Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La deuxième édition du prix « Tremplin Ivoire » pour l’entreprenariat social des jeunes et la culture de la paix en Côte d’Ivoire a été lancé à l’initiative du Centre d’étude et de prospective stratégique, un centre de réflexion indépendant et de l’UNESCO.

 

3,2 millions à la clé

Selon un communiqué de l’UNESCO transmis jeudi à l’AIP, le mécanisme de soutien « Tremplin Ivoire » pour l’entreprenariat social des jeunes et la culture de la paix en Côte d’Ivoire vise à promouvoir l’initiative privée et l’innovation sociale, à encourager l’esprit d’entreprenariat et à favoriser l’émergence d’une jeunesse ivoirienne créatrice d’emplois.

Doté d’un montant de 5.000 euros, soit environ 3,2 millions de francs CFA, le prix récompensera en 2016 un jeune homme ou une jeune femme qui bénéficiera d’un accompagnement d’un an en matière de conseil en ressources humaines, juridique, export, comptabilité, marketing, communication, ainsi qu’une couverture médiatique dans le cadre de l’événement.

 

comment y poarticiper

Le dépôt de candidature se fait du 05 au 22 janvier, et les candidats doivent être Ivoiriens et avoir entre 21 et 35 ans, être résident permanent en Côte d’Ivoire, avoir créé une entreprise ayant au moins deux ans d’existence dont les activités correspondent à la définition de l’entreprenariat social. Ensuite, être dirigeant de cette entreprise, en contrôler au moins 50% du capital, avoir domicilié le siège de l’entreprise en Côte d’Ivoire, avoir un chiffre d’affaires minimum de 3 000 euros (environ deux millions de FCFA) et avoir créé des emplois salariés stables.

 

 

 

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De nombreux dirigeants africains sont attendus à Charm el-Cheikh, le mois prochain, à l'occasion d'un forum d'affaires et d'investissement Afrique-Afrique de haut niveau

 

Le mois prochain, lors du week-end des 20 et 21 février, l'Égypte accueillera Africa 2016, le premier Forum international d'affaires et d'investissement de ce type. Il s'agit d'un forum d'investissement Afrique-Afrique, destiné à renforcer les liens au sein du continent, tant au niveau présidentiel que dans le domaine des affaires.

 

Le Forum sera inauguré par le Président égyptien, S.E. Abdel Fattah Al-Sissi, et plusieurs autres chefs d'État africains sont également attendus. En juin dernier, à Charm el-Cheikh, en Égypte, trois communautés économiques régionales africaines - le COMESA, la SADC et l'EAC - ont signé un accord tripartite créant la plus vaste zone de libre-échange du continent. Le Forum Africa 2016 vise à engager une réflexion sur les opportunités en Afrique, ainsi qu'à mettre en œuvre l'intégration africaine.

 

Le Forum est organisé par l'Egyptian Agency of Partnership for Development (EAPD), le pôle développement du ministère des Affaires étrangères. L'ambassadeur Hazem Fahmy, secrétaire général de l'EAPD, a bon espoir que le Forum dynamise les échanges intra-africains : « Nous estimons qu'il s'agit d'un événement important pour stimuler les investissements et le commerce intra-africain. L'Égypte est un partenaire majeur. Divers groupes ont déjà investi avec succès en Afrique de l'Est et en Afrique australe. Plusieurs sociétés égyptiennes dans l'industrie pharmaceutique et les TIC sont en mesure de proposer une expertise et des solutions qui peuvent être répliquées à travers le continent. Nous possédons également l'infrastructure adéquate. Enfin, nos relations stratégiques avec plusieurs pays du Golfe devraient permettre à d'autres pays africains d'accéder à des capitaux internationaux. Le Forum Africa 2016 nous aidera à mieux saisir les opportunités d'affaires en Afrique et à faire en sorte que les décideurs mettent en place les instruments nécessaires pour faciliter l'accès des investisseurs à nos marchés. »

 

Heba Salama, qui dirige l'Agence régionale d'investissement du COMESA, partage ce sentiment : « L'objectif du Forum, en plus d'aborder quelques-unes des questions les plus pressantes en Afrique aujourd'hui, est d'encourager les échanges B2B. Nous savons que l'Afrique offre les retours sur investissement les plus élevés du monde. Toutefois, le secteur privé des divers pays d'Afrique ne profite pas de cette opportunité hors de ses frontières. Nous voulons que cela change. »

 

Le programme visera à stimuler les échanges et les investissements intra-africains en créant des alliances stratégiques entre les secteurs public et privé. Environ 1 000 participants sont attendus au Forum.

