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Le gouvernement a adopté en conseil des ministres mercredi un projet de loi portant statut de l’opposition politique qui institue notamment un chef de l’opposition tout en fixant les conditions de sa désignation.
Le texte définit notamment la notion d’opposant, reconnait des droits à l’opposition à qui des obligations sont aussi fixées. Il institue aussi un chef de l’opposition et fixe les règles et procédures permettant sa désignation.
Le chef de l’opposition sera, selon le projet de loi, "le candidat ou le chef du parti ou groupement politique arrivé 2ème à la dernière élection présidentielle", a relevé M Nabagné Koné.
Si ce projet de loi est validé par l’Assemblée nationale, il se présentera désormais comme le cadre légal d’exercice des partis et groupements politiques en Côte d’Ivoire, a expliqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, informant de son adoption.
Le premier chef de l'opposition pourrait être Pascal Affi N'guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI), arrivé en seconde position après le président Alassane Ouattara lors de l'élection présidentielle d'octobre 2015.
L’objectif qui sous-tend la validation de ce projet par le gouvernement selon son porte-parole est de favoriser la consolidation la démocratie en Côte d’Ivoire avec un renforcement du rôle des partis se réclamant de l’opposition dans la construction de l’unité nationale et de la cohésion nationale.
Armand Tanoh
Au nombre des sites peu ordinaires construits par celui qui est considéré comme le père de nation ivoirienne, Félix Houphouët-Boigny, figure le Lac aux caïmans, qui jusqu’à ce jour constitue un mystère pour la population ivoirienne. Site important du tourisme ivoirien, ce lac est un véritable pôle d’attraction en Afrique de l’ouest. Que devient-il plus de 20 ans après la mort du père fondateur ?
Le Lacs aux caïmans d’hier
Constitué de plus de 200 crocodiles du Nil, ce lac aux caïmans entoure l’imposant bâtiment du palais présidentiel de Yamoussoukro, aujourd’hui fermé au public. Au temps du président Félix Houphouët-Boigny, ces bêtes étaient nourries au quotidien par des « dozos » (chasseurs traditionnels du nord) venus spécialement du Mali. Chaque jour, de nombreux bœufs et autres bétails étaient tués pour nourrir les « habitants » du lac...
Le relais sera ensuite pris pendant 36 ans par le vieux Dicko, grand admirateur qui deviendra le dompteur par excellence de ces bêtes de six mètres de long et pesant près d’une tonne. 17h30 GMT. C’est l’heure à laquelle le festin était généralement organisé pour les habitants du lacs qui se faisaient assister des touristes curieux qui souhaitaient participer au repas notoire des caïmans, tant le spectacle donnait plein à la vue. Quelques fois, pendant leur pause sur la terre ferme, certains touristes courageux s’adonnaient à des séances photos avec les bêtes sur proposition des gardiens, moyennant la somme de 3000 francs CFA.
En cette période, la cohabitation était parfaite avec les bestioles. Les choses prendront une autre tournure après la mort d’Houphouët-Boigny.
Le lacs aux caïmans aujourd’hui
Le père fondateur étant mort, le train de vie de ces bêtes a changé. Malgré les nombreux efforts consentis pour leur entretien, les caïmans ne reçoivent pas satisfaction. Ils ont alors commencé à faire de leur visiteur des proies. En 2012, la mort tragique du vieux Dicko, le septuagénaire qui y officiait depuis une trentaine d’année, reste mémorable. Alors qu’il tentait de sortir de la fosse après une séance de photo avec des touristes, il glisse et tombe devant les bêtes féroces qui le dévorent devant tous les touristes venus ce jour-là visiter le lac.
