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Chaque soir, le village malien de Karan, autrefois plongé dans l'obscurité, s'illumine désormais grâce à des lampadaires solaires. Sous ces lumières, les habitants se rassemblent pour discuter ou simplement se promener, une activité impensable auparavant après le coucher du soleil.
Des changements similaires se répandent progressivement en Afrique. Dans un contexte où 600 millions d'Africains n'ont pas accès à l'électricité, le continent continue de s'améliorer en misant sur la transition écologique en collaboration avec ses partenaires. Cette dernière contribue également à la modernisation des divers domaines.
Désormais, le manque d'électricité n'est plus qu'un souvenir passé pour les populations des villages maliens de Karan et de Koniobla.
En mai 2023, avec la participation de l'entreprise China-géo engineering (CGC), quinze systèmes de pompage solaire pour adduction d'eau potable et deux mini-centrales solaires photovoltaïques avec des systèmes de stockage conteneurisés ont été réalisées dans les deux villages. En plus de l'installation de 1.195 ensembles de systèmes d'éclairage solaire hors réseau et de 200 systèmes de lampadaires solaires.
"Grâce à ce projet, les populations des villages de Koniobla et de Karan disposent de l'électricité et de l'eau comme dans nos centres urbains", s'est réjoui Modibo Koné le ministre malien de l'Environnement de l'époque, après le lancement du projet, lors d'un entretien avec le média Dépêches du Mali.
Partenaire fiable de l'Afrique, la Chine a annoncé en septembre 2023 lors du premier Sommet africain sur le climat qu'elle lancerait un programme "Africa Solar Belt" avec un financement de 100 millions de yuans (environ 14,1 millions de dollars) pour des projets solaires dans des régions non desservies par les réseaux électriques principaux, aidant ainsi au moins 50.000 familles.
Dans les rues de Nairobi, la capitale du Kenya, les motos électriques gagnent en popularité pour les déplacements quotidiens. Cette solution réduit non seulement la pollution, mais favorise également une transition vers des transports plus durables.
Les entreprises chinoises du secteur, qui possèdent une excellente expérience technique dans la chaîne de fabrication des motos électriques, ont grandement contribué à cette "révolution" avec leurs produits bon marché et de qualité.
Un exemple : en juin 2023, le responsable de la société africaine Spiro Electric Vehicles a visité Changzhou, dans la province chinoise du Jiangsu (est), pour signer un accord de coopération stratégique avec la société chinoise Haowan New Energy Technology, visant à vendre 500.000 motos électriques en cinq ans, couvrant les marchés émergents tels que le Kenya et l'Ouganda.
"La Chine est une source d'inspiration pour de nombreuses entreprises africaines en matière de transport électrique (...), la Chine en est un partenaire de choix". Selon Janos Bisasso, directeur d'exploitation de la société ougandaise Gogo Electric, l'un des trois principaux fabricants de motos électriques du pays.
Elément essentiel du développement africain, l'agriculture profite de la transition écologique pour accomplir des progrès considérables.
"Lors de mes visites au Sénégal et en Côte d'Ivoire, j'ai constaté une augmentation significative de la production alimentaire locale et une amélioration des conditions de vie des agriculteurs grâce à la culture du super-riz vert", a rappelé Baboucarr Manneh, directeur général du Centre du riz pour l'Afrique.
Le "super-riz vert", qui consomme moins d'engrais, moins de pesticides, moins d'eau et résiste à la sécheresse, répond aux besoins spécifiques des Africains.
Jusqu'à présent, l'Académie chinoise des sciences agricoles a distribué plus de 1.000 exemplaires de "super-riz vert" à neuf pays africains, ce qui a permis d'augmenter les rendements de plus de 20% par rapport aux variétés locales et de réaliser un développement agricole écologique.
"La Chine a joué un rôle important dans la modernisation et le développement de l'agriculture africaine", a souligné Rahamtalla Mohamed Osman Elnor, représentant permanent de l'Union africaine auprès de la Chine. Les avantages technologiques de la Chine ont fourni aux pays africains une expérience qui peut être comprise et apprise en un clin d'œil. Cela a permis aux agriculteurs d'augmenter leurs revenus tout en stimulant le développement durable de la production agricole africaine, selon lui.
