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Les enfants de l’Orphelinat garçons de Bingerville passeront très certainement de joyeuses fêtes de fin de l'année 2020. Grâce à la Fondation Gandour qui vient d'offrir des cadeaux à tous les enfants de cet orphelinat lors d’un arbre de Noel organisé ce jeudi 17 décembre 2020 dans l’enceinte de l’établissement, en présence des enfants de l’école, le personnel de l’encadrement, dans une ambiance des grandes fêtes.
Après les mots de bienvenue du directeur dudit orphelinat, Marcel Légré, M. Hassan Aboukhdoud, au nom de la Présidente de la Fondation Gandour, Mme Gandour Imane, a pris la parole pour d’abord « féliciter le personnel enseignant et de l’encadrement pour l’excellent travail qu’ils abattent à l’Orphelinat de Bingerville. Merci surtout pour la joie qu’ils apportent à ces enfants qui ont besoin de notre affection. C’est pourquoi dira-t-il,
« La Fondation Gandour est là ce matin, pour apporter sa pierre à l’édifice en offrant les cadeaux de Noel à nos enfants de l’orphelinat. Gandour est très sensible à ce qui se fait ici et apportera son soutien autant que possible. Bonne fête de Noel à tous ».
Un acte de haute portée sociale qui va combler de joie les enfants qui en avaient vraiment besoin au regard de l'accueil réservé à la délégation de cette fondation.
S'adressant à la donatrice, TanohElvans, président du parlement des enfants de l’Orphelinat a dit : « Merci pour cette joie que vous procurez à moi, et à tous mes camarades. Vous nous avez surpris ce matin avec ces cadeaux. Nous allons bien fêter cette année ».
Le directeur dudit orphelinat, Marcel Légré, a également adressé ses remerciements à la Fondation Gandour qui n’est pas à son premier passage dans son établissement.
« Nous sommes une fois de plus très heureux de recevoir la visite de ce donateur Gandour les mains encore bien chargées de cadeaux pour nos enfants. Et ce n’est pas la première visite. Au moment où la Covid-19 terrorisait le monde, elle est venue assister tout le ministère de la Femme, de la famille et de l’enfant … » a-t-il informé avant d’ajouter
« Voilà que ce matin, ils viennent encore donner de la joie aux enfants, à l’orée de la fête de Noel, ils viennent rappeler à ces enfants qu’ils sont comme tous les enfants qu’on a en famille. Nous prions Dieu pour que les affaires de Gandour prospèrent, on invite à travers Gandour, toutes les autres bonnes volontés à suivre le pas, pour donner le sourire aux enfants défavorisés »
Notons enfin que la Fondation créée il y a seulement 1 an fait déjà parler d'elle. En plus d'une école primaire fonctionnelle qu'elle a créée, elle est en action pour venir en aide aux enfants défavorisés un peu partout. Pour la cérémonie de ce jour, 12 élèves de sa toute première Ecole Montessori génération IntertionalSchool and preschool ont remis également des dons à leurs amis de l'orphelinat. Une façon de les soutenir et les encourager.
Sercom
Le Conseil de sécurité de l’ONU a prolongé vendredi d’un an sa mission de Casques bleus en République démocratique du Congo (Monusco), en amorçant un désengagement de ce pays prudent et étalé sur plusieurs années.
Une résolution rédigée par la France a été adoptée par 14 membres du Conseil de sécurité sur 15, la Russie s’abstenant. Elle prévoit “d’étendre jusqu’au 20 décembre 2021 le mandat de la Monusco en RDC”, avec des effectifs maximum autorisés d’environ 16.300 militaires et policiers.
Le texte demande au secrétariat de l’ONU “d’envisager de réduire encore le niveau de déploiement militaire et la zone d’opérations de la Monusco en fonction de l’évolution positive de la situation sur le terrain, notamment dans les régions où la menace posée par les groupes armés n’est plus significative”.
A cet égard, le Conseil de sécurité “approuve” le plan conjoint ONU-RDC présenté en octobre sur un “retrait progressif de la Monusco et les grands paramètres de la transition” visant à confier les responsabilités assurées par les Casques bleus aux forces congolaises, précise la résolution.
