Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Paolo Gentiloni, est arrivé à Abidjan dans la soirée de jeudi, pour une visite officielle de deux jours en Côte d’Ivoire, a constaté l’AIP.

Gentiloni dont l’avion a atterri à 19H25 (locales et GMT) à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët, a été accueilli par son homologue ivoirien de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Etranger, Ally Coulibaly, et du président du Conseil économique et social de Côte d’Ivoire, Charles Diby Koffi.

Sa visite « donnera l’occasion d’impulser une nouvelle dynamique à la coopération » entre la Côte d’Ivoire et l’Italie, explique le ministère ivoirien des Affaires étrangères.

Le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Abdallah Albert Toikeusse Mabri et Paolo Gentiloni, aborderont, vendredi, les questions d’intérêt commun, notamment le renforcement de la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Italie, ainsi que les questions liées à l’immigration et à la sécurité, au cours d’une rencontre entre les deux hommes au cabinet du ministère ivoirien des Affaires étrangères.

Une séance de travail mixte est également prévue entre la délégation italienne et des autorités ivoiriennes, de même que des audiences qui seront accordées au chef de la diplomatie italienne par le Premier ivoirien Daniel Kablan Duncan, et le Président ivoirien Alassane Ouattara.

AIP

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Un assainissement du site de l’abattoir municipal de Port-Bouët  ainsi que de ses environs va se faire très prochainement a annoncé jeudi le ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Désirée Ouloto qui y effectuait une visite en compagnie du maire de cette commune, Hortense Aka Anghui.

« Cette année 2016 c’est l’année de l’action, on a fait trop de discours autour de cette question de l’abattoir de Port- Bouët, il faut que cette année cela prenne également fin. Il est temps qu’une mobilisation se fasse autour des collectivités locales, avec le district et le gouvernement pour trouver une solution définitive à se problème de l’abattoir », a indiqué Anne Ouloto.

Elle a expliqué que les alentours de ce site n’étant pas faits pour garder les animaux, des actions seront menées pour que dans trois mois, cette zone ait un nouveau visage. « Je prends l’engagement avec le maire, le gouverneur du district  pour dire que dans cette dynamique de la semaine nationale de la propreté (SNP), que l’abattoir soit une zone cible pour que cette décision soit prise de façon à ce que dans cette mouvance on aille jusqu’au bout et que cet abattoir soit revu dans son fonctionnement », a-t-elle insisté.

Pour le premier magistrat de la commune, Hortense Aka Anghui, l’opération de propreté enclenchée par le ministère de la salubrité est salutaire et vient à son heure au point de permettre aux collectivités d’amplifier leurs actions.

« Il faut que nous prenions l’habitude de laisser les trottoirs et les domaines publics. Nous ne sommes pas là pour créer des ennuies à nos populations mais bien au contraire pour conduire une éducation et on va entamer des discussions des négociations. Nous ne voulons pas que les trottoirs constituent des marchés », a laissé entendre le maire de Port-Bouët.

AIP

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Des personnes du troisième âge, ou « les anciens », interrogées, mercredi, par l’AIP à Dimbokro, se disent nostalgiques des célébrations tournantes de la fête nationale, à la veille du 56e anniversaire prévu dimanche.

« La fête tournante de l’indépendance servait à développer les régions. Ici à Dimbokro en 1975, grâce à cette fête beaucoup de réalisation ont été faites. C’est arrêté peut-être parce qu’il n’y a plus l’argent comme en ce temps », a déclaré Makoura Diane, 81 ans, vivant au quartier Commerce à Dimbokro. Cette militante du Parti démocratique de Côte d’ivoire (PDCI) rappelle avec fierté les années « indépendances » notamment 1975 qui a vu Dimbokro abriter les festivités.

 

Présidente du «  groupe Sérieux », un groupe de danse composé de plus de 200 femmes, Makoura Diané, relève la saine concurrence qui existait entre son organisation et le « groupe Ambiance » de Dioulakro. Elle se souvient du défilé qu’elle a effectué le 7 août 1975 à la tête des femmes de Dimbokro, habillées en uniforme. «  Nous avons fait un défilé impeccable devant les officiels notamment le président Felix Houphouët Boigny. C’est moi qui suis devant le groupe là » dit fièrement l‘octogénaire, montrant une femme en tête d’une file de femmes sur une photographie en blanc et noir. Elle raconte que l’apprentissage de ce défilé se faisait durant plusieurs nuits à la lumière de torche de paille allumée.

