Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La représentante spéciale du secrétaire général de l’Onu en Côte d’Ivoire, Aichatou Mindaoudou, a remis officiellement jeudi, aux chefs traditionnels de Divo les clés d’un bâtiment flambant neuf qui leur servira de siège.

Situé dans l’enceinte de la sous-préfecture  « la maison des chefs » de Divo a été entièrement construite et équipée de diverses commodités par l’opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) à hauteur de 18 millions francs CFA, annonce l'AIP.

« Il s’agit de  donner un lieu de rencontres aux chefs traditionnels, d’améliorer leurs conditions de travail et de rendre plus efficace leur collaboration avec l’administration préfectorale précisément dans la recherche de la cohésion sociale, de la paix et de la réconciliation », a affirmé Mme Mindaoudou.

Elle a ensuite rappelé le rôle de médiateur qui incombe aux chefs et l’impératif pour les garants de la tradition  de faire des recommandations qui rassemblent et qui unissent durablement dans l’exercice de leurs fonctions.

La cérémonie était couplée avec l’inauguration anticipée du foyer des jeunes de la sous-préfecture de Gagoré.

La maison des chefs traditionnels de Divo et le foyer des jeunes de Gagoré sont les derniers projets à impact rapide de l’Onuci et les tout derniers à être inaugurés personnellement par Mme Mindaoudou, a-t-on appris.

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Huit romancières de différents pays d’Afrique ont partagé leurs visions sur la littérature féminine africaine, à l’occasion d’un salon littéraire organisé jeudi à Rabat, dans le cadre de la manifestation culturelle dénommée « L’Afrique en capitale ».

Lors de cette rencontre littéraire, tenue dans le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI), sous le thème « Voix de femmes », Scholastique Mukasonga (Rwanda), Leila Abouzeid (Maroc), Rabâa Abdelkefi (Tunisie), Nora Amin (Egypte), Sefi Atta (Nigeria), Khadi Hane (Sénégal) Latifa Baqa (Maroc) et Siham Bouhlal (France/Maroc) ont partagé avec un public venu nombreux leur conception de la littérature et les thèmes qu’elles abordent.

Selon l’agence de presse officielle du Maroc, la MAP, cette rencontre, animée par les écrivains marocains Kebir Mustapha Ammi et Hassan Nejmi, a été également l’occasion de plonger dans des parcours littéraires aussi divers que riches de femmes.

Ces dernières ont décidé de prendre leur plume et de s’exprimer, animées en cela par la volonté de mettre les mots sur les maux, militer pour les droits de leurs compatriotes, dénoncer le lourd poids des traditions, changer les mentalités, revendiquer des changements sociaux majeurs et valoriser la femme.

Ce salon a été initié par le CNDH en partenariat avec l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), l’Académie du Royaume du Maroc, la FNM et l’Université internationale de Rabat (UIR).

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Le cabinet d’intelligence économique et de conseil dénommé Oxford Business Group (OBG) et le cabinet Bilé-Aka, Brizoua-Bi & Associés, cabinet d’avocats à vocation internationale, ont signé un accord de partenariat pour une étude visant à analyser les perspectives du système légal à travers les différents secteurs de l’économie ivoirienne pour son prochain rapport économique « The Report : Côte d’Ivoire 2018 ».

Entre 2012 et 2016, la Côte d’Ivoire a adopté plusieurs réformes pour attirer les investisseurs privés et améliorer l’environnent des affaires. La révision du droit des sociétés, le code minier, la création du tribunal de commerce et la libéralisation du secteur de l’énergie ont été salués par la plupart des acteurs économiques, même si certains n’hésitent pas à exprimer la nécessité d’aller plus loin afin que le cadre légal soit mieux adapté aux besoins actuels des investisseurs, explique-t-on.

