Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Un forum régional de l’union international des télécommunication (UIT) centré sur sur la baisse des tarifications du roaming international des pays africains, s’est ouvert lundi à Abidjan, avec la participation d’experts nationaux et internationaux des télécommunications et des TIC.

Ces assises qui plancheront sur la  réduction des tarifications des  services de télécommunications et des TIC, aborderont également question de « la tarification et la sécurisation des services financiers mobiles, le développement du large-bande et ses enjeux, le service universel, l’impact du phénomène des OTT( (les réseau sociaux), la gestion du spectre, la baisse de l’accès à l’internet, le financement des infrastructures des télécommunications ».

Pour le représentant de l’UIT, Jean-Jacques Massima, il s’agit pour les experts et opérateurs locaux de comparer les meilleures pratiques mondiales, afin d’aider à mieux déterminer et assoir les politiques tarifaires nationales respectives.

 » La baisse des tarifications du roaming en Afrique sera un vecteur vecteur de renforcement de la coopération entre nos pays et consacrera très certainement à développement les rapports d’échanges et de partenariats sud-sud « , a déclaré le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications de la Côte d’Ivoire (ARTCI), Diéméléou Bilé, souhaitant que les experts formulent des recommandation pertinentes pour faciliter l’accès aux télécommunication et aux TIC.

Ces assises s’achèvent vendredi avec la première réunion du groupe régionale de la commission d’études 17 qui porte sur les défis sécuritaires des réseaux en Afrique, et en Côte d’Ivoire en particulier, organisé par le Bureau de développement des télécommunications (BDT) de l’UIT.

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La Société islamique pour le développement du secteur privé (« ICD »), une branche de la Banque de développement islamique basée à Jeddah, agissait en tant que principal arrangeur.

 

Le 21 décembre 2015, la République de Côte d’Ivoire, agissant par l'intermédiaire du Ministère de l'Économie et des Finances, a émis un sukuk al-Ijara (« Sukuk ») inaugural en devise nationale de 150 milliards CFA (soit 244 millions USD). La Société islamique pour le développement du secteur privé (« ICD ») (www.ICD-idb.com), une branche de la Banque de développement islamique basée à Jeddah, agissait en tant que principal arrangeur.

Le sukuk, qui a une maturité de cinq ans, a été souscrit par des investisseurs issus d'institutions régionales et internationales. Des investisseurs du secteur de la vente au détail issus de huit membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) y ont également souscrit.

Le PDG de l'ICD, M. Khaled Mohammed Al Aboodi a déclaré : « L'ICD fera tout son possible pour contribuer à la transformation du marché de capitaux de l'UEMOA. L'ICD s'engage à promouvoir et à augmenter considérablement le volume de transactions financières Islamiques à destination des économies de l'Union. »

En tant qu'arrangeur principal, l'ICD était mandatée par la République de Côte d’Ivoire pour structurer un Programme de Sukuk, désigner des consultants et coordonner leur tâche, faire la liaison avec les agents du gouvernement et superviser le processus de proposition du sukuk dans son intégralité. L'ICD joue un rôle considérable en aidant les pays africains à entrer sur le marché. C'est avec l'assistance de l'ICD que le Sénégal a émis le premier sukuk souverain de l'UEMOA sur le marché régional. Cette émission ouvre la voie pour que d'autres pays d'Afrique de l'Ouest envisagent le sukuk comme instrument financier alternatif.

Les perspectives économiques de la Côte d’Ivoire ont attiré les acheteurs du Moyen-Orient ainsi que d'Afrique du Nord. Au niveau régional, 56 % du sukuk a été attribué à l'Afrique de l'Ouest, et 6 % à l'Afrique du Nord, tandis que les acheteurs du Moyen-Orient se partageaient jusqu'à 38 % du reste.

Cette transaction historique a reçu deux récompenses, à savoir le « Sukuk Deal of the Year (2015) » et l'« Africa deal of the year (2015) », qui sont présentées par l'« Islamic Finance News (IFN) ».

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La Diplomatique d’Abidjan (www.ladiplomatiquedabidjan.net) annonçait récemment que l’aménagement de la baie de Cocody entrerait bientôt dans sa phase active. Eh bien, c’est le moment du démarrage de ce projet futuriste qui va transformer lagune Ebriée et sa baie en un véritable paradis.

En effet, le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, procède ce lundi 18 janvier 2015 au lancement de la première phase de ce chantier. Retour sur les enjeux.