Dans la nouvelle ère, la coopération sino-africaine dans la transition écologique s'étend au-delà des domaines traditionnels et couvre de nouveaux secteurs.
Lors du sommet du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA) à Beijing en 2024, la Chine a lancé l'Action de partenariat pour le développement vert. Ce plan prévoit la mise en œuvre de 30 projets d'énergies propres, ainsi que la promotion de coopérations dans les domaines de la météorologie, de la biodiversité et de l'espace, contribuant ainsi au développement écologique du continent africain.
Auteur : Zhou Haojin, journaliste de l'agence de presse Xinhua
Abidjan, le mardi 04 mars 2025 (LDA)- Le haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, a dénoncé le lundi 03 mars 2025, à ceux qui exploitent à des fins personnelles et politiques, l’instabilité du monde liée aux divisions croissantes et conflits.
Avec AIP
Abidjan, le mardi 04 mars 2025(LDA)-Le Saint-Père a connu le 03 lundi deux épisodes d'insuffisance respiratoire aiguë. Ces deux épisodes suivis d’une aspiration ont été causés par l'accumulation de mucus. La santé du Pape François reste toujours « inquiétante ».
«Aujourd'hui, le Saint-Père a présenté deux épisodes d'insuffisance respiratoire aiguë, causés par une accumulation importante de mucus endobronchique ayant entraîné un bronchospasme», a indiqué un communiqué du Saint-Siège, le lundi 3 mars, dans le dernier bulletin quotidien consacré à la santé du Pape François. «Deux bronchoscopies ont donc été réalisées avec la nécessité d'aspirer d'abondantes sécrétions. Dans l'après-midi, la ventilation mécanique non-invasive a été reprise», poursuit le communiqué.
Les valeurs des tests sanguins effectués par le Pape sont inchangées et révèlent l'absence de leucocytose. Ce résultat, positif, montre qu'il n'y a pas de nouvelle infection, mais que l'accumulation de mucus est la conséquence de la pneumonie. Les deux crises de ce lundi ont été provoquées par la réaction des bronches qui tentent d'expulser le mucus accumulé pour éliminer les bactéries. Le tableau clinique du Saint-Père reste donc complexe avec une situation ouverte à des crises comme celles qui se sont produites ce lundi après-midi. Si «le pronostic reste réservé», le bulletin assure que «le Saint-Père est resté alerte, orienté et coopératif à tout moment».
Chapelet quotidien place Saint-Pierre
Ce lundi soir, le cardinal Robert Francis Prevost, préfet du dicastère pour les Évêques présidera le chapelet place Saint-Pierre afin de prier pour le Pape François.
Avec vaticanews
Dix ans après avoir quitté l'Afrique, ses saveurs continuent de m'accompagner. Le café d'Ethiopie, les avocats du Kenya, les ananas du Bénin… A des milliers de kilomètres de distance, l'Afrique reste vivante dans mon assiette.
Cela, je ne l'aurais jamais imaginé au moment de quitter ce continent fascinant. A l'époque, l'idée de voir ces délices africains devenir accessibles au grand public en Chine semblait bien lointaine. Les saveurs emblématiques de l'Afrique, telles que le thé noir et le café, ne pouvaient être transportées que par des moyens limités, souvent "à dos d'homme", devenant ainsi des cadeaux rares et précieux.
Aujourd'hui, la situation a radicalement changé. Autrefois synonymes d'exotisme, de plus en plus de produits agricoles africains ont désormais trouvé leur place sur les tables chinoises, se transformant en ambassadeurs culturels et économiques. Cette évolution illustre de manière concrète les avancées de la coopération sino-africaine.
Pour les Chinois ayant vécu en Afrique, chacune de ces saveurs porte en elle un souvenir et une émotion. En 2022, à l'annonce de l'autorisation des avocats kényans sur le marché chinois, une scène gravée dans ma mémoire s'est aussitôt imposée à moi : dans la cour de notre résidence à Nairobi, au Kenya, un avocatier haut de trois étages dominait le paysage. Lors de la saison des récoltes, notre collègue le plus habile à grimper aux arbres montait cueillir les fruits, tandis que nous attendions en bas avec des paniers, émerveillés par l'arôme de ce fruit délicieux et la générosité de la terre africaine.
