Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Cent douze victimes de Duekoué, Sassandra et Abidjan, des crises survenues en Côte d’Ivoire, ou leurs ayants droits, ont reçu des chèques d’indemnisation des mains de la  ministre de la Solidarité de la Cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes, Mariatou Koné.

Lors d’une cérémonie, vendredi au cabinet du ministre de la Solidarité à Cocody, les victimes civiles et militaires de cette vague d’indemnisation, ont reçu chacune un chèque d’un million de francs CFA pour les personnes décédées, et 150.000 francs CFA pour les blessés, ainsi que des  prises en charges médicales.

Mariatou a réitéré les condoléances du gouvernement aux familles des personnes décédées et exprimé sa compassion aux blessés. Elle a, en outre tenu à rassurer toutes les victimes que le processus d’indemnisation se poursuit et que toutes les personnes concernées seront prises en compte.

La ministre de Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes, s’est rendue au CHU de Treichville et à Koumassi le même jour, pour s’enquérir de l’état de santé de deux victimes des crises sociopolitiques. Il s’agit de Francis Dakouri, hospitalisé à l’institut de Cardiologie, et Traoré Valy à son domicile à Koumassi Progrès qui a subi une opération du pied.

Cette opération d’indemnisation dont la première phase a démarré en août 2015, avec le lancement officiel par le Président de la République, se poursuit et concerne 4500 victimes dont 3500 personnes décédées et 1000 blessées.

Trois conventions pour la prise en charge médicale des victimes des crises ivoiriennes

Le gouvernement ivoirien, à travers la ministre de la solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné, a conclu trois conventions avec l’Institut de cardiologie d’Abidjan (ICA), l’institut Raoul Follereau et le cabinet d’optique « Cocody Optic », pour la prise en charge médicale des victimes des crises sociopolitiques survenues en Côte d’Ivoire.

« Nous  comptons  sur vous,  à travers vos différentes structures pour un bon suivi de ces blessés », a souligné la ministre, s’adressant  aux représentants de ces établissements, après la signature de ces accords, vendredi,  en présence de la représentante de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Dem Niacadié.

Ces conventions qui viennent  compléter  à 15 le nombre des partenariats pour l’assistance médicale  des victimes s’inscrivent dans le  programme du gouvernement pour l’indemnisation  et la  prise en charge  des victimes des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire.

AIP

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"I am the greatest": l'emphase de cette tirade maintes fois lancée par Mohamed Ali ne suffit pas à mesurer la légende du boxeur le plus célèbre de l'histoire, qu'il a écrite un demi-siècle durant avec ses poings, un verbe acéré et un charisme fou.

Le boxeur américain né Cassius Marcellus Clay Jr est décédé vendredi à Phoenix à l'âge de 74 ans après un long combat avec la maladie de Parkinson.

L'une de ses dernières apparitions publiques, en juillet 2012 lors de la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Londres, avait montré au monde que l'ancien triple champion des poids lourds, rongé par la maladie, était entré dans le dernier round de son ultime combat.

Une alerte l'avait déjà conduit à l'hôpital en janvier 2015 pour soigner une sévère infection urinaire.

Mais cette image de vieillard presque paralysé n'effacera jamais la personnalité hors norme du boxeur couronné "Sportif du siècle" par Sports Illustrated et la BBC en 1999, un homme aux multiples vies, marié à quatre reprises et père de sept enfants, dont une fille -Laila- qui suivra ses pas dans la boxe.

Autant que le boxeur doté de dons uniques, d'une technique très pure, d'une étonnante mobilité et d'un punch au-dessus de la moyenne, l'histoire retiendra l'homme qui a bouleversé les conventions sur et en dehors du ring, avec son rare sens de la formule, son instinct de grand communicateur, son goût pour la provocation et son combat permanent contre l'ordre établi.

C'est pour se venger d'un gamin qui lui a volé son vélo que ce petit-fils d'esclave, né le 17 janvier 1942 à Louisville dans le Kentucky, apprend la boxe. Très vite, c'est la gloire. A 18 ans, il est champion olympique à Rome.

- Converti à l'Islam -

Sitôt professionnel, Cassius Clay entame son auto-promotion à coup de formules dont la plus fameuse: "Je vole comme un papillon, je pique comme une abeille, je suis le plus grand". Une providence pour les médias.

A 22 ans, il est champion du monde aux dépens du redoutable Sonny Liston. Le lendemain, il décide de changer de nom et se fait appeler Cassius X en l'honneur du leader des "Black Muslims", Malcolm X. Un mois plus tard, il se convertit à l'Islam et prend le nom de Mohamed Ali.