 

L'Égypte constitue une passerelle régionale attrayante pour les sociétés internationales qui souhaitent accéder aux grands marchés africains, ainsi que pour les investisseurs privés en quête de partenariats. Plusieurs conglomérats égyptiens ont déjà investi en Afrique dans les infrastructures, les mines, les télécommunications, l'industrie, les finances et d'autres secteurs économiques importants. Et certaines banques égyptiennes d'investissement ont organisé en 2015 des placements en Afrique, provenant du Moyen-Orient.

 

Au carrefour de l'Europe, du Golfe, de l'Asie et de l'Afrique, l'Égypte souhaite non seulement renforcer ses liens avec ses voisins traditionnels, mais aussi développer des partenariats en Afrique.

 

« En 2015, suite à notre conférence 'Egypt the Future', nous avons réussi à mobiliser des milliards de dollars d'investissements. Récemment, un investisseur du Golfe a également annoncé un projet d'investissement immobilier d'une valeur de plusieurs milliards de dollars dans le pays. Les opportunités sont réelles, autant en Égypte qu'ailleurs en Afrique, et c'est aujourd'hui qu'il faut les saisir », précise Ashraf Salman, ministre égyptien de l'Investissement.

 

Selon le FMI, la croissance économique en Égypte devrait être de l'ordre de 4 % au cours des deux prochaines années. Alliée à des réformes politiques, cette croissance, qui s'accompagne d'investissements par des multinationales dans divers secteurs - pétrole (BP a investi 12 milliards $ dans un nouveau projet), boissons (Coca-Cola s'est engagé à consacrer 500 millions $ à l'Égypte dans les trois prochaines années) et agroalimentaire, matériaux d'infrastructure et produits pharmaceutiques - montre que l'Égypte est sur la voie de la transformation.

 

La nouvelle Zone de libre-échange tripartite COMESA - SADC - EAC - conduira à une économie « sans frontières », qui serait au 13e rang mondial en termes de PIB. Elle offre l'occasion non seulement d'harmoniser les réglementations, mais aussi de favoriser l'intégration des économies africaines, afin de stimuler le commerce intra-africain et de mettre en œuvre plusieurs plans d'action liés aux investissements, au commerce, aux infrastructures, à l'industrialisation, à la capacité de production et à la facilitation du commerce.

 

La structure et le format du forum ont été étudiés pour permettre les rencontres en tête-à-tête avec des responsables politiques et des dirigeants d'entreprise. Les participants pourront également accéder à des décideurs égyptiens qui les renseigneront sur les opportunités et les projets dans le pays.

 

Des agences de promotion des investissements de toute l'Afrique présenteront des projets d'investissement public et privé pour lesquels des partenaires sont recherchés. Africa 2016 réunira ces partenaires.

 

« L'union européenne s'est formée grâce à la collaboration économique et à la création d'un avantage concurrentiel dans des secteurs stratégiques, tels que l'acier et le charbon. Les Africains doivent s'unir et collaborer, en tirant profit des immenses ressources naturelles, de leur population jeune et des économies dynamiques », a affirmé l'ambassadeur Hazem Fahmy.

Armand Tanoh

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Le leader mondial des produits à base de cacao et de chocolat de qualité supérieure, Barry-Callebaut, à travers sa filiale ivoirienne Société africaine de cacao (SACO), filiale ivoirienne entend contribuer à une meilleure transformation du cacao en Côte d’Ivoire, annonce le directeur mondial du groupe SACO, Antoine De Saint Afrique.

«  Nous sommes de gros transformateurs de cacao. Nous avons discuté des vues du gouvernement sur l’avenir du cacao, comment faciliter la transformation du cacao pour que de la valeur soit créée en Côte d’Ivoire. Nous formons des gens en permanence dans nos usines. Il s’agit de faire plus à partir de ces usines, continuer la qualité et la technicité de ce qui est fait à partir de ces usines. Nous souhaitons continuer à contribuer au développement du pays », a affirmé M. De Saint Afrique, au terme d’une audience avec le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, mercredi à Abidjan.

