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L’Université virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI) a récompensé, jeudi 19 novembre 2020, ses 36 meilleurs étudiants de chaque spécialité, au cours de la 3e édition de la journée d’excellence, parrainée par la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, le Professeur Bakoyoko-Ly Ramata.
Le grand prix de cette journée de la promotion des étudiants dans le numérique a été décerné Koffi Konan Wilfried qui a obtenu 15,79 de moyenne. Doumbia Matinin a remporté le Prix Bakoyoko-Ly Ramata du genre avec 15,74 de moyenne. Ils ont reçu chacun un ordinateur, un trophée et une enveloppe de 100.000 francs CFA.
Félicitant les lauréats, la marraine Bakoyoko-Ly Ramata les a exhortés à toujours viser l’excellence par la persévérance et l’abnégation au travail. « L’UVCI forme une nouvelle race d’étudiants compétents pour relever les défis de la société d’aujourd’hui et celle du futur.
À la lumière des résultats obtenus, on peut affirmer que cette journée dédiée à l’excellence et à la promotion du numérique, revêt une importance capitale », a souligné le Prof. Bakayoko-Ly.
Pour elle, cette journée qui consacre la reconnaissance du numérique, est aussi une opportunité pour sensibiliser les jeunes à prendre conscience que l’avenir de l’humanité est dans le numérique.
« Sur le plan national, l’UVCI contribue, en appuyant les universités existantes, à inscrire ainsi l’enseignement supérieur et la recherche dans la dynamique de l’innovation qui est consubstantielle au numérique et, en dernière analyse, avec le développement », a-t-elle indiqué.
Puis de relever que le gouvernement qui fait de la promotion du genre une priorité se réjouit que l’UVCI s’inscrive dans la même dynamique à travers le prix de la meilleure étudiante pour inciter les jeunes filles à l’excellence.
Prenant la parole, le directeur général de l’UVCI, Koné Tiémoman, a remercié la marraine et réaffirmé son engagement à former plus de femmes pour contribuer au développement de la Côte d’Ivoire.
Rappelons que l’UVCI a démarré avec 3.000 étudiants et 23 enseignants. Elle compte à ce jour, plus de 10.000 étudiants avec plus de 40 enseignants et plus de 1.000 diplômés. Les premiers bacheliers qui ont été orientés à l’UVCI sont en Master 2. L’UVCI dispense les cours dans les filières Bases de données, Communication digitale, Développement d’applications et e-services, E-commerce et Marketing digital, Multimédia et Arts numériques, Réseaux et Sécurité informatique.
IY
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, félicite le président ivoirien Alassane Ouattara, pour son élection à l’issue de la présidentielle du 31 octobre 2020, saluant le dialogue politique initié par ce dernier avec l’opposition.
” Monsieur le Président, je tiens à vous féliciter pour votre réélection en tant que Président de la république de Côte d’Ivoire, et vous souhaite plein succès dans l’exercice de votre nouveau mandat”, a écrit M. Guterres dans un message daté du mercredi 18 novembre 2020 adressé au chef de l’Etat ivoirien, dont l’AIP a reçu copie le jeudi 19 novembre.
“Je suis encouragé par vos efforts visant à engager un dialogue franc, inclusif et propice à l’apaisement et à la réconciliation nationale, avec les acteurs politiques du pays, y compris SEM Henri Konan Bédié, ancien président de la République de Côte d’Ivoire”, poursuit le SG de l’ONU.
Il encourage Alassane Ouattara à étendre le dialogue aux autres acteurs politique, jugeant cette initiative “nécessaire pour la consolidation de la paix, la réconciliation nationale et la poursuite du développement économique de la Côte d’Ivoire”.
“Je saisi cette occasion pour renouveler de la disponibilité des Nations Unies à accompagner le République de Côte d’Ivoire dans ses efforts visant à renforcer la démocratie, les droits de l’Homme, et le développement durable”, a conclu António Guterres.
Alassane Ouattara a été élu le 31 octobre pour un nouveau mandat avec 94,27% des voix.
Source : AIP
L’ambassadeur de l’Allemagne en Côte d’Ivoire, Ingo Herbert, a exprimé la volonté de son pays de voir la paix et la stabilité régner en Côte d’Ivoire, lors de sa première visite au Premier ministre Hamed Bakayoko, depuis sa prise de fonction.
