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La société mauricienne de services aux entreprises ABAX étend son réseau avec l’ouverture d’un nouveau bureau à Abidjan. Cette septième implantation s’inscrit dans la stratégie d’ABAX visant à renforcer sa présence en Afrique, notamment en Côte d’Ivoire, centre d’affaires de premier plan et porte d’entrée privilégiée vers les économies très dynamiques de la région. Cette nouvelle implantation vient compléter le réseau existant des bureaux d’ABAX, situés notamment à Ebène (Maurice), Dubaï, Johannesburg, Londres, Nairobi et Singapour.
Le bureau d’Abidjan permettra non seulement de mieux servir les clients existants, mais également de mieux répondre aux besoins des entreprises actives en Afrique, incluant celles venues de France et d’Europe à la recherche d’un point d’entrée sur le continent. Ce nouveau bureau est dirigé par Anjeelee Chinamal qui cumule plus de 12 ans d’expérience professionnelle en tant que comptable agréée ACCA (Association of Chartered Certified Accountants) et développeur d’affaire chevronnée. Elle a l’appui de Laurent Chabrut, économiste de formation et spécialiste de la communication qui lui se concentre sur les flux d’affaires entre l’Europe et l’Afrique.
Pour Anjeelee Chinamal :« L’ouverture de ce bureau est une étape importante dans l’expansion panafricaine d’ABAX, jusqu’alors absent physiquement de l’Afrique de l’Ouest, devenue la deuxième destination préférée des investisseurs étrangers devant l’Afrique de l’Est. Ce premier bureau en Afrique francophone en dehors de Maurice contribuera également à réduire le fossé linguistique entre les zones anglophone et francophone, l’une des fractures qui persiste en Afrique en matière de business.»
Pour Nousrath Bhugeloo, Associée Responsable du Développement International d’ABAX : « La récente ouverture de notre bureau en Côte d’Ivoire s’inscrit dans la vision d’ABAX d’être un prestataire international de services fiduciaires, de conseil et d’affaires pour l’Afrique. ABAX a une réelle volonté de se rapprocher de plusieurs pays africains qui sont les fers de lance de la croissance sur le continent. Avec un taux de croissance annuel de près de 9%, la Côte d’Ivoire confirme sa position de « hub » d’affaires important pour les pays de l’Afrique de l’Ouest. »
AT
Les populations de Tambly et Doho, dans la commune de Toulépleu ont décidé de suspendre les activités minières de l’entreprise artisanale et semi-industrielle chinoise San Xing ressources sur leur territoire pour plusieurs jours en vue de protester contre le non respect par cette société des conventions d’exploitations minières, notamment le paiement intégral des primes journalières et des frais de cession de leurs terrains.
Les ouvriers mécontents réclament l’application intégrale de la convention qui les lie à l’entreprise à savoir le paiement intégral du stock d’arriérés des primes journalières de 2500 F CFA qui étaient de 3000 F CFA. Selon le chef du village de Doho, Gbohouo Dominique, les revendications des villageois portent sur le non respect des clauses d’exploitation de ladite entreprise vis-à-vis des propriétaires de plantations qui ont cédé leurs parcelles pour son implantation.
Le porte-parole de l’entreprise chinoise, Djems Droh a confirmé les propos du chef mais préconise la voix du dialogue pour la résolution de ce différend, en attendant l’arrivée du directeur de la firme, Yang Shouan. Les travaux sont arrêtés sur tous les sites en guise de protestation en attendant les discussions avec la direction de la firme et la résolution de ces différends, explique-t-il.
Les manifestions d’humeur contre les activités de l’entreprise chinoise sont récurrentes dans la localité. Il y a quelques temps, de telles revendications des ouvriers avaient trouvé un dénouement pacifique grâce à la médiation des autorités préfectorales, rappelle-t-on.
AIP
Un homme, saigneur d’hévéa à Koukourandoumi, département d’Aboisso, communément appelé par son pseudonyme « Solo » a battu à mort sa concubine enceinte, Ablan Jacqueline, qu’il soupçonnait d’infidélité.
La concubine de solo est morte mercredi après que le saigneur lui ait administré des coups la veille et refusé de payer ses médicaments prescrits par l’infirmier du village, dans l’optique de la punir de son infidélité.
Cette supposée infidélité lui a été rapportée par un ami du couple, gardien d’une résidence privée à Koukourandoumi. Selon l’ami, la victime entretiendrait une relation avec un autre sieur de la localité.
Solo est entré dans une grande colère qui l’a conduit à la battre dans la nuit de mardi à mercredi une fois en chambre, alors que Jacqueline attendait son premier enfant. Selon des témoins, il s’est vanté de son acte auprès de quelques amis le lendemain matin.
