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D’après le directeur général de l’AERIA (Aéroport international d’Abidjan), Darriau Gilles, la Côte d’Ivoire multiplie les manœuvres en vue de convaincre des compagnies aériennes à se lancer dans une aventure de ligne directe entre Abidjan et les USA.
Projet phare du gouvernement ivoirien dans le secteur du transport aérien pour l’exercice 2016, après la certification de l’aéroport d’Abidjan à la norme américaine TSA (Transportation Security Administration), ces vols directs pour le pays le l’oncle Sam pourraient ne pas s’offrir aussi facilement. En tout cas, quand on s’en tient aux dires de Darriau Gilles qui s’exprimait sur le sujet le lundi 25 janvier 2016, lors d’une cérémonie de présentation de vœux avec son personnel, rapportée par le quotidien l’Inter dans sa livraison du mercredi 27 janvier.
"Il faut être sûr d'avoir des passagers"
" La certification, c'est avoir un aéroport capable d'accueillir des avions. On a toutes les garanties pour dire qu'on a un aéroport capable d'accueillir tous les trafics directs depuis ou à destination des Etats Unis. Après, il faut qu'une compagnie prenne les risques d'assurer ce trafic direct. C'est un challenge d'ouvrir une ligne sur les Etats Unis. Il faut être sûr d'avoir des passagers. On est en négociation avec deux ou trois compagnies. Mais, ce sont des choses qui ne se décident pas comme ça", a déclaré M. Darriau, sans toutefois mentionner les noms des compagnies concernées par ces négociations qui semble très serrées pour l’heure.
"Un vol en aller-retour coûte 200 millions"
"Pour un pays comme la Côte d'Ivoire, le coût d'un vol en aller-retour, c'est pratiquement 200 millions de Fcfa. Quand vous prévoyez un tel vol, la compagnie qui accepte de le faire doit voir avec ses partenaires que le potentiel est là ", a également fait savoir le DG d’AERIA.
En attendant, les Ivoiriens continuent de garder grand espoir que ces vols directs entre Abidjan et les Etats Unis d’Amérique puissent décoller fin juin 2016 comme prévue.
Abdoul Razak Dembélé
La Côte d’Ivoire possède de nombreux biens culturels emblématiques inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’Organisation de Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO). Cela concoure essentiellement au bien de la culture ivoirienne. Redécouvrons les sites et réserves naturelles ivoiriens inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco, avec Jovago acteur du tourisme en Côte d’Ivoire.
La liste du patrimoine mondial de l’Unesco est établie par un comité de patrimoine de ladite institution. La Côte d’Ivoire figure sur cette prestigieuse liste avec à son actif un bon nombre de biens inscrits.
Réserve naturelle intégrale du Mont Nimba
Du haut de ses 1752 mètres d’altitude, le mont Nimba est l’un des sommets les plus hauts de Côte d’Ivoire. Située dans une grande zone de richesse écologique, les pentes de cette réserve naturelle sont couvertes de forêts denses classées. C’est en 1981 que celle-ci intègre le patrimoine de chef d’œuvres naturels et culturels de l’institution. La réserve est aujourd’hui parmi les patrimoines en péril à cause des projets miniers et de l’arrivée massive de réfugiés de guerre en provenance du Libéria ces dernières années.
Le parc national de Taï
Situé dans l’ouest montagneux de la Côte d’Ivoire, le parc national de Taï s’étend sur une superficie de 330 000 hectares dont 700 hectares occupés par des montagnes. Avec une flore naturelle bien préservée, ce parc abrite plusieurs espèces de mammifères dont certaines, telles que l’hippopotame pygmée ainsi qu’onze autres espèces de singes sont menacées de disparition. Il a été inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1982.
Le parc national de la Comoé
Inscrit depuis 1983, ce parc est caractérisé par la très grande diversité de sa végétation et la beauté de sa faune de savane. Il est situé au nord-est de la Côte d’Ivoire et renferme de nombreuses espèces de plantes que l’on rencontre généralement au sud du pays. Ce parc renferme plus de 5000 cobs de Buffon, 14000 bubales, 700 hippopotames, 250 lions, 6000 buffles et bien d’autres espèces animales réparties sur 1,15 millions d’hectares. Bien qu’il soit inscrit sur la liste du patrimoine mondial en péril depuis 2003, le parc national de la Comoé garde tout de même sa notoriété d’antan.
La ville historique de Grand Bassam
Première capitale portuaire, juridique et économique de la Côte d’Ivoire, la ville de Grand Bassam est située au sud-est du pays. Grand Bassam allie architecture coloniale aux constructions modernes qui lui valent sa beauté actuelle. Les N’zima, qui sont les autochtones de la ville, ne lésinent pas sur les moyens financiers et techniques pour mettre en exergue les cultures et traditions de cette ville historique. Un grand festival y est organisé chaque année au grand bonheur des touristes. Il s’agit de l’Abissa qui se positionne à ce jour comme le plus grand festival culturel de la Côte d’Ivoire. Grand Bassam est inscrit au partimoine mondial de l’UNESCO depuis 2012.
