Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Le Roi Mohammed VI entamera le 20 mai 2015 une nouvelle tournée officielle de travail et d'amitiés en Afrique qui le conduira au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Gabon et en Guinée Bissau.
Ces nouvelles visites officielles de travail de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, très attendues aussi bien par les dirigeants que par les populations des pays concernés, consolideront davantage l’ancrage africain du Maroc et sa coopération avec les pays amis du continent africain mais attestent aussi de l'importance stratégique qu'accorde le Souverain marocain à une coopération tous azimuts avec les pays africains, renforçant la position du Maroc en tant que porte d'accès en Afrique pour l'Europe et les Amériques.
D'ailleurs, la coopération économique Sud-Sud avec le continent africain constitue une des priorités de la politique étrangère du Maroc qui défend le principe de "coopération triangulaire" dans laquelle il propose aux pays africains amis le capital de confiance  et de crédibilité dont il dispose auprès de ses partenaires dans le monde.
Outre le volet économico-commercial, le politique, le social, le religieux, le sécuritaire, le dossier du Sahara marocain, la situation au Mali, en Libye, au Yémen, en Irak et en Syrie seront abordés lors ces nouvelles visites de travail du Roi du Maroc. Des visites qui scelleront les orientations foncièrement africaines du Maroc et conforteront sa position de modèle auprès des pays africains.
 
Farid Mnebhi, corresponce particulière

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Policiers, gendarmes, militaires, appartenant aux anciennes Forces de défense et de sécurité (FDS) et aux ex-rebelles des Forces nouvelles qui ont occupé près d’une décennie la partie Nord de la Côte d’Ivoire, fument désormais le calumet de la paix. Les armes s’étant tues, place à la réconciliation entre frères d’armes. Après toutes ces années de guerre fratricide, les ex-belligérants ont vite fait de rattraper les temps perdus à se combattre. Et le racket, tare la mieux partagée de ces chaleureuses retrouvailles, constitue désormais le trait d’union qui cimente le vivre ensemble entre les anciens frères ennemis.  

 

Une pratique qui coûte plus de 100 milliards

Selon une étude publiée en 2008 par la Banque mondiale, le racket des forces de sécurité ivoiriennes, aussi bien sur les transports de voyageurs que de marchandises, coûte ‘illégalement’ entre 95 et 150 milliards de francs CFA par an. Un état de fait d’agents véreux qui constitue un obstacle à la libre circulation des biens et des personnes en Côte d’Ivoire, en même temps qu’il porte un impact négatif sur l’activité économique du pays, indique l’étude.

 

A Abidjan comme en province

A Abidjan comme en province, les forces de l’ordre ivoiriennes restent fidèles à l'exercice du racket. Lieux de prédilection, les routes, les gares routières dont certaines sont gérées, en sous-main, par des militaires à dans la capitale économique. Et les usagers (transporteurs comme passagers) continuent d'en faire les frais. Entre menaces, intimidations, trafics d’influence et très souvent agressions physiques, tous les moyens sont utilisés par les "racketteurs" en uniforme pour parvenir à leurs fins. Dans certaines gares routières comme le "Lavage" de Yopougon et la gare de taxis intercommunaux de Koumassi, des "éléments" des Forces républicaines de Côte d'Ivoire passent une fois par semaine, selon des acteurs du milieu, pour prendre la "ration" de leur "commandant". Et lorsque les syndicats des transporteurs ne s’exécutent pas, ils doivent s’attendre à en assumer les conséquences. Début septembre 2014, la gare de taxi intercommunaux de Koumassi fut le théâtre d’une décente musclée d’hommes en armes dans une nuit, tirant en l’air, et agressant au passage tous les chauffeurs présents sur les lieux. La pomme de discorde, le refus par les chauffeurs, selon ceux-ci, de verser à un chef militaire sa ration habituelle. « Nous avons récemment décidé de ne plus verser les 300 000 FCFA que nous ont imposé, chaque lundi, les militaires. Voici tout le problème ! », a révélé un responsable des transporteurs sous le couvert de l’anonymat.

