Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le gouvernement minoritaire du Premier ministre canadien Justin Trudeau a survécu à un important vote de confiance mardi au parlement d’Ottawa, évitant des élections anticipées.

Par 177 voix pour et 152 contre, les députés de la Chambre des communes ont approuvé le “discours du Trône” dans lequel le gouvernement avait exposé le 23 septembre ses priorités pour la relance économique du pays.

Lors du vote sur la motion de soutien, les libéraux de M. Trudeau ont obtenu le soutien du Nouveau parti démocratique (NPD, gauche), tandis que le parti conservateur (droite) et les indépendantistes du Bloc québécois votaient contre.

Les Verts, qui ont nommé leur nouvelle cheffe, Annamie Paul, samedi, s’y sont également opposés.

Le maintien du gouvernement Trudeau était l’hypothèse la plus probable suite à un accord trouvé avec le NPD, l’un des principaux partis d’opposition.

Son chef Jagmeet Singh avait annoncé avoir obtenu les deux mesures qu’il exigeait pour soutenir le gouvernement: le prolongement d’une aide d’urgence aux salariés ayant perdu leur emploi en raison du Covid-19, et une garantie de deux semaines de congés payés pour un plus grand nombre de travailleurs.

Avec 154 députés sur les 338 que compte la chambre basse du Parlement, les libéraux doivent trouver le soutien ponctuel d’autres formations politiques pour faire adopter leurs projets de loi et se maintenir au pouvoir.

Dans son programme, M. Trudeau a promis de créer plus d’un million d’emplois pour ramener le taux de chômage au niveau d’avant la crise, soit à environ 5,5%.

Le gouvernement canadien a aussi annoncé de nouvelles dépenses non chiffrées, indiqué sa volonté de mettre en place des mesures en faveur du climat et de soutenir citoyens et entreprises “aussi longtemps que la crise durera”.

Le Canada est entré dans la “deuxième vague” de la pandémie selon Ottawa, et recensait ces dernières semaines une poussée des nouveaux cas de coronavirus, qui dépassaient le millier chaque jour contre quelques centaines en août.

Plus de 9.500 personnes ont déjà succombé à la maladie depuis mars.

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Les négociations entre l’UE et le Royaume-Uni pour tenter de trouver un accord sur la relation post-Brexit reprennent à Londres mercredi après-midi avec l’espoir d’aboutir d’ici fin octobre.

Elles doivent se poursuivre jusqu’à vendredi et une rencontre est prévue ce jour-là entre les chefs négociateurs Michel Barnier et David Frost, selon les mêmes sources.

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le Premier ministre Boris Johnson sont convenus d’accélérer les négociations samedi pour tenter de parvenir à un accord sur les relations post-Brexit, alors que les négociations piétinent et que le temps presse.

Les Européens veulent aboutir à un accord d’ici fin octobre mais il n’y a eu aucun progrès notable pour rapprocher les points de vue sur les trois sujets qui fâchent – pêche, aides publiques et gouvernance de l’accord -, après neuf séances de négociations à Londres et Bruxelles.

Londres a fixé la date-butoir encore plus tôt au 15 octobre, date d’un sommet européen à Bruxelles.

Michel Barnier a appelé cette semaine les ministres de la Pêche de pays qui seraient les plus affectés en cas de “no deal”, notamment le Français et le Néerlandais, selon des sources concordantes.

Malgré l’appel à accélérer les pourparlers alors que la date fatidique du 31 décembre qui marquera la fin de la période de transition entre l’UE et son ex-Etat membre se rapproche, le Premier ministre britannique a déclaré dimanche que son pays pourrait “très bien vivre” avec un “no deal”.

Selon un haut responsable européen, ce sentiment a aussi commencé à émerger parmi les 27.

Un échec à conclure un accord sur la future relation aurait cependant des conséquences potentiellement désastreuses sur des économies déjà affectées par la pandémie.