La compagnie Barry Callebaut, filiale du "groupe Jacobs holding" dont le siège est à Zurich, Suisse, est le leader mondial des fabricants de produits à base de cacao et de chocolat de qualité supérieure. Celle-ci opère à partir de 30 pays, exploite plus de 45 sites de production et emploie quelque 6000 personnes. En Côte d'Ivoire, à travers sa filliale Saco, elle traite 230.000 tonnes dont 100.000 sont transformées sur place en beurre et tourteau.

L'on note également la présence sur place d’Unicao, de Cemoi et Cargil. Avec l’entrée en service de l’usine Micao du groupe Cargill, la transformation de l'"or brun" sera portée à 324 000 tonnes, soit 27% de la production nationale.

La Côte d’Ivoire envisage porter la transformation à 50 à 60% de la production nationale estimée à 1, 740 millions de tonnes en 2015.

Abdoul Razak Dembélé

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"The radisson blu hotel, abidjan airport is opening early 2016". Traduction: "L'hôtel Radisson blu Abidjan Airport ouvre début 2016 ". C'est ce qu'annonce le site internet de ce réceptif 5 étoiles situé à l’aéroport international Félix Hophouêt-Boigny d’Abidjan.

Un parc d’une superficie de 28 000 m².  262 chambres dont 24 communicantes et 8 équipées pour les personnes à mobilité réduite, reparties en plusieurs catégories : 195 chambres standard, 50 Business Class, 16 suites (junior, exécutive et présidentielle). Ainsi se présente cet hôtel high standing fait pour les voyageurs d’affaires.

Abidjan qui se veut une véritable plaque tournante des business en Afrique de l’Ouest accueille depuis ces dernières années la construction de grands hôtels. En attendant l’inauguration de ce joyau.

Armand Tanoh

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Soulagés ! C’est certainement le cri que vont pousser, d’ici deux à trois ans, les usagers de la Côtière, voie très dégradée reliant la capitale économique de Côte d’ivoire, Abidjan, à San Pedro la ville portuaire et métropole du Sud-ouest du pays.

En effet, de source proche du dossier, La Diplomatique d’Abidjan (www.ladiplomatiquedabidjan.net) apprend que les travaux de l’étape préliminaire de ce gros chantier, qui concerne la portion Abidjan-Dabou, démarre en mars 2016. Cette étape comprend la construction d’une  2X2 voies de 45 km à partir du quartier Gesco de Yopougon (Abidjan-Ouest) jusqu’au carrefour Jacqueville en passant par Dabou.

740 milliards

Cette voie sera plus tard raccordée à la Côtière qui, elle aussi, subira une transformation pour devenir une autoroute. Ainsi, l’autoroute Abidjan-San Pedro, qui sera longue de 370 km coûtera 740 milliards de FCFA à l’Etat de Côte d’Ivoire.

D’ores et déjà, la mairie de Yopougon a entamé, depuis peu, une vaste campagne de sensibilisation à l’endroit de ses administrés vivant sur les emprises de la nouvelle route en voie de réalisation.

Les réunions se succèdent à cet effet au sein de cette mairie avec les différentes communautés concernées, en vue de faciliter le démarrage de cet important chantier (Abidjan-Dabou) piloté par le Projet de Renaissance des Infrastructures de Côte d'Ivoire (PRICI), et conjointement financé par la Banque africaine de développement (BAD), la Banque mondiale et l'Union européenne.

Déguerpissements

Ces travaux vont nécessiter la démolition de plusieurs maisons et des clôtures construites sur le long de la route Abidjan-Dabou, notamment à Yopougon et à Songon. Les occupants de ces espaces devront déguerpir avant le début des travaux.

On se souvient que lors d’une visite d’Etat à San Pedro en mars 2015, le président ivoirien Alassane Ouattara avait annoncé la construction d’une autoroute reliant Abidjan à San Pedro. ‘' Pour le financement, il n'y a aucun problème pour trouver l'argent", avait-il assuré.

