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La ministre de la Promotion de la femme, de la famille et de la Protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao, a exprimé, samedi, sa colère contre les réseaux sociaux, en invitant leurs abonnés à « arrêter de salir le nom de la Côte d’Ivoire » dans l’affaire de viols présumés de quatre étudiantes au campus universitaire de Cocody (à Abidjan).
Lors d’une conférence de presse à Bouaké, la ministre Euphrasie Yao a dit être l’objet d’interpellations incessantes des « adeptes » des réseaux sociaux, en tant que ministre de la Promotion de la femme, de la famille et la Protection de l’enfant, de faire en sorte que les auteurs des viols soient punis.
A l’endroit des auteurs des messages postés sur sa page facebook, elle a annoncé qu’un ministre ne peut pas travailler avec des allégations, sans informations de base, et qui ne lui donnent pas les éléments de preuve à agir.
En sa qualité d’ambassadrice œuvrant depuis plus de 20 ans pour la valorisation de l’image de la femme, Mme Kouassi Yao affirme ne pas avoir de motif qui aurait pu l’amener à se taire si les cas de viols étaient avérés.
Illustrant ces propos, elle a fait savoir qu’elle a contribué à la création d’un centre d’écoute à Attécoubé (Abidjan) qui a déjà œuvré pour la condamnation de 17 auteurs de cas de violences faites aux femmes.
Pour les viols présumés des quatre étudiantes, ses services ont déjà mené des investigations, dès les premières heures où l’information a été portée sur les réseaux sociaux, mais aucune victime de viol n’a été trouvée, a-t-elle soutenu.
AIP
Papa Wemba. Il était venu offrir de la gaieté aux mélomanes ivoiriens. Maleureusement, sa prestation à la 9ème édition du festival des musiques urbaine d’Anoumabo (FEMUA 9) à Abidjan, la capitale ivoirienne, a tourné au drame lorsqu’il s’est écroulé sur scène suite à un malaise dans la nuit de du samedi 23 au dimanche 24 avril 2015.
L’artiste congolais de 67 ans, conduit d’urgence dans une clinique, est décédé tôt dans la matinée dimanche dans une clinique d’Abidjan, apprend La Diplomatique d’Abidjan de source proche de bonnes sources.
Papa wemba, à l’Etat civil Jules Shungu Wembadio Pene Kikumba, surnommé le "roi de la rumba" ou le "Rossignole de la musique congolaise", né le 14 juin 1949 à Lubefu dans le Kasaï-Oriental en République démocratique du Congo, est un artiste qui a marqué plusieurs générations par sa voix et son grand talent. Adieu l’artiste !
Armand Tanoh
« La Côte d’Ivoire, qui a l’ambition d’être un pays exemplaire et d’excellence en matière de développement durable, alliant la vision d’émergence économique avec la mise en oeuvre de sa stratégie bas carbone, a besoin de l’appui et de l’accompagnement de la communauté internationale », a déclaré le Président Ouattara, vendredi, à l'occasion de la signature de l'accord de paris sur le climat, la COP21, par 171 Etats au siège des Nations Unies à New York.
Il a invité toutes les parties signataires de l’accord de Paris à aller plus loin afin de pérenniser la dynamique actuelle et rendre irréversibles les progrès que nous accomplirons collectivement.
« Nous devons, pour cela, mettre au service de l’humanité les progrès scientifiques et technologiques réalisés dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique », a indiqué le numéro un ivoirien.
Pour lui, les générations futures doivent bénéficier d’une planète dans laquelle elles pourront à leur tour vivre et s’épanouir.
« C’est tout le sens de notre participation active à la conférence de Paris et à celle de ce jour historique qui fait de mon pays l’un des premiers à signer l’accord de Paris, réaffirmant ainsi notre engagement déterminé à lutter contre les changements climatiques », a conclu le chef de l’Etat ivoirien qui a co-présidé, en marge de la cérémonie, la session de haut niveau des déclarations nationales en compagnie du président de la République de Nauru, Baron Waqua.
Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a en outre annoncé que le gouvernement ivoirien va s’atteler, en priorité, à identifier des projets structurants lui permettant de respecter ses engagements, dans le cadre de ses contributions prévues déterminées au niveau national (CPDN/INDC en anglais), pour la mise en œuvre de l’accord de Paris.
Faisant savoir que la mise en oeuvre de l’accord de Paris n’est pas une option, mais « un impératif », le Président Ouattara a indiqué que l’accent sera mis sur la poursuite de l’amélioration et du renforcement du cadre de la gouvernance environnementale et climatique à tous les niveaux.
« Notre volonté est de parvenir, dans les délais impartis, à l’élaboration d’un business plan climat devant accompagner la mise en oeuvre de notre plan national de développement (PND) 2016-2020, des objectifs de développement durable post-2015 et de l’accord de Paris sur le climat », a déclaré le président de la République qui s’est inquiété de la baisse de la pluviométrie en Côte d’Ivoire.
« La pluviométrie en Côte d’Ivoire a baissé d’environ 13% depuis les années 1980 et, durant les dernières décennies une hausse de température de 0,8°C, a été enregistrée. Ces mutations ont eu pour conséquences la baisse des rendements agricoles, la progression de l’érosion côtière, la récurrence des catastrophes naturelles et l’augmentation des flux migratoires », a-t-il dit.
Selon le Président Ouattara, la Côte d’Ivoire a besoin de l’appui et de l’accompagnement de la communauté internationale, notamment en ce qui concerne la production d’électricité, afin de réussir l’adaptation de son économie aux contraintes liées aux changements et au réchauffement climatiques.
« Je voudrais inviter toutes les parties à l’accord de Paris à aller plus loin afin de pérenniser la dynamique actuelle et rendre irréversibles les progrès que nous accomplirons collectivement » dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique, a-t-il conclu.
En marge de la cérémonie de signature de l’accord, le chef de l’Etat ivoirien a co-présidé la session de haut niveau des déclarations nationales en compagnie du président de la République de Nauru, Baron Waqua, signale-t-on.
La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné, effectuera, du 3 au 7 mai, une visite au Libéria pour y rencontrer les réfugiés ivoiriens et les encourager à rentrer au bercail.
« Je vais me rendre au Libéria, conduisant une forte délégation gouvernementale pour parler à nos frères et sœurs qui y sont réfugiés, afin que ces personnes reviennent au pays, prendre la place qui est la leur pour la construction de la nation »,, a déclaré Pr Koné, vendredi, à Abidjan lors d’une cérémonie de reconnaissance des populations des régions de Guémon et de Cavally.
Elle a mis les élus, les cadres et les populations de ces régions en mission, afin de relayer l’information aux réfugiés, leur recommandant de faire rayonner la paix, et d’œuvrer à transformer la région de l’Ouest en un « laboratoire de la paix et de la cohésion sociale en Côte d’ivoire ».
Selon la ministre, qui entend aussi effectuer une visite aux exilés ivoiriens au Ghana, les 2/3 des personnes qui avaient quitté la Côte d’Ivoire du fait des différentes crises sont revenues. Le 1/3 restant, se trouve principalement au Liberia, au Ghana, en Guinée, au Mali, au Cameroun et au Togo.
« La Commission nationale pour la Réconciliation et l’Indemnisation des Victimes (CONARIV) a bouclé la liste de ceux qu’elle appelle les vraies victimes, et pourtant au dernier passage du président de la République à Guiglo, il a demandé aux réfugiés du Liberia de rentrer au pays. Tous sont venus, et beaucoup d’entre eux ont perdu leurs parents et leurs biens, (…). Nous vous exhortons à faire quelque chose pour eux », a-t-il plaidé le porte-parole de ces victimes, Ouly Paul.
La population du Grand ouest, selon le porte-parole des populations, Serel Pierre, compte sur la ministre pour « panser les plaies, et pour une guérison définitive, afin de faire régner la cohésion sociale ».
Pour sa part, la ministre de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de l’Indemnisation des victimes a rassuré ces populations, affirmant que le président de la République compte mettre tout en œuvre pour que réparation leur soit faite, car selon la commission nationale d’enquête, a-t-elle dit, le Grand ouest fait partie des deux grandes régions qui ont le plus souffert durant les crises.
