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Africa World Airlines (AWA), une compagnie aérienne ghanéenne réalisera son premier vol inaugural à partir du 14 février à Abidjan. L’annonce a été faite ce lundi 10 février par Sean Mendis, Chef des Opérations chez Africa World Airlines, lors d'une cérémonie officielle en présence de la presse nationale et internationale.
Opérant depuis 2012 au Ghana, cette compagnie aérienne dotée d’une flotte composée de 8 avions de 50 sièges chacun, va désormais desservir la capitale économique ivoirienne, sa dixième destination après Accra, Tamalé, Kumasi, Wa, Takoradi, Lagos, Abuja, Monrovia et Freetown. Le vol inaugural à Abidjan est prévu pour le 14 février prochain à destination de la capitale ghanéenne.
Pour ses débuts, AWA propose six vols par semaine et compte, très vite, passer à deux vols par jour. Et entend, pour se faire, s’offrir deux autres avions d’ici fin 2020 selon Guèye Thierno, responsable AWA.
Le premier défi de la nouvelle compagnie sera de pouvoir remplir ce vol avec un trajet aller-retour au coût promotionnel de 199 000 francs CFA.
Selon le chef des opérations, c’est une compagnie low cost qui veut relier tout le continent africain, à partir d’Accra. « A travers notre présence en terre ivoirienne, nous voulons surtout rapprocher deux pays voisins, la Côte d’Ivoire et le Ghana, des peuples frères, qui partagent les mêmes cultures, les mêmes valeurs », a-t-il fait savoir.
Leader du transport aérien ghanéen, avec plus de 58% des parts de marché sur les destinations locales et ouest africaines, « la compagnie a transporté plus de 600 milles passagers, tous en classe économique, et enregistré 16 milles vols en 2019 », a révélé M. Sean.
A noter qu’elle assure la correspondance sur des vols internationaux, en partenariat avec plusieurs autres compagnies. Notamment Qatar Airways, Emirates et Ethiopian Airlines.
Mohamed Compaoré
L'adjoint de son Altesse l'Émir du Koweït, son Altesse le prince héritier Sheikh Nawaf Al Ahmed Al Sabah, a décerné le prix AlSumait 2019, qui comprend un million de dollars, une médaille d'or et une plaque lors d'une cérémonie spéciale tenue au Bayan Palace au Koweït.
Les lauréats conjoints du 2019, Cycle de sécurité alimentaire du prix, de l'Africa Rice Centre (Africa Rice) et de la Pan Africa Bean Research Alliance (PABRA), ont reçu la moitié de chaque prix d'un million de dollars.
Dr Robin Buruchara, Directeur de la PABRA, déclare « C’est un immense honneur, et cela encourage grandement nos partenaires à en faire davantage… à long terme, la récompense nous aidera à échelonner nos accomplissements, afin qu’ils atteignent et aient un impact sur nos bénéficiaires dans toute l’Afrique ».
Dr Harold-Roy Macauley, Directeur général d’Africa Rice, déclare « C’est un immense honneur et un privilège de recevoir ce prix » et poursuit en disant
« Nous utiliserons l’intégralité de l’argent du prix pour soutenir le développement de systèmes semenciers plus efficaces, tout particulièrement grâce à l’initiative majeure récemment établie par Africa Rice afin de répondre à la demande de grains de riz de qualité pour la sécurité alimentaire et la création d’emplois pour la jeunesse et les femmes. »
Initiative de Son Altesse Sheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al- Sabah, Émir de l’état du Koweït, le Prix Al-Sumait pour le développement de l'Afrique est conçu pour récompenser les initiatives et recherches innovantes et inspirantes des individus et des organisations qui répondent aux défis auxquels le continent africain est confronté. Le prix reconnaît et honore des individus ou des institutions qui contribuent au développement économique et social, au développement des ressources humaines et aux infrastructures en Afrique.
