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Le président ivoirien Alassane Ouattara a laissé entendre qu’il pourrait briguer un nouveau mandat à la tête de l’État, déclarant être en "pleine santé" et "désireux de continuer" à servir son pays. Cette annonce a été faite jeudi lors de la cérémonie de présentation des vœux au corps diplomatique accrédité en Côte d’Ivoire, à Abidjan.
Dans son discours, le chef de l’État a mis en avant les avancées économiques et sociales réalisées sous sa gouvernance. "La Côte d’Ivoire affiche une croissance de 6,1% en 2024, contre une moyenne régionale de 4,2% au sein de la CEDEAO. Cela reflète la solidité de nos politiques économiques", a-t-il affirmé.
Sur le plan social, il a salué les progrès enregistrés dans les domaines de l’accès à l’eau potable, à l’électricité et à la couverture maladie universelle. "Ces efforts ont permis d’améliorer les conditions de vie de millions d’Ivoiriens", a-t-il précisé.
Concernant la sécurité, M. Ouattara a noté une nette amélioration, marquée par l’absence d’attaques terroristes depuis 2020. "La stabilité retrouvée est le fruit d’une vigilance constante et d’une coopération renforcée avec nos partenaires internationaux", a-t-il ajouté.
Concernant son intention de se représenter à l’élection présidentielle prévue en octobre 2025, le président n'a pas voulou faire durer le suspense. "Je n’ai pas encore pris ma décision. Mais je tiens à rassurer que je suis en pleine santé et animé par le désir de continuer à œuvrer pour le bien-être de nos concitoyens", a-t-il déclaré.
M. Ouattara a néanmoins rappelé avoir exprimé en 2020 son souhait de transmettre le pouvoir à une nouvelle génération. Il a également souligné que son parti, le RHDP, dispose d’un vivier de candidats compétents pour mener le pays vers de nouveaux horizons.
Appel à la solidarité internationale
Dans un contexte mondial marqué par de nombreuses crises, notamment en Afrique, au Moyen-Orient et en Ukraine, le président ivoirien a exhorté la communauté internationale à privilégier le dialogue et à renforcer les efforts diplomatiques.
Sur les questions climatiques, il a plaidé pour un respect accru des engagements internationaux. "Les pays en développement, comme la Côte d’Ivoire, subissent des effets disproportionnés du réchauffement climatique. Il est impératif que les grandes nations honorent leurs promesses pour préserver l’avenir de notre planète", a-t-il déclaré.
Cette allocution, riche en perspectives et en engagements, reflète la volonté du président Ouattara de poursuivre son action tout en laissant planer le doute sur ses intentions politiques pour 2025.
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La Chine et l’Afrique intensifient leur coopération face aux enjeux du changement climatique. Lors de sa visite au Congo, Wang Yi, ministre chinois des Affaires étrangères a annoncé le lancement du projet « Ceinture solaire de l’Afrique ».
Ce programme ambitieux vise à renforcer l’infrastructure énergétique de l’Afrique en développant les énergies renouvelables, particulièrement l’énergie solaire pour soutenir un développement durable et respectueux de l’environnement.
Wang Yi a souligné l'engagement de la Chine envers la coopération environnementale avec l'Afrique, rappelant les investissements importants déjà réalisés dans les énergies renouvelables sur le continent. Plus de 1,5 GW de centrales photovoltaïques ont été installées grâce à cette collaboration.
Il a également souligné que cette initiative s'inscrit dans la vision du président chinois Xi Jinping pour une modernisation respectueuse de l'environnement, un objectif partagé par les deux régions.
Le ministre chinois a insisté sur la nécessité d'une gouvernance climatique internationale renforcée, appelant les pays développés à assumer leurs responsabilités historiques. Il a également souligné l’importance d'un soutien financier et technique aux pays en développement, afin de les aider à relever les défis liés au changement climatique.
Le partenariat stratégique entre la Chine et l’Afrique repose sur un modèle de coopération gagnant-gagnant. Le projet « Ceinture solaire de l’Afrique » en est un exemple, car il permet non seulement de lutter contre le changement climatique, mais aussi d'améliorer les conditions de vie des populations africaines en leur fournissant un accès plus fiable à l’électricité.
