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Une opération de délimitation des territoires villageois a été lancée jeudi à la salle des réunions de la sous-préfecture de Tiassalé par le préfet Jules Gouessé, en présence des chefs de villages, des représentants des jeunes et des femmes, et des chefs de services.
Expliquant l’intérêt et le mode opératoire de l’opération, le préfet a indiqué qu’elle émane d’un décret de 2013 portant définition de la procédure de délimitation des territoires villageois et en fixe les modalités. « Il s’agit de délimiter pendant une période de 18 mois, 1210 territoires dont 54 pour le département de Tiassalé », a-t-il souligné, en proposant que la délimitation se fasse de façon consensuelle. Pour ce faire, l’opération débutera par les villages qui ont moins de problèmes fonciers.
Le directeur général du Cabinet d’experts pour l’assistance-conseil en topographie et foncier (CETIF, opérateur technique), Coulibaly Souleymane, a expliqué que l’opération se déroulera en plusieurs étapes dont trois phases pour la sensibilisation et une phase pour l’opération à proprement dite.
Dans la phase pratique, des commissaires enquêteurs nommés par l’Administration travailleront de concert avec quatre représentants par village (deux représentants du chef et deux représentants du comité foncier villageois). La coordination de l’opération étant assurée par le cabinet d’experts et la Direction départementale de l’Agriculture de Tiassalé, la délimitation se fera sur la base de l’historique de l’installation des villages et après suivra la phase de layonnage et de bornage. Elles sont gratuites pour les populations, mais les acteurs seront rémunérés par l’opérateur technique, a-t-il précisé.
« L’opération concerne seulement la délimitation des territoires. Elle vise à donner aux autorités administratives, un instrument de gestion, et aux villages une lisibilité de leurs limites. Il n’est ni un prétexte pour agrandir les territoires, ni une occasion pour exproprier quelqu’un, encore moins une occasion pour délivrer des certificats fonciers », a insisté M. Coulibaly. Cette opération est financée par l’Agence française de développement (AFD) dans le cadre du Contrat de désendettement-développement (C2D).
Le maire Noël Akossi Bendjo a procédé jeudi, à la pose de la première pierre d’un monument symbolisant la réconciliation et baptisée « Place Nelson Mandela », dans la commune du Plateau à Abidjan.
Placée sous le parrainage du ministre d’Etat Hamed Bakayoko représenté par son directeur de cabinet, Bamba Cheick Daniel, la cérémonie s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de l’Afrique du Sud, Vusumuzi Lawrence Sindane, du directeur général de l’entreprise de téléphonie mobile MTN, de la chefferie de Lokodjro et du maire de Koumassi.
Cette place qui va abriter le buste de Nelson Mandela est une manière pour le maire Akossi Bendjo de matérialiser toutes les valeurs associées à la mémoire de cet illustre personnage sud-africain.
« Nelson Mandela a été cité en exemple exceptionnel dans la réconciliation en sortant son pays de la fièvre de sa sous région. En nous inspirant de sa philosophie, nous avons voulu mettre cette place de la réconciliation avec son buste, les messages et des espaces qui renforcent notre désir de réconcilier les ivoiriens et c’est dans cette réconciliation que nous arriverons à nous unir pour bâtir une Cote d’Ivoire nouvelle », a affirmé Akossi Bendjo.
Pour leur part, l’ambassadeur de l’Afrique du Sud et le représentant du ministre de l’Intérieur ont remercié le maire du Plateau pour les avoir associés à ce projet qui prône la réconciliation pour que la Côte d’Ivoire soit, à l’instar de l’Afrique du Sud, une « nation en arc-en-ciel ».
AIP
Un présumé coupeur de route, qui s’était spécialisé dans le viol de ses victimes de sexe féminin dans le département de Kong, a été mis aux arrêts, jeudi, par la gendarmerie de la localité, a appris l’AIP auprès de cette brigade.