Il avalise en conséquence les “retraits prévus du Kasaï (centre) en 2021 et progressivement du Tanganyika (sud-est) en 2022, ainsi que la consolidation progressive de l’empreinte de la Monusco dans les trois provinces où le conflit actif persiste”, indique le texte.
Ces trois provinces sont le Nord et Sud Kivu (est du pays) et l’Ituri (nord-est).
Le Conseil de sécurité demande par ailleurs au secrétaire général de l’ONU de présenter au plus tard en septembre 2021 un “plan de transition (…) définissant les modalités pratiques” d’un transfert de responsabilités, avec des “repères réalistes” et “des délais indicatifs” pour un “retrait progressif et échelonné de la Monusco”.
Dans sa résolution, le Conseil de sécurité ne définit aucune échéance pour l’achèvement d’un retrait, se bornant à rappeler qu’une période de transition ne peut s’effectuer en moins de trois ans.
La Mission de l’ONU est présente en RDC depuis 20 ans et son budget annuel est d’environ un milliard de dollars. Selon les Nations unies, le pays compte 25,6 millions de Congolais ayant toujours besoin d’une assistance humanitaire.
fm
La découverte d’une nouvelle variante “hors de contrôle” du coronavirus au Royaume-Uni a poussé dimanche plusieurs pays européens dont l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Irlande, à suspendre leurs liaisons avec ce pays, faisant grandir l’inquiétude à l’approche des fêtes de fin d’année qui seront soumises à de sévères restrictions.
Les experts de l’Union européenne sont toutefois arrivés à la conclusion que les vaccins actuels contre le Covid-19 restaient efficaces face à la nouvelle variante, a annoncé dimanche soir le gouvernement allemand.
“D’après tout ce que nous savons à l’heure qu’il est et à la suite d’entretiens qui ont eu lieu entre les experts des autorités européennes”, la nouvelle souche “n’a pas d’impact sur les vaccins” qui restent “tout aussi efficaces”, a déclaré à la télévision le ministre de la Santé Jens Spahn, dont le pays assure la présidence tounante de l’UE.
La décision de l’Allemagne d’interrompre ses liaisons avec le Royaume-Uni, qui ne concerne pour l’heure que les vols et qui pourrait être adoptée par l’ensemble de l’UE, doit être officialisée dans les prochaines heures”, a déclaré une source gouvernementale, précisant que les Etats européens discutaient en parallèle d’une réponse commune concernant les liaisons maritimes, ferroviaires et routières.
La France suspend pour sa part à partir de dimanche minuit tous les déplacements de personnes en provenance du Royaume-Uni pour 48 heures. “Seul le fret non accompagné sera donc autorisé. Les flux de personnes ou de transports en direction du Royaume-Uni ne sont pas concernés”, a précisé le gouvernement.
Les Pays-Bas, l’Autriche, la Roumanie, la Bulgarie et la Belgique (également pour les liaisons ferroviaires) ont annoncé une mesure similaire à celle prise par Berlin, de même que le Koweït, le seul pays du Golfe dans ce cas jusqu’à présent. Pour l’Irlande, la suspension durera “au moins” 48 heures à compter de dimanche minuit.
La nouvelle souche est “hors de contrôle”, a reconnu dimanche le ministre britannique de la Santé, Matt Hancock, justifiant ainsi un reconfinement de Londres et d’une partie de l’Angleterre. “Ce sera très difficile de la garder sous contrôle jusqu’à ce qu’un vaccin soit largement diffusé”.
Le président français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel ont échangé dimanche pour évoquer cette nouvelle variante du coronavirus.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’agence européenne des maladies ont appelé dimanche leurs membres en Europe à renforcer leurs contrôles pour combattre la propagation de la nouvelle variante du coronavirus, notamment en améliorant leurs capacités de détection de la souche.
L’agence européenne de contrôle des maladies (ECDC), qui inclut une trentaine de pays dont les membres de l’UE et le Royaume-Uni, n’a quant à elle “pas exclu” que la variante circule en dehors du territoire britannique.