L’homme a été arrêté par la gendarmerie d’Ayamé, signale-t-on.
AIP
La ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Kandia Camara a plaidé jeudi auprès des syndicats du secteur Education/Formation pour une trêve sociale, afin d’éviter une année blanche dans le système éducatif.
Pour la ministre, une nouvelle grève dans l’éducation équivaudrait à une année blanche. Selon elle, il n’est pas évident que les examens puissent être organisés si les cours sont interrompus par des mouvements de grève . Dans ce cas, a-t-elle expliqué, les examens à grand tirage au titre de cette année scolaire seront repoussés au mois d’août qui correspond aux grandes vacances.
Elle a en outre demandé aux enseignants notamment aux syndicats de préserver les droits des enfants quelque soit la situation, rappelant que l’instruction est l’un des droits fondamentaux de l’enfant. « Donnez la chance à nos enfants de devenir comme vous, de participer demain au développement de notre pays », a-t-elle exhorté.
Soulignant par ailleurs que la Côte d’Ivoire consacre 5 % du produit intérieur brute(PIB) et 25 % de son budget à l’éducation, elle a toutefois relevé que le pays se classe parmi les derniers de la Conférence des ministres de l’éducation des pays africains et malgache d’expression française (CONFEMEN), à cause des crises successives survenues en Côte d’Ivoire et aussi du fait des grèves à répétition dans le secteur de l’éducation.
AIP
L’Opération des Nations unies en Côte d’ivoire (ONUCI ) dont plusieurs contingents se sont succédé dans la ville de Tabou depuis 2004, a quitté la localité et libéré le stade municipal qu’elle occupait, au grand désarroi des populations qui auraient souhaité qu’elle réhabilite le site avant son départ.
« Nous ne comprenons pas pourquoi l’ONUCI a occupé notre stade pendant 14 ans et elle s’en va sans le réhabiliter, le laissant dans un état de délabrement avancé », se sont interrogés des habitants de Tabou lors de la première session ordinaire du conseil municipal de Tabou de l’année 2017 qui s’est tenue mercredi à la salle des fêtes de la mairie.
« Nous souhaitons que les autorités de Tabou demandent aux responsables de l’ONUCI de replacer les poteaux, de mettre la pelouse, les tribunes et tout le stade municipal en état pour permettre aux jeunes et à toute la population d’y mener leurs activités sportives », ont-ils ajouté.
« Nous avons compris votre préoccupation. Nous allons la transmettre », a répondu le député-maire de Tabou, Julien Klaibé qui s’est réjoui du départ de l’ONUCI parce que « c’est la preuve que la paix est définitivement revenue en Côte d’ivoire ». « Soyons des acteurs de paix pour renforcer et accélérer le développement local », a-t-il conseillé.
Le dernier contingent de l’ONUCI qui vient de quitter le stade municipal de Tabou est nigérien. Il a laissé sur place ses habitations en matériaux démontables et plusieurs conteneurs, a-t-on constaté.
AIP
Après leurs nominations en janvier, les commandants des différents corps des forces armées et la gendarmerie ivoiriennes ont commencé à prendre fonction depuis quelques jours. Ainsi, le nouveau Commandant du 1er bataillon de commandos et de parachutistes, le Lt-Colonel Ousmane Chérif a été officiellement installé dans ses fonctions le vendredi 3 février 2017.
Ce dernier, précédemment commandant en second du Groupement de sécurité de la résidence de la République, a réaffirmé son engament à servir la nation ivoirienne avec honneur. « Je réaffirme ma loyauté aux institutions et au Président de la République SEM Alassane Ouattara », a-t-il dit lors de cette cérémonie. Il s'est également engagé avec sa troupe à porter haut le flambeau national.
Par ailleurs, le nouveau commandant de la 5è légion de la gendarmerie mobile de Yamoussoukro, le lieutenant-colonel Koné Sounan, a pris fonction jeudi 2 février, tout en promettant d’œuvrer de concert avec les autres forces de défense pour la préservation de la paix, le raffermissement du lien Armée-Nation et la sécurité des populations.
Le nouveau commandant de la 5è légion mobile de la gendarmerie de
Yamoussoukro le Colonel Koné Sounan lors de sa prise de commandement
« Je voudrais donc rassurer celles-ci de mon entière disponibilité à contribuer à atteindre nos objectifs respectifs (…) Par conséquent, je prends l’engagement à consentir tous mes efforts à veiller à la sécurité publique, au maintien de l’ordre et en tant que, réserve de la gendarmerie territoriale, à l’exécution des lois dans le but de protéger les institutions nationales, les personnes et les biens dans ma zone de compétence », a déclaré le nouveau commandant en présence du commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de brigade Nicolas Kouakou.
