Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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A l’occasion de son Grand Oral ce lundi 21 novembre 2022, le deuxième après celui du 8 novembre 2021, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a réaffirmé l’engagement du Gouvernement à préserver un climat de paix, de sécurité, de cohésion sociale afin de garantir la poursuite de la transformation socio-économique en cours dans le pays.

« La transformation socio-économique en cours ne peut exister sans un climat de paix, de sécurité, de cohésion sociale et de bonne gouvernance », a affirmé le Chef du Gouvernement, précisant que ce sont les 4ème et 5ème priorités au niveau de l’action gouvernementale.

Patrick Achi s’est félicité de la consolidation du climat politique, avec la 5ème vague du Dialogue Politique, approuvée par l’ensemble des partis politiques. Pour rappel, à l’issue de la 5ème phase du dialogue politique tenue en décembre 2021 et janvier 2022, les parties prenantes ont formulé plusieurs recommandations, dont l’engagement des acteurs politiques à se départir de la violence comme mode d’accession au pouvoir ; la mise en place d’un processus de réparation et d’indemnisation des victimes de la crise électorale de 2020. Il a également été question de la poursuite du renforcement de la culture démocratique et du civisme au sein de la société ivoirienne ; de la vulgarisation des modes alternatifs de règlement des conflits, en impliquant notamment les chefs coutumiers, les guides religieux et les organisations de la société civile ; du renforcement de la sécurisation du processus électoral.

Pour la préservation de ce climat de paix retrouvé, le Chef du Gouvernement a évoqué les actions en vue de poursuivre le renforcement des forces de sécurité et de défense, sans oublier l’accélération des projets de développement communautaire au Nord. Dans le cadre du programme spécial de lutte contre la fragilité dans les zones frontalières du nord, en réponse à la menace terroriste, ce sont, pour rappel, 5 664 personnes qui ont été sélectionnées pour intégrer des dispositifs d’insertion adaptés pour la première phase sur un objectif de 19 812 personnes à sélectionner d’ici à fin 2022.

Le Premier Ministre a indiqué que le gouvernement entend, pour 2023, poursuivre ses efforts aussi bien pour le renforcement de la sécurité des Ivoiriens que pour la préservation d’un climat de paix et de cohésion sociale.  

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Une mission espagnole conduite par l’ambassadeur de l’Espagne en Côte d’Ivoire, Rafael Soriano, a été reçue, le mardi 22 novembre 2022 par la ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation, Mariatou Koné.

Les échanges ont concerné la promotion de la langue espagnole et la redynamisation de la collaboration entre la Côte d’Ivoire et l’Espagne en matière d’éducation.

Cette collaboration porte sur la formation et la mobilité des enseignants, la reprise de l’immersion linguistique à travers des voyages de formation et des missions de partage d’expériences en Espagne.

La ministre Mariatou Koné s’est réjouie de la reprise de la mobilité interrompue depuis plusieurs années. Elle a souhaité sa généralisation afin de permettre à l’ensemble des 3 000 enseignants de la langue espagnole que compte la Côte d’Ivoire d’en bénéficier.

La Côte d’Ivoire qui occupe le premier rang des pays africains dans l’enseignement de la langue espagnole, compte 600 000 apprenants.

Il convient de rappeler que la langue espagnole est enseignée en Côte d’Ivoire depuis 1948.  

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Une cérémonie de remise de diplômes à 73 étudiants en Masters et 31 Ingénieurs de l'Université polytechnique de Man (UPM) comptant pour l'année 2021, a été organisée, le jeudi 17 novembre 2022 à l'auditorium de la Primature à Abidjan-Plateau. C'était en présence du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara.
 
Le ministre s'est félicité des performances de l'université de Man. "Je tire mon chapeau à l'université de Man et félicite vivement le président de cette université, le Pr Lacina Coulibaly, pour la qualité de son management, ainsi que tous ses collaborateurs. Ainsi, pour la cohorte des 73 Masters et celle des 31 Ingénieurs célébrées ce jour, les taux de réussite frôlent les 100% (...) et 91% des Ingénieurs et 64% des Masters sortis de l'université de Man en 2021 ont déjà trouvé un emploi", a fait remarquer Adama Diawara.
 
Pour le ministre, "le respect scrupuleux des critères d'accès, l'organisation des cours de mise à niveau pour les nouveaux étudiants, le suivi des étudiants grâce au tutorat et l'application de critères stricts de passage d'un cycle à l'autre, ont contribué à relever substantiellement les taux de réussite à l'université de Man".
 
Le président de l'université polytechnique de Man, a, pour sa part, souligné le grand intérêt du ministre de tutelle pour l'institution qu'il dirige.
 