À ce jour, ce sont plusieurs personnes qui ont été dévorées par les caïmans du lac sacré de Yamoussoukro. Depuis sa création en 1950, les bêtes de ce lac n’avaient jamais fait autant de victimes humaines. Après ces derniers évènements, la peur s’est emparée de plusieurs visiteurs. Et pour ceux qui continuent à y aller, à peine peuvent-ils monter sur le trottoir principal de l’allée, car la surveillance est étroitement renforcée en vue d’éviter d’autres victimes.
Le lac aux caïmans de Yamoussoukro, autrefois grand pôle d’attraction, est désormais l’ombre de son nom et de sa notoriété. Des efforts sont certes consentis par l’état ivoirien pour la survie des bêtes et la sécurité des visiteurs, aidé par certains acteurs du tourisme ivoirien tel que Jovago qui aident à promouvoir le tourisme en Côte d’Ivoire. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour que ce lac retrouve sa place de meilleur site touristique de la capitale politique du pays.
La Plateforme de la société civile pour l’observation des élections en Côte d’Ivoire (POECI), a demandé lundi à Abidjan, au gouvernement et à la Commission électorale indépendante(CIE), de communiquer un calendrier précis des dates de démarrage de la révision de la liste électorale, de l’organisation du référendum constitutionnel, ainsi que la date des élections législatives.
« La POECI engage le gouvernement à ouvrir le plus rapidement possible, la réflexion sur la réforme constitutionnelle à tous les acteurs de la vie sociopolitique », a souligné sa porte-parole Kodjo Marie-Paule lors d’une conférence de presse.
Mme Kodjo a affirmé en outre que le processus de révision de la constitution revêt un « caractère important et crucial »pour l’avenir de la Côte d’ Ivoire et qu’il est important de tenir un débat public inclusif en raison du contexte sociopolitique du pays.
« Les points à réviser portent sur des questions très sensibles qui méritent d’être examinées avec la contribution de toutes les franges de la population ivoirienne. (…), la mise en place d’un groupe de travail incluant les partis politiques et la société civile, en vue de réfléchir sur le contenu des dispositions de la révision constitutionnelle et de dégager un consensus politique fort avant que le projet de révision constitutionnelle ne soit soumis au parlement », a ajouté Mme Kodjo, insistant sur la nécessité de tenir le référendum avant les législatives .
Par ailleurs la porte parole a recommandé à la CEI concernant la révision de la liste électorale, de s’assurer de la disponibilité et de l’accessibilité des pièces d’enregistrements, de renforcer la communication de masse et en langues locales, quelques semaines avant le démarrage effectif, de rendre les centres de recensements plus visibles et d’inviter les partis politiques à mobiliser leurs militants et sympathisants à s’enrôler massivement.
La POECI a observé le processus électoral de 2015 et le fera pour les prochaines échéances électorales de 2016, notamment le référendum et les élections législatives en utilisant des méthodes systématiques, y compris le comptage rapide des votes (PVT).
AIP
Les intelligences africaines de l’agriculture sont aux côtés des organisations régionales et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dans le cadre de la 29ème Conférence régionale de la FAO pour l’Afrique qui se déroule de lundi à vendredi à Abidjan, sous la présidence du ministre ivoirien de l’Agriculture et de Développement rural, Coulibaly Mamadou Sangafowa.
Cette session a démarré lundi par la réunion des Hauts fonctionnaires, appelés par le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, à faire des propositions pertinentes à la FAO et aux autorités étatiques, en vue de développer le continent à travers des mécanismes de soutien à une agriculture durable.
Dans son discours d’ouverture, le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a fait savoir que le thème de ces assises, à savoir « La transformation des systèmes agroalimentaires africains pour une croissance inclusive et une prospérité partagée », est d’actualité pour la Côte d’Ivoire dont les productions ont connu une croissance extraordinaire au cours de ces quatre dernières années.
Il a cité en exemple les productions record de 1,8 million de tonnes de fèves de cacao et de 700.000 T de noix de cajou, pour la campagne 2015, estimant que le principal défi à relever en Côte d’Ivoire comme à travers l’Afrique, c’est celui de la transformation des produits agricoles.