«  Je me souviens que nous sommes restés accrochés aux voitures de l’aéroport à la place de l’indépendance pour ne pas perdre des images », rappelle, le vieux Diakité Mamadou, un des photographes attitrés des milieux huppés, aujourd’hui âgé de 87 ans. Fils unique, le jeune Diakité a ouvert son studio de photographie en 1955 après l’apprentissage de ce métier sur le bateau avec des japonais.

 

Diakité évoque avoir passé tout ce temps des festivités en compagnie de Adjobi Jacob, photographe de Houphouët Boigny et des journalistes Diomandé Métouba, Aboubacar Kanté et de deux équipes de la radiodiffusion télévision ivoirienne en provenance de Bouaké et d’Abidjan. Il y avait Kalifa de l’Agence ivoirienne de presse et nous avons tous mangé ici chez moi », ajoute-t-il, déplorant le fait que les célébrations de l’anniversaire de notre indépendance passent inaperçues.

 

Le vieux Diakité affirme que ces fêtes participaient à la cohésion sociale et à la paix, car toutes les communautés étrangères et autochtones étaient impliquées. Il a relevé que c’est grâce à la fête de l’indépendance que les rues de la ville ont été bitumées. «  Quand vous voyiez les jeunes gens apprenant à défiler à l’aide de feu allumé avec du bambou de chine, chantant. C’était magnifique », se souvient le vieux photographe, résidant au quartier Soukouradjan. Avant d’ajouter, souriant : « Ah, le discours à la radio de N’dja Djo (Houphouët Boigny), c’est comme ça que nous on l’appelait. C’était un grand discours. Je continue de l’écouter souvent».

 

Pour le président du Conseil régional, N’guessan Koffi Bernard, cette période faste des indépendances a servi incontestablement à développer les localités. « Bien qu’il y ait les Conseils régionaux pour booster le développement des localités, la reprise des fêtes tournantes seraient utiles pour faire des régions, de véritables pôles de développement. Ce serait des coups de pouce salvateurs », a dit N’guessan Koffi Bernard plaidant pour plus de moyens pour les entités régionales.

 

N’guessan Bernard a relevé la qualité du développement imprimé à la Côte d’Ivoire depuis les indépendances par le père fondateur, Felix Houphouët Boigny. Il a affirmé que ce processus continue aujourd’hui malgré quelques soubresauts, appelant la jeunesse ivoirienne au travail et à plus de responsabilité pour continuer de mériter l’œuvre entamée par les pères-fondateurs.

AIP

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Le gouvernement ivoirien est résolument engagé à assainir et à offrir un mieux être aux populations, a fait savoir, jeudi dans la commune d’Adjamé à Abidjan, le premier ministre Daniel Kablan Duncan, qui y effectuait le lancement officiel de la semaine nationale de la propreté (SNP).

Selon le chef du gouvernement, les actions de déguerpissement et d’assainissement actuellement menées par le ministère en charge de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement sont irréversibles et devront, à,terme, redonner « un nouveau visage » à Abidjan et aux villes de l’intérieur du pays. « C’e

 

st tout le gouvernement qui est engagé et avons demandé au ministre Ouloto de mener ces actions car le président veut des villes propres dans tout le pays », a indiqué Kablan Duncan.

 

Se félicitant de l’instauration de la semaine nationale de la propreté, il a expliqué que la mauvaise gestion des ordures, notamment les sachets plastiques sont en grande partie cause d’insalubrité. Il a estimé la production de sachet plastique à 1,3 millions de tonnes par an en Côte d’ivoire, pour un taux de collecte de près de 60% vers les décharges au détriment d’un gap de 40% qui se retrouvent dans les rues, les caniveaux (…) et les bas-fonds.

 

« Il faut faire en sorte que les choses changent et redeviennent propres comme avant car les enjeux sont nombreux et importants », a insisté le chef du gouvernement, invitant les populations à « un changement radical de comportement pour redonner à nos villes la propreté qu’elle mérite ».

