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Impossible n’est pas Ivoirien. Après le français carrefour, N°3 mondial de la grande distribution, qui ouvre son premier hypermarché d’Afrique noire à Abidjan en octobre 2015, c’est au tour de l’Ivoirien YEDCOR, groupe présidé par l’homme d’affaires Desnos T. Yed, d’annoncer un projet similaire, non moins ambitieux. Il s’agit d’un hypermarché qui sera, selon lui, le plus grand d’Afrique de l’Ouest.
Selon notre confrère, abidjan.net qui a révélé l’information ce mercredi 8 juillet 2015, ce shopping center grandeur nature, baptisé "YEDCOR Valley Center", sera implanté dans le quartier chic de la Riviera 4.
Fiche Technique
Cet hypermarché sera bâti sur un terrain de 10 hectares et s’offre 350 000 M2 de surface bâtie, avec 2 grandes tours de 40 étages. Il s’agit d’un pôle d’attraction de 300 appartements de luxe et surtout 2 grands hôtels de luxe. Il y aura également des bureaux, un musée de civilisations, un aquarium, plus de 200 magasins avec 06 grandes salles de cinéma. Les travaux débutent en mars 2016 et prendront fin en 2018.
Abdoul Razak Dembélé
Des exportateurs ivoiriens de cacao ont pris les rênes du Groupement des négociants internationaux qu’ils ont rebaptisé Groupement des négociants ivoiriens (GNI) avec pour objectif "de voir émerger des exportateurs solides et puissants dans la filière cacao", indique une note d’information de la structure parvenue à l’AIP mercredi.
Des connaisseurs du secteur
"Nos principes et objectifs répondent au souci de concentrer le système des achats internationaux (340.000 tonnes prévus par la reforme mais en réalité 200.000 tonnes seulement par an) à seulement une dizaine d’exportateurs Ivoiriens professionnels qui opèrent en propre. Le but étant de voir émerger des exportateurs de fèves Ivoiriens qui soient solides et puissants dans la filière du cacao", annoncent les dirigeants du GNI dans cette note.
Le Groupement des négociants internationaux représentait les groupes internationaux d’exportation de cacao basés en Côte d’Ivoire, notamment Ecom, Noble, Armajaro, Sucden, NoveL.
Les nouveaux dirigeants du GNI sont des anciens managers ivoiriens de ces groupes, qui constituent les principaux exportateurs de fèves Ivoiriens opérant à leur propre compte. Il s’agit de Sonemat dirigé par Malick Tohé, Cocoa Trade Ivoire par Albert Diadhiou, Cneck par Anthony Fortez, Kineden par Stéphane Apoque, Miral par Alassane Kandé Ande, Africa Sourcing par Loic Follorux et Ismaël Koné.
Plaidoyer
Le GNI dénonce par ailleurs l'éclatement des achats internationaux sur de nombreux exportateurs Ivoiriens "qui n’auraient que de faibles tonnages sans conséquences et qui seraient donc obligés de ne pas opérer en propre (être des boîtes aux lettres)".
Il insiste sur le fait que l’allocation des contrats internationaux continue de se faire par le Conseil café cacao, comme prévu dans la reforme, "sur la base de critères objectifs (tonnages exportés dans le passé, financement, employés, expérience)".
"A l’inverse, donner le droit d’allocation des contrats internationaux aux acheteurs internationaux, contrairement à ce que prévoit la reforme, provoque un phénomène de baisse des prix condamnant les exportateurs Ivoiriens à ne pas opérer en propre", insiste le communiqué.
Ces opérateurs économiques proposent que "l’Etat vienne en appui aux exportateurs ivoiriens professionnels et opérant en propre, à travers une incitation sur un volume de minimum 200.000 tonnes de contrats internationaux ou idéalement 20% de la production nationale (340.000 tonnes).
Le GNI, regroupant les principaux exportateurs ivoiriens, a largement les capacités et le potentiel pour charger une bonne partie de ce tonnage alloué, d’autres acteurs "prometteurs" opérant éventuellement en propre pourraient également se voir allouer du tonnage de cette messagerie internationale".
Le GNI entend également créer, à Abidjan, une école de formation sur l’exportation de fèves de cacao qui devrait être opérationnelle au cours de l’année 2016.
