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La Cour de Justice de la CEDEAO examinera en audience, entre février et avril prochain, 45 affaires dont elle a été saisie en provenance de 10 Etats membres.
Selon un communiqué de presse publié lundi par la Commission de la CEDEAO, la Cour rendra un jugement sur cinq affaires et statuera dans trois autres, les autres affaires devant faire l’objet d’audience. Ces affaires concernent en majorité des plaintes portées contre des Etats membres pour violation des droits de l’homme.
L’on y compte, entre autres, les plaintes déposées par le Colonel à la retraite Mohammed Sambo Dasuki, Conseiller en sécurité nationale de l’ancien Président du Nigeria, Dr Goodluck Jonathan et celle de Djibrill Bassolé, ancien Ministre des Affaires Etrangères sous l’ancien Président burkinabé Blaise Compaoré. Tous deux ont saisi la Cour pour lui demander de faire respecter leurs droits humains fondamentaux.
Ces affaires seront examinées par différentes collèges de juges composés de ceux siégeant actuellement à la Cour, à savoir Maria Do Céu Silva Monteiro (Présidente Chijioke Friday Nwoke (Vice-président) et Jérôme Traoré (Doyen). Les autres juges siégeant à la Cour de justice de la Communauté sont Micah Wilkins Wright, Yaya Boiro, Hameye Foune Mahalmadane, et Alioune Sall.
Greenpeace publie aujourd’hui « Menaces sur les forêts africaines », une enquête sur les plantations de la Socfin, détenue à 38,75% par le groupe Bolloré, et exhorte son PDG Vincent Bolloré à s’engager immédiatement contre la déforestation.
Le rapport souligne que les projets d’expansion des plantations de la Socfin dans une dizaine de pays, majoritairement africains, menacent des forêts denses, écosystèmes indispensables à la préservation des équilibres climatiques, à la sauvegarde de la biodiversité ainsi qu’au maintien des conditions de vie des populations locales.
Ruée sur les forêts africaines
Les plantations de palmiers à huile et d’hévéas constituent l’un des principaux moteurs de la déforestation. L’Afrique ne représente encore qu’un faible pourcentage de la production d’huile de palme ou de caoutchouc au niveau mondial, mais on assiste actuellement à une véritable ruée sur les forêts africaines.
Au premier rang des planteurs en Afrique, la Société Financière des Caoutchoucs (Socfin) est une entreprise présente depuis plus d’un siècle sur le continent, dont les principaux actionnaires sont le groupe Bolloré et l’homme d’affaires belge Hubert Fabri (via des participations directes ou indirectes)
Des plantations tropicales source de déforestation et menace sur le climat
Dans ce rapport, de nouvelles investigations de Greenpeace France en République démocratique du Congo et à Sao Tomé-et-Principe, démontrent que les concessions de la Socfin incluent des forêts primaires, mais aussi des forêts secondaires ou en régénération qui stockent d’importantes quantités de carbone. La Socfin est également impliquée dans de nombreux conflits avec les communautés riveraines.
« Nous avons constaté que certaines concessions jouxtent des écosystèmes uniques comme à Sao Tomé où les plantations de la Socfin s’étendent au sein de la zone tampon d’un Parc Naturel national abritant une biodiversité remarquable. Or, contrairement à ses principaux concurrents du secteur de l’huile de palme, la Socfin n’a pas de politique visant à empêcher la déforestation dans ses projets », souligne Cécile Leuba, chargée de campagne pour Greenpeace France.
A Sao Tomé, les analyses réalisées par Greenpeace montrent que l’ensemble du carbone stocké dans les zones déboisées par Agripalma, la filiale de la Socfin, s’élevait à plus de 600 000 tonnes d’équivalent CO2. C’est l’équivalent des émissions annuelles d’une petite centrale à charbon.
La responsabilité du groupe Bolloré
Pour Greenpeace, Vincent Bolloré doit user de son influence pour que la Socfin s’engage immédiatement sur une politique de plantation zéro déforestation crédible et respectueuse des droits des communautés locales. Dans le même temps, le Groupe Bolloré doit lui-même rendre public une politique zéro déforestation couvrant l’ensemble de ses investissements dans le secteur.
