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Jochen Hoettche est le nouveau directeur régional Afrique de l’ouest de la fondation allemande Friedrich Naumann. Il remplace à ce poste Mme Inge Herbert qui regagne l’Allemagne pour une autre mission, après 4 ans de service sur le Continent.
Lors d’une soirée d’au revoir organisée par la représentation ivoirienne de la fondation, le jeudi 6 septembre 2018 à son siège à Abidjan, l’ambassadeur de l’Allemagne en Côte d’Ivoire, Michael Grau, a salué le travail remarquable réalisé par cette femme. « Merci Ingre pour le travail accompli.», a-t-il dit, sans manquer de rappeler la politique libérale de son pays qui donne la possibilité à chacun de s’exprimer ou de choisir.
«Les différentes fondations Allemagne en Côte d’Ivoire permettent de créer les contacts et d’échanger avec tout le monde. N’hésitez donc pas à vous approcher d’elles pour toutes vos préoccupations. », a-t-il invité.
Pour sa part, le nouveau directeur Jochen Hoettche, recevant un tableau, signifiant l’ « Akwaba » en terre africaine, de la part de ses collaborateurs ivoiriens, a félicité l’ancienne directrice régionale, avant de s’engager à « continuer sur ce chemin » avec tous les partenaires de la fondation.
Dans son intervention, Sophie Konaté, chargé de programmes, s’est plutôt appesantie sur les qualités de Mme Ingre Herbert qu’elle a résumées en 6 points : la confiance, la réactivité, la rigueur, la responsabilité, l’efficacité, le soutien. Et de lui souhaiter « bon vent » pour sa nouvelle destination.
Quant à Issiaka Konaté, l’ex-directeur de la fondation, il a fait la genèse de la réouverture de l’organisation en Côte d’Ivoire en 2012. Des moments de difficultés à des moments de bonheur qui ont marqué son chemin. Il n’a pas manqué de la remercier pour toutes ses actions menées en terre ivoirienne.
De son coté, Mme Ingre Herbert a évoqué une mission intéressante dans cette partie de l’Afrique. Et également plusieurs projets réalisés pour le bien-être des populations, dont le financement à 10 mille euros la lutte contre la migration clandestine dans notre pays. Et de rendre un vibrant hommage à tous ses collaborateurs du Mali, Sénégal et de la Côte-d’Ivoire.
A ces interventions, il faut ajouter plusieurs témoignages des représentants de la société civile, des ONG, des groupements de jeunes, de partis politiques, etc qui ont relevé son mérite.
La fondation Friedrich Naumnn-Abidjan lui a offert un tableau retraçant son parcours et un pagne traditionnel baoulé et bien d’autres cadeaux des invités.
Daniel Coulibaly
Auréolé de son statut de doyen des délégués PDCI-RDA de la région de la Marahoué, Boti Bi Zoua jouit d’une grande assise politique dans la région de la Marahoué. Parrainé par le PDCI-RDA et plébiscité par la société civile et la quasi-totalité des populations des 3 départements que comptent la région de la Marahoué, il s’est imposé par le travail comme la nouvelle chance de la région au fil des semaines. Dans la perspective des élections régionales du 13 octobre.
La relation quasi-fusionnelle qu’entretien Boti Bi Zoua, le doyen des délégués PDCI-RDA de la région de la Marahoué et les populations pourrait se concrétiser par sa victoire au soir du 13 octobre 2018 à l’issue des élections régionales. Et pour cause, le parrainage de sa candidature par le PDCI-RDA ainsi que l’immense engouement que cela a pu susciter auprès des populations des départements de Bouaflé, Sinfra et Zuenoula représentent l’acte politique le plus marquant dans la région ces derniers mois.
Délégué PDCI-RDA de Sinfra commune depuis plus d’une décennie, membre du bureau politique, cadre proche des jeunes et des femmes, Boti Bi Zoua est sans aucun doute l’homme politique de la Marahoué apte à redonner un second souffle à cette riche et dynamique région de la Marahoué. Initialement cadre de premier plan du privé depuis plusieurs décennies, il a été de tous les combats pour l’implantation et le rayonnement du PDCI-RDA partout en Cote d’Ivoire et principalement dans sa région natale, la Marahoué.