Dr. Shihab-Eldin, Directeur général du KFAS (ou fond koweïtien pour l’avancée des Sciences), qui administre cette récompense, explique que les efforts des deux gagnants (Africa Rice et PABRA) ont eu un impact significatif, en améliorant les vies de millions de personnes souffrant de malnutrition, en augmentant la production et en améliorant la valeur nutritive des cultures agricoles vitales sur le continent africain, en plus de leur participation au développement du rôle des femmes dans le secteur agricole.
Le Conseil d'administration du Prix comprend M. Bill Gates, coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates, M. Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour l'Afrique, M. Daniel Gustafson Directeur général adjoint de la FAO, et M. Abdulatif Al-Hamad, Directeur général et président du conseil d'administration du Fonds arabe pour le développement économique et social.
Le prix, qui est décerné sur une base annuelle, est administré par la Kuwait Foundation for the Advancement of Science. Les candidatures pour le cycle d'éducation sont invitées et peuvent être reçues jusqu'au 30 juin 2020.
M.J
La Basketball Africa League (BAL) a annoncé aujourd’hui que Luol Deng, le joueur deux fois All-Star NBA et athlète Olympique en 2012, allait devenir l’ambassadeur international de la ligue. Après avoir mis un terme à une carrière NBA longue de 15 ans, Deng aidera à faire rayonner la BAL en Afrique et à travers le monde, tout en inspirant les jeunes africains grâce à la pratique du basketball.
« Je suis très heureux de travailler avec Luol, qui vient d’endosser son nouveau rôle d’ambassadeur international pour la BAL » a dit Amadou Gallo, président de la BAL. « Il a toujours été un grand leader et un exemple inspirant. Son merveilleux parcours dans le basket-ball inclus notamment une carrière longue de 15 années en NBA, ponctuée de deux sélections All-Star et d’une participation aux Jeux Olympiques 2012. Depuis 2011, Luol a contribué activement à nos efforts dans le développement de la jeunesse. Il a participé à beaucoup de nos initiatives à travers le continent. Nous avons hâte de travailler avec lui afin de faire de la BAL une ligue de niveau mondiale. »
« Je suis honoré de représenter la BAL en tant qu’ambassadeur international », a dit Luol Deng. « Nous avons beaucoup d’incroyables talents en Afrique et je suis vraiment à l’idée de voir ces derniers s’exploiter dans notre nouvelle ligue. J’attends avec impatience de pouvoir suivre quelques-uns des meilleurs clubs africains dès que la saison inaugurale commencera, le mois prochain, et d’aider la BAL à étendre son empreinte à l’échelle mondial. »
Né à Wau, au Soudan du Sud, Deng a été drafté en 7ème position par les Phoenix Suns en 2004, puis tradé aux Chicago Bulls, pour qui il a joué de 2004 à 2014. Il a aussi joué pour les Cleveland Cavaliers (2014), les Miami Heat (2014-16), les Los Angeles Lakers (2016-18) et les Minnesota Timberwolves (2018-19), avant de signer un “one-day contract” avec les Chicago Bulls afin de prendre sa retraite en tant que Bull au terme de la saison NBA 2019-2020.
Luol Deng est double All-Star NBA (2012 et 2013). Il a reçu en 2007 le prix NBA de la Sportivité et a été nommé en 2005 dans l’équipe première des All-Rookie.
Luol Deng était aussi membre de l’équipe national de Grande-Bretagne durant les JO de Londres, en 2012, et capitaine de la Team Africa aux NBA Africa Games de 2015 et 2017. Il participe fréquemment aux initiatives de développement des jeunes en Afrique, y compris avec Basketball Without Borders (BWB) Africa. Il a enfin été élu Président de la Fédération de Basketball du Soudan du Sud en novembre 2019.
La saison inaugurale de la BAL aura lieu au Caire (Egypte), à Dakar (Sénégal), à Lagos (Nigeria), à Luanda (Angola), à Rabat (Maroc) et à Monastir (Tunisie). Kigali (Rwanda) accueillera les toutes premières Playoffs et Finals. NIKE et Jordan Brand seront les équipementiers officiels sur les terrains de la nouvelle ligue professionnelle.