Une trentaine de blessés et ayants-droits de victimes décédées venus, entre autre des communes de Toulepleu, Guiglo, Bangolo, Blolequin ont reçu leurs chèques d’indemnisation du ministre Mariatou Koné.
AIP
La Première Dame, Madame Dominique Ouattara, par ailleurs, présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS), se rend à Genève, dimanche, dans le cadre d’une mission de travail en vue de plaider la cause des enfants.
Il s’agira pour Mme Ouattara de convaincre les dirigeants de l’OIT à reconsidérer la définition du Travail des Enfants. Elle souhaite faire comprendre à l’organisation qu’il est important de faire la différence entre le travail des enfants et le travail socialisant. Pour la Présidente du CNS, la notion de travail ne doit pas être appliquée aux enfants qui vont aider occasionnellement lors des vacances scolaires, leurs parents dans les plantations de cacao.
La Première Dame, en sa qualité d’ambassadeur Spécial de l’ONUSIDA pour accélérer l’accès au traitement pédiatrique pour les enfants vivant avec le VIH, aura une rencontre, avec le directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé, au siège de l’institution.
Elle présidera ensuite une cérémonie de signature de convention entre le CNS et la Fondation ICI, à l’Hôtel « Four Seasons les Bergues ».
AIP
Les échanges commerciaux entre la Tunisie et la Côte d’Ivoire sont estimés à fin 2015 à un peu plus de 22 milliards de FCFA (77,769 millions de dinars tunisiens), a révélé le chargé des dossiers économiques de l’ambassade de Tunisie en Côte d’Ivoire, Mohamed Hedi Hammadi.
Selon M. Hammadi, les exportations de la Tunisie vers la Côte d’Ivoire qui s’évaluent à la même période à plus de 18 milliards de FCFA (environ 63,144 millions de dinars tunisiens) portent essentiellement sur les composantes mécaniques industrielles, les matériaux de construction, des produits agroalimentaires et pharmaceutiques, les articles de textile, etc.
Quant aux importations des produits ivoiriens qui portent, entre autres, sur les bois, l’huile de palme, le café, le cacao et le coton, elles se chiffrent à environ quatre milliards de FCFA (13,125 millions de dinars tunisiens), a affirmé le chargé des dossiers économiques de l’ambassade tunisienne en Côte d’Ivoire.
Etablies en 1965, mais activées en août 1994, les relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et la Tunisie s’étendent à plusieurs domaines qui ont fait l’objet d’accords et de conventions conclus dans le cadre de la 6ème et 7ème sessions de la Commission mixte de coopération, tenues respectivement du 12 au 15 mai 1999 à Abidjan et du 06 au 08 février 2002 à Tunis.
Dans le cadre de la visite d’amitié et de travail qu’entreprendra dimanche le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid, un forum économique et une session de la commission mixte sont inscrits dans l’agenda de la personnalité tunisienne pour renforcer ces relations.
AIP
La Fondation Bill et Melinda Gates financera à hauteur de 2,5 milliards de FCFA sur une période de trois ans, le Programme et structuration du marché des boues et vidanges (PSMBV), a-t-on appris jeudi à Abidjan, lors de la signature de convention sur l’assainissement autonome entre l’État de Côte d’Ivoire et le cabinet sénégalais Environnement déchet-eau (EDE), mandaté par ladite l’institution américaine.
« Nous avons un partenariat avec le Sénégal qui a permis d’atteindre des résultats probants et sommes ici pour partager les mêmes résultats et mêmes expériences. Je suis heureux d’être ici pour lancer ce partenariat », a souligné M. Brian Arbogast, soutenu dans son assertion par son collègue Koné Doulaye, directeur adjoint du département Eau assainissement et hygiène de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Pour sa part, la ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Désirée Ouloto, a indiqué que la question de gestion de déchets liquides et solides est une priorité en Côte d’Ivoire. « Le monde entier s’accorde à dire que le droit à un cadre de vie sain est un droit fondamental, et la Côte d’Ivoire s’inscrit dans cette logique », a-t-elle affirmé. Elle a témoigné sa gratitude envers la Fondation Bill et Melinda Gates qui a pris l’engagement d’accompagner la Côte d’Ivoire dans sa volonté d’accorder aux populations, un environnement amélioré, agréable et protégé.