Il faut noter que cette collaboration entre la Chine et l’Afrique ouvre de nouvelles perspectives pour un avenir plus durable.
Le projet solaire démontre l'engagement des deux parties à œuvrer ensemble pour un monde plus respectueux de l’environnement et du climat.
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Dans le cadre de sa tournée africaine, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, est arrivé à Brazzaville le 7 janvier pour discuter du renforcement de la coopération économique entre la Chine et le Congo. Il a atterri dans la capitale congolaise en provenance de Windhoek, Namibie.
Le diplomate chinois, Wang Yi a rencontré son homologue congolais, Jean-Claude Gakosso, pour des discussions en tête-à-tête avant de s'entretenir avec le président Denis Sassou-Nguesso et de dîner avec le Premier ministre Anatole Collinet Makosso.
D'après une source diplomatique, les échanges ont principalement porté sur la mise en œuvre des accords issus de la neuvième édition du Forum de coopération Chine-Afrique (Focac).
En effet, le Congo-Brazzaville co-présidera ce forum aux côtés de la Chine jusqu'en 2027.
Les discussions ont aussi abordé la répartition des financements considérables octroyés par la Chine, ainsi que l'exécution des projets à travers le continent africain.
Jean-Claude Gakosso a indiqué que le Congo comptait particulièrement sur ces financements pour des projets majeurs, comme la réhabilitation du secteur de l'électricité et la modernisation du chemin de fer Congo-Océan (CFCO), autrefois un élément clé de l'économie congolaise.
La Chine prévoit d'allouer 50 millions de dollars sur trois ans pour soutenir ces initiatives.
Hn avec RFI
Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a salué lundi "l'amitié ancienne" entre l'Afrique et son pays, qu'il a qualifié de "partenaire le plus fiable" du continent, lors d'une brève visite en Namibie, première étape d'une tournée africaine.
La Chine consacre traditionnellement sa première visite diplomatique de l'année à l'Afrique, a rappelé Wang Yi lors d'un point de presse à Windhoek, en présence de la prochaine présidente de la Namibie, Netumbo Nandi-Ndaitwah, élue en décembre.
"C'est devenu une belle tradition et un trait distinctif de la diplomatie chinoise depuis 35 ans d'affilée, sans aucun changement ou hésitation", a déclaré le ministre des Affaires étrangères. "Nous chérissons l'amitié ancienne entre la Chine et l'Afrique, qu'il s'agisse de l'époque extraordinaire des luttes pour l'indépendance (...) ou de la coopération mutuellement bénéfique que nous poursuivons", a-t-il ajouté.
Wang Yi devait se rendre ensuite au Congo, avant de visiter le Tchad et le Nigeria cette semaine. Pékin veut montrer, en respectant cette tradition de visite diplomatique, que la Chine est "le partenaire le plus fiable des pays africains dans la poursuite du développement", ainsi que "le plus fort soutien de l'Afrique sur la scène internationale", a souligné le ministre.
Le président américain Joe Biden s'était rendu en Angola début décembre pour afficher les ambitions de Washington en Afrique, face notamment à la Chine qui y investit très lourdement. Pékin est le premier partenaire commercial du continent africain, avec 167,8 milliards de dollars (151,8 milliards d'euros) d'échanges bilatéraux au premier semestre 2024, selon les médias officiels chinois.
Le géant asiatique a envoyé des centaines de milliers d'ouvriers et d'ingénieurs en Afrique et gagné un accès privilégié à ses vastes ressources naturelles, comme le cuivre, l'or et le lithium. Les prêts des banques publiques chinoises ont permis de financer la construction de nombreuses infrastructures indispensables à la croissance africaine. Ils ont aussi contribué à creuser l'endettement de certains pays.
Source : VOA
Le Groupe 3737, en partenariat avec la Banque Laurentienne a organisé du 4 au 8 novembre 2024 une mission commerciale exceptionnelle en Côte d'Ivoire, dédiée aux entrepreneurs issus de la diversité ethnoculturelle.
Cette initiative fait partie d'un effort plus large visant à faciliter l'intégration de ces entrepreneurs sur les marchés mondiaux et à les accompagner dans leur croissance à l'international.
Louis-Edgar Jean-François, PDG du Groupe 3737 a souligné que cette mission représentait un véritable privilège, offrant aux entrepreneurs des opportunités de développement au-delà des frontières nationales.