Grâce à son style unique, les bras souvent ballants le long du corps, il conservera son titre mondial jusqu'en 1967, date à laquelle il refuse d'aller faire la guerre au Vietnam. Il échappe à la prison mais est interdit de ring, vilipendé par une majorité de l'opinion publique américaine mais tenu par d'autres comme un pilier de la contre-culture et un champion de la cause des noirs qui se battent alors pour l'égalité des droits.

Ali est gracié en 1971 mais sa suspension lui a volé trois belles années de carrière dans la pleine force de l'âge. Il remet très vite les gants et, dans ce que beaucoup avec lui qualifient de "combat du siècle", il s'incline aux points face au battant qu'est Joe Frazier, le 8 mars 1971 au Madison Square Garden de New York. Pour la première fois de sa carrière, Ali va au tapis.

Quarante plus tard, quand Frazier sera mis en terre après une bataille contre le cancer, Ali sera là, malgré la maladie.

Grâce à son style unique, les bras souvent ballants le long du corps, il conservera son titre mondial jusqu'en 1967, date à laquelle il refuse d'aller faire la guerre au Vietnam. Il échappe à la prison mais est interdit de ring, vilipendé par une majorité de l'opinion publique américaine mais tenu par d'autres comme un pilier de la contre-culture et un champion de la cause des noirs qui se battent alors pour l'égalité des droits.

Ali est gracié en 1971 mais sa suspension lui a volé trois belles années de carrière dans la pleine force de l'âge. Il remet très vite les gants et, dans ce que beaucoup avec lui qualifient de "combat du siècle", il s'incline aux points face au battant qu'est Joe Frazier, le 8 mars 1971 au Madison Square Garden de New York. Pour la première fois de sa carrière, Ali va au tapis.

Quarante plus tard, quand Frazier sera mis en terre après une bataille contre le cancer, Ali sera là, malgré la maladie.

Ali prend sa revanche sur Frazier début 1974 et, le 30 octobre 1974, dans la mémorable "bataille dans la jungle" ("rumble in the jungle") à Kinshasa, au Zaïre, il mystifie devant près de 100.000 spectateurs le surpuissant George Foreman (KO, 8e) pour reconquérir le titre de champion des lourds.

- Le combat de trop -

Vainqueur notamment d'une belle inoubliable (KO, 13e) face à Frazier en 1975 à Manille, il conservera sa couronne jusqu'en 1978, où il est battu par Leon Spinks.

Fait unique, Ali récupère le titre mondial pour la troisième fois face à ce même Spinks, sept mois plus tard, aux points.

Retraité en 1979, il est contraint de remettre les gants deux ans plus tard, à 39 ans, faute d'avoir su gérer sa fortune.

C'est le combat de trop. En octobre 1981, il est tristement humilié par son compatriote Larry Holmes, trop fort pour lui (abandon 11e reprise). Ali n'est plus le plus grand mais il s'entête. En décembre de la même année, une défaite face à Trevor Berbick sera toutefois son dernier combat.

En 1996 aux jeux Olympiques du centenaire, à Atlanta, c'est un homme tremblotant mais irradiant que le monde regarde avec émotion allumer la vasque olympique. Dans cette grande ville du sud des Etats-Unis où trente ans plus tôt la ségrégation persistait, il reçoit une deuxième médaille d'or.

Retraité en 1979, il est contraint de remettre les gants deux ans plus tard, à 39 ans, faute d'avoir su gérer sa fortune.

C'est le combat de trop. En octobre 1981, il est tristement humilié par son compatriote Larry Holmes, trop fort pour lui (abandon 11e reprise). Ali n'est plus le plus grand mais il s'entête. En décembre de la même année, une défaite face à Trevor Berbick sera toutefois son dernier combat.

Après 56 victoires en 61 combats, dont 22 en championnats du monde et 37 avant la limite, Ali raccroche les gants. Il a poussé trop loin sa carrière: très vite, les premiers effets de la maladie de Parkinson se manifestent.

En 1996 aux jeux Olympiques du centenaire, à Atlanta, c'est un homme tremblotant mais irradiant que le monde regarde avec émotion allumer la vasque olympique. Dans cette grande ville du sud des Etats-Unis où trente ans plus tôt la ségrégation persistait, il reçoit une deuxième médaille d'or.

Jeune homme, il avait jeté dans la rivière Ohio celle remportée à Rome en 1960, après avoir été refusé dans un restaurant "réservé aux blancs".