Les Européens estiment que les Britanniques n’ont toujours pas démontré leur volonté de réellement négocier sur les trois dossiers chauds, tandis que le Royaume-Uni reproche à Bruxelles de lui imposer des règles inacceptables pour obtenir un accord de libre échange (zéro quota, zéro tarif) qui ne tiendraient pas compte de sa souveraineté retrouvée.

La ratification d’un éventuel accord reste par ailleurs menacée par les tensions apparues à la suite du projet de loi britannique qui remet en question certains des engagements pris dans le traité de divorce concernant l’Irlande du Nord.

aaa

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L’UNICEF s’est dit, mardi, profondément préoccupée par la situation de milliers d’enfants menacés par la violence dans la province de l’Ituri, à l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

Les conditions de vie de milliers d’enfants en Ituri se sont détériorées depuis l’intensification de la violence au début de l’année, souligne un communiqué de l’agence onusienne.

Les attaques des milices dans les zones d’habitation ont fait des centaines de morts et des enfants ont été mutilés, tués ou recrutés par des groupes armés, selon l’UNICEF, estimant que plus de 1,6 million de personnes, dont la majorité sont des femmes et des enfants, sont déplacées à l’intérieur du pays.

D’après l’agence onusienne, 91 enfants ont été tués, 27 ont été mutilés et 13 ont été victimes de violences sexuelles entre janvier et juin 2020, tandis que près de 18 établissements de santé ont été pillés ou détruits, relevant que les attaques contre plus de 60 écoles ont laissé environ 45.000 enfants en dehors des salles de classe.

Et d’expliquer que la province de l’Ituri compte actuellement 2,4 millions de personnes en besoin urgent d’aide humanitaire, notant que l’UNICEF et ses partenaires ont aidé plus de 100.000 personnes – dont 87.000 enfants – en termes de soins de santé et de nutrition, de protection, d’éducation, d’eau et d’assainissement.

L’UNICEF alerte sur le fait que l’insécurité dans la province de l’Ituri continue de fragiliser les efforts humanitaires, au moment où l’insuffisance des fonds limite la portée des activités sur le terrain.

A cet égard, l’agence rappelle que l’appel de l’UNICEF pour l’action humanitaire en faveur des enfants en RDC est de 318 millions de dollars US, mais il présente un déficit de financement de 235 millions de dollars US (74%).

aaa

 
 

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Vladimir Poutine a appelé mercredi Arméniens et Azerbaïdjanais à faire cesser “la tragédie” en cours au Nagorny Karabakh, sa première prise de position publique sur le conflit, dans un entretien diffusé le jour de son anniversaire.

“C’est une énorme tragédie. Des gens meurent, il y a de lourdes pertes des deux côtés. Nous espérons que ce conflit cessera au plus vite”, a indiqué le président russe dans un entretien accordé à la télévision publique Rossiya et diffusé par le Kremlin.

“Si ce conflit (vieux de 30 ans, ndlr) ne peut être définitivement résolu, car on en est loin, au moins nous appelons, j’insiste là-dessus, à un cessez-le-feu. Et c’est au plus vite qu’il faut le faire”, a dit M. Poutine qui fête ses 68 ans.

Si le Kremlin avait cité le président russe appelant à l’arrêt des hostilités dans des communiqués, c’est sa première prise de position publique et télévisée depuis le début des combats le 27 septembre.

La Russie entretient de bonnes relations avec les deux belligérants auxquels elle fournit des armes, mais reste plus proche de l’Arménie qui appartient à une alliance militaire dominée par Moscou.

M. Poutine a relevé que la Russie allait “respecter ses engagements” dans le cadre de cette Organisation du traité de sécurité collective, relevant cependant que les hostilités “n’ont pas lieu sur le territoire de l’Arménie” mais sur celui de la république auto-proclamée du Karabakh, soutenue par Erevan, mais officiellement en terres azerbaïdjanaises.