Des informations complémentaires concernant la BAL seront dévoilées dans les jours à venir.
La Basketball Africa League (BAL), partenariat entre la Fédération Internationale de Basketball (FIBA) et la National Basketball Association (NBA), est une nouvelle ligue professionnelle qui regroupe 12 équipes de différents pays africains, et la première ligue pan-africaine de ce type.
M.J
ABIDJAN, Côte d'Ivoire, 11 février 2020/ --
La commission en charge de la formation de la Fédération ivoirienne de Rugby (FIR.CI), présidée par N'Dri Ignace a mis à profit la journée du samedi 8 février 2020 pour former, au siège de la FIR au Plateau à Abidjan, des arbitres et délégués de match. Cette formation intervient à quelques semaines du démarrage du championnat seniors de rugby à XV et à VII.
L’atelier de formation World Rugby de Niveau 1 à l’intention des arbitres a été dispensé N'Dri Ignace, lui-même arbitre international. Il a instruit les 14 arbitres (11 jeunes et 03 étudiants en Master 1 option rugby) sur la connaissance du jeu, les principes de jeu, le rôle de l'arbitre, la communication et deux autres points de technique, notamment le coup d'envoi et le hors-jeu dans le jeu courant.
« Il est important pour ces jeunes de maîtriser l’environnement de la pratique du rugby. Nous voulons former des arbitres d’élite, des arbitres pour l’Afrique et le monde entier. Et cela commence en donnant les rudiments de bases nécessaires aux jeunes qui ont choisi l’arbitrage », a confié N'Dri Ignace.
Alain Koubé, commissaire au match World Rugby, par ailleurs Secrétaire général de la a assuré la formation des délégués au match. 5 anciens et 7 nouveaux délégués issus des clubs de la Soa, Treichville Biafra Olympique, Yopougon RC, AIM Gonzagueville, Béliers de Yamoussoukro et Sebroco ont suivi cette session. Cette formation visait à donner les rudiments nécessaires aux délégués pour mieux gérer les matchs.
« L'objectif était de renforcer la capacité des anciens et de former de nouveaux délégués pour une meilleure gestion de nos matches compte tenu des enjeux qui sont d'ordre technique, sociologique, sécuritaire et économique », a expliqué l’instructeur.
Dans sa politique de vulgarisation de la balle ovale, le Bureau exécutif de la FIR, présidé Dr Elvis Tano a décidé d’accorder une place de choix à la formation des cadres techniques. Cette vision qui a pris forme depuis 2015, se poursuit pour doter la Côte d’Ivoire de ressources humaines nécessaires pour atteindre les objectifs fixés.
H.N
Le changement climatique, c'est-à-dire le changement du climat mondial et en particulier les changements des conditions météorologiques qui s'étendent sur une grande échelle de temps, est une menace existentielle mondiale majeure.
L'effet de serre provoque l'augmentation de la température de la planète principalement due à l'énorme augmentation du dioxyde de carbone, qui a augmenté de 35% depuis le début de la révolution industrielle. Et bien sûr, la part du lion dans la pollution de l'atmosphère avec 50% de tout le dioxyde de carbone ont l'Europe et l'Amérique du Nord. Tous les autres pays ensemble sont responsables de l'autre moitié, tandis que les pays les plus pauvres sont les moins responsables. Cependant, les gens qui vivent dans ces pays, ce sont eux qui souffriront plus fortement des conséquences.
Les causes du changement climatique sont principalement identifiées dans la combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole, essence, gaz naturel, etc.) qui représentent 50% des émissions totales, dans la production et l'utilisation de produits chimiques synthétiques, dans le catastrophe des zones forestières qui contribue à la production de gaz supplémentaires dans l'atmosphère et bien sûr à l'effet de serre de 15% et dans l'agriculture conventionnelle et l'élevage, qui représentent 15% des émissions.