« Notre objectif est que les forêts africaines ne connaissent pas le sort des forêts indonésiennes et malaisiennes. Les investisseurs doivent s’engager dès aujourd’hui à adopter des politiques zéro déforestation et le Groupe Bolloré ne peut pas se dédouaner de sa responsabilité à l’égard des pratiques de la Socfin », conclut Cécile Leuba.
Le directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI), Mitsuhiro Furusawa, est annoncé au Tchad et en Côte d’Ivoire durant la période du 21 au 27 février "pour s’entretenir avec les autorités et divers autres interlocuteurs des deux pays, et souligner les liens solides qui unissent l’institution et ses pays membres africains".
Selon un communiqué publié par le FMI, la visite de M. Furusawa au Tchad donnera l’occasion "de réaffirmer les étroites relations que le FMI a développées avec le pays durant ces dernières années".
À N’Djamena, M. Furusawa rencontrera le président de la République, Idriss Déby Itno, d’autres hauts responsables et des représentants du secteur privé et de la société civile.
«J’attends avec grand intérêt les réunions productives que nous aurons avec le Président de la République, M. Déby, et ses collaborateurs, à l’heure où ils s’emploient à relever d’importants défis, notamment ceux liés à l’effet conjugué du repli net et persistant des cours internationaux du pétrole et de l’aggravation des menaces sécuritaires régionales», a déclaré le DGA du FMI à la veille de sa visite.
«Malgré ces difficultés, les résultats économiques ont été globalement satisfaisants et le FMI se tient prêt à poursuivre son assistance financière et technique pour aider le Tchad à gérer les priorités immédiates et à atteindre ses aspirations en matière de développement», a-t-il ajouté.
En Côte d’Ivoire, Mitsuhiro Furusawa rencontrera le président de la République, Alassane Ouattara, et le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, ainsi que des dirigeants d’entreprise, des représentants de la société civile et des étudiants.
Cette visite permettra à M. Furusawa de passer en revue les résultats économiques exceptionnels enregistrés par le pays et d’avoir des échanges sur les moyens d’entretenir cette dynamique et de veiller à ce qu’elle profite à tous, précise le communiqué.
«La Côte d’Ivoire a enregistré des résultats économiques impressionnants ces quatre dernières années, affichant un taux de croissance annuel moyen de 8,9 %. Je félicite les autorités de cette remarquable performance et me réjouis des entretiens que nous allons avoir», a déclaré M. Furusawa.
Surnommé « l’homme-arbre » à cause des verrues aux allures d’écorces d’arbre recouvrant ses mains et ses pieds, un Bangladais de 26 ans, Abul Bajandar, a été opéré ce samedi 20 février avec succès au Medical College Hospital de Dacca, au Bangladesh.
Il a fallu plus de trois heures à une équipe de neuf médecins pour retirer les excroissances géantes de la main droite du Bangladais de 26 ans, Abul Bajandar.
Dans 3 mois, l’hôpital décidera s’il est nécessaire de procéder à une nouvelle opération. Abul Bajandar est atteint d’une maladie de peau génétique rarissime, appelée « épidermodysplasie verruciforme ».
Cette pathologie cutanée provoque la prolifération de verrues qui peuvent être plus ou moins spectaculaires. Celles du jeune bangladais sont apparues quand il était adolescent. Au début petites, elles ont commencé à grossir à un rythme accru, couvrant ses mains et ses pieds de lésions ressemblant à une écorce d’arbre et pesant pour certaines plus de 5 kilos. Marié et père de famille, Abul Bajandar a perdu l’usage de ses mains et a été obligé d’abandonner son travail.
Selon sa femme, l’opération qu’il vient de subir lui a rendu le sourire. L’intervention, assez couteuse, a été possible grâce à la médiatisation de son cas par une chaîne locale et à la générosité des téléspectateurs. Selon les sources médicales, l’épidermodysplasie verruciforme toucherait aujourd’hui 200 personnes dans le monde.