L’élargissement du conflit au territoire arménien pourrait cependant déclencher une intervention de la Russie, qui a une base militaire en Arménie.

fm

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La Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a décidé de lever les sanctions qu’elle avait imposées au Mali suite à la mutinerie des militaires, et ce dans l’objectif de soutenir la transition mise en place pour ramener les civils au pouvoir, apprend-on mardi auprès de l’organisation sous-régionale.

Dans une déclaration publiée au lendemain de la formation d’un gouvernement à Bamako, les dirigeants de la CEDEAO disent “prendre en compte” des “avancées notables vers la normalisation constitutionnelle” dans ce pays ouest-africain, fragilisé depuis des années par les violences jihadistes et intercommunautaires.

“Pour soutenir ce processus, les chefs d’Etat et de gouvernement décident de la levée des sanctions sur le Mali. Ils appellent tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux à soutenir le Mali”, souligne la déclaration des dirigeants de la CEDEAO signée par le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, dont le pays exerce la présidence tournante de l’organisation.

Le 18 août dernier, le président Ibrahim Boubacar Keïta, 75 ans, avait annoncé sa démission ainsi que la dissolution du parlement et du gouvernement, quelques heures après avoir été arrêté avec plusieurs autres responsables par les militaires.

Dans la foulée, la CEDEAO avait sanctionné le Mali en imposant la fermeture des frontières de ses Etats membres avec ce pays et l’arrêt des flux financiers et commerciaux.

Dans leur déclaration, les dirigeants de la CEDEAO demandent aux nouvelles autorités de la transition de “mettre en oeuvre rapidement” les autres décisions prises par la Communauté, notamment la “dissolution” du Conseil national pour le Salut du peuple (CNSP), l’instance mise en place par les militaires.

La CEDEAO note, par ailleurs, plusieurs avancées réalisées ces dernières semaines, dont la nomination d’un président de transition, Bah Ndaw, un colonel à la retraite, et celle d’un ancien ministre des Affaires étrangères, Moctar Ouane, comme Premier ministre.

fm

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mardi, 06 octobre 2020 17:58

Cavani rebondi à Manchester United

L’attaquant uruguayen, Edinson Cavani, a enfin rebondi à Manchester United signant un contrat d’un an, plus un an supplémentaire en option, a annoncé le club anglais dans un communiqué.

Manchester United a recruté le joueur, qui arrive libre après la fin de son contrat en juin dernier, pour renforcer son attaque et palier la déception de Jadon Sancho, lui offrant un contrat d’une saison.

l’Uruguayen, qui affrontera son ancien club en Ligue des champions, va devoir s’adapter à l’exigeante Premier League après ses grands passages en Serie A (2007-2013) et la Ligue 1 (2013-2020) et surtout apporter son expérience pour les mancuniens.

Syl

 
 

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Le Fonds monétaire international a approuvé lundi le versement d’une nouvelle aide d’urgence pour 28 pays parmi les plus pauvres du monde pour leur permettre d’alléger leur dette et de mieux faire face à l’impact de la pandémie de Covid-19.

Cette annonce, qui fait suite à une mesure identique décrétée mi-avril pour 25 pays, doit aider ces pays à couvrir les remboursements de leur dette envers le FMI pendant les six prochains mois et “dégager leurs maigres ressources pour leurs efforts en matière d’urgence médicale et d’aide” face à la pandémie.

Les 28 pays bénéficiant de cette deuxième tranche d’aide sont l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la RD Congo, Djibouti, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, Haïti, le Libéria, Madagascar, le Malawi, le Mozambique, le Népal, le Niger, le Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, la Sierra Leone, les Iles Salomon, le Tadjikistan, la Tanzanie, le Togo et le Yémen.

Le Mali, qui est également éligible à ces aides, n’a pour l’heure pas été ajouté à cette liste, car “il y a un manque de clarté pour savoir si la communauté internationale reconnaît/traite le régime militaire actuel comme le gouvernement du Mali”, précise le FMI.