Les experts doivent également, au cours de cette Conférence, faire des propositions pour le renforcement de la chaîne des valeurs, l’amélioration des revenus des agriculteurs, le développement de l’agro-industrie et l’agro-business, a déclaré M. Adjoumani. Il a insisté sur la nécessité pour la communauté internationale et les partenaires au développement de soutenir l’agriculture durable en Afrique.
Pour lui, cette session doit aussi plancher sur la question du changement climatique mondial, analyser les résultats de la COP 21 et son impact sur le continent et de donner des orientations pour la COP 22 prévue au Maroc; faire des recommandations hardies et endogènes pour proposer des solutions contre l’immigration clandestine, née du chômage; réfléchir à la mise en œuvre de la Déclaration de Maputo qui préconise l’allocation de 10% des budgets nationaux à l’agriculture; et penser un mécanisme gagnant-gagnant permettant d’optimiser les ressources dans le secteur.
Auparavant, le représentant régional de la FAO pour l’Afrique, Bukar Tijani, a rappelé des initiatives de l’agence onusienne pour le développement du secteur agricole et la résilience. Il a planté le décor de la situation de l’agriculture dans la région, notamment au niveau de la sécurité alimentaire. Relevant que les perspectives sont positives, il a estimé que l’urgence est de répondre aux différents défis de la région qui se résument à comment passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture basée sur la transformation agro-industrielle créatrice d’emplois et de richesses.
AIP
En 2016, les mines antipersonnel restent plus que jamais un drame actuel occasionnant 80 % de victimes civiles dans le monde, dont un tiers sont des enfants.
Chaque jour, plus de 10 personnes sont tuées ou mutilées à cause d’elles, selon des statistiques rendues publiques, lundi, à l’occasion de la commémoration de la Journée internationale de sensibilisation au problème des mines antipersonnel. Cette arme est pourtant interdite par le droit international, mais son utilisation augmente. Plus 12 % depuis 2014.
Au total, dix pays dont la Syrie, l’Irak, la Libye, l’Afghanistan, l’Ukraine, le Yémen ou encore Colombie restent aujourd’hui concernés par l’utilisation, la pose de mines antipersonnel. Or, les effets de ces armes se font sentir bien au-delà des conflits, comme le rappelle Marion Libertucci, experte de l’ONG Handicap international :
« Ces armes restent sur le terrain, et à tout moment, elles peuvent causer des accidents pour un paysan qui va vouloir cultiver sa terre, pour un enfant qui va trouver un objet par terre et va vouloir jouer avec, et pour des gens qui vont vouloir retourner dans leur foyer. »
« Aujourd’hui, on a déminé 27 pays, mais il resterait encore une soixantaine de pays qui seraient contaminés, ajoute Mme Libertucci. Donc, il faut continuer et ça coûte cher. C’est très difficile d’avoir des moyens mécaniques pour assurer un déminage efficace. Ce sont souvent les hommes qui doivent déminer. Ils avancent pas à pas, littéralement. Dans certains pays, ça va prendre des décennies. On pense notamment au Laos, qui a été largement contaminé par les mines et les sous-munitions. »
La situation est particulièrement délicate en Syrie, explique l’experte de Handicap international : « Les groupes rebelles utilisent très facilement des mines, parce que c’est facile d’accès, très peu cher et facile à utiliser. Malheureusement, la situation en Syrie est particulièrement catastrophique, avec l’utilisation de mines et également de sous-munitions, des bombardements sur les populations civiles… Et là, on voit aussi une très forte hausse des victimes civiles. »
Et de conclure en évoquant la situation particulière de Kobane, en Syrie : « Nos démineurs nous ont dit qu’ils n’avaient jamais, jamais constaté un tel niveau de contamination. Contamination créée à la fois par des bombes aériennes, par des mines antipersonnel, et par beaucoup de pièges explosifs. Là, vraiment, les habitations ont été piégées, que ce soit les tiroirs, les fenêtres… Il y avait même des cadavres piégés, pour empêcher les personnes de les déplacer. »
AIP
Une délégation du Conseil d’Administration du Fonds des nations unies pour l’enfance (UNICEF) effectue depuis lundi, une visite de travail à Abidjan pour « apprécier et constater de visu la mise en œuvre de son programme de coopération avec le gouvernement ivoirien », rapporte un communiqué de l’Unicef transmis à l’Aip.