Pilier su système Bédié dans la région, il est en mesure de mettre en musique la vision du patron du PDCI-RDA pour développer tous les départements et sous-préfecture de la Marahoué dans une approche de proximité et d’inclusion de toutes les compétences. Pour Boti Bi Zoua, il n’ y a pas de raison que seules les grandes villes (Abidjan, Bouaké, San Pedro) captent l’essentiel des grands projets de développement de la Cote d’Ivoire. En cas de victoire aux élections régionales, la Marahoué déjà connue sera une destination reconnue pour les investissements dans plusieurs domaines : santé, éducation, reprofilage des routes…..Pour le bonheur de toutes les communautés (Gouro, Baoulé, Malinké,Yowèrè) de la région. Bref, un nouveau pacte social avec les populations de la Marahoué.
Louis Tanin
L’actuel maire de Yopougon Gilbert Koné KAFANA a indiqué se présenter pour un autre mandat de 5 ans aux prochaines municipales dans la commune. Il s’exprimait à l’occasion d’une cérémonie de prise d’armes traditionnelle du conseil municipal dans le cadre de la célébration des 58 ans d’Indépendance de la Côte d'Ivoire, en présence de plusieurs collaborateurs et administrés, le mardi 7 aout dernier.
Gilbert Kafana Koné a demandé aux populations de la plus grande commune du pays de lui renouveler leur confiance. «Je profite donc de l’occasion qui m’est offerte pour solliciter votre confiance à travers un deuxième mandat, en vous annonçant solennellement ma candidature pour les élections municipales du 13 octobre prochain. », a-t-il dit.
Le 3ème vice-président chargé de l’organisation du RDR (parti membre du RHDP), a bien l’intention de terminer ce qu’il a commencé comme chantiers dans la commune. Ce sont entre autres, le Mall de Yopougon qui sera inauguré dans le mois de septembre, le marché de Gros de Gesco-Manutention et la médiathèque municipale et bien d’autres projets.
«Chères populations, de nombreux projets ont été annoncées à ma prise de fonction. Certaines ont été réalisées, d’autres sont en cours de réalisation, et d’autres verront le jour au cours du mandat prochain. », a-t-il expliqué.
Nommé récemment ministre auprès du président de la République, chargé des relations avec les institutions, le maire de Yopougon a salué l’amnistie du président ivoirien en faveur de 800 prisonniers de la crise post-électorale.
"l'acte fort du chef de l'Etat qui donne la liberté à 800 de nos frères incarcérés dans le cadre de la crise post-électorale, et participe de la consolidation de l'unité nationale et de la paix dans notre pays", a relevé le ministre chargé des relations avec les institutions.
Daniel Coulibay
Des experts du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) se satisfont, mais aussi des défis à relever de la gouvernance ivoirienne, après une mission à Korogho, une ville située au nord du pays.
Ces experts de « haut niveau », qui ont séjourné dans la ville, de dimanche à lundi, dans le cadre d’une mission d’évaluation externe du rapport national d’autoévaluation de la gouvernance de la Côte d’Ivoire, ont estimé que de « bonnes pratiques » avaient été enregistrées dans certains domaines mais que des efforts restaient à faire dans d’autres.
La ville de Korhogo a été appréciée par le chef de la délégation, Pr Khayal Mahammat, pour sa propreté et l’hygiène, le niveau d’équipement et l’excellence prônée par l’université Péléforo Gon Coulibaly, ainsi que par l’intérêt particulier que les autorités locales portent au développement de la région.
Le chef de la délégation relève tout de même des choses qui ne sont pas intéressantes. Il a déploré les conditions de travail « abominables » dans une fabrique de beurre de karité, tandis qu’un autre membre de la délégation pointait des insuffisances en matière de service de santé de spécialité dans la localité.
L’évaluation du MAEP ne vise pas à attribuer des bons ou mauvais points, mais à aider le pays à se regarder dans un miroir, c’est-à-dire à relever les côtés positifs et les côtés négatifs de sa gouvernance, ainsi que les questions transversales qui y sont associées, dans l’espoir de lui permettre de relever les défis identifiés, a-t-il précisé.
