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(Une proposition de la rédaction de La Diplomatique d’Abidjan et notre partenaire JOVAGO Côte d’Ivoire)
‘’Tout pour gagner la bataille d’Abidjan’’. Tel semble être le leitmotiv des grandes chaînes hôtelières, tant l’engouement et la ruée vers la capitale économique de la Côte d’Ivoire fait rage dans la sphère hôtelière africaine.
Des grandes multinationales aux groupes panafricains ou nationaux, tous s’accordent sur le potentiel que représente ce secteur, symbole du renouveau économique d’un pays qui se remet de dix années de crise politique.
Rude concurrence
En l’espace de quatre années, Abidjan est en train de devenir un véritable eldorado pour les groupes hôteliers qui rivalisent d’ingéniosité et de moyens pour grappiller des parts de marché toujours plus importantes dans leur politique globale de conquête du marché africain.
Le géant français Accor garde une longueur d’avance et semble intouchable avec une forte présence (cinq hôtels) et un plan d’investissement de 24 milliards de Fcfa sur les prochaines années.
Derrière, la concurrence s’annonce rude entre le Carlson Hôtel qui bâtit un Radisson Blu de 252 chambres pour un montant de 25 milliards Fcfa près de l’aéroport d’Abidjan, et Azalaï Group qui vient de lancer la construction d’un hôtel cinq étoiles dans la commune de Marcory. Pour sa part, Teyliom international investit plus de 29 milliards Fcfa dans le futur hôtel Noom d’une capacité de 179 chambres en plein centre du Plateau, quartier des affaires. L’ivoirien Heden Hotels & Resorts vient de de lancer la réhabilitation et l’extension du Golf hôtel.
Une destination de plus en plus attractif
Pour les professionnels du secteur hôtelier comme Hyppolite Soro, Chargé de développement chez Jovago Côte d’Ivoire, une telle effervescence s’explique par le fait que « la Côte d’Ivoire figure parmi les 15 pays les plus attractifs du continent et compte parmi les meilleures destinations (loisirs ou affaires) d’Afrique de l’Ouest. Ajouté à cela, sa stabilité économique retrouvée et l’on comprend aisément pourquoi un tel engouement pour la filière ». La promesse d’un bel avenir, dans un contexte marqué par l’adhésion récente de la Côte d’Ivoire la Fédération internationale des villes et cités touristiques.
Armand Tanoh
JUMIA Côte d’Ivoire a 2 ans depuis le vendredi 26 Juin 2015. Pour célébrer ce deuxième anniversaire, la société offre à la population abidjanaise un roadshow inoubliable, avec des prestations artistiques de son illustre égérie, Serge Beynaud, ce vendredi 03 juillet dès 9 heures.
Tout est prêt chez JUMIA pour faire vivre à la population de la capitale économique ivoirienne une journée inoubliable. Et qui de mieux que sa nouvelle égérie pour célébrer cet anniversaire ?
A peine est-il devenu l’ambassadeur du leader d’e-commerce en Côte d’Ivoire que Serge Beynaud revêtira ses nouveaux habits pour « procurer » du plaisir aux populations de plusieurs quartiers de la ville d’Abidjan. L’artiste et ses danseurs improviseront des mini-concerts gratuits à chaque passage dans une commune. JUMIA promet donc aux populations de six communes de la capitale économique de la joie et du spectacle haut en couleur.
Le roadshow démarre à 9 heures dans la commune de Port-Bouët, pour s’achever à 18 heures à Cocody. La vague orange traversera successivement les lieux les plus chauds des communes de Port-Bouët(Vridi cité), Koumassi(Terminus 05, Terrain Insha'Allah), Marcory(Terrain Ste Bernadette, Gare Sotra, INJS…), Treichville(Cité du Port, Place Ernesto Djédjé),Yopougon (Maroc, Andokoi, Toit Rouge), et Cocody(Allocodrome, Leader Price, Rond point Palmeraie, Rosier, Angré non loin du 22 ème Arrondissement).