“Notre intérêt reste la paix et la stabilité en Côte d’Ivoire, dans le cadre constitutionnel et dans l’état de droit”, a indiqué le diplomate allemand, parlant “de la situation sociopolitique du pays”.
“Cette visite de courtoisie” a été également l’occasion pour les deux hommes de s’entretenir sur “le bon état des relations entre la Côte d’Ivoire et la République d’Allemagne, pour un renforcement des liens surtout en cette période marquée par le Covid-19”.
L’ambassadeur Ingo Herbert avait présenté le 6 novembre 2020, sa lettre de créance au Président Alassane Ouattara.
(AIP)
Le gouvernement envisage de construire et d’équiper sept établissements de formation professionnelle, d’un coût global de 244,3 millions de dollars US, soit environ 135 milliards de francs CFA, dans les communes de Dabakala, Gbéléban, Korhogo, Kong, Ebimpé-Anyama, Yamoussoukro et Diabo.
Le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, a fait cette annonce, à l’issue du conseil des ministres, qui a eu lieu, mercredi 19 novembre 2020, au Palais des pas perdus, à Abidjan Plateau.
Le conseil a adopté, à cet effet, un décret portant déclaration d’utilité publique de sept sites d’une superficie totale de près de 131,7 hectares situés dans les localités concernées.
Ces différents sites ont été identifiés et réservés pour la construction et l’équipement en vue d’améliorer significativement l’accès et l’offre de formation du dispositif de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire, a indiqué le ministre de la Communication et des Médias, lors de la conférence de presse.
La ministre Kandia Camara a défendu à cette occasion devant les députés membres de la Commission des affaires économiques et financières (CAEF), un budget de 1.011,9 milliards Fcfa globale pour son département, en vue de renforcer les acquis de l’éducation durant l'exercice 2021.
AIP
Au total, 75 apprenants formés en énergie solaire photovoltaïque, efficacité énergétique bâtiment et énergétique industrie ont reçu leurs parchemins en vue de leur insertion dans la vie active, mercredi 18 novembre 2020 au cours d’une cérémonie au Centre des métiers de l’électricité (CME).
Cette formation de huit mois, dont quatre mois de stage en entreprise, initiée et financée par l’agence allemande de coopération internationale (GIZ) a permis aux apprenants d’acquérir les compétences techniques et professionnelles nécessaires aux activités du domaine des énergies solaires photovoltaïques, de l’efficacité énergétique du bâtiment et de l’industrie conformément aux termes de référence (TdRs) définis dans le projet.
Au nom des apprenants, Touré Cheick a précisé que les bénéficiaires de cette formation sont capables d’effectuer un audit énergétique selon la norme Nf en 16247, d’effectuer les mesures des valeurs énergétiques intervenant dans l’audit avec les appareils appropriés et de rédiger un rapport d’audit énergétique.
Ils sont aptes de faire le suivi post application des mesures préconisées dans le rapport d’audit afin de vérifier les économies d’énergies réalisées sur la structure que ce soit sur les bâtiments ou dans les industries et la maitrise des installations fonctionnant à base de l’énergie solaire, que ce soit au niveau du dimensionnement, de l’installation et de la maintenance des différents systèmes.
Au nom de l’ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne en Côte d’Ivoire, Benjamin Laag a réitéré la disponibilité du gouvernement allemand à la Côte d’Ivoire pour optimiser sa facture énergétique en lien avec les objectifs 2030 sur le climat.
Heureux de tous ces acquis en faveur des jeunes ivoiriens, au nom du Secrétaire d’Etat en charge de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnel, le Directeur de la Formation professionnelle initiale Fofié Koffi a demandé aux apprenants d’être des exemples et des modèles sur le terrain du travail.
Il a promis que ces formations seront dédiées dans les écoles professionnelles en Côte d’Ivoire.
Le Centre des métiers de l’électricité (CME) a été sélectionné en qualité d’opérateur pour l’exécution du projet de formation de type Dual dont le niveau de recrutement exigé était le Brevet de technicien technique et le BAC technique ou scientifique.