A la fin du processus d’évaluation, un plan national d’actions contenant des propositions de solutions aux problèmes relevés doit être adopté par notre pays.
Ce plan sera revisité tous les deux ans, de façon à l’accompagner progressivement dans une gouvernance de plus en plus inclusive et participative, a expliqué l’expert du MAEP.
Créé en 2002 à l’initiative de l’Union africaine pour promouvoir la bonne gouvernance à travers un mécanisme d’évaluation par les africains eux-mêmes, le MAEP a vu l’adhésion de la Côte d’Ivoire en 2015.
Daniel Coulibaly/Source AIP
Le président de la Cour des comptes de l’UEMOA, Malick Kamara Ndiaye, a affiché lundi à Abidjan, la volonté de l’institution à harmoniser les opérations dans les instances de contrôle pour permettre la mise en place d’un référentiel concilié, à l’échelle communautaire, capable d’amener toutes les juridictions à conduire de manière uniforme les Chambres de chaque pays membres.
M. Kamara intervenait à la première réunion du comité de pilotage chargé de la supervision et du contrôle technique des travaux. Il a affirmé que cette idée est née du constat de la diversité dans les procédures de contrôle des institutions financières internationales et a relevé l’inexistence de manuels de référence au niveau de certaines Cours, sur un même territoire. Cette initiative entend assurer le bon fonctionnement des Cours des comptes des Etats membres.
Le président de la Cour des comptes de l’UEMOA a ajouté que ce guide de vérification fixera à l’échelle communautaire, les règles, méthodes et principes généraux auxquels devront se référer toutes les Institutions supérieures de contrôle des finances publiques (ISC) des pays membres et la Cour des comptes de l’UEMOA.
Pour le président de la Cour des comptes de Côte d’Ivoire, Kanvaly Diomandé, la présence de tous les Etats membres de l’espace UEMOA à cette rencontre qui vise l’élaboration des normes internationales, permettra de poser efficacement, les fondements solides de la gestion des finances publiques de leurs pays respectifs.
« Avec le Code de transparence et la norme, beaucoup de choses vont changer de sorte que le contrôle puisse se faire de façon unilatérale dans tous les huit pays. Nous ne voulons pas être en retard par rapport au reste du monde », a ajouté Kanvaly Diomandé.
Source: AIP
La représentation locale de la fondation allemande Friedrich Naumann a lancé, au niveau national, la deuxième édition du concours « Falling Wall Lab »-Abidjan, au cours d’une conférence de presse, le jeudi 12 juillet 2018. L’objectif principal de ce concours est de promouvoir l’esprit entrepreneurial et la recherche scientifique.
Le « Falling Wall Lab » ou « Faire tomber les murs », journée de l’innovation et de la recherche scientifique, se veut être comme une tribune pour les étudiants, doctorants, post-doctorants, chercheurs, etc., afin de présenter des solutions innovantes aux entreprises et à la société de développement.
Une opportunité pour notre pays d’améliorer son rang de 123ème mondial (19,96/100) en matière d‘innovation tel qu’indiqué par le rapport mondial sur l’innovation.
Les chercheurs juniors et seniors, les innovateurs ou toute personne ayant une idée innovante dans tous les domaines (médecine, agriculture, éducation, technologie, sciences humaines, économie, etc) peuvent ou peut faire acte de candidature. Les intéressés doivent postuler via le site : https://falling-walls.com/lab/apply/africa. Et ce, jusqu’au 16 août prochain.
Une première présélection permettra de retenir 30 candidats desquels seront selectionnés 16 pour la finale locale du mardi 18 septembre 2018 à l’Institut Goethe–Abidjan devant un jury. Mais avant, ces finalistes bénéficieront d’une session de formation sur le pitch (présentation de 3mn d’un projet qui doit convaincre en peu de temps). Parmi ces 16, seulement 3 seront primés, et les autres recevront un diplôme de participation.
Le vainqueur représentera la Côte d’Ivoire à la finale mondiale du « Falling Wall Lab » en novembre 2018 à Berlin(Allemagne) contre 99 autres candidats. Une expérience déjà vécue parle le vainqueur de l’édition 2017 Samuel Sevi. Même si son innovation qui consiste à apporter un protège-tasse à latex d’hévéa aux planteurs n’a pas retenu l’attention du jury.