Selon lui, ces opportunités ne se limitaient pas uniquement au marché local ou national, mais s'étendaient également à l'international. Il a exprimé sa gratitude d'avoir été accueilli chaleureusement par l'ambassadeur du Canada en Côte d'Ivoire, Anderson Blanc, et son équipe.
Cette mission a offert une occasion unique aux entreprises participantes de découvrir de nouvelles perspectives de croissance et d'expansion à l'échelle internationale. Elle visait à diversifier les marchés des entrepreneurs et à établir des relations d'affaires solides et stratégiques avec des acteurs internationaux.
Grâce à cette initiative, les participants ont pu tisser des liens durables avec des partenaires en Côte d'Ivoire et dans d'autres pays africains, ouvrant ainsi la voie à des partenariats internationaux.
Anderson Blanc a salué cette mission qui est une initiative louable.
« C'était un plaisir de recevoir le groupe 3737, un véritable écosystème pour faire éclore les jeunes entreprises. Ils offrent des opportunités non seulement sur le marché canadien, mais aussi dans les pays en développement. », a-t-il fait savoir.
Cette mission a été rendue possible grâce à un partenariat stratégique avec des acteurs clés tels que la Délégation générale du Québec à Abidjan, Grant Thornton, l’Ambassade du Canada en Côte d'Ivoire et au Libéria, ainsi que des entités locales comme Côte d'Ivoire Export et la Mairie d'Azaguié.
Le Groupe 3737 poursuit sa mission de soutenir les entrepreneurs issus de la diversité ethnoculturelle, en favorisant la création d’entreprises, d'emplois et de richesses au Canada, tout en ayant un impact social et économique durable tant au Canada qu’à l’international.
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La tenue réussie du Sommet de Beijing 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), de nouvelles initiatives annoncées telles que les dix actions de partenariat, une forte présence africaine à des expositions telle que l'Exposition internationale d'importation de la Chine (CIIE)...
L'année 2024 s'est affirmée comme une année charnière pour la coopération entre la Chine, le plus grand pays en développement, et l'Afrique, le continent regroupant le plus grand nombre de pays en développement.
Moment fort de l'année : lors du Sommet de Beijing 2024 du FCSA, l'événement diplomatique de la plus grande ampleur et du plus haut niveau organisé par la Chine en 2024, la Chine et l'Afrique ont porté leurs relations à une hauteur stratégique pour bâtir une communauté Chine-Afrique d'avenir partagé de tout temps à l'ère nouvelle, symbolisant un nouveau chapitre de la coopération sino-africaine vers une modernisation conjointe.
PARTAGE DES POSSIBILITES DE DEVELOPPEMENT
Herman Uwizeyimana, un pionnier rwandais dans la culture du piment, illustre parfaitement le potentiel croissant de la coopération sino-africaine. Son entreprise, Fisher Global, exporte aujourd'hui entre 200 et 300 tonnes de piment séché par an, principalement vers la Chine.
Avec l'ambition de multiplier par cinq ces exportations dans les prochaines années, M. Uwizeyimana s'appuie sur une récente politique mise en place par la Chine : à compter du 1er décembre 2024, la Chine a accordé à tous les pays les moins avancés (PMA) avec lesquels elle entretient des relations diplomatiques le traitement de tarif douanier zéro sur 100% des produits, y compris 33 pays africains.
Cette mesure s'inscrit dans un ensemble d'initiatives mises en œuvre par la Chine pour transformer son vaste marché intérieur en un moteur de croissance majeur pour les économies africaines.
Ces dernières années, grâce à des politiques préférentielles et à des plateformes commerciales, telles que les "voies vertes" facilitant l'accès des produits agricoles africains au marché chinois ou la participation africaine à des expositions de grande envergure telle que la CIIE, des produits africains comme le café rwandais, les avocats kenyans et les ananas du Bénin trouvent de plus en plus leur place sur les tables chinoises.
Lors des huit premiers mois de 2024, les importations chinoises de produits agricoles en provenance d'Afrique ont atteint 28,47 milliards de yuans (environ quatre milliards de dollars), soit une augmentation de 4,8% par rapport à la même période en 2023, selon les données publiées par l'Administration générale des douanes de Chine.