Lacina Coulibaly a expliqué que "cette cérémonie de collation de grade est une excellente occasion pour célébrer les étudiants qui ont beaucoup travaillé pour obtenir leurs grades". 
"C’est aussi une occasion de redevabilité de l’équipe dirigeante. Et enfin, c’est une opportunité de présentation de nos produits, ressources humaines de grande compétence, aux entreprises (...) L'Université Polytechnique de Man constitue un excellent pôle de développement du District des Montagnes", a-t-il ajouté. 
 
Aujourd'hui, a-t-il poursuivi, grâce à la construction de l’UPM, ce sont plus de 200 emplois permanents de tous ordres (enseignants, personnels administratifs et techniques de l’UPM et du Centre régional des oeuvres universitaires de Man) qui ont été créés. Et ce sont environ 70 ingénieurs et 143 masters qui ont été formés et outillés pour apporter leur contribution au développement de la Côte d’Ivoire.
 
Les représentants des entreprises partenaires de l'université ont eux aussi relevé la qualité des ressources humaines formées à l'UPM et réaffirmé leur disponibilité à continuer le partenariat et même à le renforcer.
 
La cérémonie, la première du genre, a enregistré la présence des premiers responsables des universités publiques et privées de Côte d'Ivoire, du Secrétaire général du Conseil africain et malgache pour l'Enseignement supérieur (CAMES), des chefs d'entreprises et de nombreux parents venus soutenir leurs enfants.
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Le gouvernement allemand a annoncé, mardi 22 novembre 2022, son intention de retirer ses casques bleus déployés au Mali d’ici mai 2024, mettant fin à leur engagement au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation de ce pays, la Minusma.

“Le gouvernement allemand a décidé aujourd’hui de proposer au Bundestag de prolonger pour la dernière fois d’un an, en mai 2023, le mandat de l’intervention de la Bundeswehr au Mali, afin que cette intervention prenne fin de manière structurée, après dix ans”, a déclaré le porte-parole de l’Exécutif, Steffen Hebestreit, cité dans la presse locale.

Cette ultime prolongation “tient notamment compte des élections au Mali, prévues pour février 2024”, a-t-il ajouté.

La décision a été communiquée à l’issue d’une réunion entre la Chancellerie et les ministères de la Défense et des Affaires étrangères, à laquelle participait le chancelier Olaf Scholz.

Le mandat actuel du Bundestag pour le déploiement au Mali est valable jusqu’à fin mai 2023. Le Bundestag a voté pour la prolongation fin mai de cette année, mais pour la première fois a inclus une clause de retrait dans le mandat au cas où la sécurité des soldats de la Bundeswehr au Mali ne peut plus être garantie.

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L’Ouganda a annoncé, mardi 22 novembre 2022, le déploiement d’un millier de soldats dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) d’ici fin novembre.

Dans une déclaration à la presse, le porte-parole de l’armée ougandaise, Felix Kulayigye, a fait savoir que la préparation des troupes est en phase de finalisation avant leur introduction dans l’est de la RDC, dans le cadre d’une force régionale est-africaine.

Les sept pays de la Communauté des États d’Afrique de l’est (EAC) – Burundi, Kenya, Ouganda, RDC, Rwanda, Soudan du Sud, Tanzanie – ont décidé en juin de l’envoi d’une force régionale pour stabiliser l’est de la RDC, en proie aux violences.

Le Kenya assure le commandement de la mission de la Communauté des États d’Afrique de l’est, qui comprend également des soldats du Burundi et du Soudan du Sud.

Les soldats kényans et ougandais doivent se déployer aux côtés des militaires congolais dans le Nord-Kivu et en Ituri, l’armée sud-soudanaise dans le Haut-Uélé et les Burundais dans le Sud-Kivu.

Un contingent rwandais sera déployé le long de la frontière, après que Kinshasa s’est opposé à la participation de Kigali à toute opération sur son sol.

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Un atelier régional de restitution d’une étude sur l’état des lieux des normes applicables, des pratiques en cours et des risques sur la thématique « médias et prévention des conflits » s’est ouvert le mardi 22 novembre 2022 à Grand-Bassam, cité balnéaire au sud d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne.

Cet atelier organisé dans le cadre du projet « Implication des Médias Numériques pour une Prévention Active des Conflits et des Tensions » (IMPACT) mis en œuvre en Guinée et en Côte d’Ivoire réunit en présentiel 26 participants venus de la Guinée, du Sénégal, de la France et de la Côte d’Ivoire.

Le projet IMPACT est porté par un consortium de cinq organisations : Il s’agit de deux structures françaises, Avocats Sans Frontières France (ASF France) et Danaïdes ; la plateforme panafricaine AfricTivistes; et deux associations nationales à savoir l’Association des Blogueurs de Guinée (ABLOGUI) et le Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI).

