Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Les groupes panafricains Oragroup présent dans 12 pays de l’Afrique de l’Ouest et Centrale et Axian présent dans 6 pays de l’océan indien et du continent africain, s’associent pour accélérer l’inclusion financière en Afrique.

Les deux entités entendent tirer parti de la révolution numérique pour offrir des services financiers novateurs (monnaies électroniques, services financiers sur mobiles, nano-épargne en ligne…) aux populations les plus modestes du continent. Grâce à ce rapprochement, les succursales et filiales d’Oragroup se joindront à différents opérateurs de téléphonie mobile, dans l’objectif d’offrir aux usagers ciblés des services financiers numériques de qualité.

Au Togo, une phase pilote a déjà été lancée : Orabank Togo et l’opérateur Togocom lanceront prochainement le service MBanking. À travers ce dernier, les utilisateurs pourront réaliser des opérations dites de bank to wallet et wallet to bank, en liant leurs comptes bancaires à ceux qu’ils créent auprès de leurs opérateurs.

Des services de gestion de compte comme la consultation de soldes ou l’historique des transactions et à terme un produit de nano-épargne/crédit seront aussi proposés aux utilisateurs. Oragroup s’est imposé depuis des années comme un soutien de taille aux PME et PMI africaines.

Aujourd’hui, le groupe va plus loin dans son engagement, en se concentrant désormais sur des segments de population jusque-là délaissés. Cette annonce vient par ailleurs illustrer l’engagement d’Axian au service du développement du continent. L’entreprise est aujourd’hui le partenaire incontournable de la transformation socioéconomique des pays dans lesquels elle opère.

Oragroup et Axian entendent développer ces services dans tous les pays où le groupe bancaire est déjà implanté, mais aussi dans ceux où il n’est pas encore présent et où des opportunités se présenteraient.

Ferdinand Ngon Kemoum, Directeur Général d’Oragroup, déclare : « Oragroup se réjouit de s’associer à Axian pour accompagner la révolution numérique en Afrique. Après l’application KEAZ et sa plateforme omnicanal, qui donne la possibilité aux clients d’exécuter leurs transactions où qu’ils soient, Oragroup s’engage à nouveau en faveur de l’inclusion financière. Le groupe est fier de proposer des services de mobile banking qui permettront à un grand nombre d’africains de devenir citoyens du monde numérique ».

Matthieu Macé, CEO du Pôle Open Innovation &Fintech Axian, ajoute : « C’est avec détermination qu’Axian s’allie à Oragroup pour soutenir et renforcer l’inclusion financière en Afrique. Notre groupe s’est toujours donné pour objectif d’œuvrer pour un développement humain et économique plus inclusif et pérenne dans l’océan indien et en Afrique. La transformation digitale constitue un levier de développement majeur, et nous espérons que les services financiers qui naîtront de ce partenariat encourageront l’émancipation des tranches de population les plus modestes d’Afrique ».

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Un haut responsable de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a affirmé mardi que l’agence onusienne cherchait des moyens pour combler un énorme déficit de financement du budget de 28 milliards de dollars dédié à son programme de lutte contre le coronavirus dans les pays en développement.

Le financement du Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la Covid-19 (Accélérateur ACT) s’avérait être un « véritable défi », selon le Conseiller principal de l’OMS, Bruce Aylward, qui dirige ce programme.

« C’est un véritable défi dans l’environnement fiscal actuel, malgré le fait qu’il s’agit de la meilleure offre ou affaire en ville », a ajouté M. Aylward, relevant « cela sera rentabilisé en 36 heures une fois que nous reprendrons nos échanges et nos voyages ».

Répondant aux questions des journalistes à Genève, M. Aylward a noté que les États membres soutenaient totalement l’objectif de l’Accélérateur ACT. Cependant, le problème est la complexité des instruments de financement actuels, a-t-il dit.

