Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Le dernier rapport de Think Security Africa relève neuf changements clés dans le domaine de la défense nationale en Afrique
Le dernier rapport de Think Security Africa se concentre sur le financement des forces armées et sur les mesures requises pour prévenir une grave crise de la capacité de réaction des armées africaines. Le rapport, intitulé «Prêt à servir : Financer les forces armées africaines et assurer leur capacité de réaction» relève neuf changements clés dans le domaine de la défense nationale en Afrique et explique comment ces changements se traduisent en nouvelles priorités budgétaires et en défis administratifs. Les résultats clés du rapport démontrent, au moyen d'infographies et de cartes, la nécessité de définir de nouvelles priorités en matière de financement des forces armées africaines ainsi que de nouvelles perspectives dans l'attribution des ressources. Il s'agit de faire en sorte que les forces armées africaines conservent et développent leur capacité à garantir la défense nationale.
Plus spécifiquement, le rapport souligne le fait que 18 % des forces armées africaines souffrent de crises existentielles et que 35 % d'entre elles entreprennent des opérations qui s'inscrivent hors de leurs activités normales en temps de paix. Tout ceci se produit dans un contexte d'incertitude budgétaire croissante, précipitée par la chute brutale des prix des matières premières.
« Si l'augmentation des opérations militaires en Afrique se poursuit parallèlement à celle des incertitudes budgétaires, les forces armées et les donateurs devront probablement changer leurs priorités de financement afin de garantir le bon déroulement des opérations. En outre, les forces armées devront coopérer plus étroitement aux niveaux administratifs et opérationnels et les sous-traitants de la défense devront probablement modifier leurs méthodes de commercialisation et d'approvisionnement, » déclare Adunola Abiola, fondatrice de Think Security Africa.
Avant de parvenir à ses ultimes conclusions, le rapport évalue et décrit les changements survenus dans l'environnement de la défense en Afrique ainsi que les exigences en termes de financement opérationnel. Il propose des orientations visant à aider les forces armées africaines et leurs partenaires stratégiques à relever les défis financiers et administratifs de façon à améliorer la capacité de réaction des armées Africaines. En particulier, il appelle les forces armées africaines à envisager la mise en commun (à certains niveaux) de leurs achats et à parler d’une seule voix afin de réduire les lourdeurs administratives.
Think Security Africa (TSA)est un groupe de réflexion indépendant spécialisé dans les questions relatives à la sécurité en Afrique. Depuis sa création en 2009, TSA est devenu le groupe de réflexion centré sur la sécurité le plus influent d'Afrique. TSA a établi son siège à Maurice en août 2015.
Armand Tanoh
Le Kenya abritera le premier forum de Surveillance de l'Environnement pour la Sécurité en Afrique (MESA) à Nairobi du 31 Août au 4 Septembre à l'Hôtel Crowne Plaza. Le Forum examinera la façon dont les données d'Observation de la Terre par le biais du projet MESA, soutiennent les politiques, la planification et la prise de décision au niveau national, régional et continental en Afrique.
La Commissaire à l'économie rurale et agriculture de la Commission de l'Union Africaine, S.E. Mme Tumusiime Rhoda Peace, a déclaré qu’«en améliorant l'accès et l'exploitation des applications appropriées de l'Observation de la Terre aux niveaux national, régional et continental, le projet MESA contribue à l’amélioration de la gestion de l'information, de la prise de décision et au renforcement de la capacité de planification des institutions africaines mandatées pour les questions liées à l'agriculture, l'environnement, le climat, la pêche, la sécurité alimentaire et les domaines connexes. Cela est essentiel pour l’intégration régionale africaine".
Mme Anna Burylo au nom de la délégation de l'UE à l'Union Africaine, en sa qualité de Chef de la coopération, a déclaré pour sa part que : "L'Union européenne est fermement engagée à veiller à ce que le projet MESA contribue efficacement à la mise en place d'un cadre cohérent pour le développement des activités d'Observation de la Terre afin de contribuer de façon stratégique au développement socio-économique de l'Afrique. Prenant également la parole lors à la séance d'information, Zachary Atheru, gestionnaire de projet au MESA-IGAD, a déclaré que: « le Forum vient à un moment où les données sont utilisées par les institutions pour planifier et exécuter les initiatives qui, à long terme, ont un impact social et économique ».
Le Forum MESA est prévu pour cinq (05) jours. Pendant ce temps, les délégués auront l'occasion d'échanger les meilleures pratiques qui ont aidé les institutions et les gouvernements africains à établir des cadres cohérents pour le développement des activités d'Observation de la Terre afin d’améliorer les politiques pour la durabilité environnementale au profit des générations futures.