« Malgré certains défis qui persistent, les résultats des réformes engendrées depuis 2012 ont eu un impact positif. Certaines réformes, comme l’instauration du tribunal de commerce, peuvent même être considérées comme un modèle au niveau régional. Pour garantir ces acquis sur le long terme, les autorités ivoiriennes doivent offrir un soutien continu à de telles institutions afin qu’elles puissent conserver leur indépendance et continuer de se développer», a signifié Me Joachim Bilé-Aka, lors de la cérémonie qui a eu lieu le 13 avril.

En dépit d’une certaine instabilité en début d’année et de l’effet néfaste de la chute du prix du cacao, l’économie ivoirienne devrait garder un rythme de croissance soutenu en 2017. Le programme national de développement (PND) pour la période 2016-2020, soutenu par l’investissement privé, continue d’attirer les capitaux dans les secteurs clés de l’économie tels que l’agriculture, les mines, l’industrie, la construction, les services financiers, ou encore l’industrie pharmaceutique, souligne le cabinet d’intelligence économique.

Pour le cabinet, la Côte d’Ivoire est aujourd’hui l’un des pays d’Afrique subsaharienne les plus attractifs pour les investisseurs. OBG travaille en partenariat avec le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI)  ainsi que les opérateurs locaux dans l’accompagnement de la vision 2020 visant à positionner la Côte d’Ivoire au statut de pays émergent, précise-t-il.

« La Côte d’Ivoire connait une croissance soutenue depuis plusieurs années, mais des défis structurels sont toujours présents. L’application des réformes de la loi sont un enjeu clé pour améliorer l’attractivité du pays pour les investisseurs», a soutenu la directrice d’OBG en Côte d’Ivoire, Clémentine Clabaut, estimant que les réformes du système légal sont importantes pour un développement économique optimal.

La dernière publication d’OBG dans le pays, « The Report: Côte d’Ivoire 2017 » en partenariat avec le CEPICI, la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), le cabinet d’avocats Bile-Aka, Brizoua-Bi & Associés, la société de bourse Hudson & Cie, et le cabinet d’audit PwC est disponible depuis le mois de février.

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Le Groupe de la Banque mondiale a lancé XL Africa, un programme d’accélération commerciale de cinq mois conçu pour soutenir les 20 startups numériques les plus prometteuses d’Afrique subsaharienne. Les startups recevront un mentorat de la part d’experts internationaux et locaux, évolueront à travers un programme d’apprentissage sur mesure, amélioreront leur visibilité régionale et accéderont à des investisseurs et partenaires potentiels. Avec le soutien de groupes d’investissement africains éminents, XL Africa aidera les 20 startups sélectionnées à attirer des capitaux de départ pour un montant oscillant entre 250 000 USD et 1,5 million USD.  

« Les startups numériques sont des moteurs importants de l’innovation en Afrique », a indiqué Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique. « Pour multiplier et diffuser les nouveaux services et technologies au-delà des frontières, elles ont besoin d’un écosystème intégré qui fournisse un accès aux marchés régionaux et aux investissements mondiaux ; les initiatives panafricaines telles que XL Africa jouent un rôle essentiel en liant à l’échelle du continent les startups locales et les sociétés et investisseurs. »

Le programme est lancé dans un contexte d’intérêt croissant envers le secteur numérique africain. Selon un récent rapport de Disrupt Africa, en 2016, le nombre de startups technologiques ayant obtenu un financement a augmenté de 16,8 % par rapport à 2015.