En plus des 4 sites important inscrits officiellement sur la liste de patrimoine mondial de l’Unesco, il y en a plusieurss qui sont sur la liste indicative. Ce sont entre autres, le parc national des Iles Ehotilés, le parc archéologique d’Ahouakro, la mosquée de style soudanais au Nord, le parc national de la Marahoué, le parc national du mont Péko, etc.
L’inscription des parcs, réserves et villes de la Côte d’Ivoire au patrimoine mondial de l’Unesco permet de conserver au mieux les biens culturels ou naturels du pays. Cela donne aussi une plus grande visibilité au tourisme ivoirien car ces biens conservés permettent de préserver l’héritage culturel de la Côte d’Ivoire.
Dominique Eliane Yao
PR Jovago / Côte d'Ivoire |
a branche dissidente du Front populaire ivoirien conduite par Aboudrahmane Sangaré appelle ses partisans et sympathisants à la mobilisation pour la libération de l’ex président Laurent Gbagbo et de l’ancien leader des jeunes patriotes ivoiriens (COJEP) Charles Blé Goudé, poursuivis pour "crimes contre l'humanité", dont le procès s'ouvre jeudi, à la Haye.
Dans un communiqué transmis mardi à l’AIP, le premier secrétaire général adjoint et porte parole par intérim de cette branche, Koné Boubakar, juge la mobilisation des militants "primordiale pour espérer l’acquittement" des accusés par la Cour pénale internationale (CPI).
La dissidence du FPI "appelle ses militantes et militants, le peuple souverain de Côte d’Ivoire, la diaspora, les démocrates de toutes origines et tous les panafricanistes à se mobiliser pour obtenir la libération sans condition du président Laurent Gbagbo", note le document, qui se satisfait toutefois du fait que ce procès se tienne à la date prévue.
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé sont poursuivis pour leurs rôles présumés durant la crise postélectorale ivoirienne (2010-2011) qui a fait quelque 3000 morts.
Dans une courte interview accordée à La diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net), ce mardi 26 janvier 2016, le porte-parole de la Cour pénale internationale (CPI), Fadi El Abdallah, fait des précisions sur le procès de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et le leader des jeunes patriotes, Blé Goudé, qui s’ouvre le vendredi 28 janvier 2016 à La Haye aux Pays-Bas. Durée du procès, le rôle de chaque partie, le verdict, etc. Interview.
Combien de temps va durer ce procès ?
Le procès peut durer plusieurs mois. Des déclarations liminaires seront d’abord faites par le Procureur, la Défense et les Représentants légaux des victimes à partir du 28 janvier 2016.
Puis l’accusation et la défense présenteront successivement leurs affaires et leurs témoins respectifs devant les juges. Le début de la présentation des preuves de l'accusation, avec la déposition du premier témoin, est programmé pour le 1er février 2016.
Des témoignages de victimes sont-ils prévus ?
Les Représentants légaux des victimes seront également autorisés à présenter leurs observations et poser des questions aux témoins des deux parties.
Il y a pourtant des doutes sur l’équité de ce procès très souvent taxé de procès politique…
Les trois juges assureront l'équité du procès et que les droits des deux parties et des victimes soient respectés. Alors que l’accusation doit prouver la culpabilité des accusés, la Chambre de première instance ne peut condamner un accusé que si elle est convaincue que les charges qui pesaient contre lui ont été prouvées au-delà de tout doute raisonnable.
Alors que va-t-il se passer à la fin des audiences ?
À la fin des audiences du procès, les juges prononceront leur jugement dans un délai raisonnable. Le jugement est lu en public et peut soit acquitter soit condamner l’accusé. Les parties ont le droit de faire appel du jugement devant la Chambre d'appel de la CPI.
Interview réalisée via internet par Abdoul Razak Dembélé
Le directeur général de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), Amadou Bakayoko, a jugé « un peu excessives » l’appréciation portée des téléspectateurs sur la rareté de la couverture des activités des partis politiques de l’opposition en dehors des périodes électorales.
« C’est un travail d’une rédaction qui apprécie par rapport à l’ampleur de l’activité politique menée par tel ou tel acteur de l’opportunité ou pas de le couvrir », a fait remarquer M. Bakayoko, samedi à Bouaké à l’occasion de l’émission « Les rencontres des communicants ». Il a invité les populations à ne pas confondre les actions du gouvernement aux activités politiques, même si elles sont menées par des leaders politiques.