Cet allègement de la dette passe par le Fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes (fonds fiduciaire ARC) qui permet au FMI d’accorder des dons aux pays les plus pauvres et les plus vulnérables frappés par une catastrophe naturelle ou de santé publique aux conséquences désastreuses.

Sous réserve de ressources suffisantes du fonds fiduciaire ARC, des dons pourraient être accordés pour une période de deux ans, jusque mi-avril 2022, pour un montant total estimé à 959 millions de dollars.

L’objectif du FMI est de doter le fonds fiduciaire ARC de 1,4 milliard de dollars pour qu’il puisse aussi répondre à des besoins dans le futur.

Jusqu’à présent, le montant des contributions s’élève à 506,5 millions de dollars, en provenance de plusieurs pays, dont le Royaume-Uni, le Japon, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Suisse, la Norvège, la Chine, le Mexique, la Suède, la Bulgarie, le Luxembourg et Malte.

mc

 
 

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La pandémie de coronavirus est un “signal d’alarme” pour la communauté internationale, a estimé lundi le patron de l’OMS, appelant à une réforme plus rapide de l’organisation afin qu’elle réponde plus efficacement aux urgences sanitaires.

S’exprimant à l’occasion d’une session extraordinaire du Conseil exécutif de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la riposte au Covid-19, Tedros Adhanom Ghebreyesus a vigoureusement défendu le travail réalisé par l’organisation, accusée notamment par le président américain Donald Trump d’incompétence dans sa gestion de la pandémie.

M. Tedros a également défendu la réforme menée par l’OMS au cours de ces trois dernières années, mais a reconnu qu’il fallait en accélérer le rythme.

“Nous ne sommes pas sur la mauvaise voie, (…) mais nous devons aller plus vite. La pandémie est un signal d’alarme pour nous tous”, a-t-il déclaré, masqué.

Cette réunion extraordinaire du Conseil exécutif de l’OMS, qui réunit les représentants de 34 pays élus pour une période de trois ans et est chargé de préparer et mettre en oeuvre les décisions des membres de l’organisation, n’est que la cinquième de son histoire.

Elle a été convoquée par l’OMS pour donner suite à une résolution approuvée par les Etats membres en mai, prévoyant une “évaluation indépendante” de la réaction de l’agence onusienne et de la communauté internationale à la pandémie.

Le patron de l’OMS a souligné lundi la nécessité de renforcer la surveillance internationale des pays.

“Le monde a besoin d’un système robuste d’évaluation entre pairs”, a-t-il dit, citant en exemple l’Examen périodique universel mis en place par le Conseil des droits de l’Homme, un examen auquel doivent se soumettre tous les membres de l’ONU tous les quatre ou cinq ans.

“Nous encourageons les pays à venir avec de nouvelles idées”, a poursuivi l’Ethiopien, ajoutant: “Nous devons être ouverts au changement et nous devons mettre en oeuvre les changements dès maintenant”.

L’OMS a décrété l’alerte mondiale le 30 janvier face au Covid-19. L’institution a été vivement critiquée depuis, en particulier par les Etats-Unis, pour avoir tardé à décréter cet état d’urgence, alors que le coronavirus avait été signalé dès la fin décembre en Chine.

L’organisation a également été critiquée pour des recommandations jugées tardives ou contradictoires, notamment sur le port du masque ou les modes de transmission du virus.

D’autres ont également souligné que l’OMS manquait à la fois de ressources budgétaires et d’indépendance face aux Etats.

La pandémie du nouveau coronavirus a fait plus d’un million de morts. Environ 10% de la population mondiale pourrait avoir été infectée, a indiqué le directeur des urgences sanitaires à l’OMS, Michael Ryan, devant le Conseil exécutif.

mc

 
 

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Le dialogue inter-libyen de Bouznika, dont le deuxième round de séances de pourparlers se poursuit depuis vendredi soir au Maroc, contribuera à la relance globale du processus politique libyen, a affirmé, lundi, l’émissaire par intérim de l’ONU en Libye, Stephanie Williams.

