Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Pascal Affi N’guessan, président du Front populaire ivoirien (Opposition), a été investi, samedi à Abidjan, candidat de son parti à l’élection présidentielle d’octobre en Côte d’Ivoire, sur la base d’un projet de société reparti en "15 commandements" pour diriger le pays.

 

"Ma politique va tourner autour de 15 engagements : la santé, l'alphabétisation, le numérique, la diplomatie de paix, la lutte contre la corruption, la promotion de l'agriculture, l'emploi des jeunes sont quelques un de cette action gouvernementale que je compte déployer", a déclaré M. Affi, devant des militants en liesse venus des quatre coins du pays, pour prendre part à cette convention tenue au palais des sports de Treichville.

 

 "Je vous félicite pour le choix porté sur ma personne. Je ferai tout pour maintenir votre confiance", a dit l’ex-Premier ministre, qui entend s’appuyer sur ses " plus de 30 ans passés dans la politique nationale" pour bien gérer les affaires publiques une fois aux pouvoir.

 

Président du FPI depuis 2001, Pascal Affi N’guessan qui fait face, depuis près d’un an, à une fronde menée contre lui par d’autres cadres et militants de son parti, se dit confiant quant à ce scrutin.

 

"J'ai la compétence et l'expérience", a-t-il assuré.

 

L’élection présidentielle d’octobre 2015 est le premier du genre de la Côte d’Ivoire post-crise, et constitue une étape déterminante pour le retour définitif du pays à la stabilité et la paix.

 

AIP

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L'organisation Convergence 2020 appelle à des élections apaisées, crédibles et transparentes pour une Cote d’ivoire réconciliée et en paix.

 

"Nous voulons des élections paisibles, ouvertes, transparentes et apaisées. Nous voulons que toutes les parties prenantes au processus électoral, les partis politiques, la société civile et la CEI prennent toutes les dispositions pour que les élections soient des élections crédibles et apaisées", a souhaité, vendredi, le porte-parole de ce mouvement, l’ambassadeur Touré Aly à Abidjan, lors d‘une conférence de presse destinée à faire le bilan de la structure et tracer les perspectives.

 

En compagnie du représentant de la plate-forme en Côte d’Ivoire, Haidara Mohamed, Touré Aly qui a dit faire confiance au président de la République pour sa volonté d’organiser  des élections apaisées, entend initier une table ronde pour faire le bilan de M. Ouattara.

 

"Nous pensons que le président Ouattara a beaucoup fait pour la Côte d’Ivoire notamment en matière de reformes. Nous avons souhaité faire une conférence pour faire le bilan global de la gouvernance de M. Ouattara. Voir qu’est-ce qui a été fait. Quelles sont les actions initiées Quel a été l’impact sur les populations", a jouté M. Touré

 

Convergence 2020, mouvement proche du Rassemblement des républicains, se veut, selon les initiateurs, une plate-forme pour permettre à toutes les sensibilités de pouvoir s‘exprimer sur les sujets concernant le pays.

 

AIP

 

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Les perceptions négatives de l’environnement économique africain constituent le facteur majeur limitant le flux des investissements externes vers le continent, a révélé Denys Denya, Vice-président Exécutif de la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank) en charge des Finances, de l’Administration et des Services Bancaires.

 

M. Denya qui intervenait le 8 août à Dubaï au cours d’une table ronde sur le thème « Comment attirer les investissements en Afrique », organisée dans le cadre de la Conférence de l’Université d’Hiver de l’Institut des Expert-Comptables du Zimbabwe, a affirmé que de telles perceptions négatives ne sont pas représentatives de la situation réelle dans les pays concernés.

 

Gouvernements africains, individus et corps professionnels, devront ainsi se battre pour changer ces perceptions afin d’attirer des capitaux sur le continent, a-t-il ajouté.

 

Pour M. Denya, ces perceptions qui concernent les politiques incohérentes, la corruption et le manque d’indépendance judiciaire dans les pays africains, doivent être contestées grâce à l’information.

 

Selon Obi Emekekwue, chef de Département Communication Externe de la Banque, Afreximbank a fourni, depuis sa création en 1993, des facilités de crédit d’un montant total de 35 milliards de dollars US aux entreprises africaines.

 

Il a expliqué que le montant incluait 4,5 milliards débloqués l’année passée, ajoutant que la Banque demeure engagée  à réaliser son mandat qui est de financer et promouvoir le développement du commerce intra- et extra- africain.

 

La Banque Africaine d’Import-Export est l’institution multilatérale panafricaine financière dédiée au financement et à la promotion du commerce intra- et extra-africain. La Banque a été créée en Octobre 1993 par les gouvernements africains, les investisseurs privés et institutionnels africains et les investisseurs non africains pour financer et promouvoir le commerce intra- et extra-africain.