AFP

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Le ministre de l’Industrie et des mines, Jean-Claude Brou, a annoncé la fin des travaux de réhabilitation de la zone industrielle de Yopougon dans un délai maximum de trois mois, au terme de la visite effectuée  jeudi sur les chantiers.

« Nous sommes satisfaits de l’état d’avancement (des travaux). Le plus difficile a été fait, donc nous sommes dans des phases où les choses vont aller un peu plus loin. Dans deux ou trois mois, nous aurons une zone complètement réhabilitée qui pourrait être utile aux opérateurs économiques », a confié M. Brou au terme de cette visite, se rappelant qu’avant ces travaux, ce lieu était une zone d’inondations en saison de pluie, avec des pistes impraticables, ainsi que des difficultés d’électricité et d’assainissement.

Selon Jean-Claude Brou, l’état des lieux a montré beaucoup de progrès dans  les travaux en cours et dont le niveau d’exécution peut être  chiffré à 60% malgré les difficultés de terrain rencontrées par les entreprises qui ont dû faire face à la densité des activités dans la zone et aux intempéries. Des paramètres qui ont causé le ralentissement des travaux.

Le projet de réhabilitation de la zone industrielle de Yopougon, d’une superficie d’environ 645 hectares, a démarré en février 2015, et est financé par le Fonds de développement industriel (FODI) à hauteur de 20,3 milliards de FCFA. Il vise à donner des positions optimales aux entreprises installées sur les lieux afin qu’elles puissent évoluer dans un environnement qui leur permet d’être compétitives.

Cette visite de la zone industrielle de Yopougon par  Jean-Claude Brou intervient au lendemain de la restitution de l’étude monographique, menée par le Bureau national d’étude technique et de développement (BNETD) afin de mette à la disposition du gouvernement ivoirien des données exhaustives et  fiables sur l’état d’occupation des sols de ce lieu.

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Le Médiateur de la République, N’Golo Coulibaly est annoncé à Korhogo  samedi 11 juin pour parrainer la sortie de la 43ème promotion terminale du lycée Félix Houphouët-Boigny, indique un communiqué de l’institution.

Selon la note, M. Coulibaly sera accompagné de son épouse Dr Mayele Coulibaly. « Le choix du Médiateur de la République n’est pas fortuit, il est une référence, un model d’excellence et de réussite pour la région du Poro » souligne le document, relatant les propos du proviseur.

 

Plusieurs activités, notamment l’inauguration de la salle des professeurs, des compétitions sportives et la remise de présents aux meilleurs élèves, meubleront cette sortie de promotion, conclut le communiqué.

 

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Le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité sera à la tribune de l’ONU vendredi, pour parler, au nom des pays fournisseurs de soldats à la police onusienne (UNPOL), pour plaider la cause des policiers des casques bleus affectés dans des missions de maintien de paix à travers le monde, a appris l’AIP auprès de son cabinet.

M. Bakayoko prendra la parole à l’occasion du 1er sommet des chefs de police réunis des Nations unies ouvert jeudi à New York, en présence du secrétaire général de l’ONU.

Ce sommet qui enregistre la participation des chefs et directeurs généraux de police, ainsi que quelques ministres de la Belgique, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Kirghizstan, et la Fédération de Russie, sera l’occasion pour le ministre d’Etat ivoirien d’évoquer notamment la question de la valorisation des missions de la composante police (14000 policiers pour 91000 militaires) des forces de maintien de la paix de l’ONU.

Hamed Bakayoko devrait également faire un plaidoyer pour l’amélioration des moyens des policiers des Nations Unies, par « un meilleur système de renseignement et de nouvelles technologies, la prise en compte des demandes des pays contributeurs pour satisfaire au mieux les besoins de la communauté internationale en matière de sécurité », explique la même source.

AIP

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Au troisième jour de son procès, l’ex-premier dame de Côte d’Ivoire, Simone Ehivet Gbagbo, a réfuté les accusations  portées contre elle par la chambre d’accusation de la cour d’appel d’Abidjan, pour crimes contre l’humanité et crimes de guerres, lors de son procès devant la cour d’assises d’Abidjan.

Interrogé par le président de la cour, Bouatchi Kouadio, Mme Gbagbo a soutenu être la victime d’une volonté politique qui veut la voir condamner à tout prix malgré le fait qu’elle ait « respecté la volonté du peuple ivoirien ».

Pour l’accusée, son combat politique contre la France « est majeur ». Cette lutte visait à empêcher que « le plus fort prenne le pouvoir et que le plus faible soit massacré », s’est-elle défendu, souhaitant recouvrer la liberté.