JUMIA invite toute la population abidjanaise à venir célébrer deux années d’une relation pleine de bonheur et de succès au rythme de la musique de leur star préférée. De nombreux cadeaux les attendent. Bien évidemment, les internautes et mobinautes pourront suivre le roadshow JUMIA en temps réel sur les comptes twitter (@JumiaCI) et Facebook de JUMIA Côte d’Ivoire.
Daniel Coulibaly, avec Jumia-CI
Les rugbymen ivoiriens réclament le paiement de leurs primes d’un montant global de 50 millions de francs CFA avant de quitter Abidjan pour se rendre en Ouganda où se déroulera la coupe d’Afrique des nations (CAN) de cette discipline, rapporte un site sportif ivoirien citant une source fédérale.
En stage à Yamoussoukro pour préparer cette CAN de la zone B du rugby à XV, les ivoiriens qui devaient s’envoler ce jeudi pour Kampala, la capitale ougandaise, conditionnent leur départ au payement effectif de leurs émoluments relatifs à leur participation à l’évènement continental.
Selon la même source fédérale, le montant global du budget sollicité par la fédération ivoirienne de rugby (FIR) auprès du gouvernement ivoirien est 157 millions de francs CFA. La compétition proprement dite aura lieu du 05 au 11 juillet à Kampala.
Cette exigence des rugbymen intervient au moment où le monde sportif ivoirien est secoué par une affaire de primes détournées des Eléphants footballeurs et qui fait l’objet d’une enquête de la police économique auprès des mis en cause sur ordre du gouvernement, rappelle-t-on.
Avec AIP
Le club français de Lilles, évoluant en Ligue 1, est sur les traces des internationaux ivoiriens que sont Wilfried Kanon et Ba Loua D’Avilla qu’il voudrait avoir dans son effectif au compte de la nouvelle saison sportive. Un choix à la demande son nouveau coach, l’ancien sélectionneur de l’équipe nationale de football de Côte d’Ivoire, Hervé Renard. Ce dernier, qui après la rupture de son contrat avec la fédération ivoirienne de football (FIF), avait promis recruter des talents ivoiriens.
Wilfried Kanon qui évoluait dans le club néerlandais ADO La Haye serait arrivé mercredi en France pour passer la visite médicale afin de pouvoir s’engager avec ce club pour un contrat de quatre ans. Le montant du transfert est évalué à 500 000 Euros soit 327,5 millions de nos francs.
Quant à Ba Loua D’Avilla, il serait en ce moment en essai dans ce même club. Auréolé d’une belle prestation dans le championnat national sous le maillot de l’Asec Mimosas et à la dernière coupe d’Afrique des nations des juniors, il pourrait faire partie de la cuvée 2015 de club français.
Armand Tanoh, avec AIP
Pour l’Afrique, son continent d’origine, Akon s’engage. La star américaine du R&B, d'origine sénégalaise, qui était de passage à Abidjan pour prendre part à une rencontre des leaders africains de l’énergie, a présenté son projet ‘’Akon Ligthing Africa’’. Il s’agit d’une initiative visant à aider l’Afrique à réduire son déficit énergétique en à travers la promotion de l’énergie solaire.
Le chanteur qui a retenu la Côte d’Ivoire parmi les premiers pays bénéficiaires de ce programme, a profité de son séjour en bordure de la lagune Ebrié pour rencontré le président Alassane Ouattara, le mercredi 1er juillet 2015, avec lequel il a partagé sa vision.