 

La semaine nationale de la propreté (SNP) se déroule du 1er au 6 août dans le district d’Abidjan, à Yamoussoukro, Aboisso, San Pedro, Dabou, Aboisso et Man à l’initiative du ministère de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, sur le thème « Une ville propre et assainie, c’est l’affaire de tous ».

Anne Ouloto prône la fin du désordre et de l’insalubrité

La ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Désirée Ouloto a estimé jeudi à Abidjan que le temps du désordre et de l’insalubrité est terminé, exhortant les populations à une responsabilité engagée pour la transformation de la Côte d’Ivoire.

Alors qu’elle s’exprimait dans la commune d’Adjamé à l’occasion du lancement officiel de la semaine nationale de la propreté (SNP), en présence du premier ministre Kablan Duncan, Anne Ouloto a dit la fermeté du gouvernement à agir avec célérité pour offrir un mieux être à ses concitoyens.  » Notre mission est de faire en sorte que les ivoiriens soient fiers de leur pays et vivent dans un cadre de vie propre », a-t-elle indiqué.

 

« Il nous faut agir vite et ensemble avec le gouvernement, les collectivités, les commerçants (…), les transporteurs pour que la Côte d’Ivoire redevienne le pays le plus beau au monde », a-t-elle plaidé, invitant les populations à s’engager résolument dans le processus d’assainissement et d’embellissement des villes du pays et Abidjan.

 

Le ministre auprès du président de la République chargé de l’organisation des 8ème jeux de la francophonie, Robert Beugré Mambé, par ailleurs Gouverneur du district d’Abidjan, a encouragé la ministre de la salubrité, « hyper dynamique », pour la mise en œuvre de la SNP. « Nous avons convenu de travailler dans une synergie d’action pour offrir aux ivoiriens une ville propre », a-t-il signifié.

 

Beugré Mambé a expliqué que des actions immédiates vont être menées pour un embellissement de la ville d’Abidjan. « Il va y avoir un embellissement d’une quarantaine de carrefours, le renforcement des actions de planting d’arbres de grande qualité sur toutes les artères d’Abidjan, l’aménagement des endroits aménagés, (…) », a fait savoir le gouverneur d’Abidjan.

 

Pour la ministre de la Communication, porte parole adjoint du gouvernement, Affoussiata-Bamba Lamine, l’engagement de son ministère à accompagner l’action de sa collègue de la Salubrité est sans faille. « Très bientôt, nous allons entamer une grande opération de démantèlement de panneaux publicitaires illicites mais également remplacer les panneaux licites par des panneaux modernes », a annoncé Affoussiata-Bamba Lamine.

Source : AIP

 

 

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Abidjan, la capitale économique ivoirienne, dans sa périphérie nord-ouest, Yopougon, la plus grande commune de Côte d’’Ivoire ; il est 8h30, ce lundi 25 juillet ; le rond du sous quartier Siporex grouille de monde, mais également d’engins de tous genres au nombre desquels des véhicules de transport en commun communément appelés « gbakas » ainsi que des taxis compteurs et communaux. Sur leur fronton ou leur arrière, des écriteaux qui appellent à la réflexion.

« La patience est un chemin d’or », « Qui ne risque rien n’a jamais rien », « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt », lit-on sur certains de ces véhicules. Des mots de réconfort et de gratitude « Ton tour arrive » « Dieu n’a pas encore dit son dernier mot », « Dieu seul sait ».

Des éloges de personnalités  et des équipes de renom dans le milieu sportif , telles « Didier drogba dit gbagbadèh », « Messi, le Dieu du foot », « Chelsea, Barcelone, la Roma ». Les stars de musique ne sont pas aussi ignorées, « Le même Fally », « Le Thémistocle d’Arafat».  Le tout couronné par des versets  coraniques ou bibliques de tous genres (Colossiens 3, 17).

Origines et impact sur les usagers

Ces écriteaux, fait-on savoir, tirent leur origine de pratiques anciennes de propriétaires et de conducteurs de véhicules de transport en commun, et ne sont pas spécifiques à la Côte d’Ivoire. Dans nombre de capitales africaines, l’on est habitué à ces écriteaux pour lesquels les avis divergent quant à leurs fondements sociologiques et  leur impact sur les usagers.

Selon, M. Yedagne, Chargé de communication d’une mutuelle de la place et usager du transport en commun,  ces écriteaux tirent leurs sources de croyances religieuses « Le chrétien qui a son véhicule n’acceptera pas un écriteau tel ‘’Allah le miséricordieux’’. Il dira plutôt par exemple que ‘’Jésus est seigneur »,  justifie-t-il.

