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Le Royaume du Maroc ne se considère pas concerné par la décision rendue vendredi par la Cour de justice de l’Union européenne concernant les accords agricoles et de pêche, selon le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Le ministère précise que le Maroc n’a participé à aucune des phases de cette procédure.
"Le Maroc n’est pas partie à cette affaire, qui oppose d’une part l’Union européenne et, d’autre part, le 'polisario' soutenu par l’Algérie. Par conséquent, le Maroc ne se sent aucunement concerné par cette décision", indique le communiqué.
Cependant, le ministère souligne que "la décision contient des erreurs juridiques évidentes et des inexactitudes notables", ajoutant que cela révèle une méconnaissance des réalités du dossier, voire un parti pris politique manifeste.
Le ministère critique également le fait que "la Cour se soit permise de se substituer aux organes compétents des Nations unies, contredisant leurs positions et approches établies".
Il fait référence à une affaire similaire où "la Haute Cour britannique a montré davantage de discernement, d’impartialité et de rigueur juridique".
Dans ce contexte, le Maroc appelle le Conseil, la Commission européenne et les États membres de l’UE à prendre les mesures nécessaires pour respecter leurs engagements internationaux, préserver les acquis du partenariat et garantir la sécurité juridique à laquelle le Royaume a légitimement droit en tant que partenaire de l’UE sur des enjeux stratégiques.
Enfin, le ministère réaffirme que "le Maroc ne souscrira à aucun accord ou instrument juridique qui ne respecte pas son intégrité territoriale et son unité nationale".
Mohamed Compaoré avec la MAP
Le Dépositaire Central/Banque de Règlement (DC/BR) de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) participe au Sommet de l'Association des dépositaires centraux de titres eurasiens (AECSD) et de l’Association des dépositaires d’Afrique et du Moyen-Orient (AMEDA) du 2 au 4 octobre 2024 à Istanbul( Turquie).
Ce sommet se concentre sur les technologies émergentes et les futures opportunités des marchés financiers. Il aborde divers thèmes, notamment les meilleures pratiques sectorielles, les opérations financières, les technologies financières, le développement commercial, ainsi que la sécurité de l'information et la gestion des risques.
De nombreuses personnalités influentes des principaux marchés financiers, des institutions financières et des entreprises de technologie financière d'Eurasie, d'Afrique et du Moyen-Orient participent à cet événement avec plusieurs interventions, dont celle de M. Birahim Diouf, Directeur Général du DC/BR.
M. Diouf participe à un panel consacré aux meilleures pratiques des dépositaires centraux en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient aux côtés d’intervenants tels que Yasser Zaazaa, PDG du Dépositaire Central de Titres d'Égypte, Ali Kirali, Directeur Général de la Bourse marchande de Turquie, Zafer Mustafaoğlu, Directeur Général Adjoint de Halk Yatırım Menkul Değerler A.Ş. (Turquie) et Osman Günsel Topbaş, PhD, co-fondateur et associé directeur de Manifest Executive Consultancy (Émirats Arabes Unis).
Parallèlement au sommet, une réunion du Conseil d'administration du Forum mondial des dépositaires centraux de titres (WFC) est prévue, ainsi que les Assemblées Générales annuelles de l’AECSD et de l’AMEDA.
Le DC/BR est une institution financière spécialisée de l’UEMOA dont le siège est situé à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Il est responsable de la centralisation de la conservation des valeurs mobilières pour ses adhérents, de la bonne exécution des opérations de règlement/livraison après les transactions boursières, ainsi que du paiement des événements liés aux valeurs.
En tant que membre à part entière de l’Association of National Numbering Agency (ANNA), le DC/BR s’occupe également de la codification des valeurs mobilières dans l'UEMOA. Créé en 1996, il a débuté ses activités le 16 septembre 1998.