 

Sur certaines voies express des communes d'Abidjan, tel que le boulevard principal de Yopougon ou la rue passant devant l’ex-cinéma "Liberté" à Adjamé, l’on constate fréquemment des agents de police ou militaires opérer le plus souvent à deux dans des conditions non orthodoxes. Discrètement planqués derrière un arbre ou un arrêt de bus, ils observent la circulation avec une attention particulière. Et "gare au chauffeur qui gare mal !" Il n’ira pas sans laisser au moins un billet ou une pièce de 500 FCFA. Il se raconte même dans le milieu que les gendarmes d’acceptent jamais moins de 1000 FCFA. Ces derniers, devenus de moins en moins visibles sur le terrain à Abidjan, continuent tout de même de sévir sur les routes à l’intérieur du pays.

Un tableau pas du tout reluisant, qui a poussé les autorités ivoiriennes, après la crise-postélectorale de 2010-2011, a mettre en œuvre des réformes et initiatives, visant à lutter efficacement contre ce fléau qui concerne.

 

Des reformes et initiatives contre le fléau

A commencer par l’activation de la brigade anti-racket, l’accélération de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS), l’intensification des sanctions contre les forces de l’ordre véreux dont plusieurs ont été condamné pour racket ces trois dernières années par le tribunal militaire, la création d’une police militaire, la diminution drastique du nombre de barrage de contrôle routier.

 

A cela, il faut ajouter l’apport des partenaires aux développements tels que le Japon qui, à travers la l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), a financé à hauteur de plus de près d’un milliards de francs CFA  le renforcement des capacités professionnelles et opérationnelles des animateurs-relais de la police nationale ivoirienne. Mais aussi l’Union européenne qui a Financé à hauteur de 1,4 milliards de FCFA, le projet d’appui à la réconciliation entre la population et la police nationale, mis en œuvre par le PNUD et l’ONUCI. En plus d’avoir permis la réhabilitation et l’équipement des locaux de huit services de police, visait à restaurer le dialogue socio-sécuritaire pour favoriser la réconciliation entre la Police ivoirienne et la population, à travers l’animation d’ateliers d’échanges, de forums publics, d’activités sportives et culturelles de proximité.

 

Des initiatives qui, selon certains observateurs, ont eu un impact considérable sur la pratique du racket dans le pays. Mais la tâche demeure difficile, tant le racket des forces de l’ordre, forme la plus visible de la corruption sous tous les tropiques, semble résister étanchement en Côte d’Ivoire à la peau de la Réforme du secteur de la sécurité. Une réforme dont l’une des composantes essentielles qu’est "Contrôle démocratique", en principe dévolu aux pouvoirs publics en charge du contrôle de la gouvernance et de l’éthique, ainsi qu'à la société civile et les médias, reste un angle mort.

 

Abdoul Razak Dembélé

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Comme nous l’annoncions il y a une semaine, les choses se précisent de plus en plus pour le départ du sélectionneur français des Eléphants de Côte d’Ivoire. En effet, des médias français annonce un engagement imminent d’Hervé Renard, champion d’Afrique en titre avec la Côte d’Ivoire, avec le Losc de Lille (Ligue 1 français).

Attendu à Lille mardi

Selon l'Equipe, l'arrivée d'Hervé Renard comme successeur de René Girard sur le banc lillois pour être officialisé dès mardi. Le club négocie de longue date avec son entraîneur pour une séparation à l'amiable à un an de la fin de son contrat et Renard, ancien entraîneur de Sochaux et sélectionneur de la Côte d'Ivoire, aurait déjà commencé à travailler en vue de la saison prochaine.

Une chose est sure, sauf extraordinaire, Hervé Renard n'a plus le coeur sur la Lagune Ebrié. Bien dommage pour la Côte d’Ivoire !

Armand Tanoh

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La police de l’Etat d’Anambra au Nigeria a fermé un restaurant et procédé à l’arrestation de ses employés qui serviraient de la viande humaine aux clients, a appris APA dimanche, de sources policières.

Des témoins ont indiqué samedi que la police avait fait une descente sur les lieux après avoir été informée par des résidents au sujet des activités malsaines des travailleurs du restaurant.

Au moins dix suspects seraient actuellement en détention dans les locaux de la police, en rapport avec cette affaire.

Selon des sources policières, des têtes humaines dégoulinant de sang étaient accrochées dans la cuisine du restaurant, ce qui pourrait signifier que ces têtes venaient d’être coupées.

La Police a également déclaré qu’elle avait découvert une cache d’armes à l’intérieur du restaurant en cause.

Un résident a indiqué à la police : “Je ne suis pas du tout surpris par cette révélation choquantes, car j’observe depuis quelque temps, des activités bizarres qui se passent à cet endroit”.