AIP
Un produit naturel à base de plantes, à dominance de graines de margousier plus connues sous le nom de « neem » en Afrique, constitue actuellement un espoir pour les producteurs de cacao en Côte d’Ivoire, confrontés à la maladie du swollen-shoot qui se manifeste par des gonflements au niveau des rameaux et des racines, provoquant une faible production.
James Adjovi, le concepteur de ce produit naturel explique sa création. « Le produit baptisé BioElit est issu d’extraits de plantes dominés par les graines de neem, sans ajout de produits de synthèse industriel ou chimique, avec les fonctions d’insecticide, de fongicide et de fertilisant, sans effet négatif sur le producteur ni sur le consommateur » assure-t-il.
Pour le mode d’emploi, « on utilise 250 ml du produit pour 16 litres d’eau, pour une pulvérisation sur le tronc et les branches du cacaoyer. Le traitement se fait deux fois en un mois, avec un intervalle de 15 jours pour une production de janvier à janvier soit 13 mois », indique James Adjovi, ingénieur sorti de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro (INP-HB).
Enoh Foba, producteur agricole et président des pépiniéristes ivoiriens, se satisfait de ce produit qui, selon lui, a un impact certain sur la production cacaoyère.
« Quand j’ai découvert ce produit, à l’utilisation, j’ai constaté un impact sur le rendement. Le planteur recherche un gain or la récolte a doublé. L’autre avantage avec ce produit, c’est la régénération du cacaoyer », soutient-il dans un entretien avec SciDev.Net.
Daniel Boa, ingénieur agronome et ancien directeur régional du Centre national de recherche agronomique (CNRA) à Yamoussoukro, confirme les dires de ce producteur.
« Les planteurs des localités de Oumé et Kouibly avaient leurs plantations atteintes de swollen-shoot. Après utilisation du produit, la croissance a repris. Les essais ont porté sur la cochenille, vecteur de la maladie du swollen-shoot et le produit la combat efficacement. Des cacaoyers qui portaient deux ou trois cabosses, après traitement, ont désormais une production abondante », témoigne ce dernier.
Les échos de ce produit ont attiré l’attention de la Cellule universitaire d’expertise et de conseil pour le développement (CUECDA SARL), dirigée par Mamadou Doumbia, maître de conférences en sciences agronomiques à l’université Nangui Abrogoua.
« J’ai travaillé avec ce produit depuis deux ans sur le cacaoyer, la tomate. Il agit de façon indirecte sur les insectes qui causent la maladie du swollen-shoot. Indirect car si la plante est malade, le produit n’agit pas. Les tests ont été faits en plantation et l’efficacité s’est révélée. C’est l’un des rares produits qu’on peut utiliser pour la protection phytosanitaire des plantes en Côte d’Ivoire. C’est un insecticide à large spectre mais pas sélectif », soutient l’enseignant-chercheur.
De l’avis d’Isaac Kouakou Bah, enseignant-chercheur à l’INP-HB de Yamoussoukro, « cette invention vient au moment opportun pour soulager les soucis des planteurs confrontés aux problèmes des maladies des cacaoyers telles que le swollen-shoot et à l’appauvrissement des sols qui réduisent leur production ».
Pour lui, grâce à ce produit, les planteurs pourront obtenir désormais une production conséquente et avoir des revenus considérables. « Ces revenus leur permettront d’améliorer non seulement leurs conditions de vie, mais aussi et surtout de satisfaire leurs besoins ».
D’après James Adjovi, son concepteur, environ 653 producteurs et une vingtaine de coopératives utilisent déjà ce produit en Côte d’Ivoire. Mais, il est possible que ces chiffres connaissent une rapide augmentation.
Car, « des essais sont en cours sur le riz, la tomate, l’hévéa ; avec de bons résultats sur le fomes, une maladie qui attaque l’hévéa par ses racines » soutient le chercheur Daniel Boa qui suit les travaux de développement de ce produit depuis le début.
Source : SciDev.Net
« Election contestée d’Alassane Ouattara pour un troisième mandat », voilà une formule qui revient régulièrement comme un refrain dans les journaux Afrique de Radio France International (RFI), lorsqu’il y a un sujet relatif à la crise électorale ivoirienne au menu. Et ça commence à bien faire au bord la lagune Ebrié.