Au cours d’une réunion avec les coordonnateurs régionaux de son parti, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), le président Alassane Ouattara a tenu un discours de mise au point qui a mis en lumière des insuffisances dans la gestion des structures de base. Alors que le processus de restructuration du parti avance, plusieurs responsables ont été appelés à resserrer leurs liens avec la base militante, un aspect important pour le bon fonctionnement de la formation politique en vue des prochaines échéances électorales.
Félicitant d’abord la direction du parti pour les efforts accomplis dans la mise en œuvre des réformes internes, Alassane Ouattara a néanmoins pointé du doigt « des difficultés » dans le rythme d’exécution des programmes et la coordination des activités de terrain. Il a rappelé que la récente nomination de 47 coordonnateurs régionaux devait permettre une meilleure décentralisation de la gestion du parti et une efficacité accrue à la base. Or, ces responsables, en charge de la mobilisation des militants et de la gestion des ressources, semblent peiner à répondre aux attentes de la direction du parti.
Le président Ouattara s'est même senti obligé de rappeler aux coordonnateurs régionaux, leurs missions et obligations, les qualifiant de « garants de la cohésion du parti dans les régions ». Ils sont censés, selon de président du RHDP, être les vecteurs de valeurs telles que la tolérance et l’unité, mais aussi les promoteurs d'une mobilisation active des militants, en particulier à travers l’enrôlement dans la base de données numérique « E-militant ». Le faible taux de primo-votants inscrits semble constituer une des lacunes de la coordination régionale, un point sur lequel le président du RHDP a demandé des actions urgentes.
Au-delà de la simple exécution des directives du parti, Ouattara a aussi appelé les coordonnateurs à faire preuve d’autonomie financière. Il leur a recommandé d'identifier des sources de financement locales afin d'assurer la pérennité de leurs actions, soulignant que la solidité de la base repose aussi sur une gestion financière décentralisée.
Cette réunion intervient dans un contexte où des critiques de la base militante s’élèvent sur le manque de proximité des dirigeants régionaux avec les réalités locales. Plusieurs militants reprochent aux coordonnateurs régionaux d’être « déconnectés » des préoccupations quotidiennes des populations, ce qui pourrait fragiliser le soutien au parti lors des élections prévues pour 2025.
Le ton du président Ouattara, bien que ferme, s’est toutefois voulu rassurant. Il a réitéré son soutien aux coordonnateurs régionaux, les assurant du soutien du parti pour le financement de leurs activités, tout en réaffirmant leur responsabilité dans la cohésion du RHDP et la mobilisation des électeurs. La réunion s’est achevée avec une motion de soutien au président Ouattara, saluant son leadership aussi bien à la tête de l’État qu’au sein du parti.
Cependant, malgré ces réaffirmations de confiance, le message est clair : les coordonnateurs régionaux doivent renforcer leur présence sur le terrain et prouver leur efficacité, sous peine de voir le RHDP perdre le contact avec sa base militante, un risque que le parti ne peut se permettre à l'approche des élections.
Le Président du RHDP a félicité la direction du Parti pour la bonne marche du programme de restructuration.
Le Président du Parti a réaffirmé la vision qui sous-tend le processus de restructuration, à savoir, faire du RHDP un rassemblement de militants et un parti proche des préoccupations de nos concitoyens
Le Président du Parti a noté le bon fonctionnement des instances du Parti, notamment le Directoire et le Secrétariat Exécutif.
Le Président du Parti a cependant noté quelques difficultés au niveau du rythme d’exécution des programmes en cours et de la coordination des activités du Parti à la base.
Le Président du Parti a adressé ses félicitations aux 47 coordonnateurs nommés en indiquant que cette réforme vise à consolider la décentralisation dans la gestion du Parti. La Coordination régionale est de ce fait, un maillon essentiel du bon fonctionnement du Parti à la base.
Le Président du Parti a passé en revue les missions assignées aux Coordonnateurs régionaux. Il s’agit de la coordination des activités des structures de base, notamment les Secrétaires Départementaux, ainsi que la mobilisation des ressources humaines, matérielles et financières dans le ressort de la région.