Le suspect, Barry Ousmane, 26 ans, qui, selon la gendarmerie sévissait depuis près de deux ans dans la zone, est » un coupeur de route solitaire qui a violé au moins 15 femmes » lors de ses opérations sur les voies de la région.
Il procédait en maîtrisant ses victimes à l’aide d’une arme à feu, avant de les dépouiller de tous leurs biens et abuser d’elle sexuellement.
Par ailleurs, poursuit la même source, le présumé coupeur de route menaçait ses victimes de « revenir les massacrer si jamais elles parvenaient à divulguer le secret ».
Son arrestation a été possible grâce à « un travail minutieux et la parfaite collaboration des populations locales, et surtout l’implication des chasseurs traditionnels appelés Dozos », indique-t-on.
Le suspect a été déféré le même jour vers le tribunal de première instance de Korhogo.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a réceptionné et ouvert officiellement jeudi à San Pedro, 7,1 km de route réhabilitée et nouvellement bitumée, dans le cadre du Projet de renaissance des infrastructures de Côte d‘Ivoire (PRICI), en présence d’un des bailleurs de fonds, en l’occurrence le représentant de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire.
Ces ouvrages ont nécessité la mobilisation de 12,7 milliards de francs CFA par la Banque mondiale et l’Etat de Côte d’Ivoire, dont 12,05 milliards FCFA pour la voirie urbaine, 174 millions FCFA pour les infrastructures sanitaires, 328 millions FCFA pour l’éclairage public et 127 millions FCFA pour l’assainissement.
Selon M. Duncan, le PRICI qui a succédé en 2013 au Programme d’urgence des infrastructures urbaines (PUIUR), donne entièrement satisfaction. Il a invité les populations à faire un bon usage et un bon entretien des ouvrages mis à leur disposition.
En 2011, le paysage routier de la ville portuaire de San Pedro (sud-ouest) ne laissait entrevoir que des tronçons de voirie praticables dans environ 50% des quartiers.
Selon le Ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, les ouvrages du PRICI réalisés à San Pedro, « sur des instructions fermes du Président Alassane Ouattara », ont permis de doter la région de nouvelles infrastructures, afin de « faire de San Pedro un véritable pôle de croissance régionale, tout en mettant fin au calvaire des populations en matière d’infrastructures routières et sanitaires ».
Le Directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, a salué l’aboutissement de ce projet à San Pedro et promis le soutien de la Banque dans deux domaines importants, à savoir l’amélioration de la productivité de l’agriculture en appuyant les petits agriculteurs et le capital humain à bâtir pour soutenir le développement économique et la cohésion sociale, à travers l’amélioration des services de l’éducation, de la protection sociale, de la santé, de l’eau et de l’assainissement.
Les travaux de la voirie de San Pedro ont duré deux ans au lieu de huit mois initialement prévus, en raison de la nature marécageuse du sol de la ville balnéaire et portuaire, a expliqué le coordonateur du PRICI, Pierre Dimba.
La firme Coca Cola est intéressée par la production de jus de fruits en Côte d’Ivoire, annonce son président Afrique et Eurasie, Nathan Kalumbu. M. Kalumbu qui a fait cette annonce au terme d’une audience avec le président ivoirien, Alassane Ouattara à Abidjan, a estimé que les ‘’progrès réalisés par la Côte d’Ivoire au plan économique’’ ces dernières années "permettent à des sociétés ou multinationales d’avoir une confiance certaine dans le pays et d’y faire des investissements importants".
Il a affirmé avoir été encouragé par les réformes économiques, qui font de la Côte d’Ivoire "l’un des pays africains qui inspirent confiance". Nathan Kalumbu a également révélé la possibilité, pour son entreprise, d’utiliser des produits et intrants locaux dans la fabrication de leurs différents produits en Côte d’ivoire.