«Le « Falling Walls Lab » se présente comme une plateforme pour valoriser l’innovation et la recherche scientifique. Il s’agira pour les candidats de présenter des solutions qui peuvent être des besoins pour des entreprises », a expliqué Magloire N’Déhi, chargé de programmes/Communication à la fondation.
Les innovations du « Falling Walls » Abidjan 2018 sont entre autres les stands d’exposition, démonstrations d’expériences et recherches scientifiques, coaching pour entrepreneurs et chercheurs.
Mais l’innovation majeure, a-t-il souligné, est le panel qui portera sur le thème : « Recherche scientifique et innovation : quel impact sur le développement des entreprises et le progrès social ? ».
L’université Felix Houphouët Boigny est le partenaire scientifique de cette édition, et d’autres structures publiques comme privés qui vont accompagner ce concours de l’innovation et de la recherche scientifique au niveau national.
Daniel Coulibaly
Le ministre ivoirien de l'Agriculture Sangafowa coulibaly à la tête d’une délégation du RDR, parti au pouvoir, composée des députés Imbassou Ouattara et Nassaratou Diaby, a mobilisé les militants de la commune de Yopougon pour la révision de la liste électorale, le samedi 16 juin 2018, au siège du RDR, sis à Yopougon-Wassakara.
La forte pluie n'a en rien entaché à la détermination des partisans du président ivoirien, Alassane Ouattara. Ils sont sortis nombreux pour répondre à l’appel de l'encadrement politique local du parti, afin d’écouter les émissaires de Henriette Dagri Diabaté, présidente du RRD.
Le ministre Sangafowa Coulibaly a demandé aux uns et autres de s’impliquer résolument dans cette opération de révision de la liste électorale.
Pour lui, c’est une occasion, une opportunité pour le RDR de la commune de Yopougon dont le maire est Gilbert Koné KAFANA, cadre du parti, d'asseoir sa suprématie avec l'appui des partis politiques frères, membres du RHDP. Il a, donc, invité tous les militants et surtout, les femmes et les jeunes à prendre d'assaut les lieux d'enrôlement.
Sur le projet du parti unifié RHDP, cher à Alassane Ouattara, le ministre Sangafowa Coulibaly a indiqué que les choses avancent. « Le parti unifié est la seule alternative crédible pour consolider la paix et le développement en Côte d'Ivoire »,a-t-il soutenu.
Le responsable de la politique d'identification du RDR a précisé que l’opération prendra une semaine (du 17 au 24 juin), et cela est possible.
« Si on arrive à faire voter tout le corps électoral en une journée, on peut faire la révision électorale en une semaine ", a soutenu Sangafowa Coulibaly.
Imbassou Ouattara, député et 2 ème Adjoint au maire de Yopougon, membre de la délégation du ministre, est revenu sur la nécessité du parti unifié, en évoquant les avantages de ce projet porté depuis les Accords politiques d'Accra III et de Marcoussis par les présidents Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara.
" Houphouët-Boigny a laissé un héritage important à la Côte d'Ivoire. Et nous devons accepter l'élan d'Alassane Ouattara. Il s'agit d'un parti fort pour maintenir la paix pendant longtemps, un grand parti qui va pouvoir gouverner pendant longtemps et mieux la Côte d'Ivoire, un instrument pour sauver la Cote d'Ivoire " a-t-il dit.
Daniel Coulibaly/Source: Serv Com mairie
Weibin Tang, ambassadeur de la République populaire de Chine en Côte d’Ivoire, a indiqué que les relations sino-ivoiriennes sont dans « les meilleurs moments historiques », le jeudi 12 avril 2018, à la Maison de la presse d’Abidjan. C’était à l’occasion de la remise des prix médias du concours dénommé «La Chine à mes yeux » initié par l’ambassade de Chine à l’endroit des journalistes ivoiriens ayant séjourné dans ce pays.
Selon lui, ces dernières années les coopérations sino-ivoiriennes ont pris une tournure figurante, marquée par la multiplication des échanges de hauts niveaux, le renforcement de la confiance politique mutuelle, l’ouverture de la coopération militaire, l’intensification des échanges culturels et humains, etc.