Isabelle Bobou épouse Nyamien, Assistante de direction, pense que cette pratique résulte du fait que les Africains sont très expressifs dans tous les domaines. Ces dénominations traduisent  souvent un vécu,  une reconnaissance que l’on veut exprimer au travers des véhicules, exemple ‘’Allah merci’’.

« C’est aussi un souci de partage des choses qui tiennent à cœur ou l’envie de montrer son attachement à une personne ou à une croyance en valorisant son nom », ajoute-t-elle.

Sangaré Souleymane,  chauffeur de taxi compteur, estime cette pratique répond à un souci d’esthétique. « Dans notre jargon, on parle de maquillage, c’est une manière de rendre la voiture plus attrayante, afin d’attirer la clientèle », confie-t-il tout en relevant que le contenu des messages diffusés  relève du fanatisme et de la foi.

« Ces écriteaux sont une façon pour nous de célébrer nos idoles. Il y a aussi des messages liés à la divinité qui nous permet d’implorer la protection divine », révèle-t-il.

« Ces écriteaux font tendance. Ils valorisent  et  apportent le soutien et le réconfort aux passagers », croit, pour sa part, Bandaogo Issoufa, chauffeur de gbaka.

Des messages qui ne reflètent pas le comportement des conducteurs

Le secrétaire général de la coordination des gares routières, Soumahoro Yaya, évoque l’effet de mode qui pousse les chauffeurs à l’insu des propriétaires à écrire sur leurs véhicules.

« N’importe qui se lève pour écrire n’importe quoi sur les voitures. Et ce qui m’écœure, ces messages ne reflètent pas le comportement de ces chauffeurs»,  fustige-t-il.

L’avis d’un sociologue

Pour le socio-anthropologue, Pr Martin Amalaman, ces écriteaux sont des effets de mode, à l’instar des tatouages sur le corps humain, et participe au paysage publicitaire et à l’embellissement à l’africaine, du « folklore visuel urbain.

« Ils traduisent des croyances (in challah, Dieu est grand, vierge Marie, etc), des sentiments de sympathie (pour une star ou une personnalité), des citations, des proverbes,  une idéologie, des campagnes de sensibilisation sur des fléaux sociaux etc. », ajoute-il.

Pr Amalaman  évoque également  l’idée de canaux d’expression et de formes de représentation du vécu quotidien et des souffrances des acteurs du « bas peuple » (la classe pauvre). « Une sorte de tribune offerte à cette classe au bas de la société, pour se faire entendre », conclut-il.

Une forme d’exutoire ou simple effet de mode, les conducteurs s’adonnent à cœur joie en embellissant leurs véhicules par des adages, versets bibliques et coraniques, des éloges à leurs fans tant du milieu sportif que du showbiz.

Reportage réalisé par Bassolé Simon Benjamin, Collaboration Kouassi Assouman, Agence ivoirienne de presse (AIP)

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La Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté, a distingué à la faveur d’un séjour à Dakar, 39 Ivoiriens et des personnalités considérées comme « des Amies de la Côte d’Ivoire », résidant au Sénégal, selon un communiqué de la Grande Chancellerie dont l’AIP a reçu copie jeudi.

L’objectif est de «rapprocher la Grande chancellerie des populations ivoiriennes tant de l’intérieur que de l’extérieur du pays, mais aussi des acteurs socio-économiques évoluant dans les secteurs dits informels», indique ce communiqué dans lequel il est mention de ce que la cérémonie de distinction s’est déroulée à l’ambassade de Côte d’ivoire au Sénégal.

 

Mme Diabaté a salué, à cette occasion, la bonne relation qui lie la Côte d’ivoire et le Sénégal, expliquant aux récipiendaires, « vous êtes donc les premiers d’une longue liste. La Nation ivoirienne vous félicite et vous engage à continuer de porter : le flambeau de la recherche de la concorde et de la cohésion, la flamme du développement économique et culturel qui, comme chacun le sait, est sans frontière, la chaleur de la solidarité et de la fraternité ».

 

Ceux-ci ont traduit leur gratitude à la Grande Chancelière, non sans promettre de faire plus pour mériter la reconnaissance de la Nation ivoirienne.