Au-delà de l'augmentation des volumes commerciaux, ces politiques préférentielles contribuent aussi à renforcer les chaînes de valeur sur le continent africain. Un exemple éloquent est les produits ovins de Madagascar, qui ont fait leurs débuts à la CIIE cette année, et la Chine en a importé en septembre 2024 pour la première fois.
"Avec la Chine, l'exportation de viande présente un avantage supplémentaire : les sous-produits restent à Madagascar et peuvent être valorisés localement", souligne Michel Anondraka, directeur général de l'agriculture et de l'élevage auprès du ministère malgache de l'Agriculture et de l'Elevage, qui estime que le marché énorme de la Chine qui s'ouvre à la viande de mouton et de chèvre de Madagascar devrait stimuler la croissance de production des éleveurs locaux et accélérer la modernisation agricole du pays africain.
ECHANGE D'EXPERIENCES DE MODERNISATION
En novembre 2024, le village de Manluanzhan, situé dans la province chinoise du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine, a accueilli un groupe de 20 Africains issus du secteur agricole. Ils sont là pour découvrir eux-mêmes les réalisations chinoises en matière de revitalisation rurale.
Cette visite immersive a permis aux participants d'observer comment des structures telles que des tours d'eau désaffectées ont été transformées en cafés et des maisons traditionnelles converties en auberges modernes. Ils ont également pris part à des activités culturelles telles que la poterie traditionnelle et les arts martiaux Dai.
Nabirye Sarah, membre du Consortium pour le développement de Busoga en Ouganda, a été particulièrement inspirée par les activités culturelles, qui pouvaient "servir de modèles pour les jeunes à la recherche de projets d'entreprises accessibles et innovants" dans son pays.
Ce programme fait partie de "l'Initiative pour la jeunesse africaine et le développement rural", lancée conjointement par l'Université agricole de Chine et le géant technologique chinois Tencent. Cela permettra aux participants africains de "transformer leurs communautés, de créer un changement pérenne et de favoriser le développement durable dans toute l'Afrique", a salué Dima Al-Khatib, directrice du Bureau des Nations Unies pour la coopération Sud-Sud, considérant cette initiative comme un exemple novateur de coopération Sud-Sud.
L'échange d'expériences est un élément important de la coopération sino-africaine. De la diffusion de la riziculture hybride à Madagascar aux villages de démonstration de réduction de la pauvreté sur l'île de Sao Tomé-et-Principe, en passant par le parc technologique vert en Mauritanie ou la Zone industrielle orientale en Ethiopie, les solutions et les modèles chinois aident l'Afrique à avancer vers les objectifs de la modernisation fixés par l'Agenda 2063 de l'Union Africaine.
"L'Afrique et la Chine sont des géants qui se tiennent sur les épaules l'une de l'autre. Travaillons ensemble pour une vie meilleure. Cette vie ne laisse personne de côté", estime Omar Mjenga, président et directeur général du Centre pour la politique internationale de l'Afrique.
Agence
L'ambassadeur de la République Populaire de Chine, Wu Jie a marqué son engagement en faveur de l'éducation en offrant un lot important de matériels didactiques à l'Inspection de l'enseignement préscolaire et primaire (IEPP) d'Adiaké. La cérémonie de remise s’est tenue le samedi 28 décembre 2024 à l’école primaire publique de Roa, dans la commune d’Adiaké.
Ce don, composé de 100 cartons de craie, 325 sacs d’écoliers équipés de kits scolaires, 325 ensembles géométriques et 50 ballons de football a été obtenu grâce au plaidoyer du député-maire d’Adiaké, Hien Sié.
Ce dernier a sollicité cet appui lors de ses échanges avec l’ambassadeur dans le but de renforcer les outils pédagogiques des enseignants d’Adiaké.
Le chef de la circonscription de l’IEPP, N’Guessan Kouamé a exprimé sa gratitude, soulignant que ces équipements renforceront les capacités des enseignants et amélioront les performances scolaires.
Le préfet d’Adiaké, Trazié Géraldo Lucie a salué l'initiative et exhorté les bénéficiaires à en prendre soin tout en encourageant les élèves à exceller dans leurs études.