Les experts scientifiques frappent la cloche du danger et avertissent que s'il n'y a pas d'action coordonnée mondiale urgente de la part des dirigeants politiques, des gouvernements, des industries et des citoyens du monde entier, la température de la planète est susceptible de dépasser les 2°C par rapport aux niveaux préindustriels d'ici 2060 et l'augmentation pourrait même atteindre 5°C d'ici la fin de notre siècle, ce qui rendra la vie des générations futures problématique.
Une telle augmentation de la température de notre planète aura un impact dévastateur sur la nature, entraînant des changements irréversibles dans de nombreux écosystèmes et une perte de biodiversité qui en résulte, c'est-à-dire tous les organismes vivants et toutes les espèces qui composent la vie sur la planète, c'est-à-dire les animaux, oiseaux, poissons et plantes (faune et flore). De nombreuses espèces devraient disparaître des zones qui seront directement et gravement affectées par le changement climatique.
Aujourd'hui, par rapport à 1850 - à partir du début de l'enregistrement des données - une augmentation de la température de 1,1 ° C est observée. Ainsi, il est d'une importance vitale, l'augmentation de ne pas dépasser 1,5 ° C, car comme les scientifiques l'estiment, au-delà de ce point crucial, il n'y aura pas de retour.
Le changement climatique, cependant, qui est dû aux activités humaines, est une réalité tangible inquiétante et affecte déjà négativement notre planète. Les secteurs responsables de la production de gaz à effet de serre sont principalement le secteur des produits énergétiques (unités de production d'énergie électrique, raffineries) mais aussi les activités industrielles, les moyens de transport modernes (voitures, avions, etc.) et les activités du primaire secteur de la production.
Ainsi, les événements météorologiques extrêmes, les incendies incontrôlés dans les forêts telles que l'Amazonie qui ont été caractérisés comme le «poumon» de la planète, les vagues de chaleur, les fortes précipitations, les sécheresses prolongées qui créent de graves problèmes alimentaires dans les zones touchées de la planète, les ouragans très puissants, deviennent de plus en plus fréquents et intensifs, coûtant des dizaines de milliers de vies chaque année et provoquant d'énormes catastrophes.
La glace en même temps et la neige sur les pôles fondent, avec l'Arctique étant la plus grande victime à ce jour, et le niveau moyen de la mer dans le monde monte, provoquant ainsi des inondations et de l'érosion sur les côtes et les zones côtières des plaines et à être créé des réfugiés environnementaux. Si ce développement défavorable se poursuit, des régions telles que les Pays-Bas et Venise risquent d'être définitivement perdues sous les eaux marines en tant que nouvelle Atlantide.
Le changement climatique augmente également les maladies existantes dans le monde, mais en crée également de nouvelles et peut également entraîner une mort prématurée. Trop de maladies sont particulièrement sensibles aux changements de température. En eux inclus, les maladies transmissibles telles que la fièvre jaune, le paludisme, l'encéphalite et la dengue, mais aussi les troubles de l'alimentation, les maladies mentales, les maladies cardiovasculaires ainsi que les maladies respiratoires.
Le changement climatique aura également des impacts négatifs sur les économies des pays étant donné que les températures élevées compromettent la productivité de la plupart des secteurs de l'économie, du secteur agricole à la transformation. Des scientifiques valides prédisent que d'ici la fin du siècle, le PIB mondial aura chuté de 7,22% par rapport à ce qu'il aurait été sans le changement climatique.
L' adolescent activiste Suédois contre le changement climatique, Greta Thunberg, a réussi de la manière la plus vigoureuse et la plus bruyante à faire passer le débat sur cet énorme problème, par les chefs d'État et de gouvernement et le dialogue public, dans la société et dans les discussions amicales, mobilisant des millions de personnes à travers le monde, en particulier les jeunes, qui ont commencé à manifester exigeant de la part des gouvernements de prendre immédiatement des mesures pour faire face au changement climatique.