Partage d’expertises ivoiro-marocaines

"Le projet constitue une occasion historique permettant aux compétences ivoiriennes et marocaines, toutes disciplines confondues d’œuvrer ensemble la main dans la main pour un objectif commun", avait alors indiqué le directeur général de l’agence pour l’aménagement du site lagunaire de Marchica au Maroc, Said Zarrou, lors de la signature de ces conventions, rappelle-t-on. "Le projet une fois réalisé constituera le symbole d’une Afrique dynamique, rayonnante et ouverte sur l’avenir", a-t-il ajouté.

100 milliards de francs CFA à investir

D’un coût total de 100 milliards de francs CFA, le projet de sauvegarde et de valorisation de la baie de Cocody prend en compte la réhabilitation écologique de la baie de Cocody et  la lagune Ebrié, la réalisation de barrages et d’ouvrages hydrauliques, la construction d’infrastructures routières, d’ouvrages de franchissement, (...). Il prend également en compte la réalisation d’une marinade, d’un parc urbain et de promenades aménagé. Le projet intègre aussi le développement d’un programme ambitieux, d’équipements sportifs, culturels, ludiques et commerciaux. "Le projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody permettra de résoudre de manière durable les contraintes d’inondation et de circulation au carrefour de l’Indénié", commentait le coordonnateur du projet d’urgence d’infrastructures urbaines, Pierre Dimba.

 

Dépollution de la lagune 

Il inclut la dépollution du plan d’eau lagunaire et l’aménagement paysagé de berges de la baie de Cocody. Un soulagement pour les nombreux usagers du boulevard lagunaire d’Abidjan, où l’air devient de plus en plus irrespirable.

 

Armand Tanoh 

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Zoetaba Alain et Zida Issouf (déférés et jugés) ont été condamnés par le tribunal de Divo. Une condamnation qui survient après une enquêtemenée par les agents de la PLCC.

Les suspects ont été poursuivis pour utilisation frauduleuse d’éléments d’identification de             personne physique, harcèlement, chantage, escroquerie sur internet et homicide involontaire. Car en plus d'avoir extorqué 873.000 FCFA (1940 Dollars) à leur victime, ils l'ont conduit au suicide.

L'histoire de ce jeune canadien, qui s'est suicidé a ému la toile à cause du caractère perfide des cyberdélinquants qui poussent à bout leur victime, généralementjusqu'à la ruine financière, à la dépression, et quelques fois jusqu'à l'irréparable! Cela juste pour une "poignée" d'argent.

Le début dramatique d'une affaire…

Loin de se douter de ce qui se tramait dans la tête du jeune Yannick, aucun membre de son entourage n'avait imaginé retrouver le corps sans vie de ce jeune homme de 18 ans. C’était le 19 février 2015. Yannick Paré s’est pendu, laissant une lettre de suicide dans laquelle il explique tout. «Je vous aimerai toujours maisje dois partir. Je ne supporte plus de me faire harceler sur internet pour des sommes d’argent astronomiques à cause d’une fille qui m’a cruisé (fait la cour) et qui veut monter un scandale sur moi. Si vous voyez un jour une vidéo de moi, dites-vous que tout est faux. Je n’aurais jamais fait ça », a écrit le jeune résidant d’Asbestos, en Estrie au Canada.

Sa lettre contenait aussi les noms de trois personnes qui le harcelaient, dont une certaine "Sandra Roy", de qui il s'était entiché et qui se prétendait franco-ontarienne sur les réseaux sociaux. A la vérité, Yannick Paré avait affaire à des cyberdélinquants, spécialistes de l'arnaque aux faux sentiments. En effet, "Sandra

Roy", après avoir obtenu des vidéos de sa victime nue, a d’abord dévoilé son identité d’homme comme étant le nommé Zida Issouf, avant de lui exiger un transférer d'argent de 1.575.000 FCFA (3500 dollars). Somme réclamée en échange de la suppression de la vidéo compromettante. Pris de panique et ne pouvant pas payer cette somme, Yannick Paré lui a expédié, par transfert d'argent sous un faux nom, la somme de 153.000 FCFA (340 dollars), tout en suppliant son bourreau de ne pas publier cette vidéo.

Non satisfait, l'escroc lui demandera davantage et finira par mettre ses menaces de publication à exécution: la vidéo sera publiée sur Facebook sous l'intitulé mensonger «Yannick Paré se masturbe devant une fillette de 8 ans». Cet acte d’extrême cruauté entraîna le suicide du jeune homme.

