Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
La famille de l’ex-footballeur international ivoirien, Laurent N’Dri Pokou, a exprimé samedi, à Tiassalé, sa gratitude à la Nation et au monde du sport pour l’hommage rendu à leur fils.
Au nom de la grande famille, Aubin Boni a traduit leur reconnaissance à tous ceux qui leur ont apporté un quelconque soutien depuis la mort de Laurent Pokou notamment, le chef de l’Etat Alassane Ouattara, la grande famille du football en Côte d’Ivoire et dans les pays amis.
Pour le porte parole, ces soutiens « ont constitué un bouclier de solidarité autour de la famille », témoignant la renommée nationale du défunt. Pour cela, ils ont émis le vœu de remettre à l’Etat de Côte d’Ivoire, le trophée de meilleur buteur de la Coupe d’Afrique de 1968, obtenu par Laurent Pokou afin que l’objet d’art se retrouve là où tout le monde pourra le voir.
Ancienne gloire du football ivoirien, Laurent Pokou est décédé le 13 novembre à Abidjan, des suites d’une longue maladie, à l’âge de 69 ans. Les frais de ses obsèques ont été entièrement pris en charge par l’Etat ivoirien à hauteur de 43 millions de francs CFA.
AIP
Le directeur départemental de la Santé de Dimbokro, le Dr Alléchi Prospère, a révélé 20 nouveaux cas de lèpre détectés dans le département de Dimbokro ces trois dernières années.
Lors de la célébration de la 64ème journée mondiale des lépreux présidée le secrétaire général 1 de préfecture, Soro Sana, représentant le préfet de région à Chrétienkro, village des lépreux situé à quelques encablures de Dimbokro, le DDS a déploré que de 2013 à 2016, 20 nouveaux cas ont enregistrés.
« Dans le département de Dimbokro de 2013 à 2016, nous avons enregistré 20 nouveaux cas de lèpre dont 5 nouveaux cas au cours de 2016 », a regretté le Dr Alléchi Prospère, précisant l’existence de 41 lépreux dans les fichiers de ses services à Dimbokro. Il a souligné que la situation demeure peu alarmante en raison de la possibilité de guérison totale des malades sans séquelles, s’ils sont pris en charge.
Le directeur départemental de la Santé a relevé les efforts consentis par le pays depuis les indépendances jusqu’à ce jour, pour aboutir aujourd’hui à une nette régression de la lèpre.
Soro Sana a félicité les partenaires pour s’être investis aux côtés de l’administration sanitaire pour la réussite de la 64ème journée mondiale des lépreux à Chrétienkro. Il a appelé à l’engagement de tous pour lutter efficacement contre la lèpre, une « maladie handicapante et humiliante » pour la bouter hors de la Côte d’Ivoire parmi les pays endémiques au monde.
« Lutter efficacement contre ce fléau revient à ce que les malades ne désespèrent pas et suivent correctement les traitements prescrits et à faire bon usage des dons reçus, à ce que les populations doivent considérer les malades, les soutenir et les encadrer, leur apporter soutien moral et affectif, tout en ne les abandonnant ou ne marginalisant pas », a déclaré M. Soro, plaidant pour la continuation de la lutte.
« Lutter revient aux donateurs à continuer leur des œuvres de bienfaisance et de solidarité vivante à l’égard des malades », a conclu le représentant du préfet de la région du N’Zi.
AIP
L’intégration des enfants sourds dans les écoles ordinaires, initiée dans le cadre du projet Education inclusive, a été lancée, samedi, à Bouaké, par l’ONG Société sans barrière œuvrant pour la promotion des droits des personnes en situation de handicap, en collaboration avec le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Les enfants sourds en âge d’aller à l’école seront identifiés et recevront une formation de base en langue des sourds dans des centres d’éducation spécialisée ou auprès de certaines ONG, avant d’être déployés dans des classes où ils recevront les enseignements au même titre que les autres enfants. Ils seront encadrés par les mêmes enseignants ordinaires qui bénéficieront d’une formation spécialisée en langue des sourds pour traduire le cours.
Le point focal du projet Education inclusive de la direction des écoles, lycée et collèges du ministère de tutelle, Doh Célestin, a indiqué qu’il y a eu plusieurs tentatives qui n’ont pas abouti mais le format actuel a été initié au cours de l’année scolaire 2013-2014. L’expérience a été réalisée avec 12 enfants de l’école nationale des sourds qui avaient été placés dans des classes ordinaires de niveau CE1 après avoir formé les enseignants qui les tenaient en langue des sourds. Aujourd’hui, ces élèves sont en classe de CM2.
