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Aux côtés de plusieurs membres du gouvernement ivoiriens et de plusieurs corps diplomatiques accrédités en Côte d’Ivoire, les ambassadeurs Abdelmalek Kettani du Maroc et Sailas Thangal de l’Inde ont pris part à la commémoration du 90e anniversaire de la république sœur de la Turquie le vendredi 29 octobre 2021 à Abidjan.
Une occasion pour les deux diplomates de réaffirmer les liens d’amitié entre leurs pays respectifs qui s’est davantage renforcée au fil des années. Laquelle amitié de coopération qui lie l’Inde et la Turquie depuis l'indépendance de l'Inde en 1947.
Face aux invités de marques, Madame Ecem Çiçek Arıkan Göney, Première Secretaire de l'Ambassade de Turquie en Côte d'Ivoire a traduit le message du Président de la République Turc, SEM Recep Tayyip Erdogan à la communauté turque en Côte d'Ivoire.
Quant à Son Excellence Madame Yonca Gunduz Ozceri, Ambassadeur de la Turquie en Côte d'Ivoire, elle a prononcé ce jour, un discours axé plutôt sur les coopérations bilaterales entre son pays et la Côte d'Ivoire.
À l’occasion de cette fête nationale, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, depuis le Maroc a adressé un message de félicitations au président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan. Dans ce message, le Souverain exprime, en Son nom et en celui du peuple marocain, Ses chaleureuses félicitations et Ses vœux de santé et de bonheur au président Erdogan et de davantage de progrès et de prospérité au peuple turc frère.
Par ailleurs, Il a réitérer Sa ferme détermination à continuer à œuvrer de concert avec le président turc pour consolider les relations distinguées d’amitié et de coopération unissant les deux pays et de hisser leur coopération bilatérale afin qu’elle englobe différents domaines, au service des intérêts communs des deux peuples frères.
Il est bon de savoir que la Turquie a été proclamée République le 29 octobre 1923 après plus de 4 ans de guerre d’indépendance.
Mohamed Compaoré
La Première Dame, Dominique Ouattara, également présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail (CNS) et le président des activités mondiales cacao et chocolat de Cargill, Harold Poelma, ont mutualisé mardi 02 novembre 2021, leurs actions pour lutter contre le travail des enfants dans la cacaoculture, à son Cabinet à Abidjan Cocody, selon une note d’information transmise à l’AIP.
« L’objectif de cette visite est de travailler ensemble dans le cadre de la lutte contre le travail des enfants. Car cela est très important pour nous. Nous voulons apporter notre soutien aux communautés pour aider les enfants. Nous voulons aussi apporter notre soutien aux planteurs de cacao », a expliqué le président des activités mondiales cacao et chocolat de Cargill, Harold Poelma, lors d’une visite d’échange avec Mme Ouattara.
Harold a aussi profité de l’occasion pour féliciter la Première dame, pour ses actions en faveur de la lutte contre le travail des enfants dans la cacaoculture.
Pour lui, les industriels du cacao et du chocolat sont les premiers bénéficiaires de ce combat pour le respect des droits des enfants. La délégation a également profité du cadre de cette rencontre pour présenter les actions de lutte menées par Cargill pour éradiquer le phénomène de travail des enfants dans la cacaoculture.
La Première Dame a, pour sa part, félicité Cargill pour ses actions de remédiation du phénomène qui lui ont permis de construire une cinquantaine d’écoles dans les zones de production de cacao.
En effet, selon la délégation de Cargill, ces actions portent au total sur une population de 135.000 producteurs de cacao regroupés au sein de 140 coopératives.
La rencontre a enregistré également la participation du directeur général Europe de Cargill, Niels Boetje, et du directeur régional Cargill-Afrique, Lionel Soulard.
Créé en 2012, le CNS a été conçu pour permettre à tous les acteurs engagés dans la lutte contre la traite et les pires formes de travail des enfants, de faire connaître leurs actions, conformément à l’esprit de coordination qui fonde la lutte.
(AIP)
Le Conseil d'administration de la Banque africaine de développement a approuvé, mercredi 27 octobre 2021 à Abidjan, un prêt de plus de 114 millions d’euros en faveur du Maroc pour financer le Programme d’appui au développement inclusif et durable des zones agricoles et rurales (PADIDZAR).