Avec une circonscription comptant plus de 17 000 élèves et 432 enseignants, ce soutien représente une avancée significative pour l’éducation à Adiaké, tout en illustrant l'excellence des relations sino-ivoiriennes.
HN
Jimmy Carter est mort à l'âge de 100 ans, a annoncé son fils le dimanche 29 décembre 2024 en soirée. Le Washington Post a diffusé l'information et a également été relayée par l'agence ANP et d'autres médias américains.
Abidjan, lundi 30 décembre 2024-Le successeur de Richard Nixon et prédécesseur de Ronald Reagan et membre du parti démocrate a fait un seul mandat à la Maison Blanche. De 1977 à 1981.
Après la présidence, M. Carter a entamé une carrière de militant des droits humains et la paix dans le monde. Ce qui lui a valu le prix Nobel de la Paix en 2002.
En 1945, il rencontre Rosalynn Smith, une amie de sa petite sœur. Ils se marient un an plus tard. Ils ont eu quatre enfants : John William « Jack » (né en 1947), James Earl « Chip » III (né en 1950), Donnel Jeffrey « Jeff » (né en 1952) et Amy Lynn (née en 1957).
James Carter est né le 1er octobre 1924 à Plains, sud de l'Etat de Géorgie. Son père James Earl Carter Sr était fermier producteur d'arachides, et sa mère Lillian Gordy Carter( infirmière).
Avec Franceinfo
Orabank Côte d'Ivoire, la filiale ivoirienne du groupe bancaire privé Orabank, a inauguré officiellement une nouvelle agence à Angré CHU le jeudi 19 décembre 2024.
Cette ouverture marque la volonté de la banque de se rapprocher davantage de ses clients et de renforcer sa présence dans la capitale économique ivoirienne.
Lors de l'inauguration, Julien Koffi, directeur général adjoint d’Orabank Côte d'Ivoire a mis en avant les atouts de l'institution sur le marché local.
"Nous nous distinguons par notre proximité avec les clients, nos produits innovants et nos opérations internationales. Avec cette nouvelle agence à Angré CHU, nous ouvrons de nouvelles perspectives", a-t-il déclaré.
M. Koffi a également partagé les performances impressionnantes de la banque en précisant qu'en fin juin 2024, Orabank faisait partie du top 5 des banques du pays avec un total bilan de 1 770 milliards FCFA, des dépôts de 1 254 milliards FCFA et un capital stable de 69 milliards FCFA.
M. Katchia Matthieu, représentant le maire de Cocody, a salué cette initiative, mettant en lumière l’impact positif de cette ouverture pour le développement local et l’accessibilité des services financiers.
Avec 15 agences réparties à travers le pays, dont 9 à Abidjan et 6 en région, Orabank continue de consolider sa position comme un acteur majeur du secteur bancaire ivoirien, en répondant aux besoins des populations et des entreprises, particulièrement dans des secteurs stratégiques.
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La Chine a achevé la construction de son premier projet de recherche à l'échelle d'une usine pour la production d'hydrogène à partir d'eau de mer, a annoncé mercredi Sinopec.
Le projet, situé à Qingdao, dans la province orientale du Shandong, combine l'électrolyse directe de l'eau de mer avec la production d'hydrogène à partir d'électricité verte. Il produit 20 mètres cubes d'hydrogène vert par heure, selon l'entreprise.
Fonctionnant dans un environnement d'usine, le projet utilise de l'électricité verte produite par la centrale photovoltaïque offshore de la Sinopec Qingdao Refining & Chemical Co, Ltd.
L'eau de mer est séparée en hydrogène et en oxygène par des électrolyseurs spécialisés. L'hydrogène produit est intégré au réseau de conduites de gaz de l'entreprise, où il est utilisé pour les opérations de raffinage ou pour alimenter les véhicules à hydrogène, selon l'entreprise.
L'hydrogène vert, produit à partir de sources d'énergies renouvelables, telles que le solaire et l'éolien, n'émet pratiquement pas de gaz à effet de serre pendant sa production.
L'électrolyse directe de l'eau de mer permet de convertir l'électricité verte instable en hydrogène vert, plus facile à stocker et à transporter. Elle contribue également à préserver l'eau douce et à faire progresser l'industrie de l'énergie hydrogène.
Source: Agence