Toutefois, malgré cette générosité, la diversité des saveurs africaines et ses vastes ressources en terres arables - l'Afrique possède environ 60% des terres non cultivées dans le monde - le continent reste confronté à une crise de sécurité alimentaire. Un paradoxe mettant en évidence l'urgence d'une transformation de l'agriculture en profondeur.
Le secteur agricole reste l'un des secteurs clé dans la coopération sino-africaine. Les résultats sont impressionnants : au cours de la dernière décennie, la Chine a construit 24 centres de démonstration de technologies agricoles en Afrique, promu plus de 300 technologies agricoles avancées et stimulé les rendements des cultures locales de 30% à 60% en moyenne.
Dans une vingtaine de pays africains tels que Madagascar, le Burundi et le Mozambique, le riz hybride chinois révolutionne les récoltes et améliore les conditions de vie des agriculteurs locaux. Une autre innovation de Chine, la culture du Juncao, une sorte d'herbacée géante permettant de faire pousser des champignons rapidement, séduit de plus en plus d'Africains, offrant de nouvelles possibilités économiques et alimentaires.
En 2023, la Chine a lancé son Programme d'assistance à la modernisation de l'agriculture de l'Afrique, en vue de contribuer à la transformation et à la montée en gamme de l'agriculture de ce continent, répondant aux attentes de ses amis africains.
En outre, une série de mesures ont été mises en place pour favoriser l'importation sur le marché chinois de produits agricoles africains de haute qualité, faisant de la Chine le deuxième marché des exportations agricoles africaines. Le "canal vert" du gouvernement chinois pour les produits agricoles africains, lancé fin 2021, a facilité cette expansion, réduisant les délais d'inspection et de quarantaine tout en élargissant les exemptions tarifaires.
Lors du sommet de Beijing 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), la Chine a annoncé l'élargissement de l'accès des produits agricoles africains à son marché et un traitement tarifaire nul sur 100% des produits en provenance des pays les moins développés ayant établi des relations diplomatiques avec elle, dont 33 pays africains.
Toujours au cours de ce sommet, la Chine a signé des documents de coopération sur l'importation de produits agricoles avec un certain nombre de pays africains, incluant les avocats du Zimbabwe, le soja de Zambie, les noix de macadamia et de cajou du Mozambique, la viande de mouton et de chèvre de Namibie, le miel du Rwanda... Dans un avenir proche, de plus en plus de produits agricoles africains de qualité feront leur apparition sur le marché chinois.
Chaque produit africain qui arrive en Chine, chaque accord signé, chaque projet lancé, incarne une coopération sino-africaine en plein essor, portée par une ouverture de la Chine et une recherche commune de la modernisation.
Lors du sommet du FCSA à Johannesburg en 2015, j'ai été interrogée par un journaliste marocain sur les mots que je choisirais pour qualifier la coopération sino-africaine. J'ai répondu "un âge d'or". Presque dix ans après, j'ai posé à la même question à un délégué gabonais lors du sommet du FCSA à Beijing l'an dernier, et sa réponse a été : "Modèle, espoir et pont". Ces mots résument parfaitement les succès remportés par la Chine et l'Afrique au cours de la dernière décennie. Sans aucun doute, de plus en plus de saveurs africaines, incarnant un pont culturel et économique, s'apprêtent à séduire les palais chinois.
Auteur : Zhang Man, journaliste de l'agence de presse Xinhua et ancienne correspondante basée à Nairobi
Abidjan, le lundi 03 mars 2025(LDA)-Le Saint-Père continue de recevoir de l'oxygène, il n'a pas de fièvre, annonce cette soirée du dimanche 2 mars, la Salle de presse du Saint-Siège. Le pronostic reste réservé. Il a assisté ce matin à la célébration eucharistique.
