Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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La présidence mauritanienne a annoncé, lundi 26 septembre 2022 soir, un remaniement ministériel partiel du gouvernement du Premier ministre Mohamed Ould Bilal.

Quatre portefeuilles ont été touchés par ce remaniement, ayant consacré la sortie du ministre de l’Education nationale et de la réforme du système éducatif, Adama Bocar Soko.

En vertu du remaniement, Brahim Vall Ould Mohamed Lemine a été nommé ministre de l’Education nationale et de la Réforme du système éducatif, Zeinebou Mint Hmednah, ministre de la fonction publique et de l’Emploi, Mohamed Ould Abdallahi Ould Outhmane, ministre de l’élevage et Lam Moctar Houssein, Secrétaire générale du Gouvernement.

Il s’agit du deuxième remaniement opéré en moins d’un mois par le président Ould Ghazouani sur le second attelage gouvernemental d’Ould Bilal, après celui intervenu le 6 septembre et qui avait touché plusieurs portefeuilles.

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Le Courant démocrate a annoncé, lundi 26 septembre 2022, sa décision de boycotter les élections législatives, prévues le 17 décembre prochain en Tunisie, s’alignant ainsi sur la position d’autres formations politiques du pays.

Cette décision intervient dans le sillage de la promulgation d’un nouveau décret-loi électoral, en prévision des prochaines législatives, basé sur le vote individuel et le redécoupage des circonscriptions électorales.

Ce nouveau texte a provoqué une vive polémique parmi la classe politique, qui critique une législation marginalisant le rôle des partis politiques et au détriment de la liberté de candidature.

Plusieurs formations politiques avaient annoncé leur boycott des élections, à l’instar du Front de salut national, du Parti travailliste, du Parti républicain, du Courant démocratique, d’al-Qotb et d’Ettakol.

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Le Premier ministre chinois, Li Keqiang, a appelé au renforcement de la coopération économique entre son pays et le Japon, exprimant la disposition de Beijing à travailler avec Tokyo en vue de mettre en place un partenariat gagnant-gagnant.

La Chine et le Japon, qui marquent cette année le 50è anniversaire de la normalisation de leurs relations diplomatiques, sont appelés à maintenir un développement « sain et stable » de leurs relations bilatérales pour mieux servir leurs intérêts, a dit M. Li lors d’une rencontre de dialogue de haut niveau, tenue jeudi par liaison vidéo, avec des représentants de la communauté des affaires japonaise.

La Chine et le Japon ont des avantages économiques complémentaires, et leur coopération fait preuve d’une grande résilience et d’un grand potentiel, a-t-il noté, ajoutant que son pays augmentera les vols directs avec le Japon d’une manière ordonnée dans le but de faciliter davantage les échanges tout en veillant au respect des mesures de lutte contre la pandémie de Covid-19.

Par ailleurs, les représentants de la communauté d’affaires japonaise, cités par les médias chinois, ont mis en avant les avantages du partenariat entre la Chine et leur pays.

Ils se sont dits confiants quant aux perspectives de développement de la coopération entre les deux pays.

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La députée Aminata Touré, ancienne Première ministre du Sénégal, tête de liste lors des législatives de juillet dernier, a annoncé, dimanche 25 septembre 2022 à Dakar, qu’elle va saisir dès ce lundi le président de l’Assemblée nationale (parlement) pour lui notifier son désir de quitter le groupe parlementaire de la coalition présidentielle Benno Book Yakaar (Unis pour l’espoir), pour devenir députée non-inscrite lors de cette 14e législature.

“Comme le dit le règlement intérieur, je vais dès demain (lundi) adresser une lettre au Président de l’assemblée Nationale pour lui signifier ma décision de devenir députée non-inscrite”, a déclaré lors d’une conférence de presse Aminata Touré, qui était tête de liste de la coalition Benno Book Yakaar lors des élections législatives organisées le 31 juillet dernier au Sénégal.