Se prononçant sur l’existence présumée d’une cellule de crise chargée ayant planifier, sous sa responsabilité, le massacre d’une partie de la population ivoirienne, l’ex-députée d’Abobo, épouse de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, a démenti en bloc ces allégations, exigeant des preuves formelles.

Simone Gbagbo est jugée pour des actes qu’elles auraient commis durant la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011, « au sein d’une cellule de crise chargée de la planification et de l’organisation des crimes massifs et systématiques visant une partie de la population ». Elle risque  la peine de prison à vie si elle est reconnue coupables au terme de ce procès qui va durer plusieurs semaines.

AIP

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La Bibliothèque nationale de France (BnF) a fait don de 20.000 ouvrages de littérature jeunesse à la Bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire à Abidjan, a annoncé jeudi l’institution française.

"Ce don s’inscrit dans le cadre d’une collaboration plus large, témoignage fort de la solidarité liant deux pays qui ont la langue française en partage", a indiqué Laurence Engel, présidente de la BnF, dans un communiqué.

"Il marque une nouvelle étape dans l’intensification du partenariat avec la Bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire", a ajouté Mme Engel.

Le don se compose de livres en double exemplaire entrés dans les collections de la BnF depuis 2009. Il est complété par des notices et données critiques du Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), service spécialisé de la BnF qui met à disposition d’institutions son expertise scientifique sur l’histoire de la littérature pour la jeunesse, la conservation et la valorisation du patrimoine.

La collaboration entre les deux bibliothèques devrait se prolonger dans les prochains mois par des transferts de compétences en matière de littérature jeunesse.

AFP

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a réhabilitation du pont « Balafon », sur l’axe Bouna- Téhini, qui selon les usagers se fait lentement, crée des désagréments.

« Il est impossible de passer sur ce pont après une pluie à cause des travaux sur ce pont qui n’avancent pas », a fait savoir un usager, estimant que « on risque de se noyer si l’on veut traverser à pieds car l’eau arrive à la hanche ».

 

Les usagers de cette voie sont contraints de passer par la localité de Varalé distante d’une cinquantaine de kilomètres de Téhini, en passant par Doropo avant d’atteindre Bouna.

AIP

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé mercredi, la fin de l’épisode d’Ebola en Guinée, tout en soulignant que le pays entre maintenant dans une phase de « surveillance soutenue » de 90 jours.

Dans un communiqué, l’agence spécialisée de l’ONU déclare « la fin de la transmission du virus Ebola » en Guinée, alors que le pays a passé 42 jours (deux fois la durée maximale d’incubation) sans nouveau cas depuis le second test négatif sur le dernier patient.

 

L’OMS prévient qu’il reste d’ailleurs un risque que de nouveaux cas surviennent. « Nous devons continuer à être vigilants pour nous assurer que nous détectons rapidement les nouveaux cas », a affirmé le Dr Abou Beckr Gaye, représentant de l’OMS en Guinée.

 

Partie en décembre 2013 du sud de la Guinée, l’épidémie Ebola en Afrique de l’Ouest a fait officiellement plus de 11.300 morts, essentiellement en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria. Le 29 mars 2016, l’OMS a annoncé officiellement que l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, la plus grave depuis l’identification du virus en 1976, ne constituait plus une « urgence de santé publique de portée internationale », mettant ainsi fin à cette procédure d’urgence décrétée en août 2014.

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Le nouveau président de la Commission de la CEDEAO, Marcel A. de Souza, prêtera serment à l’occasion de la 49ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui se tiendra le 4 juin à Dakar, au Sénégal.

Outre l’investiture du chef de l’organe exécutif de la CEDEAO, les leaders ouest-africains examineront plusieurs dossiers, notamment le rapport de la 76ème réunion ordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO ainsi que celui de la 36ème session ordinaire du Conseil de médiation et de sécurité de l’organisation régionale, rapporte un communiqué de presse de la Commission de la CEDEAO.

Ils passeront également en revue le mémorandum sur l’état d’avancement des négociations de l’Accord de partenariat économique (APE) entre l’Afrique de l’Ouest et l’Union européenne, de même que celui relatif à la signature d’un Accord d’entente (M.O.U.) entre la CEDEAO et la Turquie.

Les chefs d’Etat et de gouvernement se pencheront aussi sur le mémorandum sur la soumission des candidatures des ressortissants des Etats membres aux postes ouverts dans les organismes régionaux ou internationaux, et sur le rapport intérimaire 2016 du président de la Commission de la CEDEAO, Marcel A. de Souza.

Il sera aussi question, au cours de cette rencontre, de fixer la date et le lieu du 50ème  sommet ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, et d’élire le nouveau président en exercice de ladite Conférence.

AIP

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