A en croire M. Doh, après le succès de cette expérience, le projet est dans la phase de passage à l’échelle nationale. Une classe est déjà ouverte au cours de cette année scolaire dans une école locale où quelques enfants malentendants reçoivent les enseignements au même titre que les autres par un enseignant formé depuis l’année dernière. Dix autres élèves maîtres sortis des CAFOP sont en formation au langage des sourds et seront redéployés dans des classes qui seront ouvertes à la rentrée prochaine.
Le directeur régional de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle de Bouaké 2, Lassina Sylla, et le directeur exécutif de l’ONG, Sanogo Yédê Adama, exhortent les parents à ne plus cacher leurs enfants handicapés mais à venir les inscrire pour leur donner les mêmes chances que les autres.
«Tous les enfants que nous pensons différents des autres, leur place n’est pas à la maison mais en classe», a souligné Sanogo Yédê, présentant son propre cas en guise de témoignage. Il est devenu sourd depuis son jeune âge suite à une maladie mais malgré ce handicap, il a pu continuer les études.
AIP
Des leaders d’opinion de Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) ont bénéficié de vendredi à samedi, d’une formation sur les règles et procédures d’accès à la justice ainsi que sur l’organisation du système judiciaire ivoirien, à l’initiative de Transparency justice.
Selon le chargé du projet à Transparency justice, Krou Michel, cet atelier de formation s’inscrit dans le cadre du projet de promotion de l’accès à la justice et de vulgarisation de l’assistance judiciaire, financé par l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) à travers Projustice.
L’atelier vise à améliorer les connaissances des leaders d’opinion sur le fonctionnement de la justice et à vulgariser le mécanisme de l’assistance judiciaire.
Il a dit attendre des participants la vulgarisation des informations reçues auprès de leur communauté et leur appui dans la stratégie de mobilisation de Transparency justice pour la réussite du projet.
Mis en œuvre depuis décembre 2016, le projet de promotion de l’accès à la justice et de vulgarisation de l’assistance judiciaire prendra fin en novembre 2018.
AIP
Une messe d’au revoir a été célébrée dimanche à l’honneur du recteur de la basilique Notre Dame de la paix de Yamoussoukro, le père Stanislaw Skuza, appelé à d’autres missions après 24 ans de service en Côte d’Ivoire.
Cette messe a été dite à la basilique Notre Dame de la paix de Yamoussoukro en présence du Nonce apostolique, Mgr Joseph Spitéri, de l’évêque du diocèse de Yamoussoukro, Mgr Marcellin Yao Kouakou, de l’imam de la grande mosquée de la paix de Yamoussoukro, Saïd Sylla, ainsi que des autorités administratives, militaires et coutumières de la ville.
Le père Stanislaw Skuza est originaire de la Pologne. Il est arrivé pour la première en terre ivoirienne en 1993. Son successeur est le père Franck Sylvestre Allatin, premier recteur ivoirien de la basilique depuis sa création. « Après 24 ans, je pars avec beaucoup d’images. Nous avons vécu ensemble des moments intenses de joie et de grandes célébrations. Je garde ses souvenirs vivants dans ma mémoire spirituelle », a déclaré le père Stanislaw Skuza.
Il a exprimé sa reconnaissance aux autorités du Vatican et de la Côte d’Ivoire et salué les longues années de bonne collaboration avec le clergé ivoirien, les mouvements du diocèse de Yamoussoukro ainsi qu’avec les services pastoraux et administratifs de la basilique qui lui ont permis de mener à bien sa mission.
Le Nonce apostolique en Côte d’Ivoire tout comme l’évêque du diocèse de Yamoussoukro ont, au cours de la célébration eucharistique, salué le recteur sortant pour son ministère de qualité, son sens d’organisation, sa disponibilité et sa collaboration au service de la paix et de la réconciliation en Côte d’Ivoire. Ils ont imploré le seigneur afin que la grâce et le bonheur accompagnent le père Stanislaw Skuza dans ses nouvelles charges.
La gestion de la basilique est confiée depuis sa fondation en 1991 à la congrégation des Pallotins ou société de l’Apostolat catholique, fondée en 1935 par Vincent Palloti.
Les différents recteurs qui se sont succédé à la tête de la basilique sont le père Aleksander Pietrzyk, de 1991 à 1998, le père Jaroslaw Buchholz, de 1998 à 2001, et le père Stanislaw Skuza, de juin 2001 au 15 févier 2017.
AIP
Neuf personnes, dont trois enfants, ont été tuées dimanche dans un accident de la route survenu à quelques encablures de la ville d’Aniassué (environ 25 km d’Abengourou), a-t-on appris de source hospitalière.
Un excès de vitesse serait à l’origine de ce drame qui a également fait plusieurs blessés, dont des cas graves, tous évacués aux urgences du centre hospitalier régional (CHR) d’Abengourou par les agents de l’office national de la protection civile (ONPN) basés dans cette ville.
