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Une délégation du Syndicat national des Professionnels de la Presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), conduite par son Secrétaire Général, Guillaume Gbato, a pris part du 27 au 28 octobre 2017 à la première Conférence régionale sur l’Excellence des Médias en Afrique de l’Ouest organisée par la Fondation pour les Médias de l’Afrique de l’Ouest n), à Accra (Ghana).
Lors de cette conférence régionale, la délégation du SYNAPPCI a eu de nombreux contacts avec les leaders et activistes du secteur des médias en Afrique de l’ouest, qui devrait aboutir dans les prochaines semaines à la signature de convention de partenariats visant à créer un vaste et puissant réseau des acteurs des médias ouest-africains pour adresser les principaux défis auxquels le secteur fait face dans la sous-région.
Le SYNAPPCI s’est également félicité de l’importante contribution de l’Observatoire de la Liberté de la Presse, de l’Ethique et de la Déontologie (OLPED) aux débats à travers deux communications de son vice-président, Fernand Dédéh Tagro.
La délégation du SYNAPPCI comprenait en plus de son Secrétaire Général, le Secrétaire national Chargé de l’Information, de la Communication, des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale, Serge Adam’s Diakité et du Secrétaire national Adjoint chargé des Finances, Mike Singoh.
Il faut souligner que le SYNAPPCI a partagé avec l’ensemble des experts et autorités présents, sa conviction selon laquelle la qualité des médias ouest africains est tributaire d’un cadre législatif et réglementaire propice à la liberté d’expression et à la liberté de la presse de façon particulière, favorisant le développement de médias autonomes financièrement et responsables socialement. La délégation du SYNAPPCI s’est donc félicitée des engagements des ministres ghanéen de l’information, l’Honorable Mustapha Abdul-Hamid et gambien de l’information & des infrastructures de la communication, l’Honorable Demba Ali Jawo, qui ont assuré les participants de la détermination de leurs gouvernements respectifs à travailler avec tous les acteurs du secteur au renforcement de la liberté de la presse dans la région ouest-africaine.
Daniel Coulibaly/Source : SYNAPPCI
La Côte d’Ivoire et le Ghana se sont engagés à respecter la décision du Tribunal international du droit de la mer (TIDM) sur un différend au sujet de leur frontière maritime, le 24 septembre 2017. C’est un communiqué conformément au statut du TIDM lu à la télévision nationale ivoirienne(RTI1) qui fait état de cet accord entre les deux pays frères.
Accra et Abidjan « s’engagent à respecter les termes de la décision et de collaborer pleinement pour sa mise en œuvre », poursuit le texte lu par la ministre ghanéenne de la Justice, Gloria Afua Akuffo.
Le communiqué indique par ailleurs que les deux pays « affirment leur ferme volonté de travailler ensemble à consolider et à intensifier leur relation fraternelle de coopération et de bon voisinage ».
Toujours selon le même communiqué du TIDM, le Ghana n’a pas violé les droits souverains de la Côte d’Ivoire, contrairement à ce qui se racontait officiellement. Abidjan considérait avoir un droit exclusif d’exploitation des hydrocarbures dans une zone offshore disputée. Le tribunal international a calculé le tracé de la frontière maritime en utilisant le principe de l’équidistance défendu par le Ghana et cette carte s’impose désormais aux deux parties.
Il faut rappeler que le litige pétrolier entre la Côte d’Ivoire et le Ghana est survenu en 2010, quand l’exploitant irlandais Tullow Oil a annoncé la découverte d’un gisement offshore sur le champ de Tweneboa. Les deux pays ont alors décidé de la mise en place d’une commission bilatérale pour régler le différend, mais les premières réunions d’experts avaient achoppé sur les critères techniques retenus pour la délimitation de la frontière, selon Jeuneafrique.
Daniel Coulibaly