Une enquête de longue haleine…

Suite à ce suicide, la famille de Yannick Paré a saisi la Division technologique de la police canadienne d'une plainte. Celle-ci ayant compris que l'affaire avait sa source en Côte d'Ivoire, transmet la plainte à la Plateforme de la lutte contre la cybercriminalité (PLCC) qui prend le relais de cette enquête dans le cadre de la coopération policière. De la région de l'Estrie (Canada) à Abidjan (Côte d'Ivoire), c'est le début d'une enquête qui va durer de juillet à décembre 2015, soit 6 mois d'enquête.

Cette enquête a débuté avec les investigations techniques réalisées par le Laboratoire de criminalistique numérique (LCN) de la Direction de l'informatique et des traces technologiques (DITT). En effet, l’exploitation des connexions internet a montré que la victime Yannick Paré a communiqué avec trois comptes Facebook à savoir: sandra.roy.9235, cherif.mawa.92 et issouf.zida.3. Des comptes qui ont permis de remonter la trace des cyberdélinquants jusque dans la petite ville de Divo en Côte d'Ivoire.

De l'Estrie à Abidjan… puis Divo

C'est à Divo, une ville située à 180 km à l'ouest d'Abidjan que les agents de la PLCC vont déposer leur valise pour poursuivre la traque aux suspects.  En effet, les investigations du LCN les ont conduits vers Zoetaba Alain, âgé de 20 ans, et Zida Issouf, 19 ans. Recherchés et interpellés par les enquêteurs de la PLCC, ces individus ont été confrontés aux preuves accablantes fournies par le LCN. Zoetaba Alain a reconnu devant les enquêteurs de la PLCC se faire passer pour "Sandra Roy" avec la complicité de son ami Zida Issouf.

Il a déclaré avoir effectivement utilisé le compte Facebook du nommé Zida Issouf pour harceler plusieurs correspondants dont Yannick Paré. Il a ajouté avoir fait plusieurs autres victimes majoritairement canadiennes à qui il aurait soutiré au total 661.500 FCFA (1470 Dollars).

Un acte d'inconscience aux conséquences non mesurées.

Au final, Zoetaba Alain et Zida Issouf ont été déférés devant le parquet de Divo. Si Zouetaba Alain a été jugé et condamné à 5 ans d'emprisonnement ferme, Zida Issouf pour sa part a été mis à la disposition du tribunal des mineurs d'Abidjan pour qu'il statue sur son cas. À la question des enquêteurs : «Suite à votre harcèlement et malgré les supplications de Yannick Paré, vous avez continuez à lui demander de l’argent, n’en pouvant plus, celui-ci s’est suicidé qu’en dites-vous?» la réponse de Zoetaba Alain fut «Je ne sais pas quoi vous dire...». Une réponse qui en dit long sur la mentalité de ces cyberdélinquants qui ne mesure toujours pas la gravité des actes qu'ils posent et les sanctions auxquelles ils s'exposent.

Des internautes livrés à eux-mêmes…

Elles sont nombreuses les victimes comme Yannick Paré qui se terrent dans leur maison. Sans soutien morale. La fracture psychologique (faiblesse de résilience) crée par ces cyberdélinquants (harcèlement) ont poussé le jeune Yannick Pare à la fatalité. Ce suicide en dit long sur les moyens de recours dont dispose les victimes qui sont quasi inexistants dans les pays occidentaux.

La nécessité de mettre l’accent sur la sensibilisation et la prévention quant à la cybercriminalité, trouve son sens à la lecture de ce drame. Ne pas laisser les internautes sans défense sur internet relève de la responsabilité des pouvoirs publics, de même que le suivi psychologique des victimes des cyberdélinquants.

Il faut le reconnaitre, Yannick Paré ne se serait pas suicidé s’il avait été suffisamment sensibilisé, et s’il avait eu l’opportunité de disposer d’une assistance.

… et une jeunesse à rééduquer, à suivre.

« J'ai le niveau 3ième mais je ne vais plus à l'école », « je suis en classe de troisième et je continue les cours ». À ces réponses données respectivement par Zoetaba AlaineEt Zida Issouf sur leur niveau d'étude, on est en droit de se demander, ou était leurs parents respectifs quand ceux-ci revenait à la maison avec des sommes qu’ils ne sont pas censés avoir ?