Le Forum a pour thème " Rationaliser les produits et services de MESA pour un cycle de prise de décision en faveur de la gestion durable de l'environnement" et sera organisé par la Commission de l'Union Africaine (CUA) en collaboration avec l'Autorité Intergouvernementale pour le Développement (IGAD), et le gouvernement du Kenya à travers le Ministère de l'Environnement et des ressources naturelles, avec le soutien de l'Union Européenne. Elle réunira 250 délégués internationaux, comprenant des décideurs politiques, les planificateurs, les utilisateurs de données d'Observation de la Terre et des experts venant de tout le continent.
Armand Tanoh
Ces fonds serviront à financer des projets dans les nombreux pays africains membres de la BID
L'Africa Finance Corporation (AFC) est heureuse d'annoncer qu'elle a accepté une ligne de financement de 50 millions de dollars US de la Banque Islamique de Développement (BID), avec un remboursement sur 13 ans et 6 mois.
Ces fonds serviront à financer des projets dans les nombreux pays africains membres de la BID. Il s'agira principalement de projets infrastructurels et agricoles structurés conformément à la finance islamique et promouvant le développement social et économique des communautés concernées.
Ce premier emprunt de l'AFC à la finance islamique est le résultat de plusieurs années de coopération et de collaboration croissantes entre les deux institutions. Les discussions initiées par l'AFC en 2009 ont abouti à la conclusion d'un Protocole d'Entente avec la Société Islamique pour le Développement du Secteur Privé (ICD) – la division secteur privé du Groupe BID.
Sur la base de ce travail préparatoire, une équipe de la BID a approché l'AFC en 2014, suite à la réaffirmation par Moody's de la notation de crédit internationale A3/P2 de l'AFC et aux solides antécédents de celle-ci dans le financement et le développement de projets phares sur le continent africain. L'implication de l'AFC dans des projets tels que la route à péage de Bakwena – un développement infrastructurel de transport qui a permis de connecter le cœur industriel de l'Afrique du Sud au port en eau profonde le plus proche au Mozambique – a significativement contribué à l'aboutissement de sa demande.
Andrew Alli, président-directeur général de l'AFC, a ainsi commenté la nouvelle : « En tant que premier emprunt de l'AFC à la finance islamique, cet accord constitue une étape importante pour notre société. La finance islamique répond à une demande élevée et connaît une expansion rapide. De nombreuses institutions financières islamiques établissent leurs opérations dans la région étant donné l'importante population musulmane de l'Afrique. Le potentiel de croissance de ce secteur est énorme.
Nous avons l'intention d'utiliser la totalité de l'emprunt et du capital pour financer et développer des projets dans les pays membres de la BID, dont plusieurs sont également membres de l'AFC. C'est grâce à de tels emprunts que l'AFC peut continuer à améliorer la qualité des infrastructures du continent, et stimuler ainsi la croissance économique de l'Afrique. »
Outre un financement significatif des activités de la société, l'accord conclu entre l'AFC et la BID établit une solide relation intercontinentale qui devrait mener à une collaboration toujours plus étroite entre les institutions de l'Afrique et du Moyen-Orient.
À propos de l'AFC
Institution financière multilatérale bénéficiant d’une notation de crédit de premier ordre, l’AFC a été fondée en 2007 avec un capital initial de 1 milliard de dollars US et a pour mission de jouer le rôle de catalyseur pour l’investissement dans les projets infrastructurels du secteur privé à travers l’Afrique. Avec son capital de base actuel de 2,9 milliards de dollars US, l’AFC est aujourd'hui la deuxième institution financière multilatérale d’Afrique de catégorie « investment grade » et a été notée A3/P2 (Perspective stable) par l’agence d’évaluation Moody’s Investors Service. En mai 2015, l’AFC a conclu avec succès une première émission d’euro-obligations d'une valeur de 750 millions de dollars US, qui a connu une sursouscription de 700 % et a attiré des investisseurs d’Asie, d’Europe et des États-Unis.
L’approche de l’AFC en matière d'investissements est le fruit d'une expertise sectorielle spécialisée associée à un accent porté sur les services-conseils d’ordre financier et technique, sur la structuration de projets, le développement de projets et le capital-risque en vue de répondre aux besoins en développement d’infrastructures en Afrique et de stimuler une croissance économique durable.
L’AFC investit dans des actifs d’infrastructure de haute qualité permettant de fournir des services essentiels dans les secteurs infrastructurels de base que sont l’énergie, les ressources naturelles, l’industrie lourde, les transports et les télécommunications.