Le véhicule accidenté, d’une capacité de 70 places, appartient à la compagnie de transport GTT reliant Abidjan et Bondoukou. Il avait quitté Abidjan tôt le matin pour la capitale de la région du Gontougo située à environ 400km, précise-t-on.
Par ailleurs, un minicar de 32 places, en provenance de Ouangolodougou (Nord, région du Tchologo) pour Bouaké (Centre,région de Gbêkê) avec à son bord 28 personnes, s’est retrouvé dans un ravin samedi, en début d’après-midi, à l’entrée nord de Kolokaha, 11 km de Tafiré (Niakaramadougou), sans faire de blessés.
AIP
La ville de Yamoussoukro ambitionne de remporter pour la troisième fois consécutive, la couronne de Miss Côte d’Ivoire, a révélé samedi le président du comité régional de Miss Côte d’Ivoire (COMICI), Félicien Gaumont, lors de la soirée de présélection qui a vu la consécration de Mlle Aude Saki, l’édition 2017 à Yamoussoukro.
L’élue de Yamoussoukro et sa 1ère dauphine, Nikita Légré, sont qualifiées directement pour la phase finale à Abidjan. « Ces perles représenteront la région du Bélier et du district de Yamoussoukro pour ajouter au palmarès et confirmer que la capitale politique ivoirienne est l’antre de la beauté », a déclaré le président régional du COMICI Félicien Gaumont.
Âgée de 18 ans et élève en classe de Terminale A2 au lycée Iris d’Abobo (Abidjan), Aude Saki, a été l’heureuse élue parmi les 12 prétendantes, au terme d’une soirée féerique organisée à l’hôtel président de Yamoussoukro. Elle a obtenu 142/180, soit une moyenne de 7,88/10 suivie de Nikita Légré (136 points) et Elodie Djédri (132 points) respectivement 1ère et 2ème dauphines.
Avec son dossard N°06, du haut de ses 1,19 m et 50 kg, Aude Saki a tout simplement séduit, dès son premier passage en tenue traditionnelle. Elle a rassuré, par son allure, au deuxième passage en tenue de ville avant de convaincre définitivement, par sa prestance, le public et le jury lors du troisième passage en tenue olympique ou tenue de « vérité ».
La nouvelle ambassadrice de la beauté de la cité des lacs a reçu sa couronne des mains de Miss Côte d’Ivoire, Esther Mémel, qui avait remporté l’édition 2016 à la présélection de Yamoussoukro. La capitale politique a remporté cinq titres de Miss Côte d’Ivoire avec Miss Aïcha Rami en 1997, Sylviane Dodo en 1999, Linda Délon en 2000, Andréa Kakou N’Guessan en 2015 et Estelle Emmanuelle Mémel en 2016.
La présélection de Miss Côte d’Ivoire est placée sous le thème « emploi jeune et économie durable » et est à sa troisième étape à Yamoussoukro. La cérémonie est patronnée par le président du conseil régional du Bélier, Jeannot Ahoussou Kouadio, représenté par le ministre Kouassi Adjoumani, parrain de la cérémonie.
AIP
La 25ème édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (FESPACO) s’est officiellement ouverte ce samedi dans la capitale burkinabè en présence du président Roch Christian Kaboré et avec la participation à la cérémonie d’ouverture du reggaeman ivoirien, Alpha Blondy.
La Côte d’Ivoire est l’invitée d’honneur de l’édition 2017 de ce rendez-vous du septième art panafricain dont le thème est "Formation et métiers du cinéma et de l’audiovisuel" et qui enregistrera, lors de la cérémonie de clôture, le 4 mars prochain, la présence du président ivoirien, Alassane Ouattara, à Ouagadougou.
Selon le délégué général de la manifestation, Ardiouma Soma, pour cette année, 150 films, toutes catégories confondues, ont été retenus sur le millier envoyé aux organisateurs, "une augmentation de 30% par rapport à l’édition de 2015", a-t-il fait remarquer, ajoutant toutefois que quelque 20 films dont deux longs métrages de la Côte d’Ivoire sont en lice pour le prestigieux trophée de l’Etalon d’or de Yennenga.
Ouattara à la clôture
Présent à l’ouverture de la 25ème édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (FESPACO), le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman Kouakou, a annoncé la présence du président ivoirien, Alassane Ouattara, à la cérémonie de clôture, le 4 mars, dudit festival.
Remerciant les autorités burkinabè pour le choix de la Côte d’Ivoire comme invitée d’honneur à l’édition 2017 du FESPACO, le ministre Maurice Bandaman a indiqué qu’une délégation forte de 300 personnes est présente à Ouagadougou dans le cadre de ce rendez-vous des arts.