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« La réflexion précède l’action. C’est pourquoi, avant les actions de terrain prévues dans ce projet, les parties prenantes ont initié une étude sur l’état des lieux des normes applicables, des pratiques en cours et des risques sur la thématique +Médias et prévention des conflits+ dans les deux pays ciblés par le projet », a expliqué dans une allocution d’ouverture le président du REPPRELCI, Lassina Sermé, par ailleurs porte-parole du consortium.

« C’est pour présenter les résultats de cette évaluation à l’effet de recueillir vos observations pertinentes au regard de vos expériences, que se tient le présent atelier », a-t-il ajouté, s’adressant aux participants à qui il a souhaité d’excellents travaux, féconds et fructueux pour la réussite du projet IMPACT.

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Dans un chapitre de remerciements, M. Sermé a salué les autorités des deux pays de mise en œuvre de ce projet, la Côte d’Ivoire et la Guinée pour avoir accepté de s’approprier cette initiative.

Il a également remercié le bailleur de ce projet qu’est l’Union européenne représentée en visioconférence à l’ouverture par M. Sébastien Cocard.

Le projet IMPACT d’une durée de 24 mois est financé par l’UE à hauteur d’un million d’’Euros (environ 700 millions de FCFA) à travers son instrument contribuant à la stabilité et à la paix (IcSP).

Démarré en mars 2022, ce projet a pour objectif de contribuer à consolider une paix durable en Afrique de l’Ouest et de renforcer le rôle positif de la société civile, dont les médias numériques, en matière de prévention des conflits, a rappelé Ahmed Sékou Touré, le coordonnateur du projet. 

Cet atelier régional de Grand-Bassam s’achève jeudi.

Sercom

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Les autorités de transition maliennes ont annoncé lundi 21 novembre 2022 soir l’interdiction des activités de toutes les organisations non gouvernementales financées ou soutenues par la France, y compris celles opérant dans le domaine humanitaire.

Le Premier ministre par intérim, le colonel Abdoulaye Maïga, a justifié cette décision, dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux, par l’annonce récente par la France qu’elle avait suspendu son aide publique au développement à destination du Mali.

Le ministère français des Affaires étrangères avait invoqué comme raison le recours au groupe paramilitaire russe Wagner de la part des autorités maliennes.

Le colonel Maïga dénonce dans son communiqué des “allégations fantaisistes” et un “subterfuge destiné à tromper et manipuler l’opinion publique nationale et internationale aux fins de déstabilisation et d’isolement du Mali”.

“En conséquence, le gouvernement de la transition décide d’interdire, avec effet immédiat, toutes les activités menées par les ONG opérant au Mali sur financement ou avec l’appui matériel ou technique de la France, y compris dans le domaine humanitaire”, souligne le communiqué.

ng

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La Cour suprême d’appel en Afrique du Sud a déclaré, lundi 21 novembre 2022, invalide la libération conditionnelle pour raisons médicales de l’ancien Président Jacob Zuma, suite à sa condamnation en 2021 pour outrage à la Justice.

M. Zuma avait écopé de 15 mois de prison par la Cour constitutionnelle après avoir refusé de comparaître devant la Commission judiciaire d’enquête sur la capture de l’État pendant ses deux mandats (2009-2018).

Mais deux mois après son incarcération, le directeur du Département des Services correctionnels, Arthur Fraser, a annoncé que l’ancien chef d’État a obtenu une libération conditionnelle pour raisons médicales.

Selon le nouveau jugement prononcé par le juge Tati Makgoka, l’ex-président n’a pas fini de purger sa peine et doit retourner en prison.

En décembre dernier, la Haute Cour de Pretoria a conclu que M. Fraser avait agi illégalement en accordant à Zuma une libération conditionnelle malgré l’avis contraire du Conseil consultatif.

L’emprisonnement de l’ancien président avait déclenché de violentes émeutes qui ont entraîné la mort de plus de 350 personnes et causé des pertes économiques évaluées à plusieurs milliards de dollars, notamment dans les provinces du KwaZulu-Natal et de Gauteng.

M. Zuma est également poursuivi pour seize chefs d’accusation de fraude, corruption et racket liés à l’achat, en 1999, de matériel militaire auprès de la société française Thales, alors qu’il était vice-président.

Il est accusé d’avoir empoché plus de quatre millions de rands (soit 235.000 euros au taux actuel), notamment de la société Thales qui était l’une des attributaires du juteux contrat d’une valeur globale d’environ 2,8 milliards d’euros.

Le géant français de la défense est également poursuivi pour corruption et blanchiment. M. Zuma, comme Thales, ont toujours nié ces accusations.

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Le président de Guinée équatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, au pouvoir depuis 1979, se place en tête de l’élection présidentielle avec une large avance sur ses adversaires, selon les résultats provisoires rendus publics lundi par le ministre de l’Intérieur.

Dans cette course à un sixième septennat, M. Obiang obtient pour l’heure 44.2% des suffrages exprimés dans près de la moitié des bureaux vote du pays, selon la même source.

