d’orpailleurs clandestins installés dans le village de Broukro (sous préfecture de Tiassalé).

Des embarcations (pirogues), des moteurs ou motopompes ainsi que divers autres matériels d’exploitation minière, trouvés au large du fleuve Bandama  ont été endommagés et brûlés.

Selon le sous-préfet de la localité, Soumahoro Sara, cette opération de destruction partielle devra toucher le cœur du dispositif sophistiqué des orpailleurs clandestins qui se trouvent en off shore ( sur la lagune).

Les gendarmes ont estimé qu’il faut de gros moyens matériels et techniques pour traverser le fleuve et atteindre le dispositif afin de le démanteler.

« Nous plaidons  pour que l’Etat se penche véritablement sur la question des moyens matériels des forces de l’ordre afin qu’elles puissent mener à bien leurs opérations », a confié le commandant de brigade, Emmanuel Brindou, cité par l’AIP.

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La 4ème édition du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017) a été officiellement lancée le jeudi 04 mai 2017 par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly qui l’a placée sous le signe de la maturité, rapporte l'AIP. Portant sur « La transformation structurelle de l’économie agricole face au changement climatique », cette édition va se tenir du 17 au 26 novembre au parc d’exposition situé sur la route de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, dans la commune de Port-Bouët.

Lors de la cérémonie officielle de lancement organisée à l’hôtel Radisson Blu, à quelques encablures du site de 10 ha aménagé qui accueillera le SARA, le Premier ministre a expliqué que ce thème cadre parfaitement avec les engagements du gouvernement et est en lien étroit avec les objectifs de la 2èmegénération du Programme national d’investissement agricole (PNIA 2).

Auparavant, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a indiqué que le SARA qui se veut la vitrine agricole de l’Afrique de l’Ouest, vise à promouvoir la grande famille du secteur agricole (agriculture, élevage, pêche, agro-industrie, foresterie, agro-foresterie).

Le Salon se déclinera notamment en expositions de produits agricoles (matières premières et produits finis), d’élevage et de machines agricoles ainsi qu’en plusieurs activités connexes (conférences thématiques, rencontres B to B…).

L’organisation pratique est du ressort de l’agence Voodoo Communication qui le financera, selon son directeur général Fabrice Sawegnon, sur le modèle de l’autofinancement à travers les recettes issues de la vente des tickets et des stands.

Initié par l’actuel PCA du Conseil du café-cacao, Lambert Kouassi Konan, alors ministre d’Etat en charge de l’Agriculture, la SARA a tenu sa première édition en 1997. Après la 2ème organisée en 1999, il y a eu une quinzaine d’années de latence due aux différentes crises survenues dans le pays.

La 3ème édition (3-12 avril 2015) qui a porté sur « La promotion de l’investissement agricole durable » a tenu toutes ses promesses. La présente entend donc maintenir le cap tout en se fixant des objectifs plus ambitieux, a assuré la commissaire générale, Condé Touré Diénébou. L’Afrique du Sud en est le pays invité d’honneur.

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Le rhinocéros qui vivait depuis 2004 dans la savane de Tiémélékro a été capturé à Djamalabo dans la sous-préfecture de M’batto puis transféré dans le N’zi River Lodge, un parc de 41 000 ha situé à 42 km de Bouaké sur l’axe Satama Sokoura, rapporte l’AIP.

L’opération a été menée par une équipe sud-africaine dirigée par Dr Willem sous la supervision de la directrice de la faune au ministère des Eaux et forêts, Commandant Koné Salimata à Djamalabo. Elle a duré un peu plus de deux heures. L’animal d’environ trois tonnes, repéré à la lisière du village, a été neutralisé à l’aide d’une substance anesthésiante. Puis le mastodonte, grâce aux agents des Eaux et forêts, a été conduit dans une cage  déposée sur un porte char.

« Il doit faire 15 respirations à la minute et il faut lui injecter de l’antidote pour qu’il se réveille avant de partir. Il est accompagné de deux porcs pour conserver l’odeur de son environnement naturel « , a expliqué Dr Willem. Il  a précisé que le transport se fera toute l’après-midi en  indiquant que pour la survie de l’espèce, l’animal sera bientôt accompagné de deux femelles.

La Côte d’Ivoire a déboursé environ 175 millions de FCFA pour financer cette opération de transfèrement. Ce rhinocéros  avait tué le chef du village de  Frondobo-Télébo, Nanan Kouamé N’zi II, en août 2016, et depuis, sa présence dans la localité créait une psychose au sein des populations, rappelle-t-on.