Car, des inconditionnels de la Radio mondiale, partisans ou proches du chef de l’Etat ivoirien, ne cachent pas leur exaspération d’entendre cette formule. « C’est une formule très très tendancieuse. Ça n’a l’air de rien, mais ça présente faussement la réalité en juste quelques mots », rumine un ministre qui se confiait mercredi à La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net). Ce dernier qui affirme ne rien avoir contre cette radio, dit ne pas comprendre « pourquoi elle ne précise pas par qui l’élection est contestée ».
« Qui conteste l’élection du président ? Dire vaguement ‘élection contestée d’Alassane Ouattara’ sème à mon avis la confusion dans l’opinion de l’auditeur. Ils auraient dit ‘élection contestée par l’opposition’ que je n’aurais pas de problème avec cette formule, puisque c’est de ça qu’il s’agit. Mais tel que dit, ça donne l’impression que c’est tout le monde ici en Côte d’Ivoire qui conteste l’élection du président, or c’est juste une minorité qui se trouve dans cette posture de défiance vis-à-vis de l’autorité », ajoute cette personnalité.
De son côté, le stratégiste Yéo Moustapha voit dans cette expression une sorte de « matraquage insidieuse du subconscient des auditeurs ». « Quand ils veulent être bien gentils, ils disent ‘élection controversée de Ouattara’. Mais controversée ou contestée par qui ? On ne peut pas dire que quelqu’un qui a été élu par 94% de 53% de 7 millions d’électeurs que son élection est contestée… si besoin, il y a lieu de dire par qui l’élection est contestée, que de se limiter à dire ‘élection contestée’ », souligne M. Yéo.
Pour lui, « il ne s’agit pas d’aller à l’encontre de la liberté de presse ou d’expression mais de dire ce qui est comme le recommande la déontologie de leur métier ». « Et je trouve que la question de la contestation de l’élection n’est plus à l’ordre du jour puisqu’il est aujourd’hui question du dialogue politique. Parler d’élection contestée dans ce contexte me parait anachronique », ajoute le stratégiste.
Malgré ces critiques, RFI reste l’une des Radios les plus écoutées en Côte d’Ivoire, mais surtout un média très apprécié et influent en Afrique Francophone.
Mohamed Compaoré
La POECI invite le gouvernement à ouvrir un débat inclusif et participatif avec les forces vives de la Nation sur toutes les questions d'intérêt national.
Depuis le début du processus électoral et particulièrement à l'approche du 31 octobre 2020, la Plateforme des organisations de la société civile pour l'observation des élections-POECI- suit avec une attention particulière l’évolution de la situation socio-politique dans notre pays.
La POECI a noté le bon déroulement des différentes étapes du processus électoral jusqu’au dépôt des candidatures et précisément à l’annonce du Président de la République de se porter candidat pour un nouveau mandat. Des manifestations de contestation ont eu lieu dans certaines villes de la Côte d’Ivoire puis se sont intensifiées après la proclamation de la liste des candidats retenus par le Conseil Constitutionnel. Ces manifestations font suite au mot d'ordre de boycott du processus électoral par l'opposition.
Après les vives tensions électorales et la tenue du scrutin présidentiel du 31 octobre émaillé de violences, le candidat Alassane Ouattara est réélu Président de la République selon les résultats définitifs du Conseil Constitutionnel.
A la suite de cette décision du Conseil Constitutionnel, le Président Alassane Ouattara s'est adressé à la nation. Au cours de son discours, il s'est engagé à ouvrir à nouveau le dialogue politique notamment par une rencontre avec le leader de l'opposition Henri Konan Bédié, qui dirige la plateforme de l'opposition.
La POECI se réjouit de cette rencontre qui vise à renouer le dialogue nécessaire pour la construction de la paix et la stabilité au regard de nombreuses atteintes aux droits humains constatées avant, pendant et après le scrutin du 31 octobre.
La POECI estime que ce dialogue ne doit pas se limiter qu'aux forces politiques mais doit favoriser un débat inclusif et participatif avec l'ensemble de l'opposition ainsi qu' aux organisations de la société civile.
La POECI estime qu'un arrangement politique ne sera guère suffisant pour amener les ivoiriens et les ivoiriennes à la réconciliation, à la cohésion sociale, à la démocratie et au développement. Il est temps de poser le débat de fonds sur le vivre ensemble. Ceci pour mettre fin au cycle de violences intercommunautaires qui sont dues au déficit de débat de fonds sur l'avenir de cette nation et dont les politiques exploitent les vulnérabilités.