La RTI a l’obligation de couvrir ces activités, conformément à son cahier de charges, a insisté le DG, ajoutant que le média de service public est présent chaque fois qu’il y a des activités majeures des acteurs politiques.
« Mais il faut que les acteurs aient des activités politiques importantes. Souvent, il n’y a pas beaucoup d’activités politiques en dehors des périodes électorales », a-t-il conclu.
Source : AIP, Titre : LDA
Des travaux pour la construction d’une unité de fabrication de farine infantile à base de céréales locales telles que le riz, le maïs, ou le mil ont démarré à Korhogo, dans le cadre du projet Misola qui a pour but la création de pôles de développement dans les zones rurales.
Selon Coulibaly Alimata, coordonnatrice – Côte d’Ivoire de ce projet, qui l’annonce à l’AIP, le chantier qui va coûter 25 millions de FCFA, est situé au quartier Cocody de Korhogo.
Il est réalisé avec l’appui financier de la BOAD et devrait finir d’ici la fin de l’année. La capacité de production de cette « usine » sera de 100 kg/heure, a-t-elle indiqué.
Lutte contre la pauvreté et emplois
Première d’une série de quatre qui seront installées dans quatre localités (Korhogo, Man, Bouaké, Abidjan) dans le cadre de la phase pilote du projet Misola, cette unité de fabrication de farine infantile devrait contribuer à la lutte contre la pauvreté et à l’industrialisation du tissu économique de la localité de Korhogo.
Selon les prévisions de Mme Coulibaly, cette unité industrielle va offrir 75 emplois directs et des centaines d’emplois indirects.
Au terme du projet, une vingtaine d’unités de fabrication de farine à base de céréales produites localement devraient avoir été installées à travers le pays.
A T, source : AIP
Le groupe Maroc Télécom a décaissé 50 milliards de FCFA au profit de l’Etat de Côte d’Ivoire, représentant la première tranche dans l’acquisition d’une licence de téléphonie mobile, a révélé, lundi, le président du directoire dudit groupe au sortir d’une audience avec le président ivoirien, Alassane Ouattara, au palais de la présidence, à Abidjan.
Selon une note d’information du service Communication de la présidence ivoirienne, M. Abdeslam Ahizoune a annoncé plusieurs autres investissements qui permettront à son groupe de « densifier » la 3G et la 4G et d’investir dans le très haut débit et la fibre optique.
Le groupe Maroc Télécom, selon le communiqué du conseil des ministres du 7 janvier, a bénéficié de l’autorisation de l’Etat ivoirien d’entrer dans le capital de Moov Côte d’Ivoire à travers la société Atlantique Telecom Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
Le président du directoire a réitéré l’engagement de son groupe dans l’effort d’investissements pour permettre au secteur des télécommunications d’être une « locomotive » et un « atout » pour le développement économique et social en Côte d’Ivoire.
Moov-CI est le 3ème opérateur du secteur de la téléphone mobile en Côte d’Ivoire, avec environ 3,6 millions d’abonnés, représentant 16,94 % de parts de marché, derrière Orange CI (38,93 %) et MTN CI (36,07 %), souligne-t-on.
A. T.
Le procès de l’affaire de l’assassinat du Général Robert Guéi le 19 septembre 2002, aux premières heures de la crise miliraro-politique ivoirienne (2002-2011), s’est proprement ouvert ce lundi 25 janvier 2015 après le rejet par les juges des exceptions soulevées par la défense.
Les choses sont allées très vite avec la comparution de l’adjudant Koudio Koudio, à l’époque chef de sécurité du général Dogbo Blé, commandant de la garde républicaine. Ce témoin n’est pas passé par quatre chemins pour accuser le colonel Anselme Séka Yapo dit Séka Séka – chef de la sécurité rapprochée de l’ex-première dame Simone Gbagbo à l’époque- d’être le principale assassin du général putschiste.
Ce qui s’est passé à la Cathédrale St Paul
Alors que plusieurs camps militaires et les domiciles de certaines autorités du pays étaient attaqués à Abidjan par des assaillants venus du Nord du pays, dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, le général Guéi Robert qui habitait au Plateau non loin de la clinique de l’Indénié, décide d’aller se refugier à la Cathédrale St Paul sise dans la même commune à proximité des tours administratives.
Selon l’adjudant Koudio une troupe conduite par le général Dogbo Blé et Séka Séka dont il faisait lui-même partie s’est rendue au domicile du général Guéi. La mission était de mettre l’officier supérieur aux arrêts mais ce dernier ne s’y trouvait plus. C’est alors qu’ils apprennent que l’homme recherché se trouve à la Cathédrale.
Une fois sur ce lieu saint, poursuit l’adjudant Koudio Koudio, le commandant Séka Séka parvient, sous la menace, à obliger un homme trouvé sur place à leur montrer l’endroit où se planquait le général.