Ainsi, les députés suédois ils l’ont suggéré à juste pour le prix Nobel de la paix. Et bien sûr, Greta Thunberg a tout à fait raison quand elle dit que les mesures sont prises pour réduire les gaz à effet de serre et, surtout, le dioxyde de carbone n'est pas suffisant.
Alors, quelles sont les mesures appropriées à prendre sans tarder pour réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050 et maintenir la température à + 1,5 ° C?
Les politiques de base pour mitiger résolument le problème consistent à promouvoir et à utiliser des sources d'énergie renouvelables (éolien, solaire, biomasse, etc.), à améliorer l'efficacité énergétique, à réduire drastiquement l'exploitation des gisements de pétrole et de gaz et à imposer des taxes sur le carbone afin de limiter l'utilisation des combustibles fossiles et ainsi de réduire sensiblement les émissions de dioxyde de carbone d'ici 2030 et de les éliminer d'ici 2050 au plus tard, la réduction rapide des émissions de méthane, de noir de carbone et d'autres polluants de courte durée qui pèsent sur le climat, la restauration et la protection des écosystèmes et surtout des forêts.
L'Accord de Paris, premier accord universel et juridiquement contraignant pour le climat, est entré en vigueur en 2016 avec beaucoup d'optimisme et d'ambitions évidentes, malgré la déclaration de départ officielle des États-Unis, qui est l'un des plus grands pollueurs. Quatre années se sont écoulées depuis lors et il n'y a pas de résultats substantiels, ce qui soulève de sérieuses questions quant à la réelle volonté politique de s'attaquer à ce problème mondial particulièrement menaçant.
Pour terminer, je voudrais souligner que les effets du changement climatique seront si dramatiques que la civilisation humaine sera menacée de s'effondrer comme une tour de papier. Ainsi, face à cette crise climatique extrêmement dangereuse, les citoyens du monde entier devraient encore accroître leur mobilisation et les dirigeants politiques pour enfin se lever au plus fort des circonstances et prendre immédiatement les mesures drastiques nécessaires, avant qu'il ne soit trop tard , pour inverser cette voie insoutenable et sauver la planète.
Isidoros Karderinis
Né à Athènes en 1967. Il est romancier, poète et éditorialiste. Il a étudié l'économie et a terminé des études de troisième cycle en économie du tourisme.
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A la cérémonie commémorative des 50 ans de la Loterie Nationale de Côte d’Ivoire (LONACI), le 6 février 2020 à Abidjan, le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, a salué l’engagement d’une entreprise citoyenne à accompagner le gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et la création d’emplois.
« En sa qualité d’entreprise publique et citoyenne, la LONACI est très engagée aux côtés du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté. En plus de changer la vie des gagnants, elle réalise des investissements à caractère social et s’affirme progressivement comme pourvoyeuse non négligeable d’emplois directs et indirects, avec un réseau commercial de plus de dix mille personnes », s'est réjoui le Chef du gouvernement.
Amadou Gon Coulibaly a exprimé sa fierté pour la gestion rigoureuse de la LONACI et les innovations continues qui lui garantissent des résultats satisfaisants. Il a appelé les dirigeants de l’entreprise à continuer dans cette dynamique.
Le Directeur Général de la LONACI, Dramane Coulibaly, a rappelé, entre autres, quelques actions et réalisations qui ont contribué à l’amélioration du bien-être des populations. Sur la période 2015-2019, a-t-il dit, ce sont plus de 300 milliards de FCFA qui ont été distribués aux gagnants de divers jeux.
Dans le cadre de sa mission sociale, la LONACI a initié plusieurs projets sociaux, dont la construction d’écoles, de centres de santé, d’infrastructures culturelles, etc. « De 2015 à 2019, près de trois milliards de FCFA, dont 1,5 milliard en 2019, ont été investis pour la réalisation d’œuvres sociales, à travers le pays », a conclu le Directeur Général.