« Par exemple, l’aide au développement pour la santé s’élève à environ 26 milliards de dollars, alors que 28 milliards sont nécessaires pour mettre en place les outils de l’Accélérateur ACT », a-t-il fait valoir, rappelant que « les gens mourraient d’autres maladies – comme le paludisme – si l’aide à la santé était détournée (ou orientée uniquement) vers la lutte contre la Covid-19 ».

Le Mécanisme de l’Accélérateur ACT est le programme mis en place en avril dernier par l’OMS, qui mène la lutte contre Covid-19. Il vise à fournir des vaccins, des tests et des traitements aux pays en développement et s’assurer ainsi que ceux-ci sont équitablement accessibles dans le monde.

Reposant sur trois piliers (diagnostic, traitement et vaccin), les trois objectifs de l’Accélérateur ACT sont de mettre à disposition 2 milliards de doses de vaccin d’ici la fin 2021, un demi-milliard de nouveaux diagnostics rapides pour les pays en développement et 250 millions de tests thérapeutiques. Sur les 28 milliards de dollars, 5 milliards de dollars à eux seuls sont nécessaires pour atteindre l’objectif de fournir deux milliards de doses de vaccin.

Cette mise au point du Dr Aylward intervient au lendemain de l’annonce de financement faite lundi par le Canada. Ottawa entend allouer une aide de 485 millions de dollars canadiens pour aider les pays en développement dans leur lutte contre la Covid-19.

mc

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mercredi, 16 décembre 2020 16:34

Guinée: Alpha Condé prête serment

Le président guinéen réélu Alpha Condé a prêté serment mardi devant la Cour constitutionnelle pour un troisième mandat à la tête du pays.

Le président réélu a prêté serment lors d’une cérémonie qui s’est déroulée en présence de plus d’une dizaine de chefs d’Etat africains et de représentants de la France, de la de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et des Nations unies.

Ont assisté à la cérémonie les présidents de Sierra Leone, Liberia, Ghana, Togo, Tchad, Mali, Burkina Faso, Mauritanie, Congo, Comores et Ethiopie.

Dans son discours d’investiture, Alpha Condé a appelé les Guinéens à “oublier le passé” et à se tourner vers un “avenir d’unité et d’espérance”, promettant de “gouverner autrement”.

“Je jure devant le peuple de Guinée et sur mon honneur, de respecter scrupuleusement les dispositions de la Constitution, les lois et les décisions de justice, de défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale”, a-t-il déclaré, ajoutant qu’en “cas de parjure, que je subisse les rigueurs de la loi”.

Le président de la Cour constitutionnelle, Mohamed Lamine Bangoura, qui l’a proclamé vainqueur du scrutin du 18 octobre en écartant les recours de l’opposition, a précisé que Alpha Condé sera “installé dans ses fonctions” lundi 21 décembre.

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mercredi, 16 décembre 2020 16:28

Niger: L'UA condamne l’attaque de Boko Haram

L’Union africaine a condamné l’attaque perpétrée par Boko Haram ayant fait 27 morts au sud du Niger et l’enlèvement de plusieurs élèves dans le nord du Nigéria.

Dans une déclaration publiée mardi, le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, s’est indigné de l’attaque barbare perpétrée par la secte Boko Haram dans la région de Diffa au sud du Niger ayant fait plus de 27 morts et de nombreux blessés.

Le président de la Commission condamne par la même occasion l’attaque d’une école d’enseignement secondaire dans l’Etat de Katsina dans le nord du Nigéria et l’enlèvement de plusieurs élèves.

Face à la recrudescence des activités terroristes au tour du Lac Tchad, le président de la Commission appelle à intensifier la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes et à une plus grande solidarité avec les Etats de la région, lit-on dans cette déclaration.

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Après plusieurs reports, la tant attendue législation de l’Union européenne sur le numérique a été finalement dévoilée mardi par la Commission européenne avec l’ambition de réguler l’activité des géants du web dont l’hégémonie ne cesse de se renforcer dans un monde ultra-connecté.

Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’UE n’y est pas allée avec le dos de la cuillère en imposant de nouvelles obligations contraignantes aux grandes plateformes en ligne (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft …) souvent accusées d’abus de position dominante sur les marchés numériques.

Présentant cette nouvelle législation, la vice-présidente exécutive de la Commission européenne, Margrethe Vestager, a été on ne peut plus claire, en précisant que le but de l’UE est de “faire en sorte que nous ayons accès, en tant qu’utilisateurs, à un large choix de produits et services en ligne, en toute sécurité et que les entreprises actives en Europe puissent se livrer à la concurrence en ligne de manière libre et loyale tout comme elles le font hors ligne”.

Dans ce sens, le projet législatif présenté par l’exécutif européen se décline en deux textes relatifs aux services et aux marchés numériques.

Le règlement sur les services numériques (“Digital Services Act”) est le premier texte dans le cadre de ce paquet législatif. Ce Digital Services Act, qui vient remplacer une législation obsolète, la directive “e-commerce” de l’UE qui date de 2000, concerne toutes les entreprises du web qui touchent au moins 10 % de la population européenne chaque mois, soit 45 millions de personnes.

Il entend appliquer des obligations contraignantes à l’échelle de l’UE à tous les services numériques qui mettent en relation les consommateurs avec des fournisseurs de biens, de services ou de contenus. Le texte prévoit, de même, des dispositions obligeant les très grandes plateformes en ligne à prévenir l’utilisation abusive de leurs systèmes en adoptant des mesures fondées sur les risques, notamment en se soumettant à un contrôle effectué au moyen d’audits indépendants de leurs mesures de gestion des risques

Si elle reconnait que les plateformes en ligne ont été à l’origine d’avantages considérables pour les consommateurs et l’innovation et ouvert de nouvelles perspectives pour les entreprises, la Commission européenne pointe, toutefois, le fait qu’elles peuvent servir de vecteur pour la diffusion de contenus illicites ou la vente en ligne de biens ou de services illégaux.

Dans ce cadre, l’UE veut mettre en place de nouvelles procédures visant à supprimer plus rapidement les contenus illicites et à protéger pleinement les droits fondamentaux des utilisateurs en ligne.

“Ce qui est interdit dans le monde réel l’est aussi dans le monde virtuel”, insiste Thierry Breton, le commissaire européen pour le marché intérieur, évoquant notamment les contenus terroristes et haineux, la criminalité ou encore la vente de contrefaçons ou de produits ne respectant pas les normes européennes.

Pour ce qui est du règlement sur les marchés numériques (“Digital Markets Act”), il vise notamment à mettre fin à certaines pratiques déloyales de plateformes qui agissent en tant que “contrôleurs d’accès” sur les marchés numériques.

Ce texte, qui s’appliquera essentiellement aux moteurs de recherche, aux réseaux sociaux et aux services d’intermédiation en ligne, interdira également certaines pratiques, comme le fait d’empêcher les utilisateurs de désinstaller des logiciels ou applications préinstallés. Il imposera aussi aux contrôleurs d’accès de mettre en place de manière proactive certaines mesures, telles que des mesures ciblées permettant aux logiciels de fournisseurs tiers de fonctionner et d’interagir correctement avec leurs propres services.

Le Digital Markets Act établira notamment des règles harmonisées définissant et interdisant les pratiques déloyales de la part des contrôleurs d’accès et en prévoyant un mécanisme de contrôle du respect des règles fondé sur des enquêtes de marché.

L’exécutif européen a précisé que les entreprises concernées par ces règles seront celles ayant un chiffre d’affaires de plus de 6,5 milliards d’euros au cours des trois derniers exercices ou bien une valorisation boursière supérieure à 65 milliards.

Faisant le choix de la fermeté, l’UE brandit même la menace de sanctions en cas de non respect du règlement sur les marchés numériques. Il s’agit notamment d’amendes pouvant atteindre 10 % du chiffre d’affaires mondial de la plateforme numérique.