Une poignée de cas ont du reste été signalés au Danemark (neuf), ainsi qu’un cas aux Pays-Bas et en Australie, a souligné l’OMS.
Outre “des signes préliminaires selon lesquels la variante pourrait être plus contagieuse”, la nouvelle souche britannique “pourrait aussi affecter l’efficacité de certaines méthodes de diagnostic”, a poursuivi l’Organisation mondiale de la Santé.
Il n’y a en revanche pour le moment “aucune preuve d’un changement de la gravité de la maladie”.
Une telle perturbation des trafics aérien et ferroviaire, si elle perdurait, pourrait aggraver les problèmes de transport dans le contexte du Brexit, le marché unique de l’UE garantissant la libre circulation à l’intérieur de ses frontières.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson, dont le pays est un des plus endeuillés en Europe avec plus de 67.000 morts, avait déclaré samedi que le virus qui circule à Londres et dans le sud-est de l’Angleterre était jusqu’à 70 pour cent plus contagieux que la précédente souche.
Afin de juguler cette version mutante, plus de 16 millions de Londoniens et d’habitants du sud-est de l’Angleterre se sont réveillés dimanche sous un nouveau confinement, contraints de faire une croix sur Noël.
Oxford Street, l’artère la plus commerçante du centre de Londres, était désertée. “Si c’est nécessaire, qu’il en soit ainsi”, confiait, résignée, Liz Field, une retraitée de 73 ans. “On peut fêter (Noël) en janvier, février”.
L’Italie qui, avec le Royaume-Uni, est le pays d’Europe le plus durement frappé par la pandémie avec plus de 68.000 morts, va être classée “rouge” et se reconfiner pour les fêtes à partir de lundi.
La Suisse est quant à elle devenue samedi le premier pays d’Europe continentale à autoriser un vaccin contre le Covid-19, le Pfizer/BioNTech.
Une décision prise après le feu vert donné au même vaccin par plus de 15 autres pays, dont les Etats-Unis, le Canada, l’Arabie Saoudite, le Bahrein, le Royaume-Uni, la Jordanie, Singapour et le Mexique.
Dans l’UE, la campagne de vaccination devrait commencer les 27, 28 et 29 décembre, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
L’Agence européenne des médicaments se penchera lundi sur le sort du vaccin Pfizer-BioNTech qui devrait être autorisé dans les deux jours par la Commission. L’examen du vaccin Moderna a été avancé d’une semaine, au 6 janvier.
Aux Etats-Unis, quelque 7,9 millions de doses de vaccins supplémentaires vont être livrées à partir de lundi.
Ce pays, dont le président élu Joe Biden sera vacciné lundi, est confronté à un rebond spectaculaire de l’épidémie, avec plus de 316.202 morts et plus de 17,65 millions de cas confirmés de Covid-19.
La pandémie a fait au moins 1,68 million de morts dans le monde, selon un bilan établi dimanche. Derrière les Etats-Unis, le Brésil est le pays le plus endeuillé avec 186.356 morts pour 7,21 millions de cas. L’Inde a dépassé samedi les 10 millions de cas et compte 145.477 morts.
fm
Le ministre de la Promotion de la riziulture, Gaoussou Touré, et le représentant de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) en Côte d’Ivoire, Samy Gaiji, ont signé, le mercredi 16 décembre 2020 à Abidjan, un accord, en vue d'accroître la production nationale de riz.
L’accord, évalué à 696 millions de FCFA, s’inscrit dans le cadre du projet "Renforcement de capacités et partage d’expériences pour le développement des chaînes de valeur du riz par le biais de la Coopération sud-sud et triangulaire (CSST)". La mise en œuvre démarrera au premier trimestre 2021 pour une durée de trente-six mois.
Selon Gaoussou Touré, la Côte d’Ivoire, 6e producteur de riz d’Afrique subsaharienne, après la Guinée, Madagascar, le Mali, le Nigéria et la Tanzanie, prévoit de porter sa production actuelle de 1,2 million de tonnes de riz blanchi à 2 millions de tonnes, d’ici à 2025.