“Je ne vais pas quitter l’Assemblée nationale. Je suis dans cet hémicycle pour défendre les intérêts des sénégalais. Je ne suis pas la députée de qui que ce soit. Je suis là pour le peuple”, a-t-elle dit lors d’une rencontre devant la presse sénégalaise et internationale.

“Je peux ne pas être d’accord avec mon groupe parlementaire, mais il faut que je prenne mon indépendance et je vais écrire au président de l’assemblée pour être un député non inscrit” , a ajouté Mme Aminata Touré qui prend ses distances désormais avec le camp du pouvoir.

Selon les analystes, l’ancienne Premier ministre n’a pas accepté la décision du Chef de l’Etat Macky Sall de choisir à sa place M. Amadou Mame Diop, comme candidat de la coalition de la majorité pour présider l’Assemblée nationale.

Avec un siège en moins, la coalition au pouvoir risque de perdre la majorité absolue dans l’hémicycle. Le groupe parlementaire BBY se retrouve avec 82 députés, le groupe parlementaire de l’opposition Yewwi Askan Wi, avec 56 députés, et le groupe Wallu Sénégal, avec 24 députés. Papa Djibril Fall et Thierno Alassane Sall sont déjà des députés non-inscrits. Ils seront désormais au nombre de trois si Aminaté Touré joint sa parole à l’acte lundi.

Répondant, par ailleurs, à la question de sa propre candidature à l’élection présidentielle de 2024, Mme Aminata Touré a répondu qu’elle y pense sérieusement. « J’irai au préalable à la rencontre des Sénégalaises et Sénégalais, pour prendre leur avis et leur soutien », a-t-elle dit.

A rappeler que Amadou Mame Diop, candidat de la coalition de la majorité Benno Bok Yakaar avait été élu, le 12 septembre, président de la nouvelle Assemblée nationale issue des élections législatives du 31 juillet.

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L'Ambassade de l'Inde en Côte d’Ivoire a organisé vendredi 23 septembre 2022  la Journée de la coopération technique et économique indienne (ITEC Day) 2022. L'événement a réuni des fonctionnaires ivoiriens, des anciens bénéficiaires du programme et des représentants des médias.

Dans son allocution, le Ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage, N’guessan Koffi a souligné l'importance du programme ITEC pour le renforcement des capacités des universitaires.

Car, selon lui est axée sur la gouvernance des structures publiques, le traitement des déchets électroniques et la technologie du recyclage et des systèmes énergétiques, les objectifs de développement durable. Et d’ajouter que : « désormais, les différentes opportunités seront saisies et mises à la disposition de nos populations, notamment les jeunes dans le but de renforcer leurs aptitudes professionnelles », a-t-il annoncé. 

L’Ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire, Sailas Thangal, a saisi cette occasion pour exprimer sa satisfaction quant à l’intérêt grandissant du gouvernement ivoirien pour les différents programmes ITEC offerts par les institutions indiennes. 

Le Diplomate a également précisé que : « cette Journée a pour objectif de permettre aux anciens étudiants qui ont bénéficié du programme ITEC, de présenter leurs expériences et d’amener ainsi d’autres jeunes à s’intéresser à ces différentes formations ».

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Il a par ailleurs, indiqué que dans le cadre de ce programme de formation, l’Inde offre à la Côte d’Ivoire, 100 bourses dans différents domaines, à savoir le développement rural, le management, l’entreprenariat et l’informatique pour l’année 2022-2023 entièrement financé par le gouvernement de l’Inde.

ITEC est un programme bilatéral d'assistance du gouvernement indien qui permet aux candidats internationaux des pays en développement de participer à des cours de formation, des stages ou des formations de renforcement de capacité professionnelle. C’est le programme phare de développement des compétences lancé par l’Inde en 1964. Il repose sur la conviction qu’une croissance et une prospérité communes peuvent être atteintes en partageant les connaissances et les ressources avec les pays partenaires.