Abdoul Razak Dembélé

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L’Etat de Côte d’Ivoire a récolté 150 milliards de FCFA sur le marché arabo-musulman à l’issue de sa première opération de levée de fonds par appel à l’épargne de Fonds commun de titrisation de créances dénommée « Sukuk Etat de Côte d’Ivoire 5,75% 2015-2020 », a appris APA, mercredi, de source officielle.

 

La distribution géographique de ce résultat place les souscripteurs hors UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine) en tête avec plus de 67 milliards de FCFA mobilisés, soit plus de 45%, indique le Trésor Public dans une note d’information qui précise qu’en Côte d’Ivoire, ce sont plus de 55 milliards de FCFA, soit 37% tandis que les souscripteurs de l’UEMOA totalisent plus de 26 milliards de FCFA, soit 17%.

 

S’agissant de la distribution par catégorie de souscripteurs, les institutionnels ont la palme d’or avec plus de 148 milliards de FCFA, soit plus de 98%. Les entreprises ont souscrit à hauteur de 0,55%, soit 829 millions de FCFA. Le montant des individus s’élève à 1,1 milliards de FCFA, soit 0,75%.

 

Le succès de cette émission a permis à la Côte d’Ivoire d’être primée « Sukuk deal of the year » et « Africa deal of the year » par le journal Islamic Finance News (IFN), du 6 janvier dernier.

 

L’Etat de Côte d’Ivoire dans sa politique de diversification des instruments de levée de fonds a émis du 20 novembre 2015 au 21 décembre dernier, un instrument de la finance «Sukuk » pour la mobilisation de ressources dans le cadre du financement de ses besoins d’investissement prévu dans le Programme national de développement (PND).

 

Cet instrument permettra à l’Etat d’élargir sa base d’investisseurs à des entités des pays du Golfe réputées très liquide et aux investisseurs qui ne souscrivent que dans les produits financiers compatibles avec les principes de la finance islamique. L’Etat de Côte d’Ivoire est le deuxième pays de l’UEMOA à émettre un Sukuk après le Sénégal. 

 

L’emprunt en cours, sera représenté par des titres de créances à partir de 10 000 Francs CFA sur lesquels sera servie une marge de profit de 5,75% l’an. La souscription a été ouverte aux investisseurs institutionnels et aux personnes physiques et morales sans distinction de nationalité ni de religion. 

 

Les placements ont été effectués par un syndicat formé de Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (SGI) et d’autres intervenants commerciaux agréés par le Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers de l’UEMOA.

 

Le Sukuk est un emprunt obligataire islamique qui est à la finance islamique ce que les Asset Backed Securities (ABS) sont à la finance conventionnelle. Il a une échéance fixée d’avance et est adossé à un actif permettant de rémunérer le placement en contournant le principe de l’intérêt.

 

Les Sukuk sont structurés de telle sorte que leurs détenteurs courent un risque de crédit et reçoivent une part de profit et non un intérêt fixe et commun à l’avance comme dans un ABS. Les produits sous-jacents des Sukuk peuvent être représentés par des contrats tels l’Ijara, la Musharaka ou la Mudharaba.

APA

 

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Option pour "la continuité". Mais dans l’"efficacité". Voilà ce qu’on retient dans le discours inaugural du Président Alassane Ouattara, prononcé mercredi 13 lors du premier Conseil des ministres de son nouveau gouvernement de 36 membres formé mardi 12 janvier 2016 par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
 
Inutile d’entrer dans la polémique autour de la constitution de cette nouvelle équipe, diversement appréciée par les Ivoiriens et observateurs de la scène politique nationale. La Diplomatique d’Abidjan annonçait récemment qu’il n’y aurait pas de remaniement ministériel en janvier mais plutôt des "ajustements techniques" s’il y a lieu.
 
Remaniement ou "gros ajustement technique"
 
Au vu de cette ossature gouvernementale, peut-on dire que nous avons donné une fausse information ? Certains diront non, car en réalité il n’y a pas eu grand changement. La plus part des anciens ministres (27 sur 32) reste dans l’équipe même s’il y a eu entre-temps des jeux de chaises musicales. "C’est juste un réaménagement technique et non un remaniement", comme s’exclame cet internaute. 
 