Ce nouveau projet d’adaptation climatique, qui constitue le premier financement axé sur les résultats dans le secteur agricole en Afrique du Nord, contribuera à renforcer la résilience de l’agriculture marocaine face aux effets du changement climatique afin d’améliorer les conditions de vie des populations rurales.
Le programme déploiera une approche de développement plus durable et plus inclusive et favorisera l’émergence d’une classe moyenne, notamment par la création d’emplois en milieu rural et l’appui aux jeunes et femmes entrepreneurs agricoles.
Afin de renforcer la résilience climatique de l’agriculture marocaine, en particulier pour les petits producteurs, le programme soutiendra une utilisation plus efficiente des ressources en eau avec une meilleure valorisation de l’eau d’irrigation et introduira de nouvelles techniques de conversion du sol. Il permettra également de renforcer les capacités des acteurs, notamment les associations des usagers des eaux agricoles et les coopératives agricoles.
« Une agriculture plus durable, plus résiliente et plus inclusive, c’est notre priorité avec cette opération, qui soutient la nouvelle vision stratégique du secteur agricole « Génération Green 2020-2030 », a affirmé Mohamed El Azizi, directeur général de la Banque africaine de développement pour l’Afrique du Nord. Notre appui consolide les précédentes réalisations qui, sur plus d’une décennie, ont permis de passer d’une logique de production à une logique de transformation avec une plus grande valeur ajoutée, au bénéfice des populations rurales. »
Le programme appuiera ainsi le développement de systèmes de production plus efficients, plus résilients et plus durables. Il œuvrera à l’amélioration des chaînes de valeur toujours plus inclusives, plus performantes et plus pérennes. Il soutiendra également le renforcement des capacités institutionnelles pour faciliter la mise en œuvre des réformes et l’exécution des investissements.
« Premier financement axé sur les résultats dans le secteur agricole en Afrique du Nord, il porte en lui l’exigence, encore plus forte, d’inclusion, de performance et de durabilité, a souligné Achraf Hassan Tarsim, le responsable-pays de la Banque pour le Maroc. L’amélioration de l’efficience et de la résilience climatique des périmètres irrigués, la promotion des femmes, l’appui aux jeunes entrepreneurs et la formation des producteurs ouvriront, entre autres, le champ des possibles dans ce secteur, en particulier pour les petites et moyennes exploitations. Nous aiderons ainsi à créer de nouveaux emplois pour améliorer durablement les conditions de vie des populations rurales. »
Le programme est aligné sur les cinq priorités stratégiques de la Banque, les « High 5 » en particulier la réalisation des objectifs « nourrir l’Afrique » et « améliorer la qualité de vie des populations africaines ». Il soutient également la nouvelle stratégie agricole du Royaume du Maroc, intitulée « Génération Green 2020-2030 », et le Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027.
L’engagement de la Banque africaine de développement au Maroc, depuis un demi-siècle, s’élève à plus de dix milliards d’euros. Les financements couvrent les secteurs de la santé, de l’énergie, de l’eau, des transports, du développement humain, de l’agriculture et du secteur financier.
ng
Le ministre français de l’Economie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire et son homologue ivoirien, Adama Coulibaly, ont signé le mercredi 27 octobre 2021, le troisième Contrat de désendettement et de développement (C2D) entre les deux pays, d’un montant de 751 milliards de Francs CFA.
Mécanismes de conversion de dette en programmes de développement, gérés dans un cadre partenarial, les C2D illustrent depuis 2012, la richesse de la coopération économique entre la France et la Côte d’Ivoire.
Selon une note d’information transmise vendredi 29 octobre 2021 à l’AIP, ce troisième Contrat, dont la mise en œuvre et le suivi seront effectués par l’Agence française de développement (AFD), mobilisera des ressources d’un montant de 1,144 milliard d’euros, soit 751 milliards FCFA. Il s’ajoute aux financements de 1,755 milliard d’euros déjà mobilisés lors des deux premiers C2D.
Ces ressources seront entièrement consacrées aux priorités du gouvernement ivoirien, dans le cadre du nouveau Plan national de développement (PND) 2021-2025.
Par ce dispositif, d’importants programmes sociaux seront financés avec une attention particulière à la jeunesse, au travers des programmes pour l’éducation, la formation et l’emploi, mais aussi le secteur de la santé.