Il s’agit, selon le document de « permettre aux membres du conseil d’administration d’observer les opérations de l’UNICEF sur le terrain et les travaux de l’équipe de pays de l’ONU, en appréciant sur place la mise en œuvre des politiques et stratégies initiées et examiner l’impact et les résultats des programmes de l’UNICEF avec les interlocuteurs gouvernementaux et non gouvernementaux aux niveaux national et local et à l’échelle des collectivités».
Du 4 au 8 avril, des séries de rencontres avec les membres du gouvernement ivoirien, du système des Nations Unies, de la société civile, des partenaires multilatéraux et bilatéraux ainsi que par des visites de terrain dans les régions de Man, Odienné et Guiglo sont au menu de la tournée du conseil d’administration de l’Unicef.
Ce Conseil d’administration est l’organe directeur de l’UNICEF et comprend 36 membres. Il fournit un appui intergouvernemental et assure le contrôle de l’organisation, conformément aux orientations de politique générale de l’Assemblée générale des Nations Unies et du Conseil économique et social, rappelle-t-on.
AIP
Quelque 150 Imams de la région de l’Agnéby-Tiassa se forment, de lundi à jeudi, à Agboville, sur les mécanismes de lutte contre le djihadisme et le radicalisme, à l’initiative du Conseil supérieur des Imams (COSIM).
Il faut donner aux Imams, la culture des signes de déviations et de radicalisation chez certains fidèles, afin que ces derniers soient très rapidement décelés, a expliqué l’imam Saïd Konaté, représentant le président du Cosim, le Cheick Boikary Fofana, insistant sur la nécessité de communiquer sur la vraie doctrine de l’Islam, loin des extrémistes, qui se cachent derrière des causes nobles, pour atteindre des buts ‘insensés’.
« L’islam n’est nullement concerné par le djihadisme, qui est une doctrine terroriste », a fait observer l’imam Ibrahim Diarra, de la mosquée d’Agboville, pour qui l’islam n’est ni la menace, ni la violence, et c’est ce qui justifie selon lui, le thème du séminaire, « la contribution de l’Islam à l’édification des valeurs spirituelles et morales dans la société ».
Le séminaire prend fin jeudi, par des résolutions.
AIP
Un spécialiste en gestion des conflits de l’Ong belge Verbatims, Bosson Kouadio Jean, explique que les affrontements inter-communautaires survenus courant mars à Bouna relève du « corporatisme ethnique», qui est « le fait qu’une communauté ou une ethnie s’arroge le droit soit par la force de s’accaparer une activité et nie la participation des autres ».
Cela aboutit inévitablement à des violences de masses, a avancé M. Bosson, lundi, dans un entretien à l’AIP. Pourtant, a-t-il souligné, le libéralisme est l’option économique choisie par la Côte d’Ivoire, ce qui donne droit à toute personne d’exercer une activité, selon sa capacité.
Il préconise, pour éviter des affrontements inter-communautaires, un « dépassement de soi » de se débarrasser « des préjugés et stéréotypes ancrés en nous qui n’ont aucun fondement scientifique », soulignant que lorsque ceux-ci sont pris « comme vérité et mis en blocs homogènes purs, nous voyons l’autre comme un ennemi à éliminer, car pour nous c’est lui, qui est à la base de nos malheurs; l’occasion est donc venu pour que nous puissions nous en départir ».
