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La Turquie a décidé de mettre fin à son veto à l’entrée de la Suède et de la Finlande dans l’Otan, a annoncé, mardi 28 juin 2022, le secrétaire général de l’Alliance atlantique Jens Stoltenberg.
“Je suis ravi d’annoncer que nous avons un accord qui ouvre la voie à l’entrée de la Finlande et de la Suède dans l’Otan” et qui répond aux “inquiétudes de la Turquie sur les exportations d’armes et sur la lutte contre le terrorisme”, a affirmé M. Stoltenberg.
Suite à ce pas, les pays de l’Otan vont pouvoir “inviter” officiellement mercredi 29 juin 2022 ces deux pays nordiques à rejoindre l’Alliance, a-t-il ajouté.
Cet accord est intervenu mardi après plusieurs heures de discussions à Madrid qui abrite mercredi 19 juin et jeudi 30 juin 2022 le Sommet de l’OTAN, entre le président turc Recep Tayyip Erdogan, son homologue finlandais et la Première ministre suédoise, avec M. Stoltenberg comme médiateur.
A l’issue de ces négociations, les trois dirigeants ont signé cet accord en présence du secrétaire général de l’Otan.
L’adhésion de la Suède va “renforcer la sécurité de la Suède et du peuple suédois dans cette période trouble”, s’est félicitée la Première ministre suédoise Magdalena Andersson.
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Plus de 3.400 cas de variole du singe confirmés en laboratoire ont été signalés par une cinquantaine de pays, a annoncé l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), relevant que le risque au niveau mondial restait toujours modéré.
« Depuis le 1er janvier et jusqu’au 22 juin 2022, 3413 cas confirmés en laboratoire et un décès ont été signalés à l’OMS dans 50 pays/territoires de cinq Régions de l’OMS », a indiqué l’agence sanitaire mondiale de l’ONU dans son dernier rapport de situation sur la maladie, publié mardi.
Depuis la publication du précédent bulletin d’information sur les flambées épidémiques du 17 juin, 1.310 nouveaux cas ont été signalés et huit nouveaux pays ont déclaré des cas.
La majorité des cas confirmés en laboratoire (2933/3413 ; 86%) ont été signalés par la Région européenne de l’OMS. Suivent la Région africaine (73/3413, 2%), la Région des Amériques (381/3413, 11%), la Région de la Méditerranée orientale (15/3413, <1%) et la Région du Pacifique occidental (11/3413, <1%). Un décès a été signalé au Nigéria au cours du deuxième trimestre de 2022.
L’OMS avait estimé samedi que la flambée mondiale de variole du singe était une menace sanitaire dont l’évolution était très inquiétante, sans atteindre pour le moment le stade d’une urgence sanitaire mondiale.
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, avait convoqué une réunion d’experts sur la question jeudi dernier pour savoir si l’OMS devait déclencher son plus haut niveau d’alerte face à l’épidémie, qui touche essentiellement l’Europe de l’Ouest.
D’une manière générale, « le risque global est évalué comme modéré au niveau mondial », même si « c’est la première fois que des cas et des clusters sont signalés simultanément dans cinq Régions de l’OMS », note l’agence onusienne.
Au niveau régional, le risque est considéré comme « élevé » dans la Région européenne en raison de son signalement d’une flambée géographiquement étendue impliquant plusieurs pays nouvellement touchés, ainsi que d’une présentation clinique quelque peu atypique des cas.
Dans les autres Régions de l’OMS, le risque est considéré comme modéré compte tenu des schémas épidémiologiques, du risque éventuel d’importation de cas et des capacités de détection des cas et de réponse à la flambée.
« Dans les pays nouvellement touchés, c’est la première fois que des cas ont été confirmés principalement, mais pas exclusivement, chez des hommes ayant eu des contacts sexuels récents avec un nouveau partenaire ou des partenaires multiples », a détaillé l’OMS.
mc
La société les Grands Moulins d’Abidjan, entreprise du groupe SEABOARD, multinationale américaine, approvisionne depuis 1963 les artisans boulangers et les foyers ivoiriens en farine produite localement.