Un court métrage sur l'ITEC a été projeté lors de l'événement, dans lequel il ressort que la coopération au développement de l'Inde est un élément clé sa la politique étrangère. Et une présentation des différentes formations et les informations sur le programme ITEC

Au cours de la cérémonie, les anciens élèves ITEC  ont partagé leurs expériences mémorables lors de la formation ITEC en Inde, soulignant qu'ils ont utilisé les connaissances et les compétences acquises au cours de la formation ITEC dans leurs domaines de travail respectifs.

Notons que ce programme permettra de mieux faire connaître l’Inde pour une coopération gagnante entre les pays partenaires.

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Orange Côte d’ivoire inaugure son Orange 5G Lab, dédié aux entreprises, aux start-ups et aux professionnels du numérique. Cette cérémonie s’est tenue ce mardi 20 septembre au Smart Store des Deux Plateaux (Cocody, Abidjan) en présence de Monsieur Amadou Coulibaly, Ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Porte-parole du gouvernement, Madame Christel Heydemann, Directrice Générale du groupe Orange ; de Monsieur Alioune Ndiaye Président d’Orange Afrique et Moyen-orient ; de Monsieur Jérôme Hénique, Directeur Général d’Orange Afrique et Moyen-Orient, et de Monsieur Mamadou Bamba, Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire.

Alors que le déploiement du réseau 5G est annoncé pour l’année 2023 sur l’ensemble du territoire ivoirien, Orange Côte d’Ivoire anticipe en mettant à disposition des entreprises ivoiriennes un nouvel espace collaboratif totalement équipé et dédié à sa mise en application concrète. L’Orange 5G Lab Abidjan est une offre de service et d’accompagnement pour les acteurs économiques qui a été conçue avec des partenaires experts tels que Huawei, Nokia, Ericsson ou encore ZTE. Le dispositif Orange 5G Lab, gratuit et construit sur mesure, s’articule autour de 2 axes :

  • Faire découvrir aux acteurs économiques les nouveaux usages permis par la 5G et la façon dont elle pourra impacter positivement leurs activités.
  • Accompagner, avec nos experts 5G, les entreprises innovantes qui souhaitent expérimenter le potentiel de la 5G pour leur produit ou service.

Ce site accueillera un espace de démonstrations de cas d’usages 5G de différents secteurs d’activité, des conférences, des formations, des séances de co-working, de co-innovation et des sessions de mises en application pratiques de la 5G.

« Nous sommes conscients que la 5G constitue une nouvelle opportunité pour les entreprises souhaitant diversifier, optimiser ou dynamiser leur activité. Pour les accompagner, il est primordial que cet espace offre des outils clé en main et permette d’évaluer de façon pratique les résultats de ces expérimentations. Cette initiative s’inscrit dans la continuité de notre engagement historique en faveur de l’inclusion numérique. Encourager l’innovation et participer à la création de valeur au sein de l’écosystème local, tels sont nos objectifs » affirme Mamadou Bamba, Directeur Général Orange Côte d’Ivoire.

Jérôme Hénique, Directeur Général d'Orange Afrique et Moyen-Orient (OMEA) explique : « A l’instar de l’Orange Digital Center inauguré il y a un an, l’Orange 5G Lab va permettre d’accélérer la pénétration de cette technologie auprès des entreprises en Côte d’Ivoire. Elles vont non seulement pouvoir bénéficier de l’expertise et des outils mis en place ici, à Abidjan, mais elles auront également accès aux retours d’expérience des plus de 1500 entreprises et collectivités qui ont eu accès à un Orange 5G Lab dans le monde – dont 127 ont d’ores et déjà pu mettre en œuvre une expérimentation autour de leurs propres cas pratiques ».