Le président du parti a insisté sur le rôle important des Coordonnateurs régionaux. Ils sont les garants de la cohésion du Parti dans nos régions. Ils doivent promouvoir les valeurs de tolérance, d’ouverture, d’unité et de loyauté aux idéaux du Parti.
Le Président du Parti a, de ce fait, recommandé aux Coordonnateurs régionaux d’accélérer l’enrôlement des militants dans la base de données E-militant ainsi que l’identification des primo-votants pour leur inscription prochaine sur la liste électorale. Pour ce faire, Le Président du Parti a encouragé les Coordonnateurs régionaux à prendre toutes les dispositions pour atteindre les objectifs qui leur ont été assignés.
Le Président du RHDP a assuré les Coordonnateurs régionaux du soutien indéfectible du Parti pour le financement des activités.
Le Président du Parti leur a recommandé, de manière additionnelle et conformément à leur mission, d’identifier des sources de financement local pour assurer une autonomie de fonctionnement de la Coordination régionale.
Le Président du RHDP a enfin demandé aux Coordonnateurs régionaux de développer la solidarité et de se tenir au plus près des préoccupations des militants.
Le Président du Parti a terminé son discours de cadrage en réaffirmant aux Coordonnateurs régionaux la pleine confiance et le soutien du Parti
La réunion a pris fin avec la lecture d’une motion spéciale d’engagement, de remerciement et de soutien des Coordonnateurs régionaux aux Président de la République, Président du Parti, pour son leadership inspirant tant au sommet de l’état que du Parti.
Fait à Abidjan le 30 septembre 2024
La réunion
Le Porte-parole Principal du RHDP
Le Ministre d’état Kobenan Kouassi Adjoumani Étienne
La dynamique internationale croissante en faveur de la marocanité du Sahara renforce l’idée d’une solution politique irréversible à ce différend régional, fondée exclusivement sur le plan d’autonomie et respectant la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du Royaume.
C’est ce qu’a souligné Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger lors d’une déclaration à New York le 27 septembre.
M. Bourita a appelé les Nations Unies à s’adapter à cette réalité sur le terrain qui démontre clairement que le plan marocain d’autonomie, proposé en 2007 représente la "seule et unique" solution au conflit, tout en respectant l’intégrité territoriale du Maroc.
Il a également mentionné que ses rencontres bilatérales avec ses homologues et de hauts responsables d’États membres ont abordé cette dynamique internationale, impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
De nombreux pays ont réaffirmé leur soutien à l’intégrité territoriale du Maroc et à son plan d’autonomie.
En particulier, il a souligné la position du Danemark qui s’ajoute aux nations soutenant l’initiative marocaine, portant à 19 le nombre de pays membres de l’Union européenne à soutenir cette démarche.
Cette nouvelle position danoise reflète une tendance générale au sein du continent européen.
Mohamed Compaoré avec la MAP
Les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, M. Karamoko Jean-Marie Traoré, de la République du Mali, M. Abdoulaye Diop, de la République du Niger, M. Bakary Yaou Sangaré et de la République du Tchad, M. Abderaman Koulamallah se sont réunis vendredi 27 septembre à New York avec Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger. Ils ont exprimé leur satisfaction concernant les avancées réalisées dans l'opérationnalisation de l'Initiative internationale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, visant à améliorer l'accès des États du Sahel à l'océan Atlantique.
Dans un communiqué conjoint issu de cette réunion qui s'est tenue en marge de la 79e Assemblée générale des Nations unies, les ministres ont salué le travail des Task Forces nationales du Maroc, du Burkina Faso, du Mali, du Niger et du Tchad lors de leur première réunion à Rabat les 5 et 6 juin 2024.
Ils ont également souligné les projets proposés par les Task Forces nationales dans le cadre de cette Initiative. De plus, le communiqué indique que les ministres du Burkina Faso, du Mali et du Niger ont présenté les avancées de la Confédération des États du Sahel.