D’ailleurs, pour marquer favorablement sa position d’invitée d’honneur, la Côte d’Ivoire a mis à la disposition du comité d’organisation la somme de 50 millions de FCFA et son reggaeman de renom, Alpha Blondy, qui a fait une forte prestation lors de la cérémonie d’ouverture en présence du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.
Un village de 1200 m², reflétant un pan de la culture ivoirienne, sera officiellement ouvert ce dimanche à la place de la Nation de Ouagadougou, signale-t-on.
L'Ivoirien Kramo Lanciné Fadika immortalisé
Le cinéaste ivoirien Kramo Lanciné Fadika, victorieux de l’Etalon d’or du Fespaco 1981, est immortalisé dans la capitale burkinabè à travers une statue de bronze qu’il a procédée dimanche à son inauguration.
Cette cérémonie de dédicace de la statue de bronze de Kramo Lanciné Fadika, la cinquième du genre sur l’avenue des cinéastes à Ouagadougou, s’est déroulée en présence des ministres ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, et burkinabè de la Culture Tahirou Barry, et de nombreux festivaliers et cinéastes dont le secrétaire général de la Fédération panafricaine des cinéastes (FEPACI) Cheick Omar Sissoko, selon une dépêche de l’Agence d’information du Burkina (AIB) parvenue à l’AIP.
Pour le cinéaste ivoirien, bien qu’un film réalisé retient l’attention d’un jury, "mais il y a toute l’équipe anonyme autour de ce film qui s’est donnée elle-même, qui a aidé à la fabrication de ce film". "J’ai une pensée très profonde pour ces personnes-là", a ajouté Kramo Lanciné Fadika, témoignant sa gratitude au peuple burkinabè pour le festival qu’il accueille depuis et exprimant ses vifs remerciements au ministre Maurice Bandaman pour son implication personnelle dans la réalisation de la statue.
Kramo Lanciné Fadika a reçu le Grand prix (Étalon de Yennenga) au 7ème Fespaco en 1981, avec son film "Djéli", rappelle-t-on.
Une avenue, débouchant sur la Place des cinéastes est réservée par les autorités municipales de Ouagadougou, pour l’édification de statues à l’effigie de tous les cinéastes détenteurs de l’Etalon de Yennenga, signale-t-on.
Le 25e Fespaco ouvert samedi, ferme ses porte le 4 mars en présence du président Alassane Ouattara dont son pays est l’invité d’honneur.
La Côte d’Ivoire, invité d’honneur du 25ème Fespaco, animera aux côtés d’autres pays, dès dimanche à la place de la Nation de Ouagadougou, un village de 1200 m², reflétant un pan de la culture ivoirienne.
Initialement prévue ce samedi en mi-journée, la coupure de ruban du village Akwaba de Côte d’Ivoire a été reportée dimanche, pour permettre aux artisans de parachever l’installation de leurs stands, rapporte l’AIB.
Le village Akwaba, situé à l’angle sud-est de la place de la Nation, comprend une grande tente blanche climatisée de 1200 m² avec tout autour, des stands de même couleur.
En plus du village Akwaba, l’aire de la place de Nation de Ouagadougou est aussi occupée par plusieurs dizaines de stands, d’exposants locaux et des pays de la sous-région.
La 25ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), se déroule du 25 février au 4 mars.
AIP
Le ministre ivoirien de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, effectue du 25 février au 03 mars, une mission à Barcelone en Espagne, dans le cadre du Congrès mondial de la téléphonie mobile (GSMA 2017).
Le Congrès mondial de la téléphonie mobile (GSMA) est une organisation mondiale de l’industrie des télécommunications qui réunit chaque année plus de 50 000 visiteurs venant du monde entier et se consacre aux nouvelles tendances et perspectives du secteur. L’édition de cette année donnera l’occasion aux congressistes de réfléchir sur la pratique des objectifs de développement durable (ODD) et le développement.
Au cours de ce congrès, Bruno Koné participera au Programme ministériel, un forum qui offre aux hauts responsables gouvernementaux et aux régulateurs des télécommunications, une possibilité d’accroître leurs connaissances, de débattre sur des sujets d’actualité et de collaborer avec des experts de l’industrie de la téléphonie mobile sur des questions politiques et de régulation.
Ce Programme mettra en avant l’impact socio-économique positif des communications et de la technologie mobile autant dans les pays en développement que dans les Etats développés. Il permettra de créer un environnement politique approprié et de construire de nouveaux partenariats en vue d’un meilleur avenir.
Plus précisément, il permettra aux responsables gouvernementaux et de l’industrie d’échanger sur l’état actuel de l’industrie mobile, ainsi que sur les politiques et initiatives potentielles pouvant apporter de la valeur ajoutée aux citoyens de notre ère digitale. Enfin, une journée sera dédiée aux objectifs politiques clés pour faire avancer l’économie numérique et la société, rapporte une note d’information de son ministère transmis vendredi à l’AIP.