Depuis 2015, la LONACI affiche un taux de croissance annuel supérieur à 20%. Une performance qui lui a permis de réaliser un chiffre d'affaires de plus de 92 milliards de FCFA en 2018 et atteindre la barre des 200 milliards de FCFA en 2019, soit 123% de taux de croissance.
H.N et Primature CI
Le 28 janvier dernier, l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, M. Gilles Huberson, a inauguré le premier « Baking Center » de la filiale Lesaffre Ivoire à Abidjan, en présence de M. David Jousselme, Directeur de la région Overseas de Lesaffre et du maire de Marcory.
Implanté dans 51 pays, dont la Côte d’Ivoire depuis les années 2000, l’entreprise Lesaffre est le N1 mondial dans la production de levure de boulangerie.
En marge de ses activités d’exploitation de levure, Lesaffre a investi dans une recherche développement dynamique et mondialisée, dont les Baking Center sont le symbole. Le groupe développe en effet depuis 1974, date de création de son premier centre, un réseau de pôles d’expertise composé de collaborateurs expérimentés et multiculturels dédiés à la recherche et chargés de proposer des projets innovants adaptés aux modes de consommation et au marché local.
L’implantation d’un tel centre à Abidjan démontre à la fois le dynamisme économique du pays et la qualité de ses ressources humaines, notamment scientifiques, et la capacité de Lessafre, à partir d’un savoir-faire français, à investir dans une recherche développement ouverte sur le monde.
H.N
Dans le cadre du 33e Sommet ordinaire de l’Union Africaine, le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part, dans l’après-midi de ce samedi 08 février 2020, à Addis-Abeba (Éthiopie), au Forum de Haut Niveau sur l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, au cours duquel il a présenté, en sa qualité de « Champion » du suivi de la mise en œuvre de cet Agenda et de son premier Plan décennal 2014-2023, son deuxième Rapport.
Ce second Rapport, selon le Chef de l’Etat, préparé à partir des Rapports nationaux de 31 Etats membres et de 6 Communautés Economiques Régionales, souligne les progrès et les résultats enregistrés, les défis à relever dans les domaines prioritaires et fait des recommandations pour accélérer la dynamique enclenchée afin de parvenir à la réalisation des 7 grandes aspirations et des 20 objectifs stratégiques de l’Afrique.
Pour le Président de la République, des progrès variés ont été constatés dans les différentes composantes de la mise en œuvre de l’Agenda 2063 depuis le dernier Rapport, avec un taux d’exécution global de 32% au regard des 7 grandes aspirations du continent africain.
Afin d’aller plus vite vers l’atteinte des objectifs à mi-parcours de la mise en œuvre du premier Plan décennal de l’Agenda 2063, le Chef de l’Etat a recommandé l’accélération de la transformation économique du continent, la poursuite de la réalisation des Objectifs de Développement Durable et la réduction considérable de la pauvreté et du chômage dans les pays africains. Le Président Alassane OUATTARA a également préconisé le développement des infrastructures économiques et sociales, et la fin des conflits qui minent les progrès et l’intégration du continent.
Le Chef de l’Etat a, en outre, identifié des défis à relever pour la réalisation de l’Agenda 2063, notamment les difficultés liées à la faiblesse de nos systèmes statistiques, la faible mobilisation des ressources financières, les disparités dans les niveaux de maturation et de mise en œuvre entre les projets phares ou encore les lenteurs dans la communication autour de l’Agenda 2063.
Pour terminer, le Président de la République a invité tous les Etats membres à s’engager résolument dans la préparation des prochains rapports biennaux sur la mise en œuvre de l’Agenda 2063 et à tout mettre en œuvre afin que la prochaine revue de cet Agenda couvre l’ensemble du continent africain.