La Multinationale Coca Cola s’est dotée d’un plan d’investissement en Afrique de 17 milliards de dollars (soit 8500 milliards de FCFA) sur la période 2010 – 2020, qui prend en compte son activité en Côte d’Ivoire.
Un nouveau moteur de recherche intitulé « Côte d’Ivoire On Business » sera lancé, jeudi, dans le cadre de la vulgarisation en ligne des produits et services fournis par des entreprises en Côte d’Ivoire, au niveau mondial, rapporte un communiqué de cette organisation transmis à l’AIP.
Cette nouvelle plateforme internet, indique le communiqué, » va permettre la recherche des entreprises à partir des produits et services qu’elles proposent tant au niveau national qu’international ». Elle facilitera, notamment, « la visibilité de la production de chaque entreprise que les systèmes de recherche et de mise en relation des acteurs de la vie économique nationale », en permettant, également, que des produits et services soient des mots clés qui guideront vers les fabricants ou les fournisseurs, insiste le communiqué.
Pour les initiateurs , « cette entreprise s’inscrit dans la droite ligne de la volonté affirmée du gouvernement de faire de l’économie numérique l’un des piliers majeurs de l’émergence de la Côte d’Ivoire ». Les entreprises quelles que soient leur taille, pourront indiquer leurs produits sans limite de nombre et de mise à jour, conclut le communiqué.
Dans le cadre de la Journée mondial de la Santé célébrée ce jeudi, le groupe Nestlé explique, dans un communiqué de presse, l’impact de son programme Healthy Kids qui a touché depuis 2014 plus de 76 000 enfants dans six pays dans la région Afrique Centrale et de l’Ouest à savoir le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Nigeria et le Sénégal.
Le programme qui a par ailleurs déjà touché près de huit millions d’enfants dans 80 pays avec l’appui de plus de 280 partenaires, a pour crédo la Nutrition, la Santé et le Bien-être des enfants.
Particulièrement en Côte d’Ivoire, depuis la rentrée des classes 2014, il fait partie des programmes scolaires. Il s’agit d’une initiative du groupe visant à permettre aux enfants en âge d’aller à l’école de mener une vie saine en leur offrant l’opportunité d’adopter, très tôt, de bonnes habitudes alimentaires et de comprendre l’importance des exercices physiques.
Par sa méthodologie pratique et son contenu riche, le cours de Nestlé Healthy Kids passionne les bénéficiaires qui en sont les principaux animateurs.
A l’EPP Pilote de Marcory, c’est une salle de classe comble qui accueille le cours chaque semaine. « Avant ma participation aux cours du programme Nestlé Healthy Kids, je ne pouvais pas me constituer un menu équilibré, mais aujourd’hui j’arrive à faire des propositions à ma mère selon mes goûts », explique la petite Marie Dominique Mayemin, qui se réjouit de partager désormais avec ses des plats à la fois savoureux et bons pour la santé. Son camarade de classe, Charles-Emmanuel Traoré, a quant à lui compris que faire de l’exercice aide à rester en bonne santé.
En Côte d’Ivoire, le programme a été lancé par Nestlé en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et le Ministère de la Santé et de l’Hygiène publique dans les localités d’Abidjan, de Gagnoa, d’Abengourou et de Daloa avec plus de 1000 bénéficiaires à ce jour.
Selon Mauricio Alarcón, directeur général de Nestlé Côte d’Ivoire, le groupe est conscient qu’une alimentation et des modes de vie sains associés à l’activité physique constituent une défense efficace contre certaines maladies. « C’est pourquoi, nous mettons un point d’honneur à la promotion de l’éducation nutritionnelle et l’activité physique. Le programme Nestlé Healthy Kids en est une illustration parfaite », a-t-il conclu.
AIP
En marge de la 29ème Conférence régionale de la FAO qui se déroule à Abidjan depuis lundi, un accord tripartite a été signé mercredi dans le cadre de la lutte contre la grippe aviaire en Côte d’Ivoire.