 

Ses deux documents constitutifs de base sont l’accord d’établissement, qui lui confère le statut d’organisation internationale; et la Charte, qui régit la structure et le fonctionnement de l’entreprise. Depuis 1994, Afreximbank a validé près de 35 milliards de dollars de facilités de crédit pour les entreprises africaines, dont environ 4,5 milliards de dollars en 2014. La Banque est basée au Caire, Egypte.

 

AIP

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La mairie de Koumassi et le groupe SAER-emploi, une entreprise malienne, ont procédé, mardi, à la signature d’une convention d’appui portant sur un montant de 600 millions de FCFA, en vue de la construction d’un hôtel communal d’une valeur globale de 900 millions dans cette localité du sud d’Abidjan, a constaté l’AIP lors d’une cérémonie de remise de chèque organisée à cet effet.

En présence du directeur général adjoint de la décentralisation et du développement local, Houndjé Luc, représentant le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, cet accord a été paraphée par le maire de Koumassi Ahoua N’dohi Raymond et le PDG du groupe SAER-emploi, Dadjè Sankaret.

Cet appui du groupe Sahel va "booster les travaux" de cet édifice, a assuré M. N’dohi, se réjouissant d’être "le maire le plus heureux". "C’est le fruit du travail abattu par l’équipe municipale et c’est aussi la sincérité dans l’amitié entre le ministre Amichia François et le PDG du groupe SAER-emploi ", a-t-il relevé, recevant le chèque de 600 millions de FCFA des mains de M. Sankaret, devant les maires de Bouaflé, Attécoubé, Adjamé et Duékoué.

Le président du groupe Sahel M. Sankaret, s’est félicité de ce partenariat, relevant les relations exceptionnelles qui le lient au ministre des Sports et Loisirs, Amichia François depuis plusieurs années, qui ont pesé dans sa décision d’apporter cette aide à la mairie de Koumassi.

Pour ce dernier, qui a servi de facilitateur dans la mise en route de cette convention, ce contrat montre la volonté du maire de Koumassi d’apporter un mieux-être à ses administrés. Il a invité la population à accompagner leur maire dans sa quête de développement.

"Les besoins des collectivités sont énormes, mais les ressources sont rares ; et donc, il faut aller chercher les ressources là où elles se trouvent, c’est ce qu’a fait le maire, a encouragé pour sa part Houndjé Luc, assurant le maire N’Dohi de la disposition du ministre Hamed Bakayoko à l’accompagner dans ses actions en faveur du bien-être de ses administrés.

Le Groupe SAER-emploi est une société anonyme malienne de droit OHADA, dotée d’un capital social de 1,1 milliard de FCFA qui fournit des solutions intégrées aux entreprises dans le domaine des ressources humaines. Elle détient une succursale en Côte d'Ivoire dénommée Ivoire labour.

 

AIP

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Le gouvernement de Côte d'Ivoire et la Fédération ivoirienne des PME (FIPME) ont signé, mercredi à Abidjann, une charte pour mieux organiser les relations Privé-Privé, lors d’une cérémonie à la Primature, a constaté l'AIP.

En présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, le ministre de l’Entreprenariat national, de la Promotion des PME et de l’artisanat, Anzoumana Moutayé, et le président de la FIPME, Dr Boguifo Joseph, ont paraphé la charte de sous-traitance et de cotraitance des PME qui vise à améliorer les conditions d’accès des PME aux marchés publics.

"Il s’agit de faire en sorte à amener dans un consensus les grosses entreprises qui ont des marchés pour sous-traiter une ou plusieurs parties de ces contrats qu’ils ont aux PME. Quand il y a un marché d’une certaine envergure, les PME n’ont pas toute la technicité nécessaire de réaliser l’ensemble de l’ouvrage, par contre, sur certaines parcelles, ils ont des compétences", a expliqué Anzoumana Moutayé.

La charte autorise également aux PME de mutualiser leurs compétences diverses pour postuler ensemble à un gros marché qu’elles ne peuvent pas avoir seules, a relevé M. Moutayé. "Pour le moment, la charte n’est pas une obligation, mais c’est déjà un bon départ. Nous allons suivre le fonctionnement pour voir comment cette signature se comporte et apporter des améliorations au fil des ans", a-t-il promis.

Pour Dr Boguifo Joseph qui a salué les actions déjà entreprises par l’Etat pour la promotion des PME en Côte d’Ivoire, il faut arriver à un optimum dans les relations entre acteurs économiques privés, et cela, a-t-il relevé, passe par la prise d’une loi. "Mais pour en arriver là, il y a des étapes à franchir notamment la sensibilisation des entreprises, et c’est en cela que les faîtières doivent s’approprier cette charte qui n’est pas obligatoire", a-t-il ajouté.