Le Programme et structuration du marché des boues et vidanges vise à développer de nouvelles orientations institutionnelles et stratégiques telles que la prise en compte de nouvelles technologies (stratégie et traitement), l’implication du secteur privé pour en faire un secteur marchant profitable ainsi que la mise en place d’un modèle pour réduire les coûts de la vidange. Ce projet concerne le Sénégal, le Bénin et la Côte d’Ivoire et se fait avec la participation de l’Office national de l’assainissement et du drainage (ONAD).
L’Association africaine de l’eau et la Fondation Bill Gates partenaires pour un assainissement durable des villes
L’Association africaine de l’eau (AAE) et la Fondation Bill et Melinda Gates sont en partenariat en vue d’un assainissement durable des villes et ce à travers le programme de Renforcement des partenariats des opérateurs d’assainissement en Afrique (RASOP-Africa ) qui bénéficie de 2015 à 2018 d’un montant d’environ 7, 5 milliards de F CFA, a-t-on appris jeudi, à Abidjan, lors d’une session d’échanges entre les deux institutions.
«Mes remerciements adressés à Brian Arbogast, directeur du département Eau hygiène et assainissement, pour sa présence à cette session et surtout pour avoir fait confiance à l’AAE et lui avoir permis l’obtention de ressources financières à hauteur de 1,5 millions de dollars (7,5 milliards de FCFA) pour le développement de son programme RASOP », a affirmé le directeur exécutif de l’AAE, Sylvain Usher, à l’ouverture de ces échanges. Il a témoigné également sa gratitude envers l’Ivoirien Doulaye Koné, directeur adjoint du même département Eau, hygiène et assainissement de cette Fondation américaine.
« Notre but est de faire de l’assainissement un service marchant au profit des populations les plus défavorisées », a souligné pour sa part Dr Doulaye Koné, lors de sa communication portant sur le thème « Visions et stratégies en matière d’assainissement de la Fondation Bill et Melinda Gates ».
Le programme Renforcement des partenariats des opérateurs d’assainissement en Afrique (RASOP-Africa ) a pour mission principale, l’amélioration de la gestion des boues et vidanges en milieu urbain, ainsi que la qualité et la couverture des services d’assainissement autonomes pour au moins un million de personnes de cinq villes(dont Yamoussoukro) de cinq pays d’Afrique subsaharienne.
Ce partenariat entre la Fondation Bill et Melinda Gates et l’AAE vise quatre objectifs à savoir, adapter et diffuser des guides techniques afin de promouvoir l’assainissement durable, renforcer les capacités des sociétés d’assainissement/municipalités à travers les partenariats pour obtenir des financements en assainissement urbain, apporter un soutien aux sociétés d’assainissement/municipalités à élaborer des plans stratégiques d’assainissement, et améliorer la gouvernance et la responsabilité de l’équipe de gestion des programmes de l’AAE.
AIP
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki moon, espère en un avenir meilleur pour tous, dans son message publié, jeudi, à l’occasion de la Journée internationale de la Terre nourricière, qui coïncide cette année avec la cérémonie de signature de l’Accord de Paris sur les changements climatiques, au Siège des Nations Unies à New York.
La journée internationale de la Terre nourricière est l’occasion de souligner l’interdépendance entre nous, les hommes, et les espèces incroyablement diverses avec lesquelles nous partageons la planète, précise-t-on.
« L’exemple doit venir du sommet, mais chacun de nous a également un rôle à jouer. Nous sommes libres de faire des choix économes en énergie, d’arrêter de gaspiller de la nourriture, de réduire notre empreinte carbone et d’augmenter nos investissements durables. De petits gestes, à l’échelle de milliards d’individus, entraîneront de grands changements, renforceront l’application de l’Accord de Paris et nous permettront d’atteindre les objectifs de développement durable », a indiqué M. Ban, précisant que le thème de la Journée pour 2016, « Des arbres pour la Terre », illustre parfaitement cette philosophie.