D’un montant d’un million de dollars US (environ 600 millions FCFA) accordé par la BAD, cette convention de don au titre de l’aide humanitaire d’urgence a été paraphée par la FAO en présence de son directeur général José Graziano da Silva, la Banque africaine de développement (BAD) et la Côte d’Ivoire, représentée par le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani.
Selon ce dernier, l’accord tripartite vise à renforcer les services vétérinaires en vue d’améliorer et d’assurer avec efficacité leur rôle d’acteurs majeurs dans la gestion de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire. Il a ajouté qu’il s’agit d’une convention d’assistance technique et financière qui a pour finalité l’atteinte efficace des résultats attendus.
Le ministre a estimé que cet appui apporté au gouvernement ivoirien en vue d’éradiquer tous les foyers de la grippe aviaire va rendre les aviculteurs et les consommateurs heureux.
Quant au Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire, Germain Dasylva, il a salué cette collaboration avec la BAD pour soutenir la prévention et le contrôle de la grippe aviaire en Côte d’Ivoire. Il a assuré que la FAO continuera d’appuyer le pays dans la lutte contre les maladies animales transfrontalières et les zoonoses, conformément à son mandat.
La 29ème Conférence régionale de la FAO pour l’Afrique porte sur le thème « La transformation des systèmes agroalimentaires africains pour une croissance inclusive et une prospérité partagée ». Elle s’achève vendredi.
AIP
La deuxième usine, en Côte d’Ivoire, de la cimenterie « Ciments d’Afrique » (CIMAF), filiale du groupe marocain Addoha, prévue dans la ville portuaire de San Pedro (Sud-ouest), sera opérationnelle en 2017, a annoncé mercredi à Abidjan le PDG de ce groupe, Anas Sefrioui.
Cette usine, d’un coût de 35 milliards, aura une capacité de production annuelle de 1000.000 de tonnes de ciment, a précisé M. Sefrioui, au sortir d’une audience avec le président ivoirien, Alassane Ouattara.
Anas Sefrioui qui a réaffirmé sa confiance en la Côte d’Ivoire en matière d’investissements, a également annoncé la construction, dans le pays, d’une sacherie devant permettre de fournir des sacs d’emballage à l’ensemble des usines de Côte d’Ivoire et de la sous-région.
CIMAF a ouvert sa première usine ivoirienne en 2011 à la zone industrielle de Yopougon (Abidjan ouest), avec une capacité de production de 500.000 tonnes à son démarrage, qui a été doublé à 1000.000 de tonnes grâce à l’extension de cette unité, début 2016.
Egalement présent dans le secteur de l’immobilier, le groupe ADDOHA est engagé dans un projet de construction de 8620 logements à Abidjan, dont 8000 de deux ou trois pièces à Locodjro, dans la commune d’Attécoubé et 620 habitations de 3 ou 4 pièces à Koumassi (Abidjan sud).
AIP
La Grande Bretagne entend mettre son expertise au service de l’industrialisation de en Côte d’Ivoire, a annoncé, mercredi à Abidjan, le ministre britannique pour l’Afrique, les Territoires d’outre-mer et les Caraïbes, James Duddridge, également Sous-secrétaire d’Etat, membre du parlement britannique.
Selon M. Duddridge qui a fait cette annonce au sortir d’une audience avec le président ivoirien Alassane Ouattara, son pays souhaite apporter à la Côte d’Ivoire son expertise en matière de transformation des matières premières en produits finis.
Il a indiqué avoir échangé avec le chef de l’Etat sur les possibilités d’investissements des entreprise britanniques en Côte d’Ivoire, notamment dans les domaines du pétrole, du gaz et des technologies de l’information et de la communication.
La rencontre entre les deux hommes entre dans le cadre du renforcement des relations de coopération entre le Royaume-Uni et la Côte d’Ivoire.
AIP