En cas de récidive, ces sanctions pourront comprendre l’obligation de prendre des mesures structurelles, pouvant aller jusqu’à la cession de certaines activités si aucune mesure de même efficacité n’est disponible pour garantir la mise en conformité.

Cette refonte majeure des règles sur le numérique devra désormais faire l’objet de négociations entre le Parlement européen et les Etats membres avant son adoption finale et son entrée en vigueur.

Présentée par la Commission européenne comme un plan “ambitieux” en vue de remettre de l’ordre dans le marché du numérique et protéger les consommateurs et leurs droits fondamentaux en ligne, elle constitue un enjeu de taille pour l’UE d’autant que la pandémie de Covid-19 a donné un coup d’accélérateur sans précédent à la numérisation des sociétés.

hn

 
 

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Le PSG a indiqué dans un point médical que l’examen passé par Neymar concernant sa cheville gauche s’était avéré « rassurant ».
Touché à la cheville gauche et évacué sur civière dimanche contre Lyon (0-1), après un tacle mal maîtrisé de Thiago Mendes, Neymar a passé lundi un examen qui s’est avéré « rassurant », a annoncé lundi le PSG.
« Le bilan clinique et radiologique de Neymar Jr, dans les suites du mécanisme d’entorse de la cheville gauche survenue hier soir, est rassurant. Un nouveau point et des nouveaux examens seront effectués dans 48 heures », détaille le club dans un point médical.

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Les Etats-Unis ont officiellement retiré le Soudan de leur liste des pays qui soutiennent le terrorisme, a annoncé lundi le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo.

“Aujourd’hui, la désignation du Soudan en tant qu’Etat parrain du terrorisme est officiellement annulée. Cela représente un changement fondamental dans nos relations bilatérales vers une plus grande collaboration et un soutien à la transition démocratique historique du Soudan”, a déclaré, dans un communiqué, M. Pompeo.

“Cette réalisation a été rendue possible grâce aux efforts du gouvernement de transition dirigé par des civils du Soudan pour tracer une nouvelle voie audacieuse loin de l’héritage du régime de Bashir et, en particulier, pour répondre aux critères statutaires et politiques d’annulation”, a-t-il ajouté.

Le président Trump a annoncé pour la première fois l’intention de son administration de retirer le Soudan de la liste des États sponsors du terrorisme après que le pays ait accepté de payer 335 millions de dollars aux victimes américaines du terrorisme et à leurs familles.

L’administration Trump et le nouveau gouvernement soudanais, arrivé au pouvoir en 2019, négociaient un accord depuis près d’un an.

“Cette réalisation s’accompagne de nombreuses opportunités pour le développement du Soudan”, a réagi lundi le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok dans un tweet.

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La victoire du candidat démocrate Joe Biden à la présidentielle américaine du 03 novembre a été confirmée lundi au terme du vote des grands électeurs.

Grâce aux 55 voix des grands électeurs de Californie qui ont été comptabilisés lundi après-midi, Biden a franchi le seuil des 270 grands électeurs pour être définitivement assuré de remporter la victoire finale au collège électoral.

Les grands électeurs représentants des Etats pivots dont les résultats ont été contestés par la campagne Trump ont voté sans surprise pour le candidat démocrate, à l’instar du Michigan et du Wisconsin. Au total, Biden devrait remporter 306 votes contre 232 pour le président sortant Donald Trump.

Le Congrès devra désormais se réunir le 6 janvier pour certifier Biden en tant que vainqueur du Collège électoral.

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Lors d’un point presse tenu à Abidjan, mercredi 09 décembre 2020, Cynthia Aissy, directrice régionale, de la société digitale spécialisée dans la livraison des courriers et colis en Afrique, ‘‘Keyopstech’’, a fait le bilan de son activité de l’année 2020.