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Le président de la République du Ghana, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, est attendu, vendredi, à Abidjan, où il effectuera une visite  d’amitié et de travail de 72 heures,  a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné. La visite s’inscrit dans le cadre d’une tournée qu’entreprend le Président Akufo-Addo dans neuf pays d’Afrique de l’Ouest, après son accession à la magistrature suprême de son pays, indique l'AIP.

Selon le porte-parole du gouvernement, elle vise à renforcer les relations d’amitié et de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Ghana. La visite sera l’occasion pour les deux chefs d’Etat d’examiner diverses questions d’intérêt commun, tant aux plans régional qu’internationa

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La Cour pénale internationale (CPI) et le Royaume de Suède ont conclu un accord sur l’exécution des peines, rapporte une note d’information de la CPI transmise mercredi à l’AIP. Selon cet accord, les personnes condamnées par la CPI pourront purger leur peine d’emprisonnement en Suède si la Cour en décide ainsi et si la Suède accepte sa décision. L’accord est entré en vigueur le 26 avril 2017.

Le Statut de Rome dispose que les peines d’emprisonnement prononcées par celle-ci « sont accomplies dans un État désigné par la Cour sur la liste des États qui lui ont fait savoir qu’ils étaient disposés à recevoir des condamnés ».

Des accords de même type sur l’exécution des peines sont actuellement en vigueur entre la CPI et les gouvernements de l’Argentine, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, le Mali, la Norvège, la Serbie et du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord.

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Abidjan, la capitale économique de Côte d’Ivoire, accueille du 21 au 22 juin la deuxième édition du Forum international de la culture client et de l’accueil (FICCA), un rencontre d’affaires entre professionnels du marketing digital, de la relation client et de l’accueil.

« Ce rendez-vous est une vitrine idéale dont devraient massivement prendre part les entreprises et administrations publiques ivoiriennes, qui aspirent à parfaire leur image et leur relation client », a notamment exhorté le commissaire général de ce forum, Koné Adama, lors d’une conférence de presse tenue récemment au siège de l’agence de communication 2A Consulting à Cocody-Angré (Abidjan).

Des experts du Japon et d’Europe y sont annoncés pour partager leurs expériences avec les participants ivoiriens et étrangers, « le Japon étant le n°1 mondial en matière de qualité de la relation avec le client », a ajouté M. Koné.

Des échanges B 2 B, ainsi que expositions d’outils de mesure de la relation client seront au menu du forum, qui se veut surtout un cadre destiné à rendre plus efficace les prestations des services publics vis-à-vis de leurs usagers ou clients.

Pour Youté Innocent, expert en intelligence économique et membre du comité d’organisation, les entreprise auront l’opportunité à travers le FICCA de profiter des avantages du digital dans leurs offres de service. « On dit que le client est roi, mais il y a des endroits où le client est esclave. Donc avec le FICCA, les entreprises ivoiriennes, même les services publics pourront faire de leur relation client une force », a-t-il assuré.

Un millier de participants issus du monde professionnel, institutionnel, associatif, sont attendus à la deuxième édition du Forum international de la culture client et de l’accueil, ainsi qu’un panel d’experts locaux et internationaux autour du thème : « Relation client : quel impact sur la croissance économique ».

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 Une délégation interministérielle de la Côte d’Ivoire a effectué une mission à Accra, du 24 au 26 avril, afin de rencontrer son homologue du Ghana en charge des questions minières et mutualiser leurs efforts  dans la lutte contre la pollution des eaux due à l’orpaillage clandestin.

Conduite par le ministre de l’Industrie et des mines, Jean Claude Brou, la délégation ivoirienne était composée des représentants des ministères des Affaires étrangères, de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable,des Infrastructures économiques et du ministre de l’Industrie et des Mines, apprend-on d’une note d’information ralayé jeudi par l’AIP.

L’objectif de ce séjour était d’informer les autorités du Ghana des impacts néfastes des activités d’orpaillage réalisées en territoire ghanéen sur les rivières et plans d’eau du Sud-Est de la Côte d’Ivoire, notamment les fleuves Bia et Tanoé, et d’engager des échanges entre les deux pays frères en vue de trouver une solution durable à la pollution des lagunes et cours d’eau frontaliers des deux pays.

Au cours des échanges, le ministre Jean Claude Brou a  indiqué, à propos de la région au Sud-Est de la Côte d’Ivoire, que depuis quelques  mois, les populations ont constaté un changement de la couleur des eaux des rivières et des plans d’eau. « Des analyses effectuées par les services spécialisés confirment la présence de métaux lourds tels que le plomb, le mercure et le chrome dans ces eaux », a-t-il souligné, avant d’ajouter que les populations concernées souffrent aujourd’hui de la prolifération de maladies hydriques.