Premier pays producteur et exportateur de cacao, la Côte d’Ivoire a produit plus de 1,7 millions de tonnes de cette culture spéculative en 2014.
Armand Tanoh, avec AIP
Masséni Barry Ben Halima, jeune écrivaine ivoirienne, fait la dédicace de sa toute première œuvre, un roman intitulé "Mulsulmanes sous les tropiques", samedi à la Bibliothèque nationale d’Abidjan Plateau, sous le parrainage du professeur Bakayoko Ly Ramata, présidente de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody.
Cette cérémonie aura lieu à 10heures, a appris l’AIP auprès de l’auteur.
L’œuvre "Musulmanes sous les tropiques", peignant des faits sociaux, est un recueil de nouvelles et entraîne le lecteur dans les méandres de l’histoire captivante et quelque peu émouvante de quatre musulmanes âgées de 18 à 50 ans.
Celles-ci, profondément engagées dans les activités socioprofessionnels et la foi religieuse, vont connaître, sur des chemins totalement différents, un bouleversement spectaculaire de leur vie, avec en toile de fond l’amour.
Des vies qui revisitent l’éthique sociétale sous les tropiques, alliant savamment satire et fiction. Mais au-delà de tout, qui interpellent la conscience humaine sur la relation entre le divin et la destinée individuelle et collective.
L’auteur, Masséni Barry Ben Halima, est une ivoirienne éprise de littérature. Née à Abidjan et diplômée en traduction commerciale, elle est également animatrice à la Radio nationale islamique Al Bayane.
Armand tanoh, avec AIP
Le Premier ministre burkinabé, Isaac Yacouba Zida, a estimé lundi à Abidjan, qu’il est "impensable qu’il y ait un nuage quelconque sur la Côte d’Ivoire et le Burkina".
Le chef du gouverment de transition du Faso s'exprimait lors d’un point de presse subséquent à une visite des chancelleries du Burkina Faso en compagnie du ministre ivoirien de l’Intégration et des Ivoiriens de l’étranger, Ally Coulibaly, en l'occurrence la future Maison du Burkina, l’Ambassade et le Consulat général du Burkina Faso à Abidjan.
"L’objet de ma visite en Côte d’Ivoire est un message d’amitié et de fraternité parce que vous savez que nos deux pays véritablement sont liés par l’histoire et par la géographie. Il est impensable qu’il y ait un nuage quelconque sur la côte d’Ivoire et le Burkina", a-t-il exprimé.
Pour le lieutenant colonel Zida, les responsables doivent travailler à ce que ces relations-là se consolident pour le bonheur des deux peuples.
Auparavant, il s’était livré à un commentaire des infrastructures visitées.
"Au niveau de l’Ambassade et du Consulat, nous avons été émerveillé de trouver un personnel enthousiaste qui accomplit sa mission avec beaucoup de dévouement, beaucoup d’amour pour la patrie, beaucoup d’engagement et nous avons profité pour les encourager et leur dire que les conditions sont certes modestes, mais c’est à l’image de tout le Burkina", a fait savoir l’hôte de la Côte d’Ivoire.
Isaac Zida a encouragé ses compatriotes à aller de l’avant. "Les conditions modestes parfois difficiles ne doivent pas nous empêcher d’aller de l’avant", a-t-il indiqué.
Poursuivant, le Lt/col Yacouba Zida s’est félicité des travaux en cours visant à abriter les locaux combinés de l’Ambassade et du Consulat de son pays, appelant de tous ses vœux à son achèvement dans un bref délai.
"Nous avons pu aussi visiter le chantier de la construction de la future Maison du Burkina qui va abriter l’Ambassade et le Consulat en même temps. C’est une œuvre gigantesque et nous caressons le secret espoir que cela puisse s’achever dans les plus brefs délais", a indiqué le Premier ministre du Faso.
"Je sais que cela coûte énormément d’argent mais pour ce qui concerne le gouvernement de la transition, ce qui était prévu cette année, nous l’avons déjà décaissé et nous pensons que ceux qui viendront vont poursuivre le projet dans l’intérêt et pour le bonheur des Burkinabés vivant en Côte d’Ivoire", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre burkinabè est arrivé lundi matin à Abidjan, pour une visite d’amitié et de travail qui s'achève mardi après-midi.
