Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La Côte d’Ivoire, à travers son gouvernement, va entreprendre des démarches en vue de disposer non seulement d’un brevet pour l’appellation « Attiéké » d’une spécialité culinaire à base de manioc, typique au pays, mais également pour tout le mode de production de cette denrée.

Le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, a fait cette annonce mercredi, au terme d’un Conseil des ministres qui a vu notamment l’adoption d’une communication relative à la protection juridique de l’appellation « Attiéké » par le système de protection de la propriété intellectuelle, à travers une marque internationale de produits et de services.

 

« Le Conseil des ministres a instruit le ministre de l’Industrie et des Mines et l’ensemble des ministres concernés à l’effet de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la protection juridique internationale de cette appellation Attiéké, ainsi que du mode de production de cette denrée », a-t-il dit, indiquant que la décision du gouvernement est motivée par la popularité dont jouit désormais ce met dans le monde.

 

« En raison de sa notoriété, la production de cette denrée tend à se développer de façon  importante hors de Côte d’Ivoire et tend à être commercialisée sous la même appellation par des pays qui utilisent une partie seulement du process mis en œuvre en Côte d’Ivoire », a-t-il justifié.

 

Semoule de manioc cuite à la vapeur, l’Attiéké, à l’origine spécialité culinaire des peuples lagunaires ivoiriens, est aujourd’hui un plat national en Côte d’Ivoire, consommé dans toutes les localités du pays. L’Attiéké est une déformation du mot « Adjèkè » en langue Atchan, un peuple du Sud ivoirien.

La Côte d’Ivoire  ne dispose pas aujourd’hui de brevet d’exploitation de l’Attiéké, signale-t-on.

AIP

Comment

L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Abidjan, Terrence McCulley, est allé faire ses adieux, mercredi à Sébroko, au siège de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), à la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, et l’a assurée du soutien de son gouvernement, dans le cadre de le mise en œuvre du mandat de la mission avant sa fermeture à fin juin 2017.

En fin de mission en Côte d’Ivoire, M. Mculley est allé féliciter pour la Représentante spéciale pour le travail abattu à la tête de l’ONUCI. « J’ai félicité la Représentante spéciale pour son travail acharné en vue d’accompagner la Côte d’Ivoire et pour diriger cette Mission qui est réellement une réussite pour les Nations Unies », a déclaré le diplomate américain qui a pris fonction en terre ivoirienne en novembre 2013.

 

Entré au Département d’Etat en 1985, l’ambassadeur McCulley a débuté sa carrière au Niger, avant d’être affecté en Afrique du Sud et au Tchad. Il a été successivement Premier Conseiller et Ministre Conseiller dans les ambassades américaines au Togo, au Sénégal, en Tunisie et au Danemark avant de représenter son pays au Nigéria de 2010 à 2013.

 

Diplômé en Histoire de l’Europe et en Langue et Littérature françaises de l’Université de l’Oregon, Terrence McCulley est un diplomate  de carrière du Département d’Etat, avec rang de Ministre-Conseiller, rappelle-t-on.

 

AIP

Comment

L’Opération des Nations Unis en Côte d’Ivoire (ONUCI) a doté la coopérative des femmes de Niellé d’un siège, a appris, mardi, l’AIP, de la mission.

Selon une note d’information dont copie est parvenue à l’AIP, la patronne de l’ONUCI, Aïchatou Mindaoudou, a inauguré l’ouvrage vendredi. D’un coût global de 24.000.000 F, le siège comprend un bureau et une salle de formation, des latrines et un entrepôt pour le stockage des produits.

 

Selon la note, Mme Mindaoudou, lors de la cérémonie d’inauguration, a exhorté les  femmes à renforcer leur union au travers de leur coopérative qui pour elle, s’offre « comme  un cadre adéquat dans l’exercice du vivre ensemble ».

 

Les bénéficiaires, par la voix de la présidente de l’ONG « Femmes et promotion », Marie Claire Ouattara, ont remercié la mission onusienne, soulignant que ce don va contribuer à l’amélioration des conditions de vie des femmes.

 

De nombreuses femmes issues de 27 associations de la région ont pris part à cette cérémonie de remise du siège de la coopérative « Wowéla » des femmes de Niellé

 

AIP

Comment

Le mérite des élèves de l’Ecole militaire préparatoire technique (EMPT) de Bingerville a été salué mardi par la première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, qui y a  parrainé la double cérémonie de baptême de la promotion sortante, la 70ème, et de remise de présents aux meilleurs élèves.

Pour la première dame, la réputation de cette école d’être un établissement scolaire d’excellence est sans équivoque au regard de ces résultats. « Ce n’est pas un hasard si votre promotion a été baptisée travail. Cette dénomination traduit votre engagement et votre détermination pour la recherche de l’excellence dans vos études, car seul le travail paye », a laissé entendre Dominique Ouattara.