La POECI souhaite qu'un forum national soit organisé avec toutes les forces vives de la nation pour panser les plaies du passé et s'engager résolument vers une nation réconciliée apaisée et prospère.
La POECI encourage le gouvernement à ouvrir dans les plus brefs délais ce dialogue avec toutes les composantes se la société ivoirienne. Ce dialogue devra être inclusif en abordant les questions de fond qui sont sources de violences dans ce pays.
La POECI invite toutes les organisations de la société civile à produire dans les prochaines semaines un diagnostic et des recommandations en vue de ramener la cohésion sociale, réconcilier les ivoiriens et ivoiriennes, renforcer le processus électoral et politique et engager les citoyens au développement de la nation.
Fait à Abidjan le 16 novembre 2020
Pour le Bureau du Conseil d'Administration
Le Président
Imam Kone Ibrahima
Ce salon est dédié à toute personne souhaitant bénéficier d’outils pour mieux comprendre les offres bancaires existantes, favoriser une meilleure épargne et un meilleur investissement. LAgence et Ecobank Côte d’Ivoire entame la 3ème édition du Salon de l’Epargne, de l’Investissement et du Patrimoine (SEIP 2020), les 25 et 26 Novembre prochains.
Désormais considéré comme le rendez-vous incontournable de la constitution patrimoniale de tout l’espace UEMOA, le salon de l’Epargne revient, cette année, avec un nouveau visage : une édition 100% digitale. Inauguré par Daniel Kablan Duncan, ancien Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire, lors de ses deux précédentes éditions, le salon de l’Epargne a rencontré un vif succès avec la participation de plus de 3000 visiteurs, 37 conférenciers, et les professionnels les plus prestigieux du monde de la finance. C’est donc fort de ce succès que les organisateurs le réitèrent avec une dimension nouvelle, un salon virtuel où se rencontreront intervenants, participants et public.
Le Salon de l’Epargne, de l’Investissement et du Patrimoine est un évènement majeur ayant pour objectif d’apporter de vraies solutions, qui permettront à chacun de sécuriser son avenir et celui de sa famille. Dans un contexte aujourd’hui marqué par la pandémie de la COVID-19, l’épargne reste au cœur de la vie de chaque citoyen ; et les notions d’investissement et de sécurité financière demeurent plus que jamais au cœur de leurs préoccupations.
« La crise que nous vivons a permis aux entreprises de se réinventer et à chaque personne de se recentrer sur l’essentiel. La crise de COVID-19 nous a permis de comprendre l’importance et la nécessité d’une bonne épargne afin de parer aux difficultés liées à l’absence de trésorerie. Construire son propre cercle vertueux autour de son épargne et de ses investissements, devient une priorité absolue pour qui en comprend la nécessité. Il apparait donc urgent pour chacun d’appréhender et de s’approprier les problématiques financières, abordées à l’occasion de ce salon », explique Madame Leticia N’cho-Traoré, Directrice de L’Agence et co-organisatrice du SEIP.
« Le caractère digital de cette 3ème édition s’inscrit dans la politique du groupe Ecobank. Pour nous, la digitalisation facilite l’accès équitable des populations vulnérables à des services financiers innovants et durables. Notre large offre de services bancaires digitaux, permet, aujourd’hui, à tout type de client, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise, de gérer à distance ses finances. Cette année 2020 sera marquée par l’utilisation accrue des produits digitaux par nos clients. Au cours de cette édition virtuelle, vous découvrirez les promesses de la finance digitale, la nouvelle réalité et les innovations pour le bien-être financier de nos populations » a déclaré Paul-Harry Aithnard, Directeur Général Ecobank Côte d’Ivoire et de la Région UEMOA.
Ouvert à tous, commerçants, salariés, entrepreneurs, investisseurs, étudiants, ce salon est dédié à toute personne souhaitant bénéficier d’outils pour mieux comprendre les offres bancaires existantes, favoriser une meilleure épargne et un meilleur investissement. Plus d’une cinquantaine d’intervenants issus du monde de la finance proposeront des astuces et des conseils pour y parvenir à travers différentes sessions plénières, master class, animations thématiques, conseils d’experts, etc.