« XL Africa vise à mettre en lumière l’économie numérique du continent en pleine croissance en recherchant et en soutenant les startups technologiques les plus innovantes », a déclaré Klaus Tilmes, directeur de la Trade & Competitiveness Global Practice du Groupe de la Banque mondiale. « Le succès de ces entreprises produira un effet de démonstration qui permettra d’attirer d’autres investissements indispensables dans le secteur et de catalyser le développement des entreprises transnationales dans la région. »

L’activité phare du programme comprend une résidence de deux semaines au Cap, en Afrique du Sud, où les entreprises auront la possibilité d’interagir avec et d’apprendre auprès de leurs mentors, pairs et partenaires locaux. Cette résidence au Cap se clôturera par le salon Venture, qui est un événement régional dans le cadre duquel les entrepreneurs auront l’occasion de présenter leurs modèles d’entreprise à un public choisi de sociétés et d’investisseurs.                                                                                              

« La combinaison unique de mentorat ciblé et d’accès aux investisseurs offerte par le programme représente une ressource vitale pour les entreprises numériques prêtes à se développer », a indiqué Lexi Novitske, chef des investissements chez Singularity Investments, un groupe d’entreprises basé à Lagos (Nigeria). « En faisant le lien entre les idées d’affaires novatrices et les connaissances et ressources disponibles dans l’écosystème, XL Africa donnera lieu à un pipeline d’entreprises prêtes au financement et facilitera ainsi les opportunités d’investissement pour les investisseurs régionaux et mondiaux ».

Le programme travaillera en collaboration avec d’éminents groupes d’investissement africains tels que le réseau African Business Angel Network (ABAN), AngelHub Ventures, Goodwell Investments, Knife Capital, Nest Africa, Silvertree Capital, Singularity Investments, South African Business Angel Network (SABAN), TLcom Capital, Zephyr Acorn et 4Di Capital, et des partenaires commerciaux tels que Orange, .Eco, Ringier et Thomson Reuters.

Les entreprises intéressées peuvent postuler en ligne sur le site Internet de XL Africa www.XL-Africa.com avant le lundi 12 juin 2017.

XL Africa est financé par les gouvernements de Finlande, de Norvège et de Suède et administré par le Groupe de la Banque mondiale avec l’appui d’IMC Worlwide, de VC4A et de Koltai & Co pour la mise en œuvre. 

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Des supports pédagogiques pour aider les enseignants à mieux dispenser les cours  de culture entrepreneuriale sont en confection et seront disponibles à partir du mois d’août, a informé, jeudi, à Tiassalé, le directeur de la vie scolaire, Effimbra Kouakou Nicolas, rapporte l'AIP.

L’enseignement de l’entrepreneuriat à l’école a été intégré au programme en cette année scolaire 2016-2017. Il concerne tous les trois cycles de l’enseignement de base : préscolaire, primaire et secondaire.

M Effimbra était à Tiassalé pour instruire les enseignants de la direction départementale locale de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et la Formation professionnelle  sur cette nouvelle discipline dont l’objectif est notamment de développer chez l’apprenant l’esprit d’entreprise. La discipline promeut, de ce fait, l’autonomisation et le leadership de l’élève. Elle préconise une approche pédagogique participative qui met en situation l’enseignant et l’élève, a indiqué le directeur de la vie scolaire.

Il a étayé son argumentaire en s’appuyant sur l’exemple d’un projet de création d’un champ de tomate pour la coopérative scolaire. « La mise en situation ici fait intervenir la réalisation d’un plan par l’enseignant, le dimensionnement du terrain par les élèves. L’espace concerné devra être clôturé. Cela fera appel à des qualités de maçonnerie et de menuiserie que les élèves développent eux mêmes. Ainsi, se développe l’esprit d’observation et de participation de l’élève.  Celui ci prend des initiatives et apprend à se rendre autonome puis à gérer les matériaux à sa disposition »,  a-t-il expliqué.

Il a exhorté les enseignants à s’approprier l’enseignement de la culture entrepreneuriale.

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Un policer a été tué, deux autres grièvement blessés et un assaillant abattu lors d’une fusillade survenue sur l’avenue des Champs Elysées à Paris ce jeudi à 21H (19H GMT), a fait savoir la préfecture de police de Paris.
 