Si une prise de conscience quant à la cybercriminalité a eu lieu dans le monde et en Côte d'Ivoire tout particulièrement, de nombreuses actions déjà engagées sont à améliorer. Le suivi parental (parents regardants sur les allés et venus de leurs enfants et leur présence dans les cybercafés), lutte contre le phénomène de la déscolarisation, l’application effective de loi sur la gestion des cybercafés, la sensibilisation des populations sur les dangers et impacts de la cyberdélinquance surnotre société. Autant d’actions qui si elles sont amplifiées devraient permettre d’enrailler ce fléau dans notre pays.

En entendant, la PLCC vous invite à nouveau, chers internautes, à la prudence.

 

Source : http://cybercrime.interieur.gouv.ci/

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Le groupe Français Décathlon a lancé, ce jeudi 14 janvier, sa première boutique en Côte d’Ivoire en ligne sur le site de e-commerce Jumia.

 

Reconnu pour la qualité de ses produits techniques à des prix imbattables, Décathlon conçoit et distribue ses produits au travers de ses marques propres dont Kipsta, Domyos, Kalenji, B’twin. La boutique Décathlon sur Jumia Côte d’Ivoire est la première du genre en Afrique subsaharienne pour l’enseigne. 

 

Décathlon y commercialise un premier assortiment de produits en quantités limitées (chaussures, vélos, vêtements, équipements de fitness, etc.).

 

L’accord historique conclu entre les deux compagnies apporte sur le marché ivoirien une offre entièrement nouvelle, avec les meilleurs équipements de sports et loisirs.

 

Décathlon compte 63 000 collaborateurs dans 26 pays, 971 magasins, une vingtaine de marques distributeur et un chiffre d’affaires de 8,2 milliards d’Euros en 2014.

 

AIP

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Pour l'huere rien est encore officiel. Mais l'information a circule. Selon le siteweb du magazine panafriacain Jeunafrique, le Burkina Faso a émis un mandat d'arrêt international contre Guillaume Soro. Le président de l'Assemblée nationale ivoirienne est accusé par la justice militaire burkinabè d'avoir soutenu le putsch du général Gilbert Diendéré et de l'ex-RSP, à la mi-septembre.

Cette fois, l’affaire prend une tournure judiciaire. Régulièrement mis en cause dans les médias depuis la divulgation d’écoutes téléphoniques supposées l’impliquant dans la tentative de coup d’État au Burkina Faso, à la mi-septembre, Guillaume Soro est désormais visé par un mandat d’arrêt international émis par la justice burkinabè. « Ce mandat d’arrêt signifie qu’il est recherché par la justice burkinabè pour être entendu sur un certain nombre de faits qui lui sont reprochés », confie notamment à Jeune Afrique une source sécuritaire proche de l’enquête.

Le 23 décembre, Sita Sangaré, le directeur de la justice militaire en charge de l’enquête sur le putsch manqué du général Gilbert Diendéré et de l’ex-régiment de sécurité présidentielle (RSP), avait révélé que des « écoutes téléphoniques » avaient été versées au dossier, sans toutefois préciser leur contenu ni les interlocuteurs impliqués.

L' »affaire des écoutes »

Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne est fragilisé depuis le mois d’octobre et le début de l' »affaire des écoutes ». Selon plusieurs écoutes téléphoniques supposées, il aurait essayé, en collaboration avec Djibrill Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, de soutenir les putschistes de l’ex-RSP lors de leur tentative de coup d’État à Ougadougou.

Mi-décembre, la justice burkinabè avait émis un mandat d’arrêt international contre Blaise Compaoré, actuellement réfugié en Côte d’Ivoire, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de l’ex-président Thomas Sankara. Cette requête est pour l’instant restée lettre morte à Abidjan. Tout laisse penser qu’il devrait en être de même pour Guillaume Soro, responsable politique ivoirien de premier plan faisant figure de potentiel successeur à Alassane Ouattara.

Source : http://www.jeuneafrique.com/

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L’ambition du nouveau ministre auprès du président de la République chargé de la Défense, Alain Richard Donwahi, est de faire de l’armée ivoirienne, une armée de diplomatie et de renseignement, conformément à la vison du chef de l’Etat, Alassane Ouattara.

M. Donwahi qui a exprimé cette ambition lors de la cérémonie de passation de charge, mercredi, avec le ministre sortant Paul Koffi Koffi, à la salle de conférence du ministère de la défense, a salué le travail abattu par son prédécesseur qui, de son avis, permettra d’éviter la précipitation. « Ce travail a permis, avec la nouvelle loi de programmation, de tracer un cadre financier qui va donner à notre armée les moyens de sa modernisation », a-t-il ajouté.