Il a ajouté que les personnes qui travaillent dans le restaurant “ne portaient jamais d’habits propres et avaient des attitudes quelque peu étranges”.

Source : APA

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Le nouveau directeur de la Réponse d'urgence des Nations Unies pour Ebola (UNMEER), Peter Graff, a mis en garde les Sierra Léonais qu'il est impératif "de ramener le virus Ebola à Zéro avant que les pluies ne s'intensifient".

M. Graff, qui a pris son poste il y a trois semaines, s'est adressé aux médias à Freetown, ajoutant qu'avec les pluies, la lutte contre le virus se compliquera alors que les autres maladies, associées au virus, telles que le choléra, la typhoïde et la diarrhée sont fréquents pendant cette période.

Selon lui, cela "n'aidera pas la situation car cette situation a la tendance de faire émerger le virus".

M. Graff a révélé que le compte à rebours ne peut commencer avant que le dernier patient Ebola ne soit sorti de l'hôpital et qu'aucun nouveau cas ne soit rapporté.

Il a conseillé à la Sierra-Léone et à la Guinée d'atteindre et de rester à zéro avant les pluies.

M. Graff a mentionné que le réseau routier mauvais rend la circulation entre deux endroits "très difficile".

Le chef de l'ONU a déclaré aux médias qu'avec la fin d'Ebola au Liberia, l'UNMEER a fermé ses bureaux à Monrovia et cela lui a donné l'opportunité de travailler en Sierra-Leone pour lutter contre le virus avant sa nomination.

(Xinhua/AIP)

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 La 74ème session ordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO s’est achevée samedi sur une série de recommandations portant notamment sur la fin du mandat de certains fonctionnaires statutaires de la Commission, l’expiration du mandat de la 3ème Législature du Parlement de la Communauté, le prélèvement communautaire et le Tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO.

S’agissant de la fin du mandat de certains fonctionnaires statutaires de la Commission, un comité ministériel ad hoc a été mis sur pied pour faire des propositions sur les modalités relatives au mandat de ces fonctionnaires et les soumettre au Conseil des ministres lors de sa prochaine session extraordinaire devant se tenir au cours de la 1ère semaine de juillet. Ce comité comprend la République de Cabo Verde, le Nigeria, le Ghana, la Guinée et le Sénégal.

Par ailleurs, il a été demandé à la Commission de faire des amendements sur le projet de calendrier pour y intégrer un sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement sur la question, devant se tenir au cours de la 1ère semaine du mois d’août.

Au sujet de l’expiration du mandat de la 3ème Législature du Parlement de la Communauté, les membres du Conseil ont recommandé à la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement d’autoriser une période de transition de cinq mois, pour permettre au nouveau Parlement d’entrer en activité à compter du 1er janvier 2016.

La délégation du Sénégal a toutefois émis des réserves pour la prorogation dudit mandat, réaffirmant son attachement aux principes du respect strict des textes et de la rotation, notamment au sein des institutions de la CEDEAO. Elle a par ailleurs insisté sur la nécessité pour la CEDEAO d’être exemplaire en matière de respect des normes de gouvernance.

Concernant la mise en œuvre effective du prélèvement communautaire, il est suggéré que l’application des procédures de ce dernier fasse l’objet d’une harmonisation devant permettre à tous les Etats membres de se conformer aux dispositions du Protocole y relatif. Il est également préconisé la mise en place de comités nationaux de suivi de la mise en œuvre du prélèvement communautaire dans tous les Etats membres.

Recommandation est aussi faite à la Commission de la CEDEAO de prendre en exemple le modèle de l’Union économique et monétaire Ouest-africaine (UEMOA) en vue d’améliorer l’application de son Protocole sur le prélèvement communautaire.

Par rapport au TEC de la CEDEAO, entré en vigueur le 1er janvier dernier sur l’ensemble du territoire communautaire, la Commission a indiqué qu’au 30 avril 2015, seuls huit Etats membres en avaient entamé la mise en œuvre. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Nigéria, du Sénégal et du Togo. Les sept autres Etats membres ont accusé un retard sur le calendrier fixé, pour des raisons de santé publique, des exigences de la législation et d’autres considérations techniques, a expliqué la Commission.

Les ministres ont félicité les huit Etats membres sus mentionnés, invitant par la même occasion les sept autres à mettre en œuvre les mesures nécessaires afin d’assurer la mise en application effective du TEC avant la fin de l’année 2015, conformément à la décision de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation.