Source : http://www.rfi.fr/
Le bilan de la mutinerie qui a eu lieu samedi à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) s’est alourdi à 10 morts dont 9 détenus et un élément de la garde pénitentiaire, a appris l’AIP dimanche soir de source officielle.
Dans une déclaration lue sur les antennes de la télévision nationale RT1, le procureur général du tribunal de première instance d’Abidjan, Aly Yéo, a expliqué que cette mutinerie était une tentative d’évasion provoqué par des prisonnier conduits par le détenu Coulibaly Yacouba dit "Yacou Le Chinois", qui a été tué lors des échanges de tirs avec les forces de l’ordre.
Selon le procureur Yéo, Yacou Le Chinois avait en sa possession deux kalachnikovs.
AIP
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Les choses se précisent pour l’exploitation de bateaux bus de dernière génération à Abidjan. La Diplomatique d’Abidjan (www.ladiplomatiquedabidjan.net) apprend de source proche du dossier que des travaux de construction de nouveaux quais ultramodernes (Photo) débutent en juin 2016 sur la lagune Ebrié, en vue de l’exploitation de ces bateaux de transport en commun.
20 milliards à investir
Ces quais, une vingtaine seront réalisés dans plusieurs communes d’Abidjan et sa banlieue. Leurs travaux vont coûter environ 20 milliards de FCFA. Il s’agira d’infrastructures bâtis selon les normes les normes internationales de sécurité maritimes, fluviales et portuaires.
Le gouvernement ivoirien a mis fin au monopole de la SOTRA dans le secteur du transport fluvial en 2015, et autorisé l’entreprise Rainbow Line, détenue à majorité par le groupe Turc Yildirim, à exploiter également le plan d’eau lagunaire de la capitale économique ivoirienne. Ce groupe, reconnu pour son expertise dans le secteur du transport, des mines, des ports et de l’énergie, devra prendre en charge ces travaux avec ses partenaires.
Toutefois, l’Etat ivoirien réalisera à la faveur de ces projets, de nouveaux de nouveaux quais et abord pour la SOTRA.
Le groupe Turc Yildirim compte installer son siège régional africain à Abidjan et prendre également part à l’extension du port autonome de San Pedro grâce à son expertise en construction.
A propos des bateaux bus de dernière génération
Ces bateaux, dont le début de l’exploitation en Côte d’Ivoire est prévu pour le dernier trimestre de 2016, seront plus modernes que ceux que les Ivoiriens ont connus jusqu’à présent.
Ils auront par exemple une plus grande vitesse, le permettant de relier dans un délai de 8 à 30 minutes la quasi- totalité des communes d’Abidjan.
Abdoul Razak Dembélé
Au moins deux personnes dont un caïd de la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), la principale prison de Côte d’Ivoire, ont été tuées lors d’une mutinerie réprimée par les forces de l’ordre, a déclaré la police.
La seconde victime est un garde pénitentiaire, qui a trouvé la mort au cours "d’une opération de renforcement de la sécurité à l’intérieur de l’établissement", selon une déclaration du directeur général de la police nationale, le général Brédou M’Bia, transmise à l’AFP.
"Certains détenus menés par Yacouba Coulibaly, alias +Yacou le Chinois+ ont opposé une farouche résistance pendant trois heures, à cette opération qui a également fait "neuf blessés" chez les gardes pénitentiaires, selon le communiqué.
"La situation est désormais sous contrôle", souligne le texte.
Cinq kalachnikovs ont été saisies auprès "de la garde rapprochée" de "Yacou le Chinois", un caïd de la Maca, à l’origine, il y a quelques années, de plusieurs tentatives d’évasions et de mutineries, a affirmé de son côté, un responsable de la police ayant requis l’anonymat.
Il y purgeait depuis 2012 une lourde peine pour "assassinat et meurtre". En 2015, il avait fait sensation en célébrant à coups de billets de banques son anniversaire en prison.
La mutinerie avait éclaté samedi matin où les détenus armés de kalachnikovs avaient attaqué entre 08H00 et 09H00 (GMT et locales) les postes des gardes pénitentiaires", selon un gardien, le sergent Noël Yao.