Pour Christel Heydemann, Directrice Générale du Groupe Orange: « En tant que leader du secteur des télécommunications et du numérique, l’innovation est clé pour notre entreprise. C’est pourquoi je me réjouis de l’inauguration de ce nouvel Orange 5G Lab, le quinzième du Groupe Orange et le deuxième en Afrique de l’Ouest ! Nous continuerons par ailleurs d’étendre ce dispositif dans les pays où Orange opère, car il confirme notre ancrage local ainsi que notre engagement en faveur de l’inclusion numérique partout où nous sommes présents. »

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Le Comité de pilotage du projet d’Implication des Médias numériques pour la Prévention Active des Conflits et des Tensions (IMPACT) a fait, mardi, à Conakry le point de la mise en œuvre de ce projet en Guinée et en Côte d’Ivoire.

Cette première réunion du Comité de pilotage (COPIL) s’est déroulée en présentiel au bureau d’Avocats Sans Frontières France à Conakry et par visioconférence avec la participation des différentes parties prenantes.

Elle a permis de partager les leçons apprises de l’approche innovante utilisée depuis le démarrage du projet en mars 2022 afin de permettre aux décideurs et autres acteurs clés d’avoir une vision critique des actions menées, de les évaluer et de contribuer à la levée d’éventuels blocages rencontrés.

Les autorités guinéennes, ivoiriennes ainsi que les partenaires techniques et financiers ont été informés de la mise en œuvre du projet à travers une présentation des activités principales faite par le coordonnateur du projet, Ahmed Sékou Touré. 

Ouvrant les travaux, Mme Nialé Kouyaté, Conseillère technique au ministère de la Communication et de l’information de la Guinée s’est félicitée de l’avènement de ce projet. Au nom de la ministre Aminata Kaba, elle a rassuré sur la disponibilité de la Guinée à accompagner la mise en œuvre de ce projet. 

Au titre des actions déjà menées figurent notamment le lancement officiel du projet en Guinée et en Côte d’Ivoire, la réalisation de l’identité visuelle du projet et la sélection d’un consultant pour la réalisation d’une étude qui constituera la porte d’entrée pour la mise en oeuvre des activités inscrites au projet. 

A l’issue des échanges, des recommandations ont été formulées pour améliorer l’atteinte des résultats et l’impact du projet auprès des bénéficiaires. 

La prochaine étape du projet est l'étude sur l’état des lieux et des normes applicables qui est en cours de réalisation en Guinée et en Côte d’Ivoire. 

Les résultats de cette étude seront présentés en octobre prochain au cours d’un atelier de restitution en Côte d’Ivoire. Une plateforme de lutte contre les fausses informations (fake news) est également en cours de conception. 

Le projet d'Implication des médias numériques pour une prévention active des conflits et des tensions (IMPACT) en Guinée et en Côte d’Ivoire, d’un montant de 1,1 million d'euros (environ 727 534 000 FCFA), est financé par la délégation de l’Union européenne auprès du Sénégal. 

Il s’exécutera sur deux ans dans plusieurs régions ivoiriennes et guinéennes à travers des sessions de formation, des campagnes de sensibilisation et des financements de projets innovants. 

Son objectif est de contribuer à consolider une paix durable en Afrique de l’Ouest et, plus spécifiquement, entend se concentrer sur le rôle positif que peut jouer la société civile, en particulier les médias numériques dans la prévention et la réduction des conflits et tensions. 

Il s’agira spécifiquement d'analyser le rôle des médias dans le cadre de la couverture des conflits et favoriser la création des synergies pour soutenir l’échange et l’expérience, de renforcer les capacités des médias en les dotant d’outils pour maximiser leur potentiel, et de mobiliser les médias et acteurs de la société civile contre les discours haineux et en faveur des processus de dialogue.

Le projet est mené par un consortium d'organisations mené par Avocats Sans Frontières France (ASF France), comprenant l’association française Danaïdes, la Ligue africaine des blogueurs et cyber-activistes pour la démocratie dénommée AfricTivistes, l’Association des blogueurs de Guinée (ABLOGUI) et le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI).
 

Source: Top News Africa

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Le monde entier célèbre ce 21 septembre 2022, la journée internationale de la paix. En Côte d’Ivoire, sous l’initiative du ministère de la réconciliation nationale et la cohésion sociale, la cérémonie officielle s’est déroulée à l’hôtel de ville du district d’Abidjan en présence du ministre de l’agriculture et du développent durable, Kouassi Kobenan Adjoumani, représentant le Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette cérémonie.