 
La piste terroriste est envisagée. Une enquête a été diligentée par le parquet de Paris qui a saisi la section antiterroriste de la police judiciaire ainsi que la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). « Les policiers de la compagnie attaquée étaient en surveillance statique, dans un véhicule à l’arrêt quand ils ont été pris pour cible », a expliqué Philippe Capon, du syndicat UNSA Police.
 
 
« On sortait tout juste du restaurant et à ce moment là il y a eu un mouvement de panique, tout le monde s’est levé de la terrasse et a commencé à courir. Je n’ai pas eu le temps de regarder la scène et de voir exactement comment cela s’est passé. Il y a eu des tirs, mais je ne peux pas préciser s’il s’agissait d’une arme lourde », a raconté un témoin de la scène, Augure.
 
 
La préfecture de police a averti qu’une intervention était en cours, appelant les populations à éviter le secteur , le quartier étant circonscrit et d’importantes forces de police déployées.
 
 
Le président François Hollande, le Premier ministre Bernard Cazeneuve et le ministre de l’Intérieur Matthias Fekl se sont rassemblés pour une réunion de crise à l’Elysée.
 
 
Les policiers attaqués sont de la 32e compagnie d’intervention de la direction de l’ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris (DOPC). Cette fusillade survient à trois jours du premier tour de l’élection présidentielle française qui voit 11 candidats s’affronter.
 
L’organisation terroriste Etat islamique (EI) a revendiqué l’attentat, à travers son organe de propagande Amaq.
AIP

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Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres et le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, ont signé mercredi  à New York, lors de la première conférence conjointe annuelle, un accord-cadre visant à renforcer le partenariat entre les deux organisations en matière de paix et de sécurité.

« Je ne doute pas que cette première conférence entre la Commission de l’Union africaine et le Secrétariat de l’ONU représente une étape importante dans notre coopération », a dit M. Guterres.

« Nous créons effectivement les conditions d’une coordination renforcée de nos activités à tous les niveaux. Nous partageons la vision selon laquelle la paix et la sécurité, le développement inclusif et durable, les droits de l’Homme et la bonne gouvernance sont des dimensions qui nécessitent une vision commune et une coopération renforcée entre nos deux organisations », a-t-il ajouté.

Tout en se  félicitant de ce nouvel accord, il a rappelé que  les questions de paix et de sécurité ont évolué. «Cela nous oblige à un examen stratégique de la façon dont nous menons les opérations de paix et à explorer pleinement la complémentarité et l’interdépendance de l’Union africaine et de l’ONU », a-t-il souligné.

Guterres et Mahamat ont en outre discuté de la complémentarité entre le Programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030 et l’Agenda 2063 de l’Union africaine, ainsi que de la lutte contre le terrorisme et du financement des opérations dirigées par l’UA.

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L’opérateur de téléphonie mobile, MTN Côte d’Ivoire a lancé, jeudi, les activités de sa nouvelle filiale MTN mobile financial services Côte d’Ivoire (MTN MFS CI), un établissement émetteur de monnaie électronique.

La filiale est désormais garante de l’émission, de la gestion, de la distribution de la monnaie électronique de MTN mobile money. Elle est également chargée de la politique de conformité ainsi que du suivi général de l’activité d’émission de monnaie électronique.

« MTN MFS CI est résolument engagée à être un acteur majeur de la finance mobile s’appropriant la vision de l’inclusion financière dans l’Uemoa qui est de permettre un accès aux services financiers et une utilisation effective par les populations d’une gamme diversifiée de produits adaptés et à coûts abordables », a indiqué sa directrice générale, Mme Marie Bitty.

Pour Mme Bitty, l’ouverture de cette filiale marque une étape clé pour la société de téléphonie mobile dans le développement et l’évolution structurante de services financiers mobiles innovants.

« L’inclusion financière ne pourra se développer qu’à travers des solutions innovantes qui intègrent l’utilisation des téléphones portables », a souligné pour sa part, le représentant du ministre de l’Economie et des Finances, Issa Fadiga. Selon lui, la finance digitale doit jouer un catalyseur dans les politiques de rapprochement des populations vers les services financiers.