Avec AIP
Le commissaire européen à la coopération internationale et au développement, M. Neven Mimica, a cosigné, lundi à Bruxelles, avec des représentants d'organisations régionales de l'Afrique de l'Ouest, un nouveau financement régional en faveur de la coopération portant sur la période allant jusqu'à 2020.
D’après un communiqué de presse de la Commission européenne, le montant du programme indicatif régional au titre du 11e FED s'élève au total à 1,15 milliard d'euros, soit 850 milliards de FCFA.
«L'intégration régionale en Afrique de l'Ouest produit déjà des effets impressionnants et la signature de l'accord d'aujourd'hui marque de manière ambitieuse le point de départ de nouveaux projets concrets qui profiteront à la région et aux pays qui la composent », a déclaré M. Mimica au cours de la cérémonie.
« Ayant presque doublé notre aide par rapport à la dernière période de programmation, nous travaillerons avec un large éventail de partenaires afin de relever les défis qui subsistent en Afrique de l'Ouest, dans les domaines de la paix et de la sécurité, de l'intégration économique et du commerce, ainsi que du développement durable», a poursuivi le commissaire européen.
Le programme indicatif régional en faveur de l'Afrique de l'Ouest a été cosigné par le président de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), M. Kadré Désiré Ouedraogo, et par le président de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), M. Cheikhe Hadjibou Soumaré.
Ce programme concerne essentiellement trois domaines de coopération à savoir la paix, la sécurité et la stabilité régionale. Ce programme prévoit un soutien à la CEDEAO pour l'aider à remplir son mandat dans le domaine de la paix et de la sécurité régionales ainsi que le financement d'initiatives relatives à la paix et à la sécurité, notamment en matière de migration.
Concernant l'intégration économique et le commerce au niveau régional, l'objectif est de renforcer le commerce, le secteur privé et l'intégration régionale et à soutenir les infrastructures. Il y a aussi le développement durable des ressources naturelles et la biodiversité, qui couvrent le soutien à la résilience, la sécurité alimentaire et la nutrition, ainsi que la protection de l'environnement, la biodiversité et les changements climatiques.
Le Fonds européen de développement (FED) est le principal instrument d’aide de l’UE en faveur de la coopération au développement avec les États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (pays ACP) et il est financé par les contributions des États membres de l’UE. Les programmes indicatifs régionaux constituent une étape importante dans la programmation de l’aide de l'UE au titre du FED et complètent les programmes indicatifs nationaux conclus avec les gouvernements nationaux des pays ACP.
Les préparatifs sont menés en étroite coopération avec les organisations régionales, de manière à ce que les programmes soutiennent les priorités de celles-ci dans les domaines où l’UE apporte une valeur ajoutée.
Seize pays bénéficient du programme indicatif régional UE-Afrique de l'Ouest: Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d'Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone et Togo.
Le 10e programme indicatif régional du FED (2008-2013) en faveur de l'Afrique de l'Ouest est doté d'un budget de 595 millions d'euros. (1 euro = 655,957 FCFA)
Le ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique Kandia Camara prend part depuis lundi à un sommet sur "l’éducation pour le développement" qui se tient du 6 au 7 juillet à Oslo en Norvège, a appris l’AIP mardi auprès de son cabinet.
Ce sommet organisé par le gouvernement norvégien et l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’Education, Gordon Brown, vise à mobiliser des engagements politiques forts et renouvelés en faveur des enfants privés de leur droit à l’éducation dans le monde, estimés à 58 millions, et d'améliorer les résultats pour les enfants et les jeunes.
Durant ces deux jours de conclave, les décideurs vont également plancher sur quatre thèmes principaux en se fondant sur les conclusions du forum mondial de l'éducation tenu en mai 2015 en Corée. Il s’agit de l’investissement dans l'éducation, l'éducation des filles, l’éducation en cas d'urgence et la qualité des apprentissages.
Le sommet se penchera aussi sur les crises humanitaires qui empêchent les enfants d’aller à l’école et le financement du secteur de l’éducation.
"Le sommet a été lancé pour aider à inverser la tendance négative dans le soutien international à l'éducation et à contribuer à une meilleure mobilisation de ressources domestiques. Comme nous nous approchons de la date limite pour les Objectifs du Millénaire et les objectifs post- 2015 de développement durable, l'aide au développement bien coordonnée est cruciale", ont précisé les organisateurs.