Le Conseil des ministres a en outre adopté plusieurs autres rapports, entre autres, le rapport de la réunion des ministres de la CEDEAO chargés des Affaires féminines et du Genre, le mémorandum sur l’adoption de la déclaration d’Abidjan sur l’éradication de l’apatridie en Afrique de l’Ouest, le rapport de la 5e réunion statutaire des ministres de la culture, celui de la 4ème réunion des ministres de la Sécurité tout comme le mémorandum sur le Programme communautaire de développement (PCD).

Le rapport annuel 2014 du contrôleur financier et celui intérimaire 2015 du président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, ont également été adoptés par la 74ème session ordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO.

Le rapport du président de la Commission fait le point exhaustif de l’état de mise en œuvre du programme de travail de la Communauté de novembre 2014 à mai 2015 et souligne les défis majeurs et les perspectives pour la région pour le reste de 2015. Il a aussi mis en exergue les évolutions économiques récentes en Afrique de l’Ouest dans le contexte économique international et souligné les perspectives et défis potentiels pour le processus d’intégration économique régionale.

En procédant à la clôture des travaux, la ministre ghanéenne des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale, présidente en exercice du Conseil, Hanna Serwaa Tetteh,  a remercié les participants pour leurs contributions efficaces et fructueuses qui leur ont permis d’atteindre des résultats pertinents.

AIP

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Huit passagers, dont une fillette de trois ans, d’un taxi-brousse ont trouvé la mort samedi, à huit km d’Agboville, dans un accident de la circulation, a appris l’AIP auprès des témoins.

Cinq hommes dont le conducteur, deux femmes et une fillette, tous des résidents du village de Grand-Yapo, à 12 km d’Agboville, revenant d’une cérémonie de mariage qui s’est déroulée à Arraguié, ont péri dans une collision  qui a eu lieu entre leur véhicule et un car de transport de la compagnie SBTA assurant la ligne Agboville-Abidjan, ont expliqué les premiers témoins de rencontrés sur le lieu de l’accident survenu peu avant 16H 00.

Selon ces témoins, le conducteur du taxi-brousse roulait dans le sens Agboville-Abidjan, lorsqu’il s’est déporté sur la gauche jusqu’à heurter le car venant à vive allure dans le sens Abidjan- Agboville.

Les deux engins se sont retrouvés dans le ravin. Toutefois, aucun blessé n’a été constaté au niveau du car climatisé de 46 places, flambant neuf.

La voie Abidjan-Agboville a été réhabilitée et les accotements dégagés à la faveur de la récente visite d’Etat du président de la République dans le département d’Agboville.

Le dernier accident mortel sur le même axe remonte à l’année 2014 dans lequel était impliqué un autre car de la compagnie SBTA, a-t-on noté.Huit passagers, dont une fillette de trois ans, d’un taxi-brousse ont trouvé la mort samedi, à huit km d’Agboville, dans un accident de la circulation, a appris l’AIP auprès des témoins.

Cinq hommes dont le conducteur, deux femmes et une fillette, tous des résidents du village de Grand-Yapo, à 12 km d’Agboville, revenant d’une cérémonie de mariage qui s’est déroulée à Arraguié, ont péri dans une collision  qui a eu lieu entre leur véhicule et un car de transport de la compagnie SBTA assurant la ligne Agboville-Abidjan, ont expliqué les premiers témoins de rencontrés sur le lieu de l’accident survenu peu avant 16H 00.

Selon ces témoins, le conducteur du taxi-brousse roulait dans le sens Agboville-Abidjan, lorsqu’il s’est déporté sur la gauche jusqu’à heurter le car venant à vive allure dans le sens Abidjan- Agboville.

Les deux engins se sont retrouvés dans le ravin. Toutefois, aucun blessé n’a été constaté au niveau du car climatisé de 46 places, flambant neuf.

La voie Abidjan-Agboville a été réhabilitée et les accotements dégagés à la faveur de la récente visite d’Etat du président de la République dans le département d’Agboville.

Le dernier accident mortel sur le même axe remonte à l’année 2014 dans lequel était impliqué un autre car de la compagnie SBTA, a-t-on noté.