Le thème choisi cette année pour la commémoration de la journée de la paix « Mettre fin au racisme. Bâtir la paix ». À travers ce thème, le représentant du Premier ministre a invité les Ivoiriens à œuvrer au renforcement de la paix.

« En Côte d’Ivoire, ce thème appelle chacun de nous à œuvrer au renforcement de la paix. Chaque occasion pour consolider la paix doit mobiliser tous les acteurs socio-politiques, car la réconciliation est une victoire à consolider constamment que nous avons ensemble acquis par des sacrifices importants », a exhorté le ministre.

Le ministre de l’agriculture, représentant le Premier Ministre a, par ailleurs fait savoir que tous, nous avons un rôle important à jouer pour la paix et la cohésion sociale. Et appelle les dirigeants quels qu’ils soient à assumer leur part de responsabilité.

« Nous avons tous et toutes un rôle à jouer pour mettre un terme à la polarisation qui afflige bon nombre de sociétés contemporaines. Face à la montée du terrorisme, de l’antisémitisme, des actes antireligieux, du racisme et la xénophobie nous devons défendre notre humanité commune », a-t-il lancé.

Quant au ministre de la Réconciliation nationale et de la cohésion sociale, Kouadio Konan Bertin, a appelé les ivoiriens à promouvoir la paix sans relâche.

« Cette Journée de célébration est l’occasion pour moi de vous exhorter tous et toutes à promouvoir la paix sans relâche dans votre quotidien. La liberté, le bonheur, l’égalité, rien n’est accessible sans la paix », a-t-il conseillé.

Il a également fait comprendre que tout doit être fait pour éradiquer la division. La haine des cœurs doit être remplacée par le respect de l’autre même dans la différence.

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Depuis qu’il a été appelé aux côtés du Président de la République Alassane Ouattara, le ministre de la réconciliation et de la cohésion nationale ne ménage aucun effort pour instaurer la paix et la cohésion entre les filles et fils de la Côte d’Ivoire. Non sans oublier de saluer l’engagement du président qui œuvre à consolider  au quotidien la paix. L’ancien député de Port-Bouet a appelé tous à suivre cette voie.

« Depuis que Son Excellence, Alassane Ouattara, Président de la République m’a appelé à ses côtés, en me confiant la tâche du ministère de la Réconciliation et de la Cohésion nationale, je n’ai eu de cesse de parcourir le pays, d’aller à la rencontre des peuples de toutes conditions, des plus haut placés aux plus modestes. J’ai rencontré les forces vives de la nation, les organisations syndicales, religieuses et associatives  et les chefs traditionnels », a-t-il fait savoir.

Il a sollicité les ivoiriens à installer durablement la paix et la cohésion seule richesse de ceux qui n’en ont aucune.

« Ensemble, battons-nous pour que la Côte d’Ivoire soit chaque jour un peu plus que la veille un pays où l’empathie et le respect l’emportent sur la suspicion et la haine », a souhaité le patron de la réconciliation en Côte d’Ivoire.

Philippe Poinsot, coordonnateur résident du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, a pour sa part saluer les efforts de la Côte d’Ivoire pour la consolidation de la paix à travers le dialogue politique et intercommunautaire.

M. Poinsot a expliqué l’attachement des Nations Unies à tout ce qui touche à la paix.

Pour le diplomate onusien, faire avancer la cause de la paix est la mission première des Nations Unies. Mais la tâche de construire la paix appartient à chacun.

A noter que cette cérémonie a enregistré la participation des partis politiques, la société civile, des ambassadeurs et les partenaires aux développements.

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Le directeur de cabinet du ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat (MBPE), Adama Sall, a présidé, le mercredi 14 septembre 2022 à Grand-Bassam, l’ouverture officielle d’un séminaire de révision et d’appropriation du cadre de référence de gestion des risques et de contrôle interne du ministère de l’Économie et des Finances (MEF) et du MBPE, prévu du 12 au 16 septembre 2022.
 