Pour sa part, Samy Gaiji a indiqué que ce projet a pour objectif d’améliorer la capacité locale de production du riz dans trois pays, notamment la Côte d’Ivoire, la Tanzanie et les Philippines. Il permettra aussi de développer des chaînes de valeur de riz compétitives et inclusives.
Cet accord qui vient soutenir la Stratégie nationale de développement de la riziculture (SNDR), ambitionne, non seulement d’améliorer la production de riz, mais aussi de renforcer les capacités des instituts de recherche sur le riz en Côte d’Ivoire.
Primature
Les jeunes libéraux de Côte d'Ivoire ont réservé un accueil chaleureux à la présidente de l’international libéral, Madame Hakima El Haite, le dimanche 13 décembre 2020 à l'amphithéâtre A de l'Université Félix Houphouet-Boigny d'Abidjan- Cocody.
Madame Hakima a fait savoir que sa présence en terre ivoirienne s'inscrit dans le cadre de l'investiture du président de la République, Alassane Ouattara.
« Je suis aujourd'hui accueillie chaleureusement par tous les jeunes démocrates et libéraux de la Côte d'Ivoire. J'ai eu chaud au cœur de voir ces énergies dans ces jeunes venus de tous les coins du pays. Un accueil jamais vu pratiquement un an à cause de la COVID-19 et du confinement ». a-t-elle souligné.
Elle en a profité pour lancer un message fort à l’endroit de la jeunesse ivoirienne. A savoir leur engagement ferme en politique s'ils veulent impacter leur environnement.
Le président de l'organisation des jeunes libéraux de Côte d'Ivoire (OJLCI), Drissa Ouattara s’êst dit heureux de recevoir la première responsable de la famille de l’international libéral.
« C'est vraiment un honneur pour nous. C'est un passage historique pour nous qu'elle vienne ici en Côte d'Ivoire pour cette rencontre bilatérale entre elle et la jeunesse ivoirienne. Pour nous, la liberté n'a pas de prix donc nous devons nous battre pour un monde plus libre et plus juste », a-t-il fait savoir. Et de d’appeler les jeunes ivoiriens a plus de responsabilités.
Il a également souhaité le développement de la coopération entre la jeunesse Libérale de Côte d'Ivoire et l'International Libéral.
Cette rencontre d'échange a vu la participation de plusieurs cadres et élus de la nation.
bk
Le Conseil d'administration a autorisé, le 11 décembre 2020 à Abidjan, la Banque africaine de développement à emprunter un montant maximum de 10,4 milliards de dollars américains sur les marchés de capitaux au titre de son programme d'emprunt 2021.
Cette décision permet à la Banque de mobiliser, l’an prochain, des fonds sur les marchés de capitaux internationaux afin de contribuer au financement de ses projets et de son programme sur le continent africain.
La Banque africaine de développement est active sur plusieurs marchés internationaux en dollar américain, dollar australien, euro et livre sterling. La Banque continuera de promouvoir le développement des marchés de capitaux africains avec l'émission de dette libellée en monnaie locale pour faciliter le financement de ses opérations dans ces mêmes devises, parallèlement à d'autres initiatives.
La Banque est très active dans le domaine des investissements socialement responsables et continue d'être un émetteur régulier d'obligations vertes et sociales. Cette année, la Banque africaine de développement a émis une obligation sociale appelée « Combattre le Covid-19 » de trois milliards de dollars américains sur trois ans. Cela lui a valu d’être désignée meilleur émetteur d’obligations liées au Covid-19 lors des Global Capital Bond Awards 2020.
La Banque africaine de développement a également continué d'utiliser ses priorités opérationnelles, les « High 5 » pour l’émission de 19 obligations thématiques, dont celles en rapport avec les priorités consistant à « améliorer la qualité de vie des populations en Afrique » et à « éclairer l’Afrique ».
La Banque africaine de développement bénéficie d’une note d’endettement à long terme « AAA » (perspective stable) des principales agences de notation internationales, et est également notée par des agences de notation « ESG » (environnemental, social et gouvernance).