Fleuron de l’industrie ivoirienne, l’entreprise se développe et investit continuellement pour l’amélioration de sa productivité et la qualité de ses produits. Entreprise citoyenne, résiliente et proactive, les GMA dans un contexte de délestages se sont équipés de groupes électrogènes d’un montant de 2 millions d’euros, couvrant la totalité de l’activité de l’entreprise.
Ce vendredi 17 juin 2022, afin de satisfaire la demande toujours plus croissante, les GMA, représentés par le Vice-Président Exécutif SEABOARD Jack BRESKY, en présence du Ministre du Commerce et de l’Industrie, Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, des Autorités Municipales, des différents Directeurs Généraux, de clients et partenaires, a procédé à l’inauguration de ses 6 nouveaux silos d’une capacité de stockage de plus de 28 000 T.
Ce projet, dont le montant total est estimé à 10 millions de dollars a été réalisé sur 2 ans et a généré de nombreux emplois. Pour Jack BRESKY, Vice-Président Exécutif SEABOARD : « Cet investissement est à l’image de notre engagement quotidien dans le secteur industriel ivoirien. Nous sommes fiers de l’aboutissement de ce projet qui contribuera à assurer l’autosuffisance de la Côte d’Ivoire en produits céréaliers. »
mc
Le Conseil d’administration du Fonds africain de développement a approuvé, vendredi 24 juin 2022 à Abidjan, un don de deux millions de dollars américains pour une assistance technique visant à accélérer les réformes du secteur de l’électricité au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Ce don du Fonds africain de développement – le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement est destiné à l'Autorité régionale de régulation de l'électricité de la CEDEAO. L'objectif ultime est de stimuler le commerce transfrontalier de l'électricité et d'améliorer l'accès à l'énergie dans les 15 pays de la région.
Le projet comporte cinq composantes : la première englobe les règlements et les indicateurs clés de performance du rapport phare de la Banque africaine de développement sur l'indice de réglementation de l'électricité pour l'Afrique que doit adopter l’Autorité de régulation régionale du secteur de l’électricité de la Communauté pour qu’ils soient appliqués dans les pays membres de façon uniforme. Dans le cadre de cette composante, le projet renforcera les capacités des pays membres pour la collecte et la communication de ces indicateurs sur une plateforme commune.
La deuxième composante consistera à mener une étude - en tenant compte des sexo-spécificités - afin d’actualiser l’analyse comparative des tarifs de l’électricité et de leurs facteurs sous-jacents tout au long de la chaîne de valeur du secteur de l'électricité au sein de la CEDEAO.
Le troisième volet consiste à développer un système centralisé de gestion de base de données, où seront collectées les données et toutes informations pertinentes sur l’énergie provenant des pays membres, avant qu’elles ne soient stockées et diffusées sur une plateforme numérique commune.
Une étude est prévue dans le cadre du quatrième volet, afin d’évaluer et d’identifier les goulots d'étranglement et les risques du projet dans les pays membres de la CEDEAO et recommandera une approche cohérente pour éliminer progressivement les obstacles pour l'investissement dans le secteur de l’énergie électrique à chaque étape, avant et après l’instauration du marché régional de l'électricité de la CEDEAO.
Enfin, la cinquième et dernière composante est axé sur la gestion du programme et le renforcement des capacités. Ces actions seront cofinancées avec l'Autorité régionale de régulation de l'électricité. Toutes les composantes du projet prendront en compte les données sexospécifiques.
« À terme, ce projet va faciliter le commerce régional de l’électricité et contribuer à améliorer l’accès à l’électricité », assure Solomon Sarpong, chef d’équipe du projet à la Banque africaine de développement. « Il va s’attaquer aux principales causes de la fragilité, comme les goulets d’étranglement au niveau des infrastructures, le chômage des jeunes, les défis environnementaux, les inégalités entre les sexes et le déséquilibre du développement régional ».