Des projets en matière de développement urbain et d’agriculture démontrent également l’engagement commun à protéger l’environnement et à répondre aux défis de la transition écologique, tout en renforçant le développement équilibré du territoire.
Enfin, l’appui à la gouvernance des institutions publiques, notamment financière, constituera une autre priorité d’utilisation par les autorités ivoiriennes, de la part du Contrat allouée à de l’aide budgétaire.
La signature de ce troisième Contrat de désendettement et de développement réaffirme ainsi le soutien des autorités françaises aux priorités de développement du gouvernement ivoirien. Elle s’inscrit aussi plus largement dans l’engagement constant de la France à mobiliser, tant au niveau bilatéral que multilatéral, les financements nécessaires aux besoins des pays en développement, en particulier en Afrique.
fm
Le Congrès National Africain (ANC), au pouvoir en Afrique du Sud, est arrivé en tête des élections locales qui ont connu un faible taux de participation, selon les résultats partiels annoncés mardi 2 novembre 2021 par la Commission électorale indépendante (CEI).
Selon ces résultats, l’ANC a obtenu un total de 1,7 million de voix, soit 46% des bulletins comptées jusqu’à présent, remportant ainsi 361 sièges, indique la CEI sur son site internet, précisant que seulement 8 millions d’électeurs se sont rendus aux urnes sur les 26,2 millions d’électeurs inscrits.
Alors que le dépouillement des bulletins est toujours en cours, le parti de Nelson Mandela semble ne pas être en mesure de dépasser les 50% de voix, pour la première fois depuis l’instauration de la démocratie dans le pays en 1994.
Le principal parti d’opposition, l’Alliance démocratique (DA), arrive en deuxième position avec plus de 900.000 voix, soit 25 % des bulletins de vote, s’assurant ainsi 135 sièges.
Pour l’ANC ce scrutin servira de test pour mesurer sa popularité qui a été entachée suite à une succession de scandales de corruption. Les résultats obtenus devront ainsi montrer le poids réel du parti qui traverse une crise interne sans précédent.
Au fil des années, sa part globale des voix a rétréci de manière significative. Elle est passée de 61,95 % en 2011 à 53,91 % en 2016, au milieu du mécontentement croissant concernant l’état de l’économie du pays et de la corruption.
Ce rendez-vous électoral, durant lequel plus de 26 millions d’électeurs devaient renouveler les mandats des maires et des 257 Conseils municipaux du pays, compte parmi les plus disputés de l’histoire du pays en raison du nombre record des candidats en lice.
La campagne électorale a été marqué par plusieurs assassinats politiques, faisant craindre des violences le jour du scrutin.
hn
Le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, a promis la victoire dans la guerre menée contre les rebelles du front de libération du peuple du Tigray (TPLF) dans le nord du pays.
«Nous les repousserons avec toute notre force», a affirmé M. Abiy Ahmed dans une déclaration télévisée lundi soir devant les membres du gouvernement fédéral.
«Les défis sont nombreux (…) mais je peux vous dire avec certitude (…) que nous remporterons une victoire totale», a réitéré le Premier ministre éthiopien au moment où les combats font rage depuis dimanche entre les forces éthiopiennes et les rebelles du TPLF autour de la ville de Kombolcha et de Dessie relevant de l’Etat régional d’Amhara.
Le gouvernement éthiopien a accusé lundi les rebelles du TPLF d’avoir exécuté plus de 100 jeunes dans la ville de Kombolcha.
«Les membres du TPLF qui se sont infiltrés la nuit dernière ont tué plus de 100 jeunes dans la ville de Kombolcha», a précisé le service de la communications du gouvernement.
Dimanche, le Premier ministre éthiopien a exhorté les Ethiopiens à utiliser «n’importe quelle arme (…) pour bloquer le TPLF destructeur, le renverser et l’enterrer».
«Mourir pour l’Ethiopie est un devoir (pour) nous tous», a ajouté le Premier ministre sur sa page Facebook.
De son côté, le gouvernement régional d’Amhara a appelé la population à se mobiliser et défendre leur région.
Samedi, les forces éthiopiennes avaient repoussé une invasion de la localité stratégique de Dessie. «Dessie et ses environs sont toujours aux mains de nos forces de sécurité», avait confirmé le service de communication du gouvernement.