Les opposants Andrés Esono Ondo de Convergence pour la Démocratie Sociale (CPDS), seul parti d’opposition qui ne soit pas interdit et Buenaventura Monsuy Asumu du Parti de la coalition sociale démocrate (PCSD) obtiennent respectivement 1.34% et 0.35% des voix.

Les résultats définitifs de cette élection à un tour seront officiellement annoncés le samedi 26 novembre.

Le parti au pouvoir détient 99 des 100 sièges dans l’Assemblée nationale sortante et les 55 du Sénat, qui doit également être renouvelé lors de ce scrutin regroupant aussi les municipales.

A la dernière présidentielle tenue en 2016, le président Obiang avait obtenu 93,7% des suffrages, selon les résultats officiels.

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Les États-Unis pressent leurs alliés de renforcer l’application des sanctions imposées à la Russie, rapporte lundi 21 novembre 2022 le quotidien américain “The Wall Street Journal”.

“Des responsables américains sillonnent le monde dans le cadre d’une campagne diplomatique discrète pour amener les principaux partenaires commerciaux de la Russie à appliquer des sanctions et exercer des contrôles sur les échanges commerciaux,” alors que les exportations vers ce pays ont augmenté après avoir initialement chuté au début de la guerre en Ukraine, indique le journal américain.

La Russie a constamment dénoncé la salve de sanctions imposées par les pays occidentaux, mettant en garde contre une tentative de l’isoler et l’impact qu’elle pourrait avoir sur l’économie mondiale.

Les sanctions contre la Russie avaient perturbé les chaînes d’approvisionnement militaires de Moscou et plongé son économie dans une forte contraction au début du conflit, souligne le WSJ.

Toutefois, relève le journal, la faible application de ces mesures récemment a permis la reprise des financements et des échanges commerciaux. Cette situation est en faveur de la Russie, puisqu’elle aide son économie et prolonge potentiellement la guerre, selon de hauts responsables occidentaux.

“Nous voulons éviter le contournement (de ces sanctions), tant en Europe qu’avec les pays tiers”, a souligné dans une interview la commissaire européenne aux services financiers, Mairead McGuinness, dont le département supervise la politique de sanctions de l’UE.

“Pour resserrer le contrôle financier et commercial établi par les pays occidentaux, les États-Unis ont envoyé de hauts fonctionnaires des principales agences ministérielles dans les capitales étrangères, avec pour mission de partager des renseignements sur les réseaux de contournement des sanctions, menacer les autorités et les entreprises réticentes de mesures punitives et recueillir des informations sur les réseaux soupçonnés d’acheminer des équipements vers la Russie,” indique le quotidien.

La secrétaire au Trésor, Janet Yellen, a passé le même message auprès de ses homologues du G20 à Bali, en Indonésie, la semaine dernière, rapporte le grand tirage américain, ajoutant que plus tôt ce mois-ci, le secrétaire adjoint au Trésor Wally Adeyemo s’est rendu à Bruxelles, Londres et Paris.

Elizabeth Rosenberg, secrétaire adjointe pour le financement du terrorisme et les crimes financiers, était récemment au Japon pour la même mission, ajoute la même source, notant que plusieurs responsables du Trésor, du Commerce et du Département d’État font également le tour du monde pour les mêmes raisons.

Les données commerciales du deuxième trimestre montrent que les exportations vers la Russie de bon nombre des plus grandes économies du monde se sont effondrées de plus de 50 % à la suite des sanctions imposées fin février. Mais les exportations se redressent dans bon nombre de ces pays, selon une analyse des données commerciales du Wall Street Journal.

Les exportations de la Corée du Sud et du Japon restent inférieures aux niveaux d’avant les sanctions mais ont récupéré près d’un tiers de leurs pertes initiales, selon l’analyse du journal.

Les responsables occidentaux craignent que les banques en Autriche, en République tchèque et en Suisse adoptent une vision plus flexible en ce qui a trait à l’application des sanctions.

En avril, les autorités financières suisses ont déclaré que le pays avait gelé environ 8 milliards de dollars d’actifs russes, mais en mai, elles avaient indiqué avoir libéré environ 3 milliards de dollars de ces actifs.

Les exportations chinoises vers la Russie sont désormais plus importantes qu’elles ne l’étaient lorsque les sanctions ont été imposées, indique le quotidien, ajoutant que les responsables américains craignent que la Chine ne fournisse le financement et les biens essentiels à l’effort de guerre et à l’économie de la Russie.

Pékin a souligné qu’elle ne se conformera pas aux sanctions occidentales qu’elle juge illégales. Les exportations turques vers la Russie ont, par ailleurs, augmenté d’environ 25 % à la fin du deuxième trimestre par rapport à la période d’avant les sanctions, indique le quotidien.

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