« De même que chaque arbre a un rôle à jouer dans la biosphère, chaque individu qui se soucie de la planète et de toutes les créatures qui l’habitent a un rôle à jouer. Un nouvel avenir s’ouvre à nous si nous savons respecter notre Terre nourricière et investir en elle », a-t-il conclu.
Les représentants de plus de 170 pays vont parapher ce jeudi au Siège de l’Organisation des Nations Unies à New York l’Accord de Paris sur les changements climatiques, qui va de pair avec le Programme de développement durable à l’horizon 2030.
AIP
La Fondation Lady Jeanne a offert une bibliothèque tout équipée au collège moderne de Bouaflé qu’elle inaugure, ce vendredi. Ce don s’inscrit dans la politique de cette fondation de mener des actions à fort impact académique auprès des jeunes. Le choix de l’établissement, parmi tant d’autres de la région de la Marahoué, relève, entre autres, de son environnement propre et surtout de ses bons résultats aux examens scolaires, le brevet d’études du premier cycle (BEPC).
D’autres actions de bienfaisance sont à mettre à l’actif de la Fondation Lady Jeanne, à savoir un don de matériels médicaux à la pouponnière de Dabou ainsi que la formation de plus d’une centaine de personnes au secourisme, dispensée par quatre pompiers civils français.
AIP
Des actions humanitaires dite « journées humanitaires Franklin Delano Roosvelt », du nom du 32ème président des Etats-Unis d’Amérique, initiées par l’ONG « Lobus action » à Songon-M’brathé, village situé entre Abidjan et Dabou, en vue d’assister et promouvoir les personnes handicapées, ont pris fin jeudi, un peu plus d’un mois après leur lancement le 5 mars.
‘’Cet homme (Franklin Delano Roosvelt), grâce à son optimisme et à sa perspicacité, a été le seul à être élu à quatre reprises à la magistrature suprême des Etats-Unis. En plus des actions caritatives qu’il a posées, il apparait à nos yeux comme un exemple de courage à enseigner à nos frères et sœurs qui, partiellement ou définitivement, ne peuvent plus faire usage de l’une des parties de leur corps’’, a justifié le président du comité d’organisation, Poeri Vincent.
Au-delà de cet hommage rendu à Delano Roosvelt, les membres de l’ONG ont durant cette période multiplié les actions de sensibilisation contre la marginalisation et le rejet des personnes handicapées au sein de leur société.
Lors de la cérémonie d’ouverture s’est tenue début mars, en présence de divers leaders d’organisations de personnes handicapés dont le président de la Coordination nationale des personnes handicapées de Côte d’Ivoire (CAPHCI), Kone Yacouba, et le président La Fédération des Associations pour la Promotion sociale des Personnes handicapées de Côte d’Ivoire (FAHCI) que dirige M. Raphaël Dogbo.
A cette occasion, plusieurs dont ont été offerts aux handicapés de Lobus action, dont deux fauteuils roulants par la CAPHCI.
Selon le président de Lobus action, Beugré Loba Jules, sa structure entend célébrer l’ex-président américain chaque année à la même période, qui correspond au mois de sa première investiture en tant que chef de l’Etat, et aussi étendre cette initiative à d’autres localités du pays.
Franklin Delano Roosvelt, handicapé des membres inférieurs suite au syndrome de Guillain Barré, a fondé entre autres le ‘’Roosvelt warm springs institute for rehabilitation’’, un centre d’hydrothérapie pour les personnes atteintes de poliomyélite, et a participé à la création de la ‘’National foundation for infantile paralysis’’, la fondation nationale pour les enfants paralysés, précise-t-on.
L’ONG Lobus action, portée sur les fonts baptismaux en 2007 par Beugré Loba Jules qui en est aussi le président, œuvre pour la restauration de la dignité de la personne handicapée et aide les déshérités à se prendre en charge, note-t-on.