Créée en février 2018 en Côte d’Ivoire, la startup a réussi à s’installer dans cinq pays africains, permettant leur interconnexion et de faciliter le flux de transport de colis et de plis à travers une solution digitalisée, grâce à une application mobile offrant aux clients la traçabilité de leurs expéditions, a expliqué la directrice. 

KeyOpsTech est une solution brevetée qui renforce son ancrage local et régional. Elle devient donc un nouveau partenaire dans le transport.

Malgré la pandémie de la Covid-19, KeyOpsTech poursuit son déploiement et dresse un bilan positif de son activité. Au total, un demi-million de colis digitalisés dans l’ensemble de son réseau dont 50% pour le Mali seul. 40 millions de Km de voie couvert en Côte d’Ivoire avec l’ouverture d’une centaine de gares.

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Pour cette année, elle a pu renforcer son équipe en place à travers de nouveaux recrutements et de créer également une vingtaine de nouveaux partenariats.

Malgré la crise sanitaire, KeyOpsTech a pu accroitre son activité au Mali, et passer de 500 à 20.000 colis livrés par mois. Aujourd’hui, 11 villes maliennes sont connectées entre elles. Et des partenariats signés dont la poste du Mali.

Selon Madame Aissy, l’objectif à terme d’ici 2025 pour cette entreprise, gérer les flux import et export de colis express. Pour ce faire, elle ambitionne être dans une quinzaine de pays et de digitaliser 15 millions de colis.

Déjà fortement implantée en Afrique de l’Ouest notamment la Côte d’Ivoire, le Mali, le Burkina-Faso, le Sénégal Le Ghana. Elle compte ouvrir très prochainement ses activités au Benin et au Togo. L’entreprise entend se déployer à court terme  en Afrique centrale (Cameroun, Gabon, Tchad, Centrafrique…)

A noter que KeyOpsTech est la première entreprise sur le continent noir qui digitalise le transport de colis et de plis en garantissant une traçabilité totale et une livraison sécurisée.

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Le mercredi 09 décembre 2020, les journalistes ont pris part à un atelier Co organisé par l’Organisation des Journalistes Professionnels de Côte d’Ivoire (OJPCI) et le Comité Internationale de la Croix Rouge (CICR) à son siège sis à Cocody les 2 plateaux.

Lors de cet atelier, les journalistes ont été instruit sur le mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, les principes fondamentaux, ces activités et sa mission.

Selon Anderson Steven, responsable de la communication de la délégation régionale du CICR, le mouvement se compose du CICR, des sociétés nationales de la Croix-Rouge et du croissant-rouge et de la fédération internationales des sociétés de la croix rouge-rouge et du croissant –rouge.

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Parlant   des principes fondamentaux, Steve revient sur l’impartialité, la neutralité, l’humanisme, le volontariat, l’universalité et l’indépendance qui caractérisent cette institution.

Concernant les missions, le CICR s’appuie sur le droit international humanitaire pour protéger la vie et la dignité humaine des victimes de guerres ou de situations de violence interne et leur apporter une assistance.

Toutefois, le CICR rencontre des difficultés dans l’exercice de ces fonctions dues à l’utilisation abusive de son emblème par des centres hospitaliers. Cette situation à conduit les responsables du CICR à mener des plaidoyers auprès des parlementaires ivoiriens à voter une loi interdisant l’utilisation des emblèmes par des institutions de la santé.

« Quand aux sociétés nationales comme celle de la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire, elle est autonome dans  et  est partenaire du CICR », a affirmé Dr Da Léonce, Président national.

Il a  indiqué que la croix -rouge Côte d’Ivoire est présente depuis 1963 et compte à ce jour  86 branches locales sur l’étendue  du territoire, 68 comités locaux, 18 brigades de sécurité, 90 secteurs scolaires et universitaires et plus 5013 volontaires.

Rappelons que la formation continue des journalistes est une préoccupation majeure de l’OJPCI

Ibrahima Khalil de Siékèkou

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