Avec un réseau de 15.000 points de distribution, MTN MFS CI compte plus de quatre millions de clients MTN mobile money. Environ 1500 milliards de FCFA de transactions ont été réalisées via MTN mobile money en 2016. Environ sept millions de détenteurs de comptes mobile money pour environs trois millions de comptes actifs représentant 18 milliards de transactions quotidiennes, enregistrés en Côte d’Ivoire, indique-t-on.

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Un atelier de programmation conjointe du projet PNUD-OIM « Coopération transfrontalière entre la Côte d’Ivoire et le Liberia pour la paix durable et la cohésion sociale » se déroule de jeudi à vendredi à Grand-Bassam, dans l’objectif d’élaborer un Plan de travail conjoint annuel (PTA) 2017 de qualité du projet.

Organisé à l’hôtel Afrikland, l’atelier regroupe les représentants ou les points focaux des agences participantes du Système des Nations Unies (SNU), les représentants des ministères impliqués et des structures partenaires ainsi que des organisations de la société civile et les membres du secrétariat technique PBF (Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix).

Pour le Coordonnateur résident du SNU, Coordonnateur humanitaire et Représentant résident du PNUD, M. Babacar Cissé, cet atelier doit permettre de disposer d’un plan de travail conjoint reflétant les différentes activités à mener de même qu’une analyse des risques et hypothèses. Et ce, afin d’anticiper les mesures de mitigation et de s’accorder sur les mécanismes de gestion du projet.

Ce projet conjoint transfrontalier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de la 2ème réunion du Conseil conjoint des Chefs coutumiers et des Anciens de la Côte d’Ivoire du Liberia tenue en 2016 à Guiglo, dans l’Ouest ivoirien, en présence des Présidents Alassane Ouattara et Ellen Johnson Sirleaf.

« Il participe aussi à la mise en œuvre de la Résolution 2226 du Conseil de sécurité qui, comme Guiglo, a rappelé la nécessité d’accroître la sécurité et la stabilité de la région, en intensifiant les efforts de coopération transfrontalière », a situé M. Babacar Cissé.

En outre, l’élaboration de ce projet transfrontalier s’inscrit dans le contexte global du retrait définitif de la MINUL et de l’ONUCI, les missions onusiennes au Libéria et en Côte d’Ivoire. Elle devra donc contribuer à la consolidation des acquis de ces missions de maintien de la paix et la prise en compte des défis résiduels.

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L’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA) organise jeudi et vendredi, à Abidjan, une table ronde en vue de réfléchir sur la stratégie pour gagner plus de lauriers lors des jeux de 2020 à Tokyo, au Japon, rapporte l'AIP.

Les travaux ouverts par le ministre des Sports et des Loisirs, François Albert Amichia, porteront autour de deux thématiques qui sont l’évaluation de la performance de l’Afrique aux Jeux Olympiques de Rio 2016  et l’identification des prétentions de l’Afrique pour les Jeux Olympiques de Tokyo 2020.

Le ministre Amichia a salué l’importance de cette table ronde et la volonté de l’ACNOA, pour cette olympiade (2016-2020) de s’inscrire dans une politique d’excellence.

Selon lui, les expériences avérées des participants contribueront à ouvrir un champ nouveau dans le monde du sport par une gestion saine et efficiente, en vue de l’amélioration des résultats des sportifs africains.

« C’est pourquoi, le thème choisi, les objectifs définis, ainsi que le mode opératoire déterminé constituent pour nous un réel motif d’espoir et augurent d’un lendemain meilleur pour les sportifs africains », s’est-il réjoui.

Lors des derniers Jeux Olympiques de Rio de Janeiro, au Brésil en août 2016, les athlètes africains ont décroché 45 médailles dont deux médailles (or et bronze) pour la Côte d’Ivoire en tae Kwondo, rappelle-t-on.

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