Koné Sounan a indiqué que sa nomination est un « appel d’instinct et de confiance » à l’effet de contribuer à la préservation de l’idéal commun. « Elle (nomination) mettra en interaction, d’une part, les autorités administratives, politiques, religieuses et traditionnelles et d’autre part, la gendarmerie nationale et les autres forces de défense et sécurité, afin de répondre aux besoins des populations », a ajouté le lieutenant-colonel.
Toujours à Yamoussoukro, le nouveau patron de l’Ecole des forces armées (EFA) de Zambakro, colonel Jean Hubert Ouassénan, en a pris le commandement jeudi à l’occasion d’une cérémonie de passation de charge en présence du chef d’état-major des armées de Côte d’Ivoire (CEMA), le général de division Sékou Touré.
Le Colonel Jean Hubert Ouassénan nouveau Commandant de l'EFA
Le colonel Ouassénan succède au colonel Joseph Allah Kouamé. Il est le 27è commandant depuis sa création en 1961. En s’adressant aux officiers stagiaires de l’EFA de Zambakro, le CEMA leur a demandé de reconnaître désormais pour chef, le colonel Jean Hubert Ouassénan.
« Vous lui obéirez, en tout ce qu’il vous commandera pour le bien du service, l’exécution des règlements militaires, l’observation des lois et le succès des armes », a recommandé le général de division Sékou Touré. Il a ensuite remis officiellement le drapeau de l’EFA au nouveau commandant de la prestigieuse école de formation militaire.
« Je prends solennellement l’engagement de faire tout ce qui est mon pouvoir solennel d’être à la hauteur des attentes que j’incarne », a promis le nouveau commandant de l’EFA, tout en rendant hommage à son prédécesseur pour avoir su maintenir le prestige de l’Ecole.
A T
Tout est bien qui finit bien. C’est du moins ce que l’on puisse dire avec ce dénouement de la crise qui opposait les syndicats de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) et la direction générale de cette structure. En effet, ces syndicats qui avaient projeté puis suspendu une grève du 30 au 31 janvier 2017, dans le but de faire entendre leurs revendications, devraient être, à en croire certains de leurs membres, satisfaits de cette nouvelle concession de la direction.
En effet, l’une des principales revendications était le paiement intégral des avancements des avancements des agents qui se chiffraient au total à 300 millions de francs CFA ; mais un accord antérieur, signé en mars 2016 entre les deux parties, stipulait que face aux problèmes de trésorerie de la maison, la direction devrait d’abord consacrer 100 millions de francs CFA aux avancements à compter de fin janvier 2017. Ce, en attendant de redresser les comptes. Mais une fois ce mois arrivé, les syndicats ont, contre toute attentes réclamé l’intégralité de leurs avancements. Ils en ont même fait une revendication majeure en vue de la grève qu’ils s’apprêtaient à déclencher.
200 millions de plus
A l’issue des négociations et d’échanges sous la houlette de l’Inspection du Travail, le mot d’ordre de grève a été levé. La volonté des deux camps de favoriser le dialogue a permis d’avancer. La diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) apprend auprès de source syndicale que 200 millions en plus vont être débloqués pour payer en totalité les avancements catégoriels.
Ainsi donc, les parties (Direction Générale et mouvements syndicaux) sont reparties pour un dialogue franc et sincère dans le but trouver des solutions définitives. A propos de solutions, il en est de plus en plus question. Selon une source proche des syndicats, la Direction a fait d’énormes concessions pour assurer la paix sociale et préserver les droits des travailleurs. Sur le problème qui focalise toutes les attentions, notamment les avancements catégoriels, ce syndicaliste se réjouit du fait que la direction va payer le reliquat, soit 200 millions de F CFA dès la fin de mois de février. Des sources proches de la direction confirment à La diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) cette information, révèlent même le feu vert du Conseil d’administration dirigé par Brou Aka Pascal pour le décaissement de la somme.
Revendications
En plus du paiement intégral des avancements, les syndicats exigeaient, entre autres, le retour de l’infirmerie au siège, la scission de l’entreprise, la transformation des contrats CAT en CDD, le point de la situation sur la redevance, une nouvelle grille salariale, de même qu’un nouveau statut du personnel.
Néanmoins, la direction a déjà respecté ses engagements dès janvier 2017 avec le paiement des 100 millions au titre des avancements catégoriels. Les 200 millions complémentaires ajoutés à cette somme permettront de faire face entièrement à cette charge.