Bosson Jean recommande en outre de mener des actions de prévention pour éviter la répétition des conflits identitaires. « Il faudrait toujours faire la prévention, le travail que nous avons fait s’est limité à l’Ouest et à Abidjan, c’est l’occasion donc de faire des actions de prévention à travers toute la Côte d’Ivoire pour éviter ce genre d’actes », a-t-il affirmé.
« A travers ces actions de prévention, nous allons comprendre comment mettre l’accent sur nos différences et ne pas juger l’autre sur son appartenance ethnique, car lorsque nous jugeons l’autre sur son appartenance ethnique, nous nous éloignons de la construction de la nation prospère et unie », selon le spécialiste en gestion des conflits de Verbatim.
Les affrontements inter-communautaires entre Lobi et Peuhl à Bouna et ses environs a fait officiellement 19 morts, une trentaine de blessés et des milliers de déplacés.
AIP
La fin du mandat de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) est prévue pour fin juin 2017, a appris l’AIP de source proche de la presse internationale.
Selon l’AFP citant le secrétaire général, Ban Ki-moon, l’ONU prévoit la fermeture définitive de l’ONUCI en juin 2017.
Une source proche du dossier jointe au téléphone par l’AIP n’a pas voulu se prononcer sur l’information donnée par le Haut-responsable de l’Organisation, précisant toutefois qu’une mission d’évaluation de l’Opération a eu lieu récemment en Côte d’Ivoire et qu’une résolution du Conseil de sécurité est attendue courant avril.
Créée le 27 février 2004 par la résolution 1528 du Conseil de sécurité de l’ONU, l’ONUCI avait mandat de faciliter la mise en œuvre, par les parties ivoiriennes, de l’Accord de paix qu’elles ont signé en janvier 2003. A la suite de l’élection présidentielle de 2010 et la crise postélectorale qui a suivi, l’ONUCI est restée sur le terrain pour protéger les civils et soutenir le nouveau gouvernement ivoirien dans le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants (DDR), ainsi que dans la réforme du secteur de la sécurité (RSS).
A travers la résolution 2226, le Conseil a prorogé jusqu’au 30 juin 2016, le mandat de l’ONUCI tel que défini dans la résolution 2000 (2011) et qui porte, entre autres, sur la protection de la population civile du risque imminent d’atteinte à l’intégrité physique des personnes sans préjudice de la responsabilité principale des autorités ivoiriennes, dans les limites de ses moyens et de ses zones de déploiement ; les bons offices et l’appui politique, par l’intermédiaire de la Représentante spéciale du secrétaire général, aux autorités ivoiriennes, pour instaurer durablement la paix et la sécurité en Côte d’Ivoire.
L’ONUCI a également pour mandat d’apporter un soutien logistique limité au gouvernement ivoirien, à la demande de ce dernier, dans le cadre de l’élection présidentielle de 2015, conformément à ses ressources et ses capacités, notamment pour ce qui est de l’accès aux régions reculées, tout en gardant à l’esprit la responsabilité première du Gouvernement à cet égard. La Mission onusienne est appelée à aider les autorités nationales, dans la limite de ses compétences, de ses capacités et de ses zones de déploiement, à stabiliser la sécurité dans le pays, en veillant tout particulièrement à prêter son appui pour assurer la sécurité en prélude à l’élection présidentielle de 2015, rappelle-t-on.
La banque islamique de développement (BID) va financer à hauteur de 410 millions des projets communautaires dans la sous-préfecture de Teapleu, située dans le département de Zouan-hounien.
Il s’agit de la construction d’un château d’eau, de pompes villageoises, le reprofillage de 50 km de pistes villageoises, la construction du centre de santé de Teapleu, et l’équipement en matériels sanitaires.
Le chef de projet de cette institution, Omar Camara était, le 31 mars, dans la localité, pour des échanges avec les populations bénéficiaires et visiter les sites.
AIP