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Le mardi 15 décembre 2020, marque la 4e édition de la solidarité manifestée par la Fondation African Women Initiative (AWI), à l’endroit du Centre de Santé Urbain de Gbanandougou, situé dans le plus vaste et plus peuplé quartier de la cité de l’arbre céleste. Cette année, tout comme les éditions précédentes, les personnels ainsi que les pensionnaires dudit centre, ont reçu d’importants dons.
Le centre de santé a reçu des produits de nettoyage (savons, javel), des gants, draps de lit et bien d’autres. Ils ont été réceptionnés par mademoiselle Oulla Jocelyne, sage-femme au nom du médecin chef, Diabaté Dopré. Les quinze (15) agents de santé présents à leur poste ce jour, garderont pour longtemps encore en souvenir, le passage madame Mariama Diarra Bakayoko, Secrétaire générale de la Fondation, représentant la présidente fondatrice Mariam Fadiga Fofana. Car ils sont partis chez eux les bras chargés kits alimentaires.
Dans le même élan, dix (10) nouvelles mamans ayant accouché à la maternité, en guise d’encouragement ont reçu, des kits pour bébé. En leur nom, Bamba Aminata, a salué cette action sociale et a souhaité qu'elle se pérennise. Oulla Jocelyne du centre de santé urbain de Gbanadougou, ne dira pas le contraire.
« Nous ne pouvons que dire Merci à la Fondation AWI car elle apporte son soutien, régulièrement, aux plus démunis », dira-t-elle.
Madame Bakayoko Mariama, a indiqué que cet appui constant au CSU de Gbanandougou, commencé en 2017, est plus qu’impératif pour la structure qu’elle représente.
«Ce centre de santé situé dans un quartier populaire, est fortement fréquenté. Et les besoins étant énormes, la Fondation AWI apporte constamment sa contribution pour soulager un tant soit peu les travailleurs et encourager les populations surtout les femmes à le fréquenter», a-t-elle conclu.
Karamoko Yahaya, Correspondant Régional
Le projet « Desert to Power » (D2P), lancé en septembre 2019 à Ouagadougou par le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a obtenu un large soutien des partenaires lors de la 4ème Rencontre sur le marché de l’énergie en Afrique, qui s’est tenue du 8 au 10 décembre derniers.
La rencontre, dont l’objectif était de faire un point d’étape sur les progrès réalisés dans l’une des initiatives phares de la Banque, était organisée en mode virtuel sur le thème « Débloquer le potentiel solaire des pays du G5Sahel ».
Elle a permis aux pays du G5 Sahel -Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad- de présenter leurs feuilles de route respectives pour le déploiement du D2P et d’entrer en relation avec un éventail de partenaires sur leur mise en œuvre, les réformes nécessaires et les priorités.
« L’approche adoptée sur le programme « Desert to Power » est alignée sur la vision des pays du G5 Sahel. Elle est louable car ces pays présentent les mêmes défis et les mêmes difficultés énergétiques », a déclaré le ministre malien de l’Énergie, Lamine Seydou Traoré.
Son homologue mauritanien, Abdessalem Ould Mohamed Saleh, et d’autres hauts représentants gouvernementaux des pays du G5 Sahel étaient présents à cette rencontre ainsi que des représentants de plusieurs organisations :
Dans son exposé liminaire, Kevin Kariuki, le vice-président de la Banque africaine de développement chargé de l’Électricité, de l’Énergie, du Climat et de la Croissance verte, a déclaré que le manque d’énergie était « un dénominateur commun des nombreux problèmes de développement dans la région du Sahel. L’initiative catalytique et transformatrice du D2P permettra de mettre à profit les ressources solaires abondantes du Sahel pour alimenter la région en se fondant sur le solide mandat politique venant des chefs d’État des pays du G5 Sahel. » Kevin Kariuki a également fait état des progrès réalisés au cours de la dernière année dans la réalisation de la vision du D2P, y compris la mise sur pied d’une équipe de travail spécialisée, la mobilisation de ressources afin de préparer des projets, et l’approbation de plusieurs projets.