Le gouvernement ivoirien a annoncé, à la mi-juillet, que désormais un tiers des marchés publics sera réservé aux PME.

 

Source: AIP

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La fréquence des vols de la compagnie Air Côte d’Ivoire sur la ligne Abidjan-Korhogo va passer de 4 à 5 vols par semaine à compter du 1er septembre, annonce le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.

« A compter du 1er septembre, la fréquence des vols d’Air Côte d’Ivoire sera de 5 vols par semaine » entre Abidjan et Korhogo, a déclaré Duncan, qui procédait, mardi à Korhogo, au lancement des travaux de bitumage de la voie de 15 km reliant cette ville à l’aéroport local, sis à proximité du village de Karakoro.

Daniel Kablan Duncan a relevé, à cette occasion, que le projet de bitumage de la route de l’aéroport relève de l’urgence de fournir des infrastructures de qualité pour la voie desservant l’aéroport de Korhogo, depuis le début de la desserte de cette localité par la compagnie Air Côte d’Ivoire en novembre 2014.

Avec ses quatre dessertes actuelles, Air Côte d’Ivoire transporte 260 passagers par semaine, soit plus de 1000 passagers, entre Abidjan et la capitale du Poro.

AIP

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 Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a procédé , mardi, au lancement des travaux de bitumage de la voie reliant la ville de Korhogo à son aéroport (15 km), situé à proximité du village de Karakoro, un projet financé à hauteur de 6 milliards de francs CFA par l’Etat de Cote d’Ivoire.

Ce chantier qui court sur un délai de 12 mois, s’inscrit dans un projet intitulé « Aménagement de la route Ferké-Nassian-bretelle de Kong et la route de l’aéroport Karakoro de Korhogo » prenant globalement en compte 136 km.

Le maire de Korhogo, Amadou Gon Coulibaly, s’est félicité des nombreuses actions de développement du chef de l’Etat en faveur de la région depuis 2011, en termes d’infrastructures socioéconomiques, notamment le raccordement du réseau d’eau potable au fleuve Bandama, le don de plusieurs ambulances, la pose récente de la première pierre de la future bibliothèque municipale.

Le ministre en charge des Infrastructures économiques, Patrick Achi, a tenu pour sa part à rassurer que les travaux seront de qualité au regard de l’expertise de l’entreprise désignée pour les exécuter.

Le Premier ministre a quant à lui rappelé que de nombreux travaux avaient démarré dans la région et particulièrement à Korhogo, à la faveur de la visite présidentielle dans le district des Savanes en juillet 2013.
Ces travaux, a-t-il indiqué, ont concerné les secteurs routiers, hydrauliques, de la santé de l’électricité sans oublier le domaine de l’éducation.

Ces grands travaux se sont poursuivis avec la mise en place du Programme d’urgence des infrastructures urbaines, devenu plus tard Programme de renaissance des infrastructures urbaines, sur financement de l’Etat de Cote d’Ivoire à hauteur de 10 milliards de francs CFA.

Ce qui a permis la réhabilitation et le renforcement de 7,5 km de la voirie à Korhogo qui s’achèveront fin août, pour un montant total de 6 milliards, l’extension et le renforcement du réseau d’eau potable avec la pose de 200 km de canalisation dans 12 quartiers et villages à plus de 2 milliards de francs CFA.

A cela, s’ajoute l’extension du réseau électrique dans les quartiers de la ville, notamment Monga, Petit Paris et Prémafolo à hauteur de plus de 1,5 milliard de francs CFA.

Après l’étape de Korhogo, Daniel Kablan Duncan s’est rendu à Ferkessédougou où il a procédé au lancement du bitumage du tronçon Ferké-Nassian avec la bretelle Nassian-Kong (33 km).

Ces travaux démarrent à compter du 1er septembre.

AIP

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La célébration de la fête de l’indépendance fait partie des évènements majeurs du peuple ivoirien. Célébrant la fin de la colonisation française et la proclamation de la République ivoirienne le 07 août 1960, cette journée donne lieu à des cérémonies protocolaires, mais aussi à des scènes de joie et de liesse populaires originales et insolites qui témoignent  de l’attachement des populations à cette date importante de l’histoire de la Côte d’Ivoire moderne.

A quelques jours des festivités marquant le 55e anniversaire de son accession à l’indépendance, la Côte d’Ivoire s’active à faire de cette édition l’une des plus marquantes de l’histoire.

A Abidjan, comme partout dans le pays, les préparatifs vont bon train. Outre les cérémonies républicaines officielles qui se tiendront au palais présidentiel, des spectacles et différentes festivités ont été prévus pour rassembler et égayer la population.