 

Elle s’est félicitée de la présence des filles, notamment 92 dans l’effectif de cette école de formation dont elles ont eu accès depuis septembre 2013. « Je tiens à saluer cette décision du président de la République qui permet de favoriser la scolarisation de nos filles et de donner les mêmes chances de réussite à tous nos enfants », a-t-elle indiqué.

 

En présence de la première vice-présidente de l’Assemblée Nationale, Saran Sako, de la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant, Euphrasie Yao ainsi que des épouses des ministres, Mme Ouattara a fait don de divers matériels d’une valeur de 20 millions de FCFA à ses filleuls, notamment des ordinateurs, des ouvrages scolaires, des machines à coudre, des chaises, des téléviseurs, (…).

 

Pour le ministre auprès du président de la République chargé de la Défense, Alain Richard Donwahi, les résultats enregistrés par cette école sont « très satisfaisants », estimant que « avec ces résultats, l’EMPT garde le cap de la voie de l’excellence ».

 

Le directeur de l’école, le colonel Soro Kodan Pagaforo a expliqué qu’au terme des examens de fin d’année, son établissement a enregistré un taux de réussite de 97,02% au BEPC et 100% au Baccalauréat C, D et séries techniques.

 

L’EMPT a pour mission de donner aux enfants de troupe une formation morale, intellectuelle, technique, physique et militaire qui leur permet de participer dans les meilleures conditions au recrutement des cadres et techniciens aussi bien dans les Forces armées nationales de Côte d’Ivoire que dans les Forces armées d’autres Républiques, explique-t-on.

 

AIP

Comment

Plus de 1200 scouts sont depuis mardi, à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne, pour le 7è Jamboree africain ,qui réunit à l’occasion des jeunes de 11 à 18 ans en provenance d’Afrique et de Pologne.

La cérémonie de lancement du septième jamboree a eu lieu à la place Jean-Paul 2 de Yamoussoukro en présence du président du comité mondial du scoutisme, le portugais Joao Armando Gonçalves, du vice-président du comité Afrique, Ayim Palamwe et de Frédéric Tutu Kama-Kama  du bureau mondial du scoutisme pour la région Afrique, ainsi que les autorités administratives et religieuses de la capitale politique et administrative.

 

Le président du comité d’organisation, le chef Bernard Aka a remercié tous les hauts dignitaires du monde du scoutisme pour la confiance accordée à la Côte d’Ivoire et surtout pour leur appui technique qui a permis  l’organisation de « l’événement de rencontre internationale, d’échanges d’expériences, de partage et de fraternité » une première du genre en Côte d’Ivoire et en Afrique francophone.

 

Plus de 1200 scouts africain présents à Yamoussoukro le 7è Jamboree

Plus de 1200 scouts africains présents à Yamoussoukro le 7è Jamboree

 

Le Jamboree 2016 est organisé par la région Afrique. Il a pour thème « Jeunes autonomes dans une Afrique émergente ». Il réunit à Yamoussoukro les scouts du Bénin, du Burkina Faso du Ghana, du Zimbabwe, du Togo, du Mali, du Niger, du Nigeria, de la Guinée, du Kenya, de la Tanzanie, de la Centrafrique, de la RDC, du Rwanda, de la Côte d’Ivoire et de la Pologne.

 

L’événement va durer jusqu’au 10 août pour permettre aux jeunes issus de ces différents pays de se faire de nouveaux amis, de participer à des activités d’aventure, d’apprendre de nouveaux comportements,  d’être responsabilisés et de passer des vacances saines, a fait savoir le président du comité mondial du scoutisme, Joao Gonçalves.

Ces jeunes de différentes origines devront apprendre à connaître les modes de vie des autres en vue de s’accepter mutuellement pour un monde pacifique et harmonieux. « Il sera également question pour les jeunes de discuter des enjeux et des crises que connaissent l’Afrique et le monde. « Ce pour les amener à prendre des engagements pour promouvoir la paix et de réaliser des activités communautaires une fois rentrés chez eux », a souligné l’administrateur du projet, Jamboree Hilaire Téré.
AIP

Comment

Une mission de contrôle de l’ambassade du Japon conduite par Amon Akré Albert, inspecteur et chef de projet japonais,  a visité lundi le Centre de formation professionnel (CFP) et le Centre céramique de Katiola.

Il était question pour cette mission d’évaluer l’impact des dons offerts par l’ambassade à ces deux structures de formation. A en croire les directeurs de ces deux structures, ces dons ont permis une véritable relance de leurs activités.