Les participants, dont ceux du secteur privé, ont échangé sur des sujets majeurs comme l’intégration régionale des marchés de l’énergie, le rôle que les technologies innovantes, comme le stockage, peuvent jouer dans l’exploitation du potentiel solaire de la région, les défis et les possibilités qui s’offrent aux producteurs indépendants d’électricité, et la façon d’appréhender le lien énergie‑agriculture et énergie‑santé, en particulier dans le contexte de la pandémie de Covid‑19.
Lors de tables‑rondes consacrées aux préoccupations particulières de chaque État, les représentants des gouvernements des pays du G5 Sahel ont présenté leurs principales priorités, leurs projets et feuilles de route stratégiques aux partenaires techniques et financiers. Ces sessions ont fourni de fortes indications sur le niveau d’adhésion des partenaires aux projets présentés par les pays du G5 Sahel.
Selon Daniel Schroth, directeur par intérim de la Banque chargé des énergies renouvelables, « la 4ème Rencontre sur le marché de l’énergie est une plateforme efficace qui a favorisé la formation d’une large coalition autour de l’initiative Desert to Power ».
D’autres partenaires principaux de l’initiative ont fait écho à ces propos, parmi lesquels Mark Carrato, coordonnateur de Power Africa, et Maria Shaw-Barragan, directrice de Global Partners de la Banque européenne d’investissement. Maria Shaw-Barragan a notamment remercié « la Banque africaine de développement, en particulier pour le choix du sujet, afin que les populations des pays du G5Sahel puissent bénéficier de l’énergie disponible, à un coût abordable, fiable et propre. »
L’initiative « Desert to Power » est un partenariat ambitieux et innovant, qui couvre onze pays de la région du Sahel, et vise à produire dix gigawatts d’électricité solaire d’ici à 2030 à travers la réalisation de projets sur les réseaux et hors réseaux afin d’alimenter 250 millions de personnes. Le D2P devrait faire du Sahel, la plus grande région de production d’électricité solaire dans le monde.
bk
L’ambiance, était à la fête à l’école Maternelle du groupe scolaire El Hadj Nadiani Mory Fadiga 1 et 2de Touba. Concours de danse, de beauté (Miss, Bagnon), sketch. Le tout, couronné par la distribution de cadeaux aux tout-petits écoliers.
C’était le mardi 15 décembre 2020, à la faveur du désormais traditionnel, « arbre de Noël », dédié pour la 4è année, aux pensionnaires de ladite école Maternelle. Une initiative de la Fondation African Women Initiatives (AWI), qui depuis 2017, donne du sourire aux enfants surtout ceux issus des milieux défavorisés. Pour l’édition 2020, ils sont au total 130 enfants, comblés par la maison « AWI KIDS ».
Avant la distribution des présents, Bakayoko Mariama Diarra, Secrétaire générale de, AWI au nom de Mariam Fadiga Fofana, donatrice et numéro 1 de la Fondation, a tenu à exprimer sa joie renouvelée, de partager chaque année à la veille de la célébration de la fête de Noël, ce grand moment d’intense bonheur avec les tout-petits de Nadiani Mory Fadiga de Touba.
Elle a particulièrement salué, la qualité de l’encadrement fait par les enseignantes au regard des prestations scéniques de très belles factures offertes aux visiteurs.
Poursuivant, elle ajoute : « Nous offrons depuis 2017, des cadeaux de Noël aux enfants de l'école Maternelle du groupe scolaire Nadiani Mory Fadiga. Cela fait cette année, quatre ans que Mariam Fadiga Fofana donne le sourire aux enfants à cette période. Car pour Madame la Présidente, les enfants de familles modestes ont également droit au sourire ».
« C'est tellement amusant et éducatif pour nos enfants que nous sommes reconnaissants à la Fondation AWI et sa présidente Mariam FADIGA », a dit dans un excès de joie, la directrice de l'école Maternelle, Vanié Lou Nan Nina.
Quand Dosso Salimata, parent d'élève de son côté, renchérit en ces termes : « Nous saluons ces actions sociales de madame FOFANA Mariam Fadiga qui donnent à nos enfants, la joie de vivre. Merci à la Fondation AWI ».