Selon lui, la décision des mutins, dont de nombreux condamnés à des lourdes peines, d’effectuer une sortie à la journée sans en avoir obtenu l’autorisation, a été le déclencheur de la révolte.
Des témoins ont raconté avoir entendu des échanges de tirs entre détenus et
gardiens, appuyés par la police et la gendarmerie.
"Les prisonniers avaient pris un moment le contrôle de l’établissement",
avait assuré un voisin joint au téléphone.
La prison de la capitale économique ivoirienne qui accueille quelque 5.200 prisonniers pour 1.500 places, selon les derniers chiffres disponibles, avait subi d’importantes évasions en 2012.
Elle avait été entièrement vidée de ses détenus et très endommagée au plus fort de la crise postélectorale (2010-2011) qui a fait plus de 3.000 morts.
Elle avait ensuite subi d’importants travaux de rénovation, mais reste surpeuplée.
AFP
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Les banquiers ne sont pas satisfaits du dispositif fiscal qui accompagne le crédit-bail dont le volet réglementaire est en cours de réaménagement, a signifié, vendredi, le président de l’association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (APBEFCI), Souleymane Diarrassouba.
« Nous poursuivons les discussions, parce que nous ne sommes pas pour le moment satisfaits du dispositif fiscal qui doit accompagner ce produit qui doit être un levier et un puissant vecteur pour permettre de financer les PME », a déclaré M. Diarrassouba lors de la rentrée solennelle de cette association.
Il souhaite que l’Etat face plus d’efforts au niveau du dispositif fiscal, afin que le crédit-bail soit un produit qui attire pour les banques ou les sociétés financières spécialisées dans cette matière. « C’est un potentiel d’investissement et de financement d’au moins un milliard de dollars qui est possible si les conditions sont réunies », a relevé le président de l’association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire.
AIP
Le ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Artisanat et la Promotion des PME, Azoumana Moutayé a signé avec son homologue marocain en charge des PME, une convention-cadre, en vue de s’inspirer du modèle marocain dans le cadre de la mise en œuvre du programme Phoenix pour le développement des PME ivoiriennes.
Cet accord, signé mercredi à Rabat, sera décliné en action par un comité de suivi mis en place à cet effet. Il sera composé d’experts ivoiriens et marocains et aura notamment pour missions de veiller à la bonne application du contenu de ce mémorandum, le rendre dynamique et surtout établir sa mise en œuvre dans les meilleurs délais, indique-t-on.
L’Etat de Côte d’Ivoire a adopté en septembre 2015 le programme Phoenix pour le développement des PME ivoiriennes, afin de rendre les PME Ivoiriennes dynamiques et compétitives. Cette stratégie repose sur quatre piliers stratégiques, à savoir l’amélioration de l’accès au financement et aux marchés, le renforcement des capacités techniques et managériales, l’amélioration du climat des affaires des PME, le développement de la culture entrepreneuriale.
Le programme Phénix contient également trois axes transversaux que sont la réorganisation et la rationalisation institutionnelle par la création d’une agence PME, le renforcement des organisations et fédérations professionnelles de même que la signature de partenariat avec les bailleurs publics, privés et des acteurs d’excellence.
Le détenu Yacou Le Chinois" (Photo) a trouvé la mort dans les affrontements armés qui ont déclenché ce samedi matin entre des détenus et des forces de l’ordre à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).
Ces affrontements ont commencé en milieu de matinée et se sont accentués avec l’arrivée sur les lieux de renforts pour appuyé les gardes pénitentiaires.
Le détenu surnommé "Yacou Le Chinois", qui régnait en maître absolu sur les autres prisonnier, et qui serait à la base de cette mutinerie, a été tué au cours de ces échanges de tirs qui ont fait également plusieurs blessés dont certains parmi les gardes pénitentiaires.
Le ministre de la Justice, Sansan Kambilé, s’est rendu sur les lieu à la mi-journée pour constater les dégâts.
Armand Tanoh
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