Akon s’est réjoui, au terme de ces échanges de la disponibilité du chef de l’Etat, avec qui il entend travailler pour mener à bien ce projet. Le plus important dans ce projet, selon l’interprète des tubes à succès "Lonely", "Right Now", Sorry, "Blame It On Me", c’est de permettre à plusieurs jeunes ivoiriens d’avoir du travail, en même temps qu’il contribue à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Abdoul razak Dembélé
Nommé le 10 mars à la tête de Crédit Suisse, l’ivoirien Tidjane Thiam a effectivement pris ses fonctions ce mercredi, a-t-on appris de source financière.
Agé de 52 ans, Tidjane Thiam qui était depuis 2009 directeur général de l’assureur britannique Prudential, remplace à ce poste l’américain Brady Dougan.
Selon l’agence Ecofin, M. Thiam devrait piloter une réorientation stratégique de la banque d'investissement vers la gestion de fortune et le renforcement du capital du groupe.
Détenteur d’un MBA de l’Institut européen d'administration des affaires (INSEAD), cet ancien polytechnicien a entamé sa carrière au sein du cabinet McKinsey à la fin des années 80.
De 2002 à 2008, il a occupé des postes de direction dans le groupe d'assurances Aviva avant d’être nommé ministre de la Planification et du Développement aux côtés du Président Henri Konan Bédié.
Le Crédit Suisse, coté sur les places boursières de Zurich et de New-York, emploie 60.000 personnes dans le monde et gère environ 1.366 milliards d’euros (sept 2014).
Armand Tanoh, avec AIP
Le gouvernement ivoirien vient de décider la défiscalisation partielle des matériels informatiques, ainsi que d’autres équipements terminaux d’accès à internet tels les tablettes et les téléphones portables. Cette décision a été prise le mercredi 1er juillet 2015 lors d'un Conseil des ministres.
Sur les ordinateurs les droits jusque là perçus qui sont de 27% passent à 6,5%. La TVA est réduite à zéro et les droits de douanes à 5% auquels il faut ajouter les taxes communautaires qui passent à 1,5%. Sur les téléphones portables les droits perçus passent de 32% à 6,5%, a communiqué le porte-parole du gouvernement.
Pour ce qui concerne spécifiquement le projet un citoyen un ordinateur une connexion internet le conseil a décidé d’effacer complètement le droit de douanes ce qui ramène la taxe payée par le consommateur à 1,5% au lieu de 27% auquel il faut ajouter toutes les réductions initialement prévues au projet, a-t-il ajouté.
La décision, selon son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, s’inscrit dans le cadre des initiatives du gouvernement pour vulgariser les Tic. il s'agit de permettre au plus grand nombre d'avoir accès à ces technologies, a-t-il dit.
"C’est une révolution, c’est une décision extrêmement importante, puisqu’il s’agit par cette décision de donner plus de dynamisme au développement des TIC en Côte d’Ivoire", s’est-il félicité, donnant la nouvelle.
Mais cette mesure va-t-elle conduire à une réduction des coûts de ces matériels informatiques sur le marché ivoirien? L'avenir nous dira.
Armand Tanoh, avec AIP
Le Président Alassane Ouattara a procédé, mardi, à l’inauguration de la première turbine à vapeur pour la production d’électricité installée sur le site de la centrale thermique d’Azito, située dans la commune de Yopougon.
La centrale thermique d’Azito qui disposait de 290 MW de capacité en cycle simple a été convertie en une centrale à cycle combiné d’une puissance de 430 MW suite à l’ajout d’une turbine à vapeur.
"La mise en service de la phase 3 d’Azito est une étape importante dans le programme de renforcement des capacités de production d’électricité que le gouvernement de Côte d’Ivoire a entrepris", a indiqué le ministre du Pétrole et de l’Energie, Adama Toungara, lors de la mise en service de cette turbine.
Selon le ministre, la production de la centrale d’Azito représentait en 2014, quelque 17% de la production nationale qui a nécessité 420 millions de m3 de gaz naturel évalué à 44 milliards de francs CFA.
"La capacité installée de la centrale augmente de 50%, soit 140 MW, sans entraîner de consommation supplémentaire de gaz naturel qui nous coûte 44 milliards de francs par an", a-t-il commenté.