Selon nos informations le directeur général et les syndicats ont trouvé plusieurs accords au cours des dernières négociations qui sont d’ailleurs en cours. Une quiétude retrouvée qui permettra à la « Maison Bleue » de se préparer sereinement à la concurrence, dans un contexte de libération de l’espace télévisuel en Côte d’Ivoire.
Armand Tanoh
Le tout nouveau ministre des Infrastructures économiques, Dr Kouakou Koffi Amedé a effectué jeudi, une visite de chantiers pour s’enquérir de l’état d’avancement des axes routiers en aménagement, notamment Adzopé-Yakassé-Attobrou, et Akoupé-Kotobi-Bongouanou, mettant un point d’honneur sur « la qualité des travaux ».
Pour le Ministre Kouakou, cette visite de chantiers s’inscrit dans l’impérieuse nécessité de constater non seulement l’avancée des travaux mais aussi de prendre connaissance des éventuels blocages afin de les lever, conformément à la volonté du président Alassane Ouattara et de son premier ministre, Amadou Gon qui exigent désormais des routes de qualité.
« Nous avons donné des instructions de sorte que le contrôle soit très suivi, que les délais soient tenus de sorte que les ouvrages soient livrés dans le temps et puissent durer pour le temps qu’ils ont été dimensionnés. Ces routes sont conçues pour durer minimum une quinzaine d’années, il ne faudrait pas qu’au bout d’un ou deux ans, on voit des dégradations apparaître », a expliqué M. Kouakou.
Il a, en présence de ses collaborateurs, notamment de l’Ageroute, du fonds d’entretien routier, du BNETD, du LBTP, (…) signifié aux entreprises prestataires, qu’aucune réception ne pourra se faire si tant est que des défaillances étaient avérées. « On a eu des échanges techniques pour que les choses puissent être faites selon les règles de l’art et le BNETD a pris l’engagement que ce que nous avons dit en termes de contrôle sera respecté », a-t-il conclu.
La nouvelle route Adzopé-Yakassé-Attobrou, distante de 25 kilomètres pour un coût de 14,5 milliards de FCFA enregistre un avancement global de quelque 20%. L’axe routier Akoupé-Kotobi-Bongouanou, 58 kilomètres, qui lui fait l’objet d’une réhabilitation, est à 30% d’avancement et va coûter plus de 23 milliards de FCFA. Ces infrastructures ont respectivement un délai d’exécution de 24 mois.
AIP
L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés en Côte d’Ivoire en collaboration avec l’organisation « Social Change Factory » organisera, vendredi, une compétition internationale sur l’apatridie, au siège de la Banque Africaine de Développement (BAD) à Abidjan.
Les compétiteurs plancheront sur les questions liées à l’absence de nationalité, à l’apatridie. Des solutions concrètes et efficaces autour du thème: « Quelles solutions pour les personnes apatrides ? » seront présentées par de jeunes universitaires africains.
‘‘Le HCR est décidé à mettre fin à l’apatridie d’ici à 2024’’, a déclaré le représentant du HCR en Côte d’Ivoire, Mohamed Askia Touré, dans un communiqué transmis à l’AIP. Ce sont plus de 10 millions de personnes qui sont apatrides à travers le monde. Ces personnes n’ont souvent pas le droit d’aller à l’école, de consulter un médecin, d’occuper un emploi, d’ouvrir un compte bancaire, et encore moins d’acquérir une maison, indique-t-on.
En marge de cette compétition, la Radio France Internationale (RFI) consacrera une émission spéciale « 7 milliards de Voisins » autour des questions relatives à la jeunesse et à l’apatridie sur le continent africain.
AIP
Les Etalons du Burkina Faso sont tombés à la demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football 2017 (CAN 2017), face aux à des pharaons d’Egypte. Au terme d’un match nul (1-1), les poulains de Paolo Duarte se sont inclinés aux tirs aux buts (4-3). Le match, pourtant largement dominé par les Burkinabé, enregistre son premier but aux profits des Egyptiens, durant la seconde mi-temps, contre le court du jeu.
Les Etalons vont se battre pour revenir à la marque grâce à Aristide Bancé. Plus aucun but jusqu’à la fin du temps réglementaire et des prolongations.
« On est déçu »
« On est déçu. (…) C’est aux tirs au but et vous savez, là c’est une affaire de chance. Je suis très déçu. Nous ont voulais jouer au foot on voulait donner du plaisir aux peuple burkinabé et on espère qu’on a atteint ce but », a réagi au terme du match, le milieu burkinabé Alain Traoré. L’Egypte a joué l’expérience et ça a payé. Mais le Burkina, il faut le dire, n’a pas vraiment démérité.
A T