«La Chine et la Côte d’Ivoire sont aujourd’hui de bons amis et de bons partenaires unis dans un partenariat gagnant-gagnant. Et mutuellement bénéfique et fondé sur le principe de sincérité et de confiance réciproque », a-t-il ajouté.
A l’endroit des journalistes ivoiriens, Weibin Tang a salué le « bon niveau des échanges » entre le milieu des médias chinois et ivoiriens qui se traduit par la participation de plusieurs journalistes ivoiriens à des séminaires de renforcement de capacité chaque année en Chine.
"Les médias sont très importants dans le processus de développement d’un pays. Les journalistes doivent avoir une analyse objective et impartiale dans le traitement des informations au sujet d’un pays. Je suis donc très heureux de constater que la plupart des journalistes ivoiriens ont toujours respecté la déontologie dans leur travail", a-t-il insisté, sans manquer de les remercier pour leurs articles sur la Chine, après y avoir séjourné.
En outre, M. Tang s'est engagé à offrir des ordinateurs pour la salle informatique de la MPA dont la quasi-totalité des machines est hors service, suite à une liste de doléances à lui adressée par Moussa Traoré, président de l’UNJCI (Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire).
Moussa Traoré a, de ce fait, salué cette franche collaboration entre l’ambassade de Chine et les journalistes ivoiriens.
M. Traoré a aussi plaidé pour que les journalistes soient les plus privilégiés sur la liste des participants. Car « ils sont les mieux placés pour rapporter les vraies informations sur la Chine », a-t-il souligné.
Par ailleurs, les prix médias 2017 du concours « La chine à mes yeux » ont été remis aux 24 lauréats. Le prix du meilleur reportage est revenu à Ousmane Ténin Bê du quotidien Nord-Sud et celui du meilleur partenaire média à Fraternité Matin. A cela s’ajoutent d’autres prix.
" Nous promettons de faire notre travail afin de garder ce niveau de coopération entre laa Côte d'Ivoire et la Chine et entre l'ambassade et les journalistes ivoiriens", a rassuré Ziao Hamadou, journaliste au quotidien l’Inter, au nom des recipiendaires.
Le concours « La Chine à mes yeux » a été initié dans l’optique de promouvoir les échanges entre les milieux médiatiques chinois et ivoiriens, d’aider la population ivoirienne à connaitre de façon globale et objective la Chine réelle et surtout de resserrer les liens d’amitié entre les deux pays. En juin prochain, 25 professionnels des médias ivoiriens sejourneront en Chine.
Daniel Coulibaly
Lors d’une cérémonie de remise des prix médias 2017 du concours « La chine à mes yeux » à la Maison de la presse d’Abidjan, en présence de Tang Weibin, l'ambassadeur de Chine en Côte d’Ivoire, le jeudi 12 avril, le président de l’UNJCI(Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire), Moussa Traoré, a annoncé la construction d’une grande salle de conférence préfabriquée dans la cours de la Maison des journalistes.
«Ca sera une salle préfabriquée, a fait savoir Moussa Traoré, dont le coût avoisine les 15 millions de Fcfa ».
Le président de l’UNJCI a demandé le soutien de l’Ambassade de Chine dans ce projet, et aussi pour l’équipement de l’actuelle salle de conférence en matériel dont une vidéo-conférence sur la liste des doléances transmises à l'ambassadeur Tang Weibin.
Daniel Coulibaly
L’administrateur de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), Adama Ouane, a transmis, lundi, au président ivoirien, Alassane Ouattara, un message de la secrétaire générale, Michäelle Jean, l’invitant au XVIIème Sommet de la Francophonie les 11 et 12 octobre à Erevan en Arménie.
Cette invitation vient en appui de celle des autorités arméniennes, a indiqué l’émissaire de Michäelle Jean.
La Côte d’d’Ivoire a obtenu le quitus du Conseil d’orientation des Jeux de la Francophonie pour « la parfaite » organisation des VIIIèmes Jeux en juillet à Abidjan, a ajouté Adama Ouane.
» Ces Jeux ont désormais une dimension planétaire grâce au succès d’Abidjan; et nous avons convenu que l’enjeu dépasse les jeux », a-t-il conclu.
AIP