Ces assises feront connaitre les meilleures pratiques à présenter aux nouveaux partenaires, en vue de mobiliser les financements, de manière à surmonter les goulots d’étranglement.
Pour relever ce défi, le sommet d'Oslo a mobilisé l’ensemble des acteurs, notamment les partenaires et les pays donateurs, les organisations multilatérales, la société civile, le secteur privé, les fondations et les universités.
AIP
Le financement est déjà acquis. 118 millions d’euros soit environ 77,402 milliards de FCFA, conclu en avril 2015 entre la Banque islamique de développement (BID) et la République de Côte d’Ivoire. Il s’agit de la première section du prolongement de l’autoroute du nord de Yamoussoukro à Bouaké (106 km), qui concerne l’axe Yamoussoukro-Tiébissou (37 km).
De source digne de foi, La Diplomatique d’Abidjan apprend que les travaux de la section Yamoussoukro-Tiébissou de cette importante infrastructure vont effectivement démarrer dans le dernier trimestre de 2015.
Selon cette source, le Président Alassane Ouattara tient fermement au démarrage de ce chantier avant la fin de son premier mandat. Ainsi, l’Avis général de passation des marchés du projet (consultable sur le site de la BID), ouvert le 2 juin 2015, sera clôturé le 2 septembre 2015.
Fiche technique
Le projet porte sur l’aménagement d’une voie autoroutière de 2x2 voies d’environ 37 Km entre Yamoussoukro et Tiébissou. Cet axe est le prolongement de l’autoroute Abidjan-Singrobo-Yamoussoukro dont le dernier tronçon a été mis en service en Décembre 2013.
Les travaux comprennent, le dégagement des emprises – qui sous-entend le recasement des occupants de la zone d’impact, les terrassements généraux, la construction de la chaussée, notamment à travers un revêtement de 5 cm de béton bitumineux, une couches de liaison 8 cm de grave bitume, une couche de base de 20 cm de grave concassée 0/31.5, une couche de fondation de 18 cm de graveleux latéritique stabilisé à 4% de ciment, une couche de forme de 30 cm de graveleux naturel.
Objectifs, croissance et intégration
L’objectif principal du projet est de contribuer à la croissance économique de la Côte d’Ivoire grâce à l’amélioration quantitative et qualitative de l’infrastructure de transport sur le réseau routier national.
Un autre objectif du projet est d’améliorer les aspects opérationnels et de sécurité de la liaison routière existante entre Yamoussoukro, la capitale politique et administrative du pays et Bouaké la deuxième plus grande ville de Côte d’Ivoire.
Au niveau régional, le projet contribuera à la promotion de l’intégration régionale entre la Côte d’Ivoire et ses pays voisins enclavés, à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger grâce à l’amélioration de l’accès au port d’Abidjan.
Armand Tanoh
Le Premier ministre burkinabè, Isaac Yacouba Zida, est arrivé lundi matin à Abidjan, pour une visite d’amitié et de travail de deux jours en Côte d'Ivoire.
M. Zida a été accueilli à sa descente d’avion aux environs de 08H40' à l’aéroport de l'ex-GATL par son homologue ivoirien, Daniel Kablan Duncan, en présence des membres du gouvernement, ainsi que de plusieurs représentants de la communauté burkinabè en Côte d'Ivoire.
Le lieutenant-colonel Zida aura dans la matinée-même un entretien avec M. Duncan à la Primature, au Plateau.
Isaac Zida va ensuite visiter, ce lundi après-midi, le Port autonome d’Abidjan et les chancelleries de son pays avant d’être reçu en audience par le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, en fin de soirée. Une audience qui sera suivie d’un diner offert par M. Duncan.
Mardi, le chef du gouvernement de transition du Faso s’entretiendra avec la communauté burkinabè en Côte d’Ivoire avant de s’envoler pour Ouagadougou à 15H30'.
Armand tanoh, avec AIP
Le ministre des ressources animales et halieutiques, Kobénan Kouassi Adjoumani, se dit satisfait de l’évolution des alevins de tilapia ‘’Oreochromis niloticus’’ souche brésilienne mis à la disposition de la station piscicole du Centre national de recherche agronomique (CNRA) à Bouaké en juillet 2014, dans le cadre du projet «Développement durable de la pêche et de l’aquaculture en Côte d’Ivoire».