L’AFC est devenue l’institution de référence pour ce qui est des investissements dans les projets de production électrique du secteur privé en Afrique, et leur développement.
Armand Tanoh
Le dispositif sécuritaire de Yopougon (Abidjan-ouest) vient d’être renforcé, avec le déploiement de 300 policiers suites à des incidents, jeudi, qui ont fait deux morts au quartier Niagon, a annoncé le préfet de police d’Abidjan, le commissaire divisionnaire Yao Kouamé Joseph, vendredi, lors d’un point de presse.
"Depuis cette malheureuse situation, nous avons renforcé le dispositif sécuritaire de Yopougon. Pour ce jour, 300 de nos collaborateurs ont été déployés dans la zone de Yopougon, pour quadriller, pas seulement la zone où il y a eu le drame, mais tout le quartier de Yopougon, en mettant bien sûr l’accent sur la zone où il y a eu cette situation", a déclaré le commissaire divisionnaire Yao Kouamé Joseph, en présence du commissaire principal Koffi Yao Franck, directeur des unités d’intervention de la police nationale.
Mercredi à l’aube, une jeune étudiante a été retrouvée morte au quartier Niangon de Yopougon, vraisemblablement assassinée à coup d’armes blanches. Un crime imputé par les habitants de ce secteur à la bande criminelle constituée essentiellement d’enfants appelés "microbes", qui sévissent depuis quelques années dans certaines communes d’Abidjan.
Cette situation a provoqué un soulèvement de ces populations, vendredi, conduisant au lynchage de trois jeunes gens soupçonnés d’appartenir à ce gang, dont deux ont perdu la vie. Selon lui, rien n’indique pour l’instant que l’assassinat de la jeune étudiante est le fait des "microbes". "La scène s’est passée entre 3 H et 4 H du matin. Il n’y avait pas de témoin. Alors, s’il n’y a pas de témoin, comment on peut indexer un groupe d’individus ? Nous-mêmes, nous sommes en train de rechercher les auteurs de ce crime-là", s’est-il expliqué demandant "à tout sachant " d’approcher les services de police, pour donner les informations nécessaires pour "permettre de mettre la main sur ces individus".
Le commissaire divisionnaire Yao Kouamé Joseph a relevé que le phénomène des "microbes" n'a jusque-là, à sa connaissance, jamais concerné Yopougon. "C’est un phénomène qui a été vécu ailleurs comme à Abobo, Adjamé et Attécoubé; mais pour ce que nous savons, il n’a jamais été question de ce phénomène-là à Yopougon", a-t-il soutenu.
"Que la population se tranquillise ! La police a toujours été là, appuyée dans ses fonctions par la gendarmerie. Nous sommes à leur disposition. S’il y a une situation, qu’on s’adresse à nos services, où qu’on appelle le CCDO ou le PC Radio police, pour que, très rapidement, nous puissions actionner nos hommes à leurs côtés. Il ne faudrait pas qu’ils pensent qu’ils sont abandonnés", a conclu le préfet de police d'Abidjan.
AIP
Les travaux d’un projet d’hydraulique villageoise de 300 cent millions de FCFA, portant sur la réalisation de 20 nouveaux forages et la réhabilitation de 51 autres, initié en 2013 par l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) dans la région de Gbêkê, débuteront très bientôt, ont annoncé, jeudi, à Bouaké, le représentant résidant de la JICA et les gestionnaires du projet.
Le représentant résidant JICA, Eiro Yonezaki, s’adressant aux collectivités territoriales, lors d’un séminaire de deux jours portant sur le plan d’exécution de ce projet, a lancé un appel pour la bonne gestion des ouvrages qui seront réalisés.
Le secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Yokozo Zozoro Firmin, coordonnateur régional du projet, a invité pour sa part les acteurs et bénéficiaires locaux, à suivre avec beaucoup d’attention et d’intérêt la réalisation de ce projet pilote d’hydraulique villageoise, afin de favoriser sa pérennisation et son extension dans les autres régions du pays.
«La réussite de cette phase va guider l’ensemble des décisions à prendre ultérieurement entre la JICA et la République de Côte d’Ivoire», a-t-il indiqué, avant de saluer l’appui apporté par la coopération japonaise à l’Etat de Côte d’Ivoire.
Pour leur permettre de mieux jouer leur partition, un atelier a été initié à l’intention des huit communes et le conseil régional de Gbêkê représentés par des agents de leurs services techniques et des socioculturels. Ils ont été instruits sur les différents aspects de la mise en œuvre du projet.
Sur le terrain, ils contribueront à la mise en place et à la formation des comités de gestion durables des points d’eau.