Lors d’une conférence de presse virtuelle à New York suite à sa participation à une réunion ministérielle de haut niveau sur la Libye co-organisée par les Nations-Unies, Mme Williams a rappelé que le dialogue inter-libyen de Bouznika réunit les délégations du Haut Conseil d’État libyen et de la Chambre des représentants pour “se mettre d’accord sur les compétences des sept postes de souveraineté conformément à l’article 15 de l’accord politique libyen” conclu à Skhirat en décembre 2015.

L’émissaire onusienne a estimé que le dialogue de Bouznika, qui se tient “en concertation” avec la mission d’appui des Nations-Unies en Libye (MANUL), “aide également à renforcer la confiance entre ces deux institutions”, à savoir le Haut Conseil d’État et la Chambre des représentants.

“Il s’agit d’une bonne chose pour la relance globale du processus politique” en Libye, a affirmé Mme Williams.

Les séances du deuxième round du dialogue inter-libyen se poursuivent au Maroc entre la délégation du Haut Conseil d’État libyen, présidée par M. Fawzi Al-Agab, et celle de la Chambre des Représentants libyenne présidée par M. Youssef El Akkouri.

Les deux parties ont repris ce second round environ un mois après un premier round ayant réuni les deux parties (06-10 septembre dernier) à Bouznika et qui a abouti à un accord global sur les critères et les mécanismes transparents et objectifs pour occuper les postes de souveraineté.

aaa

 
 

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Le coordonnateur sortant du Forum des organisations de la société civile de l’Afrique de l’ouest Côte d’Ivoire (FOSCAO-CI), Drissa Soulama, a été réélu, à l’issue de l’assemblée générale élective du mardi 29 septembre 2020, tenue à la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’Ouest (CEREAO), a-t-on appris le vendredi 02 octobre, lors de la conférence de presse du secrétaire général régional de l’organisation, Komlan Messie, au siège du FOSCAO.

M. Soulama a obtenu 23 des 25 voix qui constituaient le collège électoral face à son adversaire, Yéhou Zahui qui s’est contenté de 2 voix. Le FOSCAO Côte d’Ivoire regroupe 31 organisations de la société civile membres.

Le 28 août, une fraction dissidente avait elle aussi une assemblée générale élective qui s’était soldée par la réélection de Guillaume Gbato au poste de coordonnateur national dudit forum. L’organisme se retrouve donc avec deux présidents.

S’exprimant sur ce bicéphalisme, M. Komlan a soutenu que toute assemblée générale qui n’aurait pas été autorisée par l’instance régionale, est nulle et nul effet. Par conséquent, le coordonnateur du FOSCAO Côte d’Ivoire, reconnu par le siège basé au Nigeria, reste Drissa Soulama.

« Nous appelons, dans un souci de cohésion sociale, la dissidence à rejoindre les rangs de la légalité, sous peine d’application des sanctions disciplinaires prévues par les textes statutaires et réglementaires en vigueur », a menacé le secrétaire général régional.

Le FOSCAO a été créé par la CEDEAO en 2003 pour servir de canal de dialogue institutionnalisé entre les organisations de la société civile  et la CEDEAO. Il s’agit d’un réseau fédérateur des OSC des 15 Etats membres de la CEDEAO.

A ce sujet, le FOSCAO renforce les capacités, fait des plaidoyers, mobilise et crée des opportunités pour que les organisations de la société civile  soient à la pointe des tendances concernant la société civile, la CEDEAO et l’Union Africaine.

Ses domaines thématiques sont les affaires humanitaires et sociales, femmes et genres, agriculture et sécurité alimentaire, migration et liberté de mouvement, commerce et investissement, santé, paix et sécurité, affaires politiques, démocratie et gouvernance, jeunesse-emploi, entrepreneuriat, éducation, etc.

mk

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