 Toutefois, il serait honnête d’admettre qu’il y a eu effectivement démission du gouvernement et composition d’une nouvelle équipe. Ce qui signifierait qu’il y a bel et bien eu remaniement contrairement à ce qui a été annoncé dans nos lignes quelques jours avant la démission de l’ex-équipe gouvernementale.
 
Remaniement ou "gros ajustement technique", une chose est sure : c’est que le chef de l’Etat entendait donner un message fort à tous. Qui sonne comme une note de rupture d’avec son premier quinquennat, même s’il sait encore compter sur la plus part de ses collaborateurs du gouvernement Duncan 2. Car il faut aller vite et ne pas trop bouleverser la machine qui est en marche, et foncer droit sur la dernière ligne droite pour atteindre l’émergence promise à l’horizon 2020. 
 
30.000 milliards de FCFA pour atteindre l’émergence
 
"Mon objectif, c’est d’accélérer la mise en œuvre du programme de travail gouvernemental afin de mieux répondre aux aspirations de nos compatriotes, le programme national de développement (PND) d’environ 30.000 milliards de FCFA vient d’être adopté par l’Assemblée nationale et doit être mis en œuvre avec célérité pour produire les résultats attendus", a notamment déclaré Alassane Ouattara lors de ce Conseil des ministre de (re)"prise de contact".
 
"Je veux une plus grande efficacité et plus de célérité au niveau du travail gouvernemental, je voudrais aussi une plus grande cohésion et une meilleure synergie entre le gouvernement et la Présidence de la république. Je vous demande donc de vous mettre tous au travail car nous avons de nombreux défis à relever pour le bien être de nos concitoyens et pour le rayonnement de notre beau pays", a-t-il dit, plantant le nouveau décor.
 
Tous comptes faits, "on ne change pas une équipe qui gagne", dit l’adage. Il faut juste savoir y apporter du sans neuf pour affronter les nouveaux défis qui se conjuguent notamment en termes de "croissance inclusive et profitable à tous", "emplois pour les jeunes", "renforcement de la cohésion sociale", "accès aux infrastructures socio-économiques de base".
 
Abdoulo Razak Dembélé 
 

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L’Organisation mondiale de la santé annoncera, jeudi, la fin de la maladie à virus Ebola en Afrique de l’ouest, selon un communiqué de l’agence onusienne.

 

Cette annonce devrait être faite vendredi dernier mais pour des raisons que l’on ne connaît pas encore, la date a été reportée au jeudi, note-t-on.

 

 

Selon l’OMS, ce jeudi marquera le 42 ème jour depuis que le dernier patient atteint d’Ebola au Liberia a été testé négatif.

 

 

AIP

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La ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique, Kandia Camara, a exprimé sa déception à la quasi-totalité des entreprises chargée de la construction des 40 collèges de proximité dans le pays en raison de « l’important retard » accusé dans la livraison de ces établissements.

 

Lors d’une rencontre tenue le 7 janvier à son cabinet pour faire l’état d’avancement des travaux de construction de ces établissements financés dans le cadre du Contrat de désendettement et développement (C2D) par l’Agence Française de Développement (AFD), Kandia Camara a dit sa colère de voir que 99 % des entreprises n’ont pas avancé alors que les établissements doivent être livrés en mars 2016.

 

 

« Je suis extrêmement déçue de la quasi-totalité des entreprises. Je suis déçue par vos arguments. Cela démontre que vous n’êtes pas compétents », a pesté Kandia Camara, visiblement en colère contre les entrepreneurs qui évoquaient des difficultés notamment liées aux sites de construction, à l’obtention d’engins et à la pluie, pour justifier leur retard.

 

Relevant le préjudice subi, la ministre a indiqué que ce retard dans la livraison entraîne de facto le non démarrage des travaux de 200 collèges. « L’AFD exige que je finisse les 40 premiers d’abord. Malheureusement, vous avez pris les marchés alors que vous n’avez pas les compétences pour les réaliser » a-t-elle dit, rappelant la date butoir de fin mars. Passé ce délai, il faudrait s’attendre à la « résiliation de contrat en bonne et due forme ».

AIP, titre LDA

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Le nouveau gouvernement ivoirien formé le mardi 12 janvier 2016 par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan est fort de 36 membres. Pour voir la biographie des membres de cette équipe, cliquez ici.

 

 

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