Créée le 28 mai 1975 avec le Traité de Lagos, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest est une organisation régionale qui promeut l’intégration économique dans tous les secteurs d’activité des pays membres. Elle compte quinze pays membres : Bénin, Burkina Faso, Cabo Verde, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone et Togo. Couvrant environ 6,1 millions de km2, la CEDEAO compte une population estimée à 360 millions d’habitants.
mc
Le renforcement de la coopération militaire a été au menu d’entretiens tenus entre le ministre malaisien de la Défense, Hishammuddin Hussein, et son homologue indien, Rajnath Singh.
Organisée lundi 27 juin 2022 par vidéoconférence, cette réunion a été l’occasion pour les deux pays d’aborder plusieurs sujets d’intérêt mutuel en matière de coopération militaire bilatérale et régionale.
Les deux ministres se sont attardés sur les mesures visant à améliorer les activités et la structure de coopération dans le cadre de la Réunion de coopération de défense Inde-Malaisie (MIDCOM) qui se tiendra en juillet, relève un communiqué du ministère indien de la Défense.
Une amélioration des capacités dans le cadre des activités d’assistance humanitaire et de secours en cas de catastrophe a également été constatée par les deux responsables, note le même document, ajoutant que Hishammuddin Hussein a mis un accent particulier sur la nécessité d’inclure les femmes dans les missions de maintien de la paix.
Le communiqué fait valoir que Rajnath Singh a invité les hauts responsables militaires malaisiens à venir en Inde pour constater de visu les potentialités dont dispose l’industrie militaire indienne et s’enquérir des moyens permettant de mettre ces potentialités au service des intérêts de la Malaisie.
En conclusion de la réunion, les deux ministres ont réitéré leur volonté d’approfondir les liens de défense déjà étroits entre la Malaisie et l’Inde, note la même source.
hn
Le président russe Vladimir Poutine est favorable à l’idée de participer au sommet du G20 en novembre à Bali, en Indonésie, après avoir reçu une invitation officielle, a annoncé lundi 27 juin 2022 le conseiller du Kremlin, Iouri Ouchakov.
“Nous avons reçu l’invitation officielle (…) et nous avons répondu positivement en disant que nous sommes intéressés par une participation”, a déclaré M. Ouchakov à la presse.
Il a toutefois précisé qu’il restait encore “beaucoup de temps” avant le sommet prévu pour les 15 et 16 novembre, suggérant ainsi que le format de la participation russe pourrait être modifié. “Mais, pour l’heure, l’invitation est (faite) pour une participation en personne”, a souligné M. Ouchakov.
En octobre dernier, Vladimir Poutine a pris part par visioconférence au sommet du G20 à Rome, en raison de la pandémie provoquée par le coronavirus.
Jakarta a également convié l’Ukraine en tant que pays invité au sommet du G20. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a répondu qu’il y participerait, au moins par visioconférence.
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L’Union européenne (UE) et l’Inde ont repris lundi 26 juin 2022 leurs pourparlers en vue de conclure un accord de libre échange d’ici fin 2023, après neuf années d’arrêt, rapportent des médias indiens.
L’UE est le deuxième partenaire commercial de l’Inde après les États-Unis, mais les pourparlers avec le bloc ont échoué en 2013 sur des questions telles que les réductions tarifaires et la protection des brevets.
Les discussions, qui ont repris à New Delhi, vont notamment tenter de parvenir à un accord de libre échange, et à des accords sur la protection des investissements et les indications géographiques des produits.
L’UE est l’un des tout premiers partenaires commerciaux de l’Inde et la valeur de leurs échanges s’élève à 120 milliards d’euros en 2021, avait indiqué en juin dernier le commissaire européenne au Commerce Valdis Dombrovskis, lors d’une conférence de presse annonçant la reprise des négociations.
Surnommée le “roi des taxes douanières” par l’ancien président américain Donald Trump, l’Inde est devenue plus ouverte à l’abaissement des barrières commerciales ces dernières années et négocie des pactes avec plusieurs autres pays.
L’Inde est également en négociations commerciales avec le Canada, Israël et la Grande-Bretagne. Le Premier ministre Boris Johnson a déclaré lors d’une visite en avril que la Grande-Bretagne et l’Inde espéraient conclure un accord d’ici octobre.
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