Paul Koffi Koffi qui félicité son successeur a fait le bilan de son passage à la tête du ministère de la Défense. Il a évoqué les différents chantiers réalisés, entre autres, la maîtrise des effectifs, la restauration de la discipline, la baisse de l’indice sécuritaire et la promotion du genre. M. Donwahi était précédemment conseiller du président de la République en charge de la défense et de la sécurité.

Armand Tanoh

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La compagnie nationale aérienne, Air Côte d’Ivoire, va lancer des vols en direction d’Abuja au Nigéria, soit trois vols par semaine à compter du 15 février, après l’acquisition d’un  troisième Bombardier Dash 8 Q400.

 

 

Avec cette acquisition, Air Côte  d’Ivoire améliore son programme de vol à compter du 21 janvier, avec une augmentation de fréquences notamment 11 vols par semaine sur Lomé (Togo) dont deux vols par jour les lundi, mardi, vendredi et samedi.

 

 

Le nouveau programme de vol affiche également un vol quotidien pour Conakry (Guinée) et Niamey (Niger), six vols par semaine pour Monrovia (Liberia), cinq vols par semaine pour  Freetown (Sierra Leone) et Lagos (Nigeria)et quatre vols par semaine pour Brazzaville (Congo).

La compagnie ivoirienne  a transporté environ 600 000 passagers en 2015, pour un chiffre d’affaires d’environ 75 milliards de FCFA, indique-t-on.

Armand Tanoh, avec AIP

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L’ouverture du procès de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des “Jeunes patriotes’’ Charles Blé Goudé pour crimes contre l’humanité  débutera le 28 janvier  à la  la Cour pénale internationale (CPI) à la Haye, en Hollande, a annoncé le juge Cuno Trafusser , lors de la conférence de mise en état qui s’est tenue jeudi.

 

Des dispositions pratiques ont été arrêtées par le juge Cuno Trafusser pour la bonne préparation de l’ouverture de ce procès avec notamment des temps de parole bien définis pour chacune des parties . A l’ouverture du procès, les avocats de l’ex-président ivoirien auront quatre heures pour défendre leurs positions, tout comme la procureure Fatou Bensouda. Les représentants de Charles Blé Goudé quant à eux ont estimé que trois heures leur suffisent, tandis que la représentante des victimes disposera d’une heure.

 

Les premières audiences de ce procès à la CPI devraient s’achever le 23 mars, pour reprendre après les vacances judiciaires de Pâques.  Laurent Gbagbo et Charles  Blé Goudé étaient présents dans la salle d’audience.

AIP

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Quarante-quatre élèves sur 50 représentant 88,3% de l’effectif total, n’ont pas une maîtrise de la lecture à la fin du Cours préparatoire première année (CP1), révèle une étude de la Direction de la veille et du suivi du programme du ministère de l’Education nationale, recommandant au gouvernement d’engager une lutte contre le fléau pour des « Ivoiriens nouveaux ».

 

Selon le directeur de cette structure, Désiré Kauphy, qui a souligné l’ampleur du phénomène, la maîtrise de la lecture par les élèves du CP1 passe par plusieurs actions notamment la lutte contre le redoublement au CP1, la sensibilisation des parents sur le travail domestique, l’alphabétisation des mères, la promotion des femmes à la direction et la fourniture de point d’eau dans les écoles.

 

Pour la ministre Kandia Camara qui a salué à l’ouverture, mercredi à l’Hôtel du district d’Abidjan, la tenue de ce séminaire, la lecture constitue la première habileté à développer chez l’enfant afin de le prédisposer à exécuter le processus d’apprentissage.

« Cet atelier nous donne l’occasion de marquer un arrêt sur les acquis de nos enfants et de réfléchir ensemble sur les pratiques et les conditions d’apprentissage. Ces résultats doivent nous permettre d’apprécier le niveau réel des apprenants et de rechercher le cas échéant des solutions de remédiation en terme de stratégie et de politique éducative », a-t-elle ajouté.

 

Mme Camara a exhorté les différents acteurs à relever le défi de la scolarisation obligatoire avec une école de qualité pour permettre au plus grand nombre d’enfants de poursuivre leur étude, de construire leur avenir personnel et professionnel et de se préparer à l’exercice de la citoyenneté.

AIP

 

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