Les autres intervenants, notamment la Présidente de l’Ethiopie, S.E.Mme Sahle-Work Zewde, le Président du Botswana, S.E.M. Mokgweetsi Masisi, le Président de la BAD, M. Adesina Akinwumi, et l’ancienne Présidente de la Commission de l’Union Africaine, Mme Nkosazana Dlamini-Zuma, ont salué le leadership du Président Alassane OUATTARA et l’ont félicité pour son importante contribution à la mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine. Notons qu’en début d’après-midi, le Chef de l’Etat s’est entretenu avec le Secrétaire Général des Nations Unies, S.E.M. Antonio GUTERRES. Les deux personnalités ont examiné la coopération entre les Nations Unies et la Côte d’Ivoire, ainsi que les questions régionales, notamment la lutte contre le terrorisme.
Le Président de la République a également pris part au Dîner de haut niveau des leaders africains pour la nutrition au cours duquel il a mis en exergue les efforts de la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre la malnutrition à travers, notamment, la création d’un Conseil National pour la Nutrition, l’Alimentation et le Développement de la Petite Enfance et l’ouverture, en mars 2019, du Centre d’Excellence Régional contre la Faim et la Malnutrition.
Présidence CI
Du 5 au 7 février 2020, 18 agents des Eaux et Forêts, venus de toutes les contrées de la région du Bafing, ont vu leurs capacités renforcées à l’utilisation de l’outil informatique. Ce, à l’initiative de leur direction dans la cadre de la mise en œuvre de son programme d’activités annuelles (Paa) 2020, précisément, son volet formation.
Cette session de formation à en croire le formateur, le Lieutenant N’Dri Abel, ingénieur des techniques des Eaux et Forêts par ailleurs, assistant du directeur régional, d’outiller les agents à « l’utilisation de Microsoft-office2010 ». Les enseignements dispensés portent selon lui, sur les connaissances basiques contenues dans des modules relatifs à « Word, Excel et Powerpoint ». Le but à atteindre au regard des faiblesses constatées, étant de « permettre la production de rapport d’activités de qualité » par les agents, travaillant au sein de ce service déconcentré.
Au dire du Colonel Kouakou Konan Jacques, Directeur régional des Eaux et Forêts du Bafing, les rudiments enseignés, contribueront sans aucun doute à rendre ses subalternes plus performants dans l’exécution de leurs tâches administratives. Aussi, a-t- il annoncé en termes de perspectives, d’autres formations relatives à l’utilisation du matériel technique en l’occurrence, l’usage du Gps. Avant d’affirmer que sans la formation, il serait difficile d’atteindre l’objectif de 184 000 plants à produire et à mettre à la disposition des populations, assigné à la région du Bafing dans le cadre de la politique nationale de reboisement dénommée : « 1 jour, 5 millions d’hectares de forêt ».
Hamza De Bamba (Correspondant Régional)
Le président russe Vladimir Poutine a fait état, mercredi dernier à Moscou, du soutien de la Russie à la politique internationale et régionale équilibrée prônée par l'Algérie, adressant au Président de la République Abdelmadjid Tebboune une invitation à visiter Moscou, a rapporté l'agence russe Sputnik.
Le président russe, qui a reçu les lettres de créances du nouvel ambassadeur algérien en Russie, Mohamed Cherif Kourta, a déclaré « nous soutenons la politique internationale et régionale équilibrée prônée par l'Algérie, et nous pensons qu'il y a de bonnes perspectives pour le renforcement de notre coopération économique, militaire et technique afin de renforcer la stabilité et la sécurité en Afrique du Nord et dans le Sahel ».
« Les deux Etats sont étroitement liés par de fortes relations amicales constantes depuis des années », a-t-il souligné.
Par la même occasion, le président Poutine a indiqué avoir eu, il y a quelques jours, des pourparlers avec le président Tebboune et qu'il espérait le voir en Russie.
Le président russe a affirmé, par ailleurs, que l'élection présidentielle qu'avait connue l'Algérie l'an dernier était « une étape sérieuse vers des mutations sociopolitiques et économiques en Algérie ».
L'agence de presse Spoutnik a indiqué, dans ce sens, que les autorités algériennes œuvraient à un saut qualitatif en adéquation avec les exigences de cette étape, au service des intérêts du peuple algérien et contribuant à la consécration de la paix dans la région.
H.N.