«Nous en sommes heureux et satisfaits», a déclaré le ministre Adjoumani, samedi après une visite du centre, avant d’annoncer l’ouverture d’une autre station piscicole qui sera approvisionnée par le CNRA en alevins issus de la souche brésilienne.
Il affirme vouloir créer cette autre station pour «sauver l’essentiel». «On ne sait jamais, il suffit d’une catastrophe sur une station pour voir décimer l’ensemble des alevins dont nous disposons», a-t-il signifié.
Le directeur général du CNRA, Yté Wongbé, a fait savoir que les poissons évoluent bien et que ses services sont prêts à fournir aux pisciculteurs du matériel (alevins à élever) de tilapia ‘’Oreochromis niloticus’’. Les deux mille alevins mis à la disposition de la station piscicole, en juillet 2014, ont généré 400 mâles qui ont une taille de 400 à 700g, 520 femelles de 300 et 500g, 105.000 autres alevins, a-t-il annoncé.
Le ministre des ressources animales et halieutiques prévoit une communication en conseil des ministres, en vue de l’obtention de moyens supplémentaires à mettre à la disposition du CNRA pour la multiplication de cette souche de tilapia, la production et l’importation de leurs aliments. Ce qui permettra, selon lui, de faire de la station piscicole de Bouaké le point de mire en matière de développement de l’aquaculture et de la pisciculture en Côte d’Ivoire.
M. Adjoumani a remis au directeur général du CNRA un chèque de 29 millions FCFA du président de la République Alassane Ouattara, pour continuer le travail qui est fait.
Lancé officiellement le 21 juillet 2014, le projet «Développement durable de la pêche et de l’aquaculture en Côte d’Ivoire» bénéficiant d’un financement de la République fédérale du Brésil d’un montant de 430,795 de FCFA, est basé sur le retour du tilapia ‘’Oreochromis niloticus’’.
Avec AIP
Le chemin à l’émergence ivoirienne passe aussi par les rails. Après, le lancement et la réalisation de plusieurs infrastructures à Abidjan pour faciliter le déplacement des populations, le gouvernement ivoirien va lancer dès cette semaine un autre chantier des plus ambitieux : le "Projet Métro d’Abidjan". Qui consiste à doter la capitale économique ivoirienne d’un service de transport urbain ferroviaire. La Diplomatique d’Abidjan apprend de source proche du dossier que l’Etat ivoirien et le consortium « le Groupement », composé de Bouygues Construction (« Bouygues »), Dongsan Engineering (« Dongsan »), Hyundai Rotem (« Hyundai ») et Keolis (« Keolis »), signent ce lundi 6 juillet une convention de concession à cet effet.
Première phase : Anyama-Port Bouët
La première phase du projet comprend la conception, la construction, le financement et l’exploitation d'un train urbain dans la ville d'Abidjan dénommé Métro d’Abidjan Ligne 1, qui sera une ligne de chemin de fer de 37.5 kilomètres de long sur l’axe Nord-Sud allant d'Abobo-Anyama à l'aéroport international Félix Houphouët Boigny à Port-Bouët.
Le Projet utilisera les emprises actuellement utilisées par la ligne de train Abidjan-Ouagadougou, limitant le besoin d'expropriations ou de déplacements massifs d'habitants.
La durée totale des travaux, y compris les Travaux préparatoires sera de 5,5 ans.
La mise en service de la phase 1 du projet est prévue en octobre 2019, la mise en service globale interviendra un an plus tard, en octobre 2020.
26 milliards pour les travaux préparatoires
Les travaux préparatoires de ce vaste chantier qui démarrent bientôt, vont consister dans un premier temps en la réalisation de certaines études, notamment les études APS et APD du génie civil, du matériel roulant, et de l’exploitation, les études d’impact environnemental, les campagnes de reconnaissances géotechniques, le levés Topographique.
Dans leur seconde phase, ces travaux préparatoires, globalement estimés à 40 millions d’euros, soit 26 milliards de francs CFA, consenti sous forme de prêt direct par la Banque Atlantique de Côte d’Ivoire, vont permettre la libération et la préparation de l’emprise du projet pour le lancement effectif de la construction de l’ouvrage. En avant pour l’émergence !
Armand Tanoh