Ces travaux entre dans le cadre du volet hydraulique villageoise du Projet développement des ressources humaines pour le renforcement de l’administration locale dans les zones Centre et nord de la Côte d’Ivoire (PCN-CI) mis en œuvre depuis 2013.
Dans le cadre de ce projet, les 8 et 9 avril, les chefs des services techniques et financiers des communes et du conseil régional avaient bénéficié d’un renforcement de capacités sur les passations des marchés. Après cette formation, les marchés relatifs à la réalisation des 71 hydrauliques villageoises, ont été passés.
AIP
Le gouvernement américain annonce le financement de projets de développement communautaire en Côte d’Ivoire, a appris l’AIP de source proche de la chancellerie.
Selon une demande de couverture parvenue à la rédaction de l’agence, l’ambassade des Etats-Unis à Abidjan organisera mardi, à 09h 30, une cérémonie de signature d’accord de financement de sept projets de dé veloppement communautaire, d’un coût de 45.000 dollars US (environ 22,5 millions de FCFA), à la Riviera Golf.
Le financement de ces projets entre dans le cadre de l’octroi du fonds spécial "Self-Help" de l’ambassadeur des Etats-Unis pour l’année 2015, signale-t-on.
Ils permettront de réaliser des activités de développement communautaire à travers la Côte d’Ivoire, conclut-on.
Rien que quelques semaines. Et elle sera livrée. Lancé en août 2012, le chantier de l'autoroute Abidjan-Grand Bassam a pratiquement achevé.
Selon le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, l’ouvrage d’un coût de 62 milliards de francs CFA, exécuté par l’entreprise chinoise China machinery engeneering corporate et financé à 85% par Eximbank Chine, sera fin prêt en septembre 2015 pour le service.
M. Duncan a fait cette annonce le mardi 11 août 2015 à Korhogo dans le Nord de la Côte d’Ivoire, alors qu’il lançait un important projet de bitumage de plus de 130 km de route prenant en compte les voies Korhogo-Aéroport de Korhogo, Ferké-Petit Nassion-Kong.
L’autoroute reliant la capitale économique ivoirienne à la ville balnéaire de Grand Bassam est un boulevard à péage de 2x3 voies sur plus de 42 km. Il sert de tracé initial pour la réalisation de la future autoroute Abidjan-Lagos.
Armand Tanoh
Le préfet de Grand-Bassam, Beudjé Djoman Mathias, annonce des cas confirmés de grippe aviaire dans le département, dans un rayon de trois kilomètres à partir du carrefour Modeste.
M. Djoman a fait cette annonce mercredi, lors d’une rencontre avec les autorités administratives, politiques, coutumières et religieuses au Carrefour jeunesse de Grand-Bassam.
Suite à une alerte relative à une mort massive et en cascade de volailles dans une ferme de poules pondeuses du village de Modeste, sur l’axe Abidjan-Grand-Bassam, qui a emporté 27.000 poulets, une équipe de la direction des services vétérinaires s’est rendu sur le site le 24 juillet, pour procéder à des prélèvements, dont les résultats se sont révélés positifs. Ce qui confirme la présence de grippe aviaire dans ces lieux.
Le préfet a pris un arrêté, N° 8 du 12 8-2012, dans lequel il invite les populations à la prudence, promettant que toutes les dispositions seront prises pour éradiquer le virus.
"Il est envisagé sur une période de 60 jours des mesures de destruction des volailles infectées, de leurs produits dérivés, et de l’achèvement des opérations de désinfection des services sanitaires du lieu d’abattage attestant leur non-contamination", indique l’arrêté préfectoral.
Le cabinet du ministère des Ressources animales et halieutiques a officiellement informé le préfet de l’existence de la grippe aviaire après l’analyse des échantillons prélevés le 24 juillet. Ce courrier précise que le fermier Dicko sera indemnisé.
Toutefois, les opérateurs du secteur disent être très préoccupés. L'un d'entre eux, Adou Bèniè Kouamé, a confié à l’AIP que la psychose a déjà saisi les populations et que leurs chiffres d’affaires risquent d’en souffrir, parce qu’ils ne pourront plus livrer leurs produits à Abidjan, conformément à la réglementation en vigueur qui interdit le transport de volailles au-delà du département.
La région du Sud-Comoé est le plus grand pourvoyeur de poulets de chair à Abidjan.
AIP
Une alliance stratégique vient d’être conclue entre JUMIA Côte d’Ivoire et Intex Technologies. La compagnie Indienne a choisit le leader du commerce en ligne pour vendre ses produits en Côte d’Ivoire. Cette alliance ouvre à la marque le marché ivoirien de la téléphonie en forte croissance et vient renforcer l’offre de JUMIA Côte d’Ivoire sur un segment très compétitif.