 

Parmi les récipiendaires, se trouvaient l’ambassadeur de la Côte d’ivoire au Sénégal, Edouard Kassaraté et l’ancien ministre sénégalais Cheick Tidiane Gadio qui ont été faits commandeurs de l’ordre national de Côte d’ivoire.

 

AIP

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Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a procédé mardi, à la mise sous tension du poste source 90/15 kv du quartier Anoumabo de Marcory (Abidjan-Sud), un projet de renforcement du réseau électrique dont les travaux ont duré 22 mois et ont coûté 6 milliards de francs CFA.

Selon le ministre du Pétrole et de l’énergie, Adama Toungara, la construction de ce nouveau poste source 90/15 kv, composante du programme de renforcement du réseau électrique de Côte d’Ivoire, permettra de soutenir la relance économique du pays et d’assurer une meilleure exploitation du réseau électrique ivoirien.

 

Ce projet soutenu par la Banque Ouest-africaine de développement (BOAD) marque la volonté du gouvernement de satisfaire convenablement la demande d’électricité au plan national et de respecter les engagements de fourniture d’énergie électrique pris avec les pays de la région. Il permettra d’ici à fin 2019, la construction de 15 autres postes sources et le renforcement de capacités de transformation et transit de 13 existants, le tout pour un investissement de 8000 milliards de francs.

 

Pour le Premier ministre, Kablan Duncan, les défis économiques et sociaux du secteur de l’électricité pour une croissance économique forte, soutenue et de plus en inclusive, « sont importants, nombreux et urgents ». Le poste d’Anoumabo, a-t-il précisé, améliorera substantiellement la qualité de l’alimentation en électricité dans les  zones Centre et Sud d’Abidjan dont des quartiers des communes de Marcory, de Treichville, de Koumassi et de Port-Bouët.

 

« J’invite le ministre Adama Toungara et son équipe à plus d’efforts et d’abnégation afin de soutenir la croissance  économique robuste qui s’installe de façon durable pour le bonheur de nos entreprises et de nos populations », a-t-il demandé, réitérant les remerciements et la gratitude du Gouvernement au Président de la BOAD, pour son soutien spécifique à ce projet et le dynamisme de ces interventions dans le pays.

 

C’est le 30 septembre 2014 que le chef du gouvernement avait donné le coup d’envoi des travaux de ce poste source 90/15 d’Anoumabo, a-t-on appris.

 

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Kadet Bertin, Kacou Brou dit KB et Wadja Kédjébo, des cadres proches de l’ex-président ivoirien Lautrent Gbagbo, rentrés d’exil, ont reçu, mercredi, des mains du ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration Abinan Pascal, les documents relatifs à leur réintégration dans les effectifs de la fonction publique ivoirienne.

 

Cette remise qui a eu lieu dans les locaux du ministère de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes sis à la Riviéra,  a été l’occasion pour les ministres Abinan Pascal et Koné Mariétou d’inviter tous les autres exilés à rentrer au pays, afin de faciliter aussi leur réintégration.

 

« Le président de la République, Alassane Ouattara a promis de réintégrer tous ceux qui reviendrons et  preuve est là », a pour sa part lancé la ministre de la Solidarité, Koné Mariétou.

 

Kadet Bertin, Kakou Brou dit « KB » et Watchard Kédjébo sont rentré d’exil le 30 juin après cinq ans d’exil au Ghana.

 

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Les résultats finaux du concours d'entrée au CAFOP sont disponible depuis ce mercredi 3 août 2016. Pour les constulter, cliquer ici.

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En quelques images nous vous invitons à parcourir le nouveau visage d'Adjamé-Liberté après l'opération de déguerpissement des occupants anarchiques.

1- Carrefour Liberté

Adjamé Liberté

 

2- Rond Point de 220 Liberté

Adjamé Liberté 8

 

 

3- Station service Corlay (ex-Texaco)

Adjamé Liberté 7

 

4- Carrefour Liberté

Adjamé Liberté6

 

5- Un canal d’évacuation des eaux pluviales sur lequel un WC public avait été construit

Adjamé Liberté 5

 

6- Travaux de curage des cannaux d’évacuation des eaux pluviales

Adjamé Liberté 2

 

7- Travaux de curage

 

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