Le Centre céramique, par exemple, a eu un taux d’admission de 75% grâce aux dons qui ont permis aux élèves de mieux apprendre. Au total, 400 articles composés d’ordinateurs et de matériels didactiques pour la dispense des cours ont été offerts à ces centres par l’ambassade du Japon.

AIP

Comment

Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a procédé mardi, à la pose de la première pierre du projet de poste de transformation électrique d’Acoupé Zeudji, situé à 4 km du village d’Attinguié (Pk 24 Autoroute du nord).

Estimé à  15 milliards de francs CFA et prévu pour durer 18 mois, le projet porte sur la réalisation d’un poste 225/33kv et d’un réseau haute tension (HTA). Le poste est destiné à l’alimentation de la nouvelle zone industrielle de PK 24.

Selon le Premier ministre, il va permettre à la Côte d’Ivoire de bâtir une zone industrielle moderne à même de dynamiser son économie et de créer de nombreux emplois. M. Duncan a souligné le fait que l’ouvrage va également améliorer les conditions de performance et la fourniture constante d’électricité aux habitants des villages environnants et aux entreprises industrielles situées sur l’autoroute du nord.

Le projet intègre la vision globale du gouvernement de parvenir à une production d’électricité de 4000 MGW  d’ici 2020, a précisé M. Duncan.

AIP

Comment

La direction des productions d’élevage du ministère des Ressources animales et halieutiques a lancé lundi à Man, un projet national de modernisation de la filière avicole dénommé Projet Abattoirs de Volaille en Côte d’Ivoire (PAV-CI).

Au cours de la cérémonie présidée par le préfet de la région du Tonkpi, préfet du Département de Man, Soro Kayaha Jérôme, le coordonnateur du Programme d’appui à la production avicole (PAPAN), Dr Essoh Aimé Franck, a présenté le projet PAV-CI aux directeurs régionaux du ministère, aux représentants de coopératives ou d’associations d’aviculteurs et aux chefs traditionnels de la région du Bafing, et des districts du Denguélé (Kabadougou, Folon) et des Montagnes (Cavally, Guémon et Tonkpi).

Selon Dr Essoh, le PAV-CI est un projet visant à amener les acteurs du secteur volaille à s’associer dans des sociétés anonymes d’abattoirs de volaille, sept au total, dont deux à Abidjan (Songon et Anyama) et un à Man, à Bouaké, à Korhogo, à Daloa et à Bondoukou.

Le projet est une «réponse efficace et durable aux problèmes de commercialisation, d’hygiène et de sécurité sanitaire des produits avicoles et de lutte contre les maladies aviaires», avec de nombreux avantages aussi bien pour les aviculteurs et les commerçants que pour les consommateurs, lit-on sur les prospectus distribués.

Le PAV-CI permettra aux aviculteurs de réduire la durée de l’élevage du poulet de chair, d’augmenter le nombre de rotation dans les bâtiments, de garantir la vente de toute la production en bloc, d’augmenter le revenu, de réduire le délai d’encaissement des ventes des poulets à moins d’une semaine et d’augmenter la production annuelle et donc le  chiffre d’affaires

Pour les commerçants, le projet améliorera les conditions techniques, sanitaires et hygiéniques de travail avec des équipements adaptés. Il leur permettra de diversifier l’offre aux clients (frais ou congelé, poulet effilé, découpe, abats ,etc.), de supprimer les charges d’entretien des poulets mis en vente vivants, de supprimer également les pertes liées à des mortalités pendant le transport et sur les marché. Le PAV-CI garantira la vente de toute la marchandise et les revenus s’en trouveront augmentés.

Quant aux consommateurs, ils se retrouveront avec le PAV-CI, face à une diversité d’offres (poulets frais ou congelés, effilés, découpe, etc) avec en prime une viande de bonne qualité sanitaire et hygiénique.

AIP

Comment

Exit le cafouillage, les occupations anarchiques, l’insalubrité et les embouteillages qui y régnaient en maîtres. Adjamé-Liberté, au centre d’Abidjan, hume depuis quelques jours, un air nouveau, et présente un visage radieux après une opération de déguerpissement initiée par le ministère de la Salubrité Publique.

Une artère dégagée

 

Les populations et les usagers ne cachant pas leur satisfaction quant au nouveau visage imprimé par cette opération à cette artère et à son rond-point.

 

« Je ne  reconnais pas l’endroit « ,  s’écriait une jeune dame, au volant de son véhicule,mercredi.

 

Depuis le pont reliant la commune d’Adjamé à sa voisine de Cocody, l’on peut voir clairement sur plusieurs centaines de mètres, et même à perte de vue, l’horizon bien dégagé. « On ne savait pas que cet endroit était aussi beau », laisse entendre un passant.