Ledit séminaire est organisé à l’attention des Directions générales et Services rattachés du MEF et du MBPE impliqués dans la mise en œuvre de la réforme du contrôle interne au sein de leurs différents services.
 
« Le présent séminaire vise à actualiser le cadre de référence de gestion des risques et de contrôle interne du ministère de l’Économie et du ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat (MBPE) adopté en 2018 par les Directions générales des deux ministères », a expliqué Adama Sall.
 
Pour ce faire, il a exhorté les séminaristes à une pleine implication dans les travaux, afin de mieux s’approprier le cadre de référence rénové, ainsi que l’outil de diagnostic du COSO 2013 (Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission) de l’UEMOA, aux fins d’une auto-évaluation efficace des systèmes de contrôle interne des Directions générales.
 
L’inspecteur général des Finances, Lassana Sylla, de son côté, a dit que le présent séminaire s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Schéma directeur de la Réforme des Finances publiques (SDRFP) pour la période 2022–2024, adopté le 1er juin 2022, en vue d’améliorer la performance de la gestion des finances publiques.
 
Pour lui, ce séminaire vise à assurer l’efficacité des dispositifs de contrôle, d’audit et d’évaluation des finances publiques, pour qu’ils soient conformes aux normes internationales et surtout adaptés aux spécificités des missions économiques et financières nationales.
 
« Il s’agit d’opérationnaliser le contrôle et l’audit interne dans l’administration économique et financière à fin 2024 », a-t-il annoncé. 
 
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Diakalidia Konaté, ambassadeur de ID4 Africa pour la Côte d’Ivoire, Organisation non gouvernementale fondée en 2014 sous forme tripartite avec des représentants venant des gouvernements africains, des agences de développement et de l’Industrie, a plaidé pour que la Côte d’Ivoire adopte officiellement la date du 16 septembre comme « Journée de l’identité ».
 
Il a fait ce plaidoyer, le jeudi 16 septembre 2022 à Abidjan, à l’occasion de la célébration de Journée de l’identité, une initiative de ID4 Africa.
 
«ID4 Africa fait la promotion de l’accès à l’identité pour tous en Afrique, en expliquant et en accompagnant à mettre en œuvre une politique d’identité inclusive. Pour promouvoir cette mission, la date du 16 septembre a été choisie comme date pour célébrer l’identité. Au nom de toute l’équipe de ID4 Africa, nous faisons le plaidoyer auprès de nos hautes autorités afin que la Côte d’Ivoire adopte cette date du 16 septembre comme date officielle de ‘’Journée de l’identité’’ », a souhaité Diakalidia konaté.
 
Pour lui, le devoir de protection doit être précédé du devoir d’identification.
 
« La connaissance de l’identité est fondamentale. Nous voudrions que chacun contribue à son niveau à promouvoir l’identité pour tous pour que l’objectif ultime de l’identification pour tous en Côte d’Ivoire soit véritablement une réalité », a-t-il soutenu.
 
Il a expliqué que cette commémoration vise à informer et sensibiliser toutes les couches (élus, responsables de l’administration et populations elles-mêmes) sur la responsabilité de chacune et chacun d’œuvrer à faire identifier les populations. 
 
Quant à Koné Karidja Bamba, l'adjointe de Diakalidia konaté, elle a indiqué que ID4 Africa a pour mission d’accompagner les nations africaines dans leur parcours de développement d’écosystèmes identitaires robustes et responsables autour de l’identité numérique au service du développement, de l’action humanitaire, de la sécurité et de la facilitation. Mais également en tant que nécessité pratique pour permettre un accès inclusif aux services en Afrique.
 
Cette journée a été marquée par l’organisation d’un panel autour du thème : « Identité pour tous, inclusion, protection et autonomisation ».
 
Gouv.ci

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