En retour, la partie ghanéenne conduite par la vice-ministre Ghanéenne chargée des Mines, Barbara Oteng Gyasi a précisé que le président de la République, Nana Kufuor Addo a donné des instructions fermes pour que des mesures soient prises afin juguler ce fléau, avec une présentation des actions adéquates entreprises notamment de la surveillance des plans d’eau par des drones.

En vue de résoudre le problème spécifique posé dans le Sud-Est, les deux parties ont convenu de  la mise en place d’un Comité ad’hoc de haut niveau entre les deux pays, composé des différents ministres chargés des Mines, de l’Environnement, des Eaux et des Infrastructures économiques.

Ce Comité sera assisté d’un Sous-Comité Technique paritaire composé d’experts des deux pays pour, entre autre, les visites techniques conjointes et le contrôle en vue de la suppression définitive des effets néfastes de l’orpaillage sur les bassins versant des fleuves Bia et Tanoé.

Cette rencontre s’est déroulée en présence de l’Ambassadeur de la Côte d’Ivoire au Ghana, Son Excellence M.  Bernard Ehui, rappelle-t-on.

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Un chauffeur de la compagnie Union des transporteurs de Bouaké (UTB) a été mortellement atteint par les balles des « coupeurs de route » qui ont dépouillé ses passagers ainsi que ceux de plusieurs autres cars de transport en commun, lundi nuit, à environ cinq kilomètres de Djébonoua (Bouaké), annonce l’AIP.

Le chef de gare UTB de Bouaké, Gbêkê Germain, a expliqué que les malfrats se tenaient en embuscade et ont attaqué le car en provenance de Man (Ouest) en tirant à bout portant, à l’aide d’une Kalachnikov, sur le chauffeur Koné Amara. Dieu aidant, a-t-il souligné, ce dernier a pu immobiliser le car après une légère sortie de route, avant de mourir.

Le car d’une soixantaine de places transportait 15 passagers. L’on ne dénombre aucun autre mort ni blessé parmi eux mais ils ont été dépouillés au même titre que les passagers des autres véhicules, notamment les cars des compagnies en provenance des pays limitrophes du Nord de la Côte d’Ivoire.

Le 14 avril, un car de la compagnie UTB avait été attaqué dans les mêmes circonstances à une trentaine de kilomètres de Bouaké, au niveau de N’Gattadolikro. Le chauffeur avait reçu en plein visage les éclats de vitre et l’impact de balle était visible sur le pare-brise du car.

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Un premier cas de dengue a été enregistré en Côte d’Ivoire, précisément à Abidjan, dans le district sanitaire de Cocody-Bingerville, a annoncé mercredi le gouvernement, rassurant toutefois sur le fait que la situation est sous maîtrise et que tout est mis en œuvre pour éviter une propagation, rapporte l'AIP.

La dengue ou grippe tropicale est une maladie transmise par la piqûre d’un moustique du genre Aedes, porteur de l’un des quatre virus de la dengue. L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire a confirmé le premier cas dans le pays le 28 avril. Il est de type 3, une forme grave de la maladie.

Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, 17 nouveaux cas suspects ont également été identifiés après des recherches conduites  depuis la notification du premier malade jusqu’à aujourd’hui pour lesquels des prélèvements sanguins ont été faits et acheminés à l’Institut Pasteur pour analyse.

« Les résultats sont en attente et les enquêtes épidémiologiques et entomologiques se poursuivent », a-t-il indiqué. « Pour le moment, les choses semblent bien contenues et tout est mis en œuvre pour éviter une propagation à Abidjan et dans le pays, a ajouté le ministre.

Bruno Koné a informé que dans l’urgence, le conseil a instruit la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Raymonde Goudou Coffie ainsi que l’ensemble des ministres concernés à l’effet de prendre des mesures vigoureuses de prévention et de lutte contre la transmission du virus de la dengue.

Ainsi, il sera notamment procédé à la démoustication des sites abritant des gîtes larvaire ou susceptibles d’en abriter dans l’ensemble du district autonome d’Abidjan. « Tous les quartiers seront parcourus », a assuré le ministre Nabagné Koné.

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L’Institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier en France (Supagro) et l’École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP) Paris ont décidé mercredi à Yamoussoukro de renouveler leur partenariat à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB), à travers une double signature de convention visant à moderniser et à rénover la pédagogie de l’école d’excellence de Yamoussoukro. La cérémonie de signature de renouvellement et de redynamisation de l’accord-cadre de partenariat, relayée par l'AIP, a eu lieu à l’INP-HB de Yamoussoukro.