Avec la mise en marche de cette turbine, la capacité installée de la Côte d’Ivoire passe à 1772 MW et devrait être porté à 1900 MW en décembre, avec la mise en route d’une autre phase de CIPREL. La puissance installée passera à 2100 MW en 2016 et à 4000 MW en 2020.
La centrale thermique d’Azito représente un investissement total de 615 millions de dollars américains, soit environ 307,5 milliards de francs CFA. Les deux premières phases ont coûté 223 millions de dollars et la troisième phase, 392 millions de dollars.
Fiche technique
La conversion de la centrale thermique à cycle simple (deux turbines, chacune d’une puissance installée de 145 MW) en une centrale à cycle combiné, a consisté à l’ajout de deux chaudières de récupération de chaleur, d’une turbine à vapeur ayant une capacité de 140 MW et d’un condensateur à vapeur équipé d’un système de refroidissement en circuit fermé.
La technologie du cycle combiné permet d’améliorer le rendement de la centrale en récupérant l’énergie actuellement rejetée sous forme de chaleur dans les gaz d’échappement des turbines. Aucune nouvelle source de combustion n’est nécessaire et la consommation de gaz reste inchangée.
La centrale à cycle combiné d’Azito participe à la sauvegarde de l’environnement en réduisant 400.000 tonnes par an les émissions de gaz carbonique (CO2).
Le passation du simple cycle au cycle combiné va augmenter la puissance installée de la centrale de 50% pour une même consommation de gaz, augmenter de 10% la capacité nationale de production et accroître le rendement de la centrale qui passera de 30% actuellement à environ 46%.
Aujourd’hui, la capacité de production passe de 290 MW à 430 MW, soit plus de 25% de la capacité de production nationale.
L’extension de la centrale a nécessité 27 mois de construction et contribué à la création de 1363 emplois dont 771 nationaux.
La centrale thermique d’Azito est désormais l’une des plus modernes et des plus performantes d’Afrique de l’ouest.
Construite en 1998, la centrale est implantée sur un terrain de six hectares dans la commune de Yopougon. Elle a mobilisé 615 millions de dollars américain assurés sur fonds propres des actionnaires et par des prêts d’institutions internationales et bilatérales de développement.
Les deux premières phases du projet (290 MW) ont coûté 223 millions de dollars et la troisième phase, 392 millions de dollars. Les actionnaires sont constitués des sociétés Golbeleq et IPS (WA), filiale du fonds Aga Khan.
Armand Tanoh, avec AIP
Le dictateur de la Corée du Nord Kim Jong-un ne supporte pas les retards. L'architecte en chef du projet de l'aéroport de Pyongyang en a fait les frais. Ma Won Chun a été exécuté en novembre dernier après avoir demandé un délai supplémentaire pour la rénovation du bâtiment, avance le «Mirror». L'agence de presse officielle nord-coréenne fait dans la propagande la plus éhontée. Après le parc d'attraction, la station de ski, voilà qu'elle offre à toutes les rédactions du monde entier le bonheur de l'inauguration de l'aéroport de Pyongyang.
Les photos montrent un établissement aux normes de la modernité avec ses salles d'attente et sa galerie marchande. Auprès de son épouse Ri Sol-ju, Kim Jong-un sourit face aux objectifs. Comme à son habitude, il est suivi d'une horde d'officiels en tout genre, éternel sourire aux lèvres. Sauf qu'il manque le maître d'oeuvre du projet, Ma Won Chun, exécuté en novembre dernier lors d'une purge orchestrée par Kim Jong-un. La cause officielle: «corruption et non-exécution des ordres». En réalité, le chantier aurait pris du retard, ce qui aurait fâché le dictateur. L'aéroport sera lui mis en service dès cette semaine, avec des premiers vols pour la Russie et la Chine.
Reuters