Pour rappel, la Fondation AWI apporte par le biais de la cantine scolaire du groupe scolaire Nadiani Mory Fadiga, depuis quatre ans, offre des milliers de repas chauds et équilibrés à l’ensemble des élèves de ce groupe scolaire.
Karamoko Yahaya, Correspondant Régional
NSIA Banque CI, établissement bancaire coté à la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières), poursuit l’intégration de la succursale ivoirienne de NSIA Banque Bénin, après l’autorisation du Conseil Régional de l’Épargne Publique et des Marchés Financiers (CREPMF) obtenue le 4 décembre 2020.
L’opération se fera sous la forme d’un apport partiel d’actif de la succursale ivoirienne de NSIA Banque Bénin (ex-Diamond Bank SA). Elle est soumise au régime juridique de la scission, conformément à l’article 195 de l’Acte Uniforme de l’OHADA relatif au droit des Sociétés Commerciales et du GIE (AUSCGIE), et conduira NSIA Banque Bénin à transmettre un actif net de 6 427 171 508 F CFA à NSIA Banque Côte d’Ivoire, sur la base des comptes au 31 décembre 2019.
1 564 572 actions de NSIA Banque CI, d’une valeur nominale de 1 000 F CFA chacune, seront créées et réparties entre les actionnaires de NSIA Banque Bénin, société apporteuse. L’émission d’actions nouvelles sera pilotée par NSIA Finance, société de gestion et d’intermédiation du Groupe NSIA.
« Cette opération annoncée au marché depuis 2019 a obtenu l’autorisation du CREPMF. La conséquence pour NSIA Banque CI est une augmentation du capital social. Les actions nouvelles qui seront créées seront admises à la cote de la BRVM. » a précisé Eliane ALANGBA, Directeur Général Adjoint de NSIA Finance.
L’opération avait préalablement reçu l’avis favorable de la Commission Bancaire en date du 27 mars 2020 ainsi que l’approbation du Ministère de l’Économie et des Finances du Bénin, le 29 mai 2020.
Les Conseils d’Administration de NSIA Banque Bénin et de NSIA Banque CI, réunis le 14 juin 2019, avaient arrêté le projet de traité d’apport partiel d’actif qui leur avait été soumis. Ce traité a fait l’objet d’une révision au cours de la session du 19 octobre 2020 du Conseil d’Administration de la Banque, sur la base des chiffres arrêtés au 31 décembre 2019. La date d’effet de l’opération a été fixée au 1er janvier 2020. L’Assemblée Générale Extraordinaire réunie en date du 09 novembre 2020 a approuvé les modalités de l’opération.
Léonce YACE, Directeur Général de NSIA Banque CI s’est réjoui de cette avancée notable dans le processus de reprise : « nous attendions depuis plusieurs mois la fin du processus d’intégration de la succursale ivoirienne de la filiale francophone du Groupe Diamond Bank acquise en 2017. Nous entamons la dernière étape de ce parcours. Cette reprise augure de nouveaux horizons et opportunités pour nos clients, Entreprises et Particuliers, qui pourront bénéficier à moyen terme des synergies du Groupe NSIA dans les pays d’implantation de notre marque. Nous remercions tous nos collaborateurs pour leur engagement dans la conduite de ce projet amorcé depuis 2017. Nous sommes heureux d’accueillir de nouveaux collaborateurs et une clientèle nouvelle dans la maison NSIA. »
Sur le plan commercial, les prochaines échéances consisteront à attribuer de nouveaux numéros de compte et moyens de paiement à la clientèle provenant de Diamond Bank CI avec une indication des agences bancaires de destination. De plus amples informations seront communiquées à la clientèle en temps opportun.
Une campagne de communication avec pour signature « Avec NSIA Banque, voyons plus grand en 2021 » matérialisera les ambitions de la banque ivoirienne pour les prochaines années telles que contenues dans le Plan Stratégique 2020-2024.
L’aboutissement de cette opération de croissance externe démontre la volonté constante du Groupe NSIA de devenir un acteur bancaire majeur sur le continent africain.
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