A l’occasion, les trois grandes écoles ont formalisé leur collaboration dans un document contresigné par le directeur général de l’INP-HB Koffi N’Guessan, la directrice générale de Montpellier Supagro Anne-Lucie Wack, présidente de la Conférence des grandes écoles (CGE), et par la directrice générale de l’ESTP Paris Florence Darmon, trésorière de la CGE.

Selon le directeur de l’INP-HB, l’idée, c’est d’entamer les réformes pour que l’Institut de Yamoussoukro soit à la hauteur des grandes écoles du monde, et poursuive ses ambitions pour la Côte d’Ivoire et pour la région africaine. « On va avoir un accompagnement technologique scientifique pour former des ingénieurs et techniciens de très haut niveau ici à Yamoussoukro dans le secteur du bâtiment, de l’électricité, d’agronomie et probablement avec leur appui, nous allons ouvrir nos formations à tous les pays d’Afrique », a confié Koffi N’Guessan.

Créé en 1891, l’ESTP Paris est en partenariat avec l’ESTP de Yamoussoukro depuis 1992. L’école française d’ingénieurs a participé à l’ingénierie pédagogique de l’ESTP alors installée à Abidjan, avant d’accompagner l’école des travaux public de Côte d’Ivoire pour son implantation à Yamoussoukro en 1978. Depuis 2013, l’École spéciale des travaux publics et du bâtiment de Paris à travers un accord-cadre de partenariat procède aux échanges d’enseignants et d’étudiants avec l’INP-HB. Une expérience qui connaît cette année une réussite avec un premier double diplômé de l’ESTP de Yamoussoukro en topographie.

« Aujourd’hui, nous sommes très fiers de renforcer ce partenariat avec la Côte d’Ivoire et en particulier avec l’INP-HB pour donner une nouvelle dimension et accompagner l’ESTP de Yamoussoukro à la modernisation », a déclaré la directrice générale de l’ESTP Paris. Florence Darmon a fait savoir que leur rôle consistera à accompagner la modernisation des équipements modernes de pédagogiques dans les laboratoires, d’apporter l’offre académique et le savoir-faire pour que le plan d’étude de l’INP-HB réponde aux standards internationaux  et aux exigences de Bologne.

La collaboration avec Montpellier Supagro concerne la rénovation pédagogique de l’école supérieure agronomique (ESA) de l’INP-HB. « Le renforcement de cette collaboration de longue date est fondé sur un vrai partage de valeurs d’excellence de valeurs scientifiques, de formation de la jeunesse pour répondre aux besoins de de développement d’un pays, pour être au plus près des besoins des entreprises des besoins sociétaux », a indiqué pour sa part la directrice générale de Montpellier Supagro Anne-Lucie Wack, la présidente de la conférence de 222 grandes écoles d’excellence à travers le monde.

Intégrer la conférence des grandes écoles françaises

L’une des ambitions de l’Institut national polytechnique (INP-HB) est d’intégrer le cercle restreint de la conférence des grandes écoles et de bénéficier, au demeurant, de l’expérience des nombreuses écoles qui la composent, a fait savoir mercredi, à Yamoussoukro, le directeur général, Koffi NGuessan, à l’occasion d’une signature de convention avec l’ESTP Paris et Montpellier SupAgro en présence de la présidente de la conférence des grandes écoles (CGE).

« Je crois que si nous entrons dans la conférence de grandes écoles, l’INP-HBva véritablement asseoir ses assises », a indiqué le directeur général de l’Institut, lors de la signature à l’INP-HBd’un double accord-cadre de renforcement de partenariat avec l’institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier (Supagro)et l’École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP)Paris.

Créée en 1973, la CGEregroupe des établissements d’enseignement supérieur et de recherche français et étrangers qui forment leurs diplômés dans une recherche constante de l’excellence, en liaison avec le monde de l’entreprise, les acteurs de l’économie et de la société civile.La CGE regroupe 222 écoles d’ingénieurs et de management, de science politique, de design, de communication et de santé, dont 14 écoles étrangères du Maroc de la Belgique de la Tunisie du Canada.

« J’espère que nous serons la quinzième école », a déclaré le directeur général de l’INP-HB.Koffi NGuessan a indiqué que son institut dont le dossier est en cours d’instruction s’efforcera de remplir les conditions au niveau pédagogique, de la sécurisation de la qualité des programmes, acquérir la commission des titres d’ingénieurs, tout en travaillant pour que sur de longs termes l’école reste stable, efficace pour intégrer dans les meilleurs délais la conférence des grandes écoles françaises.

« L’INP-HBa des chances de rentrer dans la conférence des grandes écoles », a laissé espérer la présidente de la conférence des grandes écoles, Anne-Lucie Wack.Elle a toutefois prévenu que la procédure d’intégration est rigoureuse et peut durer quelque mois à un an.

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