Le district par la voix de son gouverneur, a déjà annoncé les couleurs avec l’opération d’illumination des artères et lieux historiques d’Abidjan. Prévue pour durer deux mois, cette opération qui débutera le 07 Août, vient remplacer le traditionnel spectacle de feux d’artifices qui avait lieu à la même date. Aussi, le concert géant gracieusement offert par les autorités, aura un cachet particulier avec la présence des grandes stars de la musique nationale et internationale entre autres Meiway, Singuila, Espoir 2000.

Partout dans la ville, la ferveur des jours de fête est perceptible. Les bâtiments ont fait peau neuve et les commerçants ont ressorti le drapeau national qu’ils affichent fièrement.

Même son de cloche à Yamoussoukro et dans les  autres grandes villes du pays où les principales artères ont été décorées du drapeau national. 

Dans les villes balnéaires, l’heure est à l’aménagement des plages et des complexes hôteliers qui seront sans doute sollicités durant ce long week-end de fête. Si les hôtels d’Assinie, Grand-Bassam  ou Jacqueville   affichent déjà complets pour la période, selon jovago.com site panafricain de réservations d’hôtels en ligne, des plages un peu moins courues situées dans les communes de Port-Bouet et Yopougon  (Azito) pourraient être des alternatives pour des familles en quête de calme et de quiétude.

Bar et maquis ne seront pas en reste. La fête étant  aussi l’occasion de retrouvailles entre amis. Boissons et mets savoureux seront à l’honneur, le tout au rythme des dernières sonorités musicales.

Autant dire que cette année encore, la fête de l’indépendance sera l’une des fêtes les plus populaires et les plus chaudes de la Côte d’Ivoire.

 

Avec Jovago

 

 

 

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La Côte d’Ivoire deviendra bientôt le "le nouveau pole de production électrique" de la sous-région ouest-africaine, a promis jeudi le Président Alassane Ouattara, évoquant d’importants investissement réalisés et en cours dans le secteur de l’énergie dans le pays.

Pour M. Ouattara qui adressait un message télévisé à la nation, dans le cadre du 55ème anniversaire de l’indépendance de l’Etat ivoirien prévu vendredi, le grand potentiel de la Côte d’Ivoire en ressources hydrauliques, ainsi que divers travaux comme l’extension de la capacité de la centrale thermique d’Azito à près de 200 milliards de francs CFA, et la construction du barrage de Soubré d’une capacité de 275 mégawatts d’un coût de quelque 286 milliards FCFA, permettront au pays, sont des atouts qui permettront au pays d’atteindre ce cap.

La Côte d’Ivoire qui est engagée, depuis ces quatre dernières années, dans des investissements massifs en matière d’électricité, qui ont permis l’électrification de 2.112.

Le pays est passé de 33% de taux de couverture en 2011 à 45% en 2014, avec un taux de personnes ayant accès à l’électricité estimé à 78%.

Plusieurs autres projets, dont trois complexes hydroélectriques à Gao (Man), Koulikoro (Man) et Tayaboui (Taï), d’une puissance potentielle globale de plus de 210 MW et d’une valeur de 450 milliards de francs CFA, sont prévus.

Pour l’atteinte de ses objectifs de développement économique et de bien-être social, l’Etat ivoirien entend faire passer sa capacité de production d’électricité de 2000 mégawatts en 2015 à 4000 mégawatts en 2020, avec un taux de couverture nationale électrique de 95%, et l’électrification de tous les villages de plus de 500 habitants.

AIP

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Quatre ans après la décennie de crise sociopolitique qui a durement ébranlé la Côte d’Ivoire de 1999 à 2011, le pays "a retrouvé son élan sur tous les plans", a affirmé jeudi le Président Alassane Ouattara, dans son message à la nation dans le cadre du 55ème anniversaire de l’indépendance de l’Etat ivoirien prévu vendredi.

 

" Le destin des grande nations, c’est de surmonter les grandes épreuves. La Côte d’Ivoire a retrouvé son élan sur tous les plans ; elle fait preuve d’une excellente vitalité. Je suis convaincu qu’avec le temps, nous tournerons définitivement la page de cette crise", a déclaré M. Ouattara, qui a entre autre évoqué le renforcement de la cohésion sociale, la forte croissance économique qui a atteint 9%, et de nombreuses réalisations d’infrastructures socioéconomiques de base.

 

" Je suis fier du chemin parcouru en si peu de temps", a-t-il dit, réaffirmant son ambition de conduire la Côte d’Ivoire dans la catégorie des pays émergents à l’horizon 2020, en l’inscrivant dans "une croissance encore plus inclusive".

 

(AIP)

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