Conformément aux orientations du Président de la Confédération, ils ont affirmé que leur pays s'engagera désormais à soutenir l'opérationnalisation de l'Initiative internationale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans le cadre de cette Confédération
Mohamed Compaoré avec la MAP
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L'ambassade de Chine en Côte d’Ivoire a célébré, jeudi 26 septembre 2024, le 75e anniversaire de la fondation de la République Populaire de Chine, en présence du corps diplomatique et des autorités ivoiriennes au sein de son ambassade.
S.E.M. Wu Jie, ambassadeur de la République Populaire de Chine en Côte d'Ivoire a souligné que le Parti communiste chinois reste fidèle à ses engagements initiaux, guidant le peuple chinois, multiethnique vers le socialisme à la chinoise.
Il a mis en avant les progrès réalisés par le pays, citant que « en 2023, le PIB chinois a dépassé 126 mille milliards de yuans, représentant 17 % de l'économie mondiale ».
L'ambassadeur a également rassuré sur la bonne santé de l'économie chinoise, déclarant que la Chine avance résolument sur la voie de la modernisation et du renouveau national.
Il a présenté les résultats du récent Sommet de Beijing du Forum sur la Coopération sino-africaine, tenu du 4 au 6 septembre qui a permis de renforcer les consensus entre la Chine et l'Afrique sur des questions cruciales telles que le soutien aux intérêts vitaux des pays en développement et la promotion d'un véritable multilatéralisme.
Le diplomate chinois a réaffirmé l'engagement de la Chine à soutenir les pays en développement, en insistant sur les principes de « sincérité, résultats effectifs, amitié et bonne foi ».
L'ambassadeur a exprimé la volonté de collaborer avec la Côte d'Ivoire pour mettre en œuvre les résultats du Sommet et pour défendre les intérêts communs des pays en développement.
La Chine, premier partenaire commercial bilatéral de la Côte d'Ivoire depuis six ans, a promis d'approfondir la coopération entre les deux nations. Wu Jie a conclu en affirmant que la Chine est prête à promouvoir une communauté d'avenir partagé pour l'humanité.
Wautabouna Ouattara, ministre délégué auprès des affaires étrangères a souhaité une bonne célébration au nom du président Alassane Ouattara, félicitant la Chine pour son progrès et son développement.
Il a également indiqué que les échanges entre la Chine et la Côte d'Ivoire avaient doublé, passant de 2000 milliards à plus de 4000 milliards de FCFA entre 2022 et 2024.
Il a exprimé le souhait d'une participation accrue des acteurs économiques chinois dans la mise en œuvre du Plan National de Développement 2026-2030 et a souligné l'appui de la Chine à la Côte d'Ivoire, notamment lors du Forum sur la coopération sino-africaine, où la Chine a alloué 200 millions de yuan chinois, soit environ 16,6 milliards de FCFA, en plus d'une aide alimentaire de 1,6 milliard de FCFA.
La célébration du 75e anniversaire de la fondation de la République Populaire de Chine a eu lieu en amont du 1er octobre, date officielle de cette commémoration en Chine
mc
Le mardi 24 septembre, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à « contraindre » la Russie à faire la paix avec Kiev, tout en dénonçant l'Iran et la Corée du Nord comme des « complices » de la guerre en Ukraine.
Alors que l’Assemblée générale de l’ONU se concentre sur le Proche-Orient, Zelensky, arrivé aux États-Unis le 22 septembre cherche à garder l’attention internationale sur son pays, en guerre depuis deux ans et demi.
Il a déclaré : « La Russie doit être contrainte à la paix, c’est exactement ce qu’il faut faire. » Il doit également rencontrer le président américain Joe Biden et le Congrès jeudi pour présenter son « plan de victoire » visant à mettre fin à l'invasion russe.
Zelensky a accusé l'Iran et la Corée du Nord de soutenir l'effort militaire russe. « La Russie n’a aucune raison légitime d'utiliser l'Iran et la Corée du Nord comme complices de sa guerre criminelle en Europe, avec leurs armes qui tuent des Ukrainiens », a-t-il affirmé. En réponse, l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassili Nebenzia a critiqué les pays occidentaux pour leur focalisation sur l’Ukraine.