AIP

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Importante initiative Royale!Après s'être saisi, le 16 mars 2015, du dossier sur l'avortement qui suscitait un vif débat sociétal, le Roi du Maroc vient de rendre sa décision le 15 mai 2015 après avoir pris connaissance des avis de ses Ministre de la Justice et des Affaires Islamiques ainsi que du Président du Conseil National des Droits de l'Homme suite à une Audience qui leur a été accordée le même jour. 

Ainsi, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a t-il décidé de la légalisation de l'avortement dans trois cas précis à savoir : le viol ou inceste, graves malformations et maladies foetales incurables et donné ses instructions pour l'élaboration d'un projet de dispositions juridiques  pour les inclure dans le code pénal.

A noter que la commission en charge de ce dossier a insisté sur le fait que la libéralisation totale de l’interruption de la grossesse ne pouvait être envisagée au Maroc, à l’exception de quelques cas de force majeure, en raison des souffrances qu’il engendre et de ses répercussions sanitaires, psychologiques et sociales négatives sur la femme, la famille, le fœtus et sur toute la société.

Avec cette décision, le Roi du Maroc vient de trancher sur des sujets sensibles que sont l'avortement clandestin, pratiqué dans des conditions sanitaires catastrophiques, les mères célibataires et les enfants abandonnés. 

Le Maroc vient donc de franchir un nouveau pas en faveur de la Femme en légalisant ces nouveaux cas d'avortement ; une décision qui répond aux demandes des modernistes tout en respectant les préceptes de l'Islam sur le sujet.

Jusque là, la loi autorisait l’avortement dans les seuls cas où la santé de la femme était en danger. Pour le reste, elle punit les interruptions volontaires de grossesse (IVG) de peines allant de un à cinq ans de prison ferme.

 

Farid Mnebhi

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Le Président Directeur Général de l’Atlantique international business school (AIBS), Koné Foussény  a indiqué samedi à Cocody, opter pour un modèle pédagogique innovant  qui intègre une alternance entre l’école et l’entreprise pendant la formation.

Au cours d’une rencontre avec parents d’élèves, partenaires et étudiants,  dénommée "parternship day", le PDG de l’AIBS, a déclaré que les étudiants de l’AIBS, notamment ceux de la licence 3 passent trois jours en entreprise et deux à l’école.

Selon M. Koné, cette stratégie pédagogique vise à résoudre le problème de l’employabilité des étudiants au sortir de leur formation. Aussi, a-t-il rendu hommage aux différentes entreprises partenaires qui soutiennent cette pédagogie et qui acceptent les étudiants de sa structure.

Cette stratégie pédagogique innovante, a relevé  M. Koné, donne aux étudiants d’acquérir une expérience professionnelle, favorise l’insertion professionnelle, développe une confiance en soi et des compétences transversales.

L’AIBS en plus de cette innovation, met l’accent sur la formation dans des langues comme l’anglais et le chinois afin de donner aux étudiants plus de chances sur le marché de l’emploi

Armand Tanoh, Avec AIP

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Le siège de la centrale syndicale de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) communément connu sous l’appellation de la Bourse du travail de Treichville est désormais sous  occupation de la tendance de l’ex-secrétaire général, Adé Mensah, qui a pris possession des lieux samedi, lors d’une cérémonie de remise de clé devant un huissier, a constaté l’AIP.

L’ex-patron de la toute première  centrale syndicale de Côte d’Ivoire a indiqué exécuter une décision de justice rendue le 24 avril par la cour d’appel d’Abidjan annulant la légalité de l’assemblée générale de 2012 et le rétablissant dans ses droits du secrétaire général légitime.

Tout en promettant de convoquer une réunion extraordinaire dans les jours à venir, M. Adé Mensah a remercié celle qui a intenté cette action en justice en la personne de Vléhi Suzanne et qui lui permet de se mettre à nouveau au service de la jeune génération.

"Je ne suis pas surpris du travail que vous avez battu en mon absence. A mon âge, je n’ai pas voulu me battre mais je savais que j’étais dans le vrai et que j’allais gagner", a-t-il confessé à l’endroit de Me Vléhi qu’il a nommée séance tenante comme le numéro 2 de l’UGTCI à savoir au poste de SG adjointe.

Une assemblée générale élective  avait porté à la tête de la centrale le camarade Ebagnérin Joseph en 2012. Mais le groupe d’Adé Mensah avait contesté la légitimité de cette AG sous prétexte qu’elle n’avait pas été organisée par le bureau sortant, a-ton appris.

 

Avec AIP

 

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