 

Toutes les étales et constructions anarchiques qui obstruaient le passage autrefois ne sont aujourd’hui que de vieux souvenirs. Les trottoirs occupés par les vendeurs sont désormais libérés pour une meilleure circulation. Le rond-point des 220 Logements, autrefois pris en otage par des commerçants et des toilettes publiques, ainsi que des transporteurs qui l’avaient transformé en gare de fortune, est maintenant vide de monde et a fière allure.

 

Sur le même lieu, des canaux d’évacuation des eaux pluviales qui avaient été bouchées avec des pneus et autres matériaux, subissent une cure appropriée des agents de la SODECI, selon lesquels ces bouchages sont sources d’inondation. Pire, certaines de ces fosses avaient même été transformées en toilettes publiques.

 

Dans le même élan, le ministère de la Salubrité publique a entamé des travaux d’aménagement et d’embellissement. « Pour une fois depuis des décennies, on peut respirer l’air frais à ici », s’égaie un riverain.

 

« Liberté » sans embouteillage

 

Adjamé Liberté, lieu d’ordinaire abonné aux embouteillages, connais depuis lors une circulation fluide. A 12heures, mercredi, point de bouchon ni de ralentissement! Au point que même la traversée devient difficile pour les piétons. « Nous sommes très contents maintenant on roule facilement « , lance un chauffeur de minicar « gbaka ».

 

Joie des usagers heureux de cette initiative

 

une vue du rond point d'Adjamé-liberté

Une vue du rond point d’Adjamé-liberté

Des usagers, interrogés, ne cachent pas leur joie de voir cet endroit changer de physionomie. Pour Losséni, conducteur de gbaka, le ministère a bien fait d’entreprendre cette opération qui permet désormais aux véhicules de circuler aisément, mais plaide pour une relocalisation des commerçants déguerpis.

 

Touré Nathalie, ménagère, encourage  le gouvernement à continuer sa politique d’assainissement « pour le bien-être des populations ».

 

D’autres villes de l’intérieur dont Dabou, Yamoussoukro, Aboisso, San-pédro, sont également ciblées par le ministère de la Salubrité, pour bénéficier de ce genre d’opération, a annoncé le directeur de cabinet de ce département, Fofana Brahima, trouvé sur le site à Adjamé Liberté. D’après lui, cette opération participe de la santé des populations.

AIP

Attention!!! Voir plus d'images d'Adjamé Liberté après le déguerpissement

Comment

Au Pays-Bas, il y a environ 300 personnes enterrées sans un nom sur leurs tombes. C’est le cas de cet homme (Photo) qui vraisemblablement se nommait Ali Traoré (ou Traouré). Il serait né à Grand Bassam le 10 Octobre 1959. En effet, La rédaction de La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) a été contactée par une chaine de télé néerlandaise basée à Amsterdam, afin de les aider à retrouver les parents d’Ali. Le média en question réalise une émission destinée, en collaboration avec la police de son pays, à retrouver, à localiser et informer les parents de personnes décédées non identifiées. Au cours de la saison dernière, l’émission Graf zonder Naam a permi d’identifier quatre personnes et cela a amené son équipe en Turquie, en Russie et en Allemagne.

Ainsi, depuis plus de dix ans, la chaine travaille sur le cas Traoré Ali, dont elle vient d’avoir quelques informations pour cette saison de l’émission intinutlée « Graf zonder Naam ». L’homme aurait été retrouvé mort à Amsterdam en novembre 2001.« La police suppose qu’il vient de Grand-Bassam, en Côte d’Ivoire. Après plus de quinze ans, nous avons pu trouver le nom possible de cet homme et les noms de membres de sa famille», note le confrère dans son message à l’AIP.

Infos générales

Le nom de cet homme est probablement Ali TRAORE (ou TRAOURE), né à Grand Bassam le 10 Octobre 1959.

Le nom de sa femme est Mariam BENNI, né à Bouaké en 1970.

Le nom de son fils est Mohammed TRAORE/TRAOURE, né le 3 octobre 1997 à Grand Bassam.

Le nom de son autre fils est Fortuna TRAORE/TRAOURE, né le 2 mai 1999 à Grand Bassam.

Le nom de son père est Mohammed TRAORE/TRAOURE, né à Grand Bassam et décédé en 1993 à Grand Bassam. Date de naissance inconnue.

Le nom de sa mère est Mariam IDIZA, née à Grand Bassam et décédée le 1er juillet 1990 à l’âge de 78 ans. Date de naissance inconnue.

Le nom de son frère aîné est Babba TRAORE/TRAOURE, né à Grand Bassam. Date de naissance inconnue.

NB/ Nous prions toutes personnes qui reconnait cette personne ou qui connait l’un de ses proches de bien vouloir nous contacter aux coordonnés suivants:

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 40 73 84 85 /  08 84 95 31

Ou encore laissez vos coordonnés en commentaire

Comment