Les deux compagnies ont travaillé discrètement pendant plusieurs mois afin de concrétiser cet accord historique. Le partenariat officiel depuis le Mardi 11 Août 2015, permet à JUMIA de devenir le distributeur agréé des smartphones Intex en Côte d’Ivoire. Intex entend rapidement bénéficier de l’expérience acquise par l’e-commerçant pour s’installer sur un marché qui enregistre d’excellente performance (97,5% de taux de pénétration de la téléphonie mobile) mais également une concurrence grandissante. JUMIA Côte d’Ivoire mettra à la disposition du fabricant indien plus de 500 000 clients potentiels, une plateforme promotionnelle, commerciale et logistique rodée ainsi que l’atout capital d’une très bonne connaissance du marché local.
Intex est classée en seconde position des meilleures marques indiennes de smartphone par IDC par IDC (International Data Corporation). Avec ses lignes Aqua et Cloud, la marque offre des smartphones ultra performants, à des prix ultra abordables. La compagnie dispose de centres de recherche et développement en Inde et en Chine, à la pointe de la technologie et dirigés par une équipe hautement qualifiée et expérimentée, pour la recherche, la conception et le développement des différents produits. Ces centres garantissent que les produits sont offerts en ligne avec les dernières normes mondiales. Outre la téléphonie, Intex Technologies opère également dans l’informatique et les biens de consommations durables.
Quelques heures après la signature de l’accord, le premier smartphone vedette de la marque était mis en ligne sur le site. Le Smartphone Intex Aqua Y2 Ultra est disponible sur JUMIA au prix concurrentiel de 39 500 FCFA. Il témoigne avec élégance de tout le savoir faire de la marque.
Bon à soavoir
Intex Aqua Y2 Ultra
• Version : Dual Sim
• Écran : 4 Pouces (10.16 cm) IPS WVGA
• Résolution : 800 x 480
• Caméra arrière : 5 Mégapixels avec Flash
• Caméra avant : 2 Mégapixels
• Système d'exploitation : Android 4.4 (kikat)
• Mémoire interne : 8 Gb,
• Mémoire RAM : 1 Gb
• Processeur : 1.2 GHz Quad Core
• Connectivité : Wi-Fi, Bluetooth, USB
• Batterie : 1400 mAh
• Poids : 0.109 Kg
• Garantie : 6 Mois
Armand Tanoh
Dans le cadre de l'étude d’impact environnemental du projet de prolongement de l’autoroute du Nord à Bouaké, une enquête publique a été ouverte mardi à Yamoussoukro, lors d’une réunion présidée par le secrétaire général de préfecture de la ville, Narcisse Sépy Yessoh, en présence du conseiller technique du ministre de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement durable (MINESUDD), Léopold Kouaho.
Cette réunion a également enregistré la participation des représentants des localités qui seront impactées et touchées par le tracé de l’autoroute Yamoussoukro-Bouaké, en vue de recueillir leurs avis et suggestions "pour ne pas qu'il y ait des laissés-pour-compte".
" Il s’agit de la prise en compte des intérêts des populations, de leur site, cimetières et de leurs croyances", a précisé M. LéopoldKouaho, soulignant qu’en pareille situation, pour déplacer les populations et les réinstaller, il y a des rites à respecter.
Le chef du projet des études de l’autoroute Yamoussoukro-Bouaké, Ouattara Sitigui, a rassuré pour sa part que dans le cadre de l’étude d’impact environnemental et sociale, des efforts ont été faits pour éviter tous les sites sacrés identifiés dans le tracé de l’autoroute.
L’autoroute Yamoussoukro-Bouaké, longue de 113 km, sera une voie à double circulation avec, au centre, une terre pleine de 12 m. Elle part du carrefour de l’aéroport de Yamoussoukro sur 6,5 km en voie expresse.
" À partir de ce point (6,5 km ndlr), l’autoroute commence jusqu’à Bouaké. Elle évitera toutes les localités, mais verra des échangeurs pour desservir les grandes localités ", a précisé le chef du projet d’étude Ouattara Sitigui.
La réunion d’ouverture d’enquête publique a consisté à montrer aux populations l’importance de l’enquête publique et à présenter le projet de construction de l’autoroute, et l’étude d’impact environnemental et social.
Les populations concernées disposent de dix jours francs pour faire connaitre et enregistrer leurs avis et suggestions dans les locaux de la sous-préfecture de Yamoussoukro, auprès d’un commissaire enquêteur nommé pour la prise en compte de leurs observations.
AIP