Cette tentative des rebelles d’attaquer la localité de Dessie intervient après plusieurs frappes aériennes de l’armée fédérale qui ont visé une usine d’ingénierie industrielle des rebelles, un centre d’entraînement de leurs forces spéciales, un site que le TPLF utilise pour fabriquer des équipements militaires et des uniformes pour ses combattants et un autre centre d’entraînement qui sert également de plaque tournante de combat.
L’Etat régional du Tigray est en proie à un conflit depuis novembre 2020, lorsque l’armée fédérale éthiopienne avait mené une offensive contre les dissidents du TPLF, après avoir attaqué le Commandement Nord de l’armée éthiopienne et pris en otage plusieurs officiers supérieurs.
En mai dernier, la Chambre des Représentants du peuple (Chambre basse du parlement éthiopien), avait approuvé à la majorité la désignation du TPLF comme “organisation terroriste”.
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Un mémorandum sur le changement climatique et le genre a été signé entre le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et le ministère de l’Environnement et du Développement durable. C’était le lundi 25 octobre 2021.
Objectif, apporter une réponse au manque réel de mise en lien entre les thématiques de genre et de changements climatiques.
La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, s’est félicitée de cette enrichissante collaboration entre les deux ministères qui a donné lieu à la signature de ce mémorandum.
Pour le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean-Luc Assi : « ce mémorandum est un engagement fort des deux ministères avec l’appui technique et financier du système des Nations Unies, pour donner une probable réponse à la problématique genre et changements climatiques ». Non sans oublier de signifier que : « Ce mémorandum signé va impulser une dynamique nouvelle dans la conduite des actions et initiatives en matière de genre et changements climatiques en Côte d’Ivoire.
A travers cette cérémonie de signature, les deux ministères s’engagent à faire de la veille stratégique pour une prise en compte systématique des questions de genre et changements climatiques dans tous les projets et programmes desdits départements ministériels.
Pour mener à bien collaboration, plusieurs actions sont en perspective de réalisation, notamment, la mobilisation des ressources afin d’assurer la mise en œuvre et le suivi-évaluation de la stratégie nationale genre et changements climatiques et la mise en œuvre d’un plaidoyer conjoint pour une intégration systématique des questions de genre et de changements climatiques dans l’agenda du gouvernement.
mc
Yonca Özçeri, Ambassadeur de Turquie en Côte d’Ivoire, a saisi l’occasion de la célébration de la fête nationale de son pays, ce 29 octobre 2021, à sa résidence privée à Cocody-Danga et en présence des ministres Roger Felix Adom (Économie numérique, des Télécommunications et de l'Innovation), Nassénéba Touré (Ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant), Kandia Camara (Ministre des Affaires Etrangères), Alcide Djédjé (Ministre délégué auprès MAE) pour saluer « la bonne relation bilatérale qui existe entre les deux pays ».
A cette célébration était présents, différents corps diplomatiques accrédités en Côte d’Ivoire.
Elle s’est également félicitée de l’excellence des relations bilatérales entre son pays et la Côte d’Ivoire dont le point d’orgue a été la visite d’Alassane Ouattara en Turquie en mars 2015 et celle de Recep Erdogan en Côte d’Ivoire en février 2016 ; sans oublier les visites des officiels et hommes d’affaires turcs en Côte d’Ivoire et vice versa.
Quant aux échanges commerciaux, au dire de la diplomate, la Côte d’Ivoire est le 6e client de la Turquie en Afrique et le 1er en Afrique subsaharienne, créant ainsi de nombreux emplois pour les Ivoiriens. En outre, chaque année, ce sont une vingtaine de bourses qui sont offertes aux étudiants ivoiriens.
Un tirage au sort, sur initiative de la compagnie Turkish airlines, a permis à deux personnes de bénéficier de deux billets d’avion aller-retour Abidjan-Istambul, un en classe économique.
Rappelons que la Côte d’Ivoire et la Turquie ont établi leurs relations diplomatiques en 1964. la Turquie a été proclamée République le 29 octobre 1923 après plus de 4 ans de guerre d’indépendance. Cette République a permis aux Turcs de bâtir un Etat, une société moderne et prospère dont ses principes sont fondés sur l’égalité, la liberté et la laïcité. Elle est la 6e puissance en Europe et 17e puissance économique mondiale.
Mohamed Compaoré