"C’est ainsi que je suis allé chercher le général et je l’ai remis au général Dogbo Blé qui l’a ensuite remis à Séka Séka", raconte-il.
Toujours selon le sous-officier, Séka Séka et ses hommes se sont dirigés vers la résidence du général Guéi qu’ils ont transporté avec eux dans un Véhicule de l'avant blindé (VAB). "C’est après que j’ai appris à la télé que le général Guéï a été tué", affirme l’adjudant.
Rose Doudou Guéï à bout portant
Revenant sur les circonstances de l’assassinat, le même jour, de Rose Doudou Guéï, épouse de Guéï Robert, l’adjudant Koudio relate que cette dernière avait trouvé refuge chez dans une cour voisine en escaladant une clôture de leur villa. "Je suis allé la chercher et je l’ai ramené dans leur résidence", dit-il, précisant avoir remis Mme Géï à à Séka séka.
Entre-temps, Rose Guéï éprouvait des douleurs au niveau de ses jambes, selon les dires de l’adjudant, dues à une chute lorsqu’elle escaladait le mur. "C’est ainsi que je l’ai laissé avec Séka Séka pour aller lui chercher une chaise afin qu’elles puissent s’assoir", poursuit-il.
Mais à sa "grande surprise", bang ! bang ! Il dit avoir entendu de coups de feu, et quand il revient aussitôt sur ses pas, il retrouve Mme Géï sans vie couchée dans un caniveau sans vie. "Quand j’ai demandé ce qu’il s’est passé, on me dit que c’est encore le fou de Séka Séka…"
Les audiences reprennent le mardi 26 janvier 2016.
Abdoul Razak Dembélé
L’ambassade des Etats-Unis en Côte d’ivoire dément de fausses alertes à la menace terroriste largement diffusées et qui lui sont attribuées.
"L’ambassade des Etats-Unis dément catégoriquement une information largement diffusée selon laquelle elle aurait adressé un message d’alerte contre le terrorisme à ses ressortissants en Côte d’Ivoire", note un communiqué de cette chancellerie publié ce lundi 25 janvier 2015.
"Aucune alerte de ce genre n’a été envoyée. Cette information est malheureusement basée sur un reportage sans fondement. Ceci est regrettable et nous voulons éviter une psychose inutile aussi bien parmi les Américains que les Ivoiriens", poursuit le document.
Toutefois, face à la situation sécuritaire qui prévaut dans la dans la sous-région ouest africaine, l’ambassade des USA appelle toujours "les citoyens américains à rester prudents".
"S’il s’avérait nécessaire de publier un message sur une alerte spécifique, nous la rendrons public comme il est de coutume par un communiqué officiel sur le site internet de l’ambassade, le Smart Traveler Enrollment Program et à travers les réseaux sociaux", conclut le communiqué.
AT
Des membres de la confrérie Dozo (chasseur traditionnel) de la région de l’Indénié-Djuablin s’engagent dans la lutte contre la déforestation en Côte d’Ivoire, à travers les actions d’une organisation de protection de la forêt ivoirienne.
Cette organisation, dénommée Association pour la protection de la faune, la flore, la reforestation et le développement durable (APRDD), a été présentée officiellement samedi à l’occasion de la 3e édition du « Festival Dangoun » à Amélékia (environ 18 km d’Abengourou).
L’APRDD a pour objectifs d’assurer l’identification, la coordination et le suivi-évaluation de toute activité visant à lutter contre le déboisement, la désertification et l’appauvrissement des sols en Côte d’Ivoire. Elle vise également à sensibiliser la population rurale et urbaine et éveiller la conscience des décideurs sur les risques de dégradation de l’environnement par l’agriculture extensive, l’industrialisation et l’urbanisation anarchique.
L’organisation, dirigée par Coulibaly Sinan (dit Dozo Balla) a déjà à son actif le reboisement d’un espace de 10 ha dans la forêt classée de Brassué située dans le périmètre du village d’Elinso II (sous-préfecture d’Amélékia).
Le directeur régional des Eaux et Forêts d’Abengourou, Lt-Col Koffi Empirus Avogadro Kouamé, salue cette initiative louable des Dozos tout en les exhortant à s’organiser au mieux pour appuyer les forestiers dans leur combat contre la déforestation et le changement climatique.
Il en est de même du sous-préfet d’Amélékia, Kouadio Oi Kouadio Marc. Ce dernier exhorte les membres de la confrérie Dozo à agir de sorte à susciter l’admiration des populations et non la crainte. « Faites en sorte que le Dozo ne fasse pas peur et qu’il soit quelqu’un de sociable, aimable et bien apprécié de tous », a recommandé l’administrateur civil.
AIP