Antony Blinken, le secrétaire d'État américain a exhorté la communauté internationale à dénoncer l'aide militaire de Téhéran et Pyongyang, permettant à Vladimir Poutine d'infliger des souffrances aux Ukrainiens. Wang Yi, son homologue chinois a affirmé que la Chine ne prenait pas part au conflit et rejeté les accusations d’un soutien à la Russie.
Zelensky a également promis un second « sommet de la paix » après celui de juin 2024 en Suisse, avec des invitations adressées à la Chine, l'Inde et le Brésil. Lors d'une conférence à New York, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a déclaré que l’Inde pouvait contribuer à un éventuel règlement entre les deux pays, rappelant les rencontres de Modi avec Zelensky et Poutine.
En ce qui concerne l'assistance militaire, Zelensky a réclamé davantage de systèmes de défense aérienne et de missiles longue portée pour protéger ses villes des attaques russes. La France, par l’intermédiaire de son ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a renouvelé son soutien indéfectible à l’Ukraine, affirmant qu’un accord de paix doit respecter l'intégrité territoriale du pays et être fondé sur le droit international.
mc
La chanteuse malienne Rokia Traoré, arrêtée en Italie le 21 juin 2024 sera extradée vers la Belgique en raison d'une affaire de non-représentation d’enfant. Son avocate a annoncé le 26 septembre que la Cour d’appel de Rome a décidé d’une extradition dans les dix jours, mettant fin à une longue bataille juridique de près de cinq ans.
Cette décision est un soulagement pour Jan Goossens, l'ex-compagnon de Traoré qui espère qu'elle permettra de trouver des solutions pour leur fille. L'avocat de Goossens a souligné que cette extradition pourrait ouvrir la voie à une issue constructive pour le bien-être de l’enfant.
L'affaire remonte à 2019, lorsque la justice belge a accordé la garde de leur fille à Goossens, avec un droit de visite pour Rokia. Cependant, la justice malienne a ensuite attribué la garde exclusive à la chanteuse, entraînant un mandat d'arrêt international contre elle. En 2023, Traoré a été condamnée par défaut à deux ans de prison en Belgique.
Depuis son arrestation en juin, elle a fait appel de la décision de Bruxelles et a saisi la Cour de justice de l'Union Européenne, invoquant des violations de ses droits lors de son procès, notamment l'absence de son avocat.
Rokia Traoré se prépare maintenant à faire face à la justice belge pour résoudre ce litige. Leur fille, âgée de neuf ans vit toujours à Bamako, attendant une résolution de cette situation qui perdure depuis plusieurs années.
Cette affaire soulève des questions sur les conflits de juridiction et le respect des droits des parents dans les procédures de garde internationale, laissant la vie de l'enfant suspendue aux décisions des tribunaux.
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Le Danemark, par l'intermédiaire de son ministre des affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen a exprimé, mercredi 25 septembre à New York, son soutien au plan d'autonomie du Maroc présenté en 2007. Il a qualifié ce plan de « contribution » solide et de base prometteuse pour résoudre le différend « artificiel » concernant le Sahara marocain.
Cette prise de position a été faite lors d'une rencontre entre Rasmussen et son homologue marocain, Nasser Bourita en marge de la 79e session de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Un communiqué commun a souligné que le Danemark considère le plan d’autonomie comme une approche sérieuse et crédible pour le processus de l'ONU, favorisant une solution conjointe.
Les deux ministres ont également réaffirmé leur soutien au processus de l'ONU et à l'Envoyé personnel du Secrétaire général, Staffan de Mistura pour atteindre une résolution pacifique et acceptable du conflit en accord avec les résolutions du Conseil de Sécurité.
Cette nouvelle position danoise s'inscrit dans la dynamique internationale soutenue par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, renforçant ainsi la souveraineté du Maroc sur son Sahara et illustrant une tendance favorable en Europe.
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