«Les conditions cliniques du Saint-Père sont restées stables aujourd'hui dimanche 2 mars», rapporte ce soir la Salle de presse du Saint-Siège. Le Pape François «n'a pas eu besoin de ventilation mécanique non invasive, mais seulement d'une oxygénothérapie à haut débit, il est apyrétique». La crise isolée de bronchospasme de vendredi dernier n'a pas eu de conséquences directes. Cependant, compte tenu de la complexité du tableau clinique, le pronostic reste réservé.
Ce matin, indique la Salle de presse du Saint-Siège, «le Souverain pontife a participé à la Sainte Messe, avec les personnes qui s'occupent de lui pendant ces jours d'hospitalisation, puis il a alterné repos et prière».
Source : Vatican News
La Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank) a ratifié une série d'initiatives pour soutenir l'industrialisation et le programme de développement axé sur les exportations du Kenya, lors d'une cérémonie à Mombasa, Kenya.
Ces initiatives visent à financer le développement de parcs industriels (PI) et de zones économiques spéciales (ZES) pour promouvoir l'industrialisation et l'exportation de produits manufacturés.
Afreximbank, via sa filiale Arise Integrated Industrial Platforms (Arise IIP), mettra en place un environnement propice pour les industries orientées vers l’exportation, grâce aux économies d'échelle, infrastructures partagées et un accès aux marchés mondiaux.
Les projets concernent le parc industriel intégré de Dongo Kundu et la zone économique spéciale de Naivasha II, inscrits dans la Vision 2030 du Kenya. Ces projets devraient renforcer la capacité du Kenya à exporter des biens à valeur ajoutée, soutenant ainsi son développement économique.
Le président du Kenya, William Ruto a souligné l’importance de ces initiatives pour le pays, soulignant que ces accords marquent un tournant dans le renforcement du secteur manufacturier et la création d’un environnement propice aux investissements.
Le Professeur Benedict Oramah, Président d'Afreximbank a affirmé que le Kenya prend une mesure audacieuse pour transformer l’histoire économique du pays, avec un impact profond sur l’industrialisation et l’autosuffisance.
Ces projets font partie d'un plan de développement plus large pour stimuler la croissance économique du pays.
Le parc de Dongo Kundu, situé à Mombasa, sera un centre industriel clé, tandis que Naivasha II, avec ses zones de libre-échange et logistique, profitera de sa position stratégique pour faciliter l'accès aux marchés régionaux et mondiaux.
mc
Abidjan, 1 Mars- (LDA)- Lors de la première édition du « Grand Débriefing Amnesty et Médias », qui s’est tenue le mercredi 28 février 2025 à Abidjan, la chargée de communication d’Amnesty International Côte d’Ivoire, Sandra Kouakou a annoncé la création d’un Pool Presse.
Cette initiative a pour objectif de constituer un groupe dynamique chargé de faciliter la diffusion d’informations stratégiques sur les droits humains, tout en renforçant les liens avec les médias nationaux. Le but étant de favoriser une implication plus forte des médias dans la sensibilisation aux enjeux des droits humains et d’amplifier la voix des défenseurs des droits humains et d’assurer une couverture médiatique plus efficace des actions menées par l’organisation.
Sandra Kouakou a souligné l’importance des médias en tant qu’acteurs clés dans la sensibilisation et la mobilisation autour des droits humains. Elle a insisté sur le fait que « c’est ensemble que nous pouvons faire avancer cette cause », affirmant ainsi la nécessité de cette collaboration pour promouvoir les valeurs fondamentales des droits humains.
Le directeur exécutif d’Amnesty International Côte d’Ivoire, Hervé Delmas Kokou est revenu également sur l’importance de cette nouvelle collaboration.
Selon lui, l’accès à une information fiable et vérifiée est essentiel pour éclairer l’opinion publique et garantir une meilleure compréhension des enjeux liés aux droits humains.
Par ailleurs, Amnesty International Côte d'Ivoire envisage de renforcer l'éducation aux droits humains, d'intensifier ses campagnes d'action et de consolider sa collaboration avec les médias pour assurer une couverture plus large et plus engagée.
Dans cette optique, un Prix Amnesty International du Journalisme a été initié pour récompenser les reportages les plus marquants, afin de mettre en valeur le travail des journalistes qui participent activement à la sensibilisation et à l'éducation sur les droits humains.
Il convient de souligner que Amnesty International, une organisation de défense des droits humains fondée en 1961, est présente dans 150 pays et œuvre sans relâche pour promouvoir la justice et défendre les droits fondamentaux à l'échelle mondiale.
mc
L’Ambassade de Côte d’Ivoire en France a réuni entrepreneurs et investisseurs lors d’une rencontre économique avec le réseau Business Initiative. L’objectif était de renforcer les échanges commerciaux et explorer de nouvelles opportunités d’investissement entre la France et la Côte d’Ivoire.
En marge du SIA 2025-Salon International de l’Agriculture de Paris, l’Ambassade de Côte d’Ivoire en France a accueilli, le mardi 25 février 2025, une rencontre économique réunissant des hommes d’affaires venus de Marseille et de Aix en Provence autour d’un objectif commun : renforcer les liens économiques entre la Côte d’Ivoire et la France. Organisée par le réseau Business Initiative, cette soirée de rencontre a permis d’explorer de nouvelles opportunités d’investissement et de partenariat entre les deux pays.
La Côte d’Ivoire, moteur économique de l’Afrique de l’Ouest, attire de plus en plus d’investisseurs grâce à sa croissance soutenue et à son climat des affaires en amélioration constante. Dans cette dynamique, la rencontre visait à connecter ses hommes d’affaires français avec la Côte d’Ivoire, afin de favoriser le développement de projets concrets.
SEM Anselme Angui, Premier Conseiller de l’Ambassade de Côte d’Ivoire en France, représentant l’Ambassadeur Maurice Kouakou Bandaman, a insisté sur l’importance de structurer et de renforcer les relations économiques entre les deux pays. Il a notamment rappelé le rôle clé du Plan National de Développement 2026-2030, qui dessine les priorités stratégiques de notre pays pour les années à venir et les besoins en investissements dans plusieurs secteurs clés.
Pascal Lepelletier, représentant du réseau Business Initiative en l’Île-de-France, a souligné l’importance de la création de synergies entre les entreprises pour garantir un développement mutuel et durable.
Créée en 2014 à Aix-en-Provence, Business Initiative se distingue par une approche innovante des relations d’affaires. Selon Maitre Gérald Pandelon, co-fondateur, ce réseau s’appuie sur quatre principes fondamentaux : la diversité, en réunissant des hommes d’affaires , des hauts fonctionnaires, des avocats et des investisseurs; l’automaticité qui favorise les interactions directes et efficaces entre ses membres; la territorialité, qui encourage les échanges économiques entre différentes régions et pays et l’internationalisation, visant à élargir le champ des opportunités bien au-delà des frontières nationales.
Des opportunités à Saisir en Côte d’Ivoire qui avec une croissance économique de 6,5 % en 2023, se positionne comme un pôle d’attraction majeur pour les investisseurs internationaux. Plusieurs secteurs d’activité offrent des opportunités de développement, notamment l’agro-industrie, les ressources minières, l’énergie et les nouvelles technologies.
Dans ce cadre, Manuel Alves, homme d’affaires franco-portugais dans le minier et partenaire de Business Initiative, a mis en avant la nécessité pour la Côte d’Ivoire de diversifier ses partenariats internationaux. Il a également évoqué le rôle stratégique que pourrait jouer le Portugal dans le renforcement des échanges entre l’Afrique francophone et lusophone.
La soirée s’est poursuivie autour de rencontres BtoB où les participants ont pu échanger directement avec des représentants des secteurs économiques stratégiques éburnéennes à travers des rencontres B to B, où l’accent a été mis sur l’importance d’un cadre réglementaire structuré et attractif pour les investisseurs étrangers.
Les organisateurs ont réaffirmé leur volonté de faire de Business Initiative, un outil clé pour renforcer les relations économiques entre l’Europe et l’Afrique. Les discussions engagées devraient rapidement se traduire par des actions concrètes, ouvrant la voie à de nouveaux investissements et collaborations.
Avec cet événement, l’Ambassade de Côte d’Ivoire en France confirme son rôle central dans la promotion des opportunités économiques ivoiriennes et l’accompagnement des hommes d’affaires souhaitant s’implanter sur ce marché en plein essor. Une dynamique prometteuse qui portera ses fruits les années à venir.
À l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes et du « Mois des Femmes » en Côte d'Ivoire, l'Ambassade de Belgique à Abidjan organise la première édition de son concours artistique de l’Amitié ivoiro-belge.
Ce concours vise à valoriser les talents féminins en Côte d’Ivoire, en particulier dans la discipline de la peinture sur toile, toutes techniques confondues, sur le thème « Femmes en action ».
Le concours est ouvert à toutes les femmes artistes résidant en Côte d'Ivoire, qu'elles soient professionnelles ou amateures, âgées de 18 ans et plus. Chaque participante peut soumettre entre une et trois œuvres, sous forme de photos numériques, avant la date limite du 8 mars 2025 à 23h59. Ces œuvres seront ensuite soumises à une première sélection par un jury composé de personnalités ivoiriennes et belges.
Les œuvres sélectionnées seront publiées sur les réseaux sociaux de l'Ambassade afin de solliciter les votes du public. Celles qui obtiendront le plus de « likes » auront la possibilité de déposer leurs œuvres physiques à l'Ambassade de Belgique, en vue d'un vernissage fin mars 2025 à la Résidence de l’Ambassadeur de Belgique.
Lors de cet événement, le Jury attribuera le prestigieux Prix de l’Amitié ivoiro-belge à l’une des lauréates et un « prix du public » pourra être décerné à l’autrice de l’œuvre ayant récolté le plus de votes sur les réseaux sociaux de l’Ambassade.
Parallèlement au concours, une masterclass d’Enabel, l’agence belge de coopération sera offerte aux autrices des œuvres sélectionnées. Cette session permettra aux participantes d'en savoir plus sur les services de renforcement entrepreneurial et d’accélération disponibles dans le cadre du projet de mobilité circulaire (PEM) financé par l’Union Européenne.
Les œuvres sélectionnées seront ensuite exposées à l'Ambassade et la lauréate du Prix de l’Amitié ivoiro-belge aura l’opportunité de présenter une sélection plus large de ses œuvres lors d’un « solo show » à la Résidence de l’Ambassadeur. Cet événement sera l’occasion de réunir des personnalités du monde de l’art, de la diplomatie, des affaires, ainsi que des autorités et des médias.
Un concours artistique qui met en lumière la créativité féminine tout en renforçant les liens entre la Belgique et la Côte d'Ivoire.
mc
Abidjan, le 27 Février- Le Fonds de développement de la CARICOM (CDF) et la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) ont signé un accord de subvention de 708 000 € pour établir une facilité verte dédiée à la résilience et la durabilité (GRSF). Cette signature a eu lieu lors de la 48e réunion ordinaire de la conférence des chefs de gouvernement de la CARICOM au Wyndham Grand Barbados Sam Lord’s Castle.
La GRSF vise à offrir des financements mixtes, concessionnels et commerciaux afin de soutenir le développement économique de la CARICOM, en renforçant la résilience et l’adaptabilité des États membres face aux défis environnementaux et économiques.
Ce financement flexible permettra aux pays de la région d’investir dans des infrastructures critiques et des projets d’adaptation au changement climatique, contribuant à une croissance durable à long terme.
Le PDG du CDF, M. Rodinald Soomer, a souligné que cette subvention permettra au CDF d’apporter un soutien accru aux États membres confrontés à des enjeux environnementaux et économiques urgents.
Le Professeur Oramah, Président d’Afreximbank, a quant à lui précisé que le GRSF serait important pour mobiliser des investissements afin de faire face aux phénomènes météorologiques extrêmes liés au changement climatique.
Il servira également à financer les pertes et les dommages liés au climat, réduisant ainsi le déficit de financement de la résilience estimé à 20 milliards de dollars US dans la région.
En août 2023, le CDF et Afreximbank ont renforcé leur partenariat avec un protocole d’accord, montrant un engagement mutuel à collaborer dans la mise en place de projets à long terme.
Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de coopération